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  1. Le Cinq & Demi Condomimiums propose 7 condos, de 3 chambres, de 1350 à 1750 pieds carrés, dans un immeuble à l'architecture épurée et urbaine, dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Quelques caractéristiques: Balcon en avant et en arrière (Terrasse au rez-de-Jardin) Planchers en céramique et bois Plafonds de 9 pieds (8 pieds rez-de-Jardin) Air climatisé et thermopompe Large fenestration en aluminium Comptoirs en quartz Armoires et vanités en thermoplastique Douche en céramique séparée du bain Robinetterie de qualité Échangeur d'air Aspirateur central Lumières encastrées dans la cuisine et la salle de bain Éclairage supérieur Isolation à l'Uréthane Systèmes Intercom et d'alarme Situé à quelques minutes de marche de la station de métro, le projet offre un espace de vie spacieux et confortable, dans un immeuble à la maçonnerie architecturale sur 4 façades, à proximité de nombreux services et commerces. Plus d'information à la page: http://www.constructionsdiego.com
  2. Nom: Pointe Est Montréal Hauteur en étages: 3 + sous-sol 8' - 9' Coût du projet: 100 000 000$ Promoteur: 9215-3667 Québec Inc. Architecte: Isaac Alt Entrepreneur général: TG Beco Emplacement: Pointe-aux-Trembles Site internet: http://condopointeest.ca/ Autres informations: * Stationnements souterrains qui laissent plus de place à la verdure. * Fils et câbles électriques enterrés pour limiter la pollution visuelle. * Systèmes de chauffage à haute efficacité. * Piste cyclable qui facilite les déplacements à vélo. * Accès rapide aux transports publics, dont la gare de train de Pointe-aux-Trembles. * Maisons de villes disponibles.
  3. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  4. La firme montréalaise Ultra Electronics SCT a révélé mardi avoir obtenu des commandes de 23 millions $ de l'armée américaine. Ultra-SCT se spécialise dans les systèmes de communication radio à grande capacité et systèmes de guerre électronique. Ultra-SCT fournira des ensembles de mise à niveau de stations radio et des radios de type AN/GRC-245 supplémentaires pour le programme Warfighter Information Network Tactical Inc-1 de l'armée américaine. Ce programme fournit les réseaux de communication sur le terrain aux bataillons lorsqu'ils sont stationnaires. Ultra-SCT fournit de l'équipement de communication pour les applications militaires tactiques et les systèmes de défense. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport-et-produits-industriels/ultra-electronics-rafle-des-commandes-de-23-m-de-l-armee-americaine/539552
  5. Liebherr débutera la mise en chantier au printemps 2011 Directeur général de Liebherr-Aerospace, Stéphane Rioux. Stéphane St-Amour Annoncée le 20 juillet au Salon international d’aéronautique de Farnborough, l’implantation, à Laval, d’un centre d’assemblage de trains d’atterrissage et d’un centre de logistique devrait débuter en avril 2011. Liebherr-Aerospace Canada, dont les installations ont pied à terre en bordure de l’autoroute Chomedey, a obtenu de l’avionneur Bombardier le mandat d’assembler et de tester les trains d'atterrissage qui équiperont les appareils de la CSeries, dont le premier vol est attendu pour le mois d’octobre 2013. Tout l’équipement lié à ces trains sera expédié, en pièces détachées, à la future usine de Laval en provenance de Lindenberg, en Allemagne, là où Liebherr-Aerospace en fait la conception. 3900 avions «L’entente couvre la durée du programme [CSéries] qui totalisera 3900 avions», affirme le directeur général de Liebherr-Aerospace Canada, Stéphane Rioux, en entrevue au Courrier Laval dans les heures qui ont suivi l’annonce. Dans la course pour l’obtention de cet important contrat, le site de Laval était en compétition avec une «société-sœur», établie à Détroit. Cette «station de réparation» emploie quelque 130 employés spécialisés en mécanique aéronautique, ce qui en faisait un rival de taille, souligne au passage M. Rioux. Si tout va comme prévu, l’usine d’assemblage entrera en service en janvier 2012, alors qu’au cours des trois années qui suivront, l’intégrateur aéronautique compléterait l’embauche de 35 nouveaux employés hautement spécialisés. «On s’est engagé à soutenir une cadence de production d’un avion par jour à partir de 2015», poursuit le haut dirigeant canadien de l’équipementier d’origine suisse. Expansion Au moment d’établir ses installations de 50 000 pieds carrés à Laval, en 2002, la multinationale Liebherr avait acheté suffisamment de terrain pour soutenir une éventuelle expansion au Canada. Huit ans plus tard, le lot en friche de 170 000 pieds carrés jouxtant au nord l’édifice principal servira à accueillir un second bâtiment, qui nécessitera un investissement avoisinant les 4 M$. Considérant que les locaux actuels abritent deux divisions du Groupe Liebherr, incluant celle des matériaux de construction et des équipements industriels, la construction d’un centre d’assemblage de 15 000 pieds carrés doublera la superficie présentement consacrée aux activités liées à l’aéronautique. Expertise lavalloise «Ça s’ajoutera à notre centre de service», précise Stéphane Rioux, dont l’équipe formée de 25 employés hautement spécialisés s’affaire à l’intégration des systèmes d’air que Liebherr conçoit depuis huit ans pour tous les avions de Bombardier. Il est ici question de l’ensemble des systèmes de pressurisation de la cabine, de traitement de l’air et d’anti-givrage. Solide partenariat Le président de Liebherr-Aerospace & Transportation SAS, Francis Niss, dit de cet agrandissement à Laval qu’il «s’inscrit dans la continuité de notre engagement auprès de Bombardier Aéronautique, entamé en 1993 avec le programme Global Express», ces avions d’affaires à réaction. Il ne cache pas non plus que «Bombardier est un client d’une importance majeure» et que la CSeries, à laquelle Liebherr participe pour le train d’atterrissage et les systèmes d’air, «représente un enjeu significatif». http://www.courrierlaval.com/Economie/Affaires/2010-07-20/article-1597422/Liebherr-debutera-la-mise-en-chantier-au-printemps-2011/1 Les appareils de la Série C sont, rappelons-le, des avions de ligne civils d’une capacité de 110 et 130 passagers, adaptés pour le transport régional. À lire aussi: Liebherr-Aerospace obtient un contrat pour le C-Séries
  6. Ingénierie - À la traque des défaillances catastrophiques Le Devoir Claude Lafleur Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Acfas, Sofiene Tahar, Ingénierie, Science, Université, Canada (Pays) Tout ce que vous avez toujours voulu savoir à propos de la « Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving » La fusée Ariane 501 photographiée peu avant d'être installée sur son aire de lancement en juin 1996. Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Photo: Agence France-Presse Toute machine complexe, tel un avion ou un réacteur nucléaire, est susceptible de connaître une défaillance catastrophique. Or, malgré toutes les études, analyses, vérifications et simulations, il est impossible de repérer toutes les possibilités de scénarios catastrophiques. C'est pourtant le défi que relève un chercheur de l'Université Concordia, qui imagine diverses méthodes pour y parvenir. «Ce que nous faisons dans notre laboratoire, c'est essayer de repérer tous les scénarios possibles pour ne pas en échapper un qui soit catastrophique», indique Sofiene Tahar, ingénieur en électronique et en informatique, qui dirige l'équipe de 25 chercheurs du Hardware Verification Group de l'Université Concordia. Son domaine de recherche touche tous les systèmes présents dans notre vie, des réseaux de communication sans fil aux avions, en passant par les logiciels et les puces électroniques. «Je me passionne pour le fonctionnement des systèmes, qu'il s'agisse de logiciels ou de matériels», dit-il avec enthousiasme. D'origine tunisienne, Sofiene Tahar a entrepris ses études universitaires en Allemagne avant de venir les compléter ici. «J'ai passé dix ans en Allemagne et je voulais acquérir une expérience nord-américaine, dit-il. En 1995, je suis donc venu réaliser un postdoc à l'Université de Montréal puis, l'année suivante, j'ai décroché un poste de professeur à l'Université Concordia. Je suis donc demeuré à Montréal..., ce que je ne regrette surtout pas!» Pour sauver Ariane Aurait-on pu sauver Ariane 501? M. Tahar s'émerveille devant la complexité des systèmes que l'industrie développe de nos jours. «Prenez par exemple le microprocesseur Pentium d'Intel, dit-il. Celui-ci contient plus d'un milliard de transistors! On a donc la technologie pour fabriquer ce genre de "monstres", mais comment s'assurer qu'il fonctionne correctement?» Or, justement, l'industrie de la microélectronique et du logiciel consacre environ 70 % de ses ressources à vérifier la fiabilité de ses produits (et 30 % à leur conception). «Pour l'essentiel, on a recours à des techniques de simulation, remarque-t-il. On essaie de simuler les principaux scénarios de fonctionnement, mais il est impossible de reproduire tous les cas imaginables, puisque cela prendrait des milliards d'années.» Son équipe cherche par conséquent à concevoir diverses autres techniques de repérage systématique des failles en recourant notamment à des méthodes de raisonnement mathématiques. Elle conçoit entre autres des logiciels qui appliquent systématiquement cette démarche de raisonnement mathématique. «On obtient de la sorte une couverture exhaustive de tout ce qui est possible», indique le chercheur. Pour illustrer son approche, il évoque le grave accident survenu lors du premier tir d'une fusée Ariane V, en juin 1996. Cette Ariane 501 a explosé 40 secondes après son décollage, victime d'une panne de son système de navigation, ce qui a entraîné la perte des quatre satellites Cluster, d'une valeur de 370 millions de dollars. Les enquêteurs ont par la suite découvert que, parmi les milliers de lignes de code des logiciels contrôlant les ordinateurs de bord, une petite série avait été mal conçue. Selon un rapport de la NASA, le genre de méthode préconisée par Sofiene Tahar aurait probablement pu détecter la faille avant le tir de la fusée. Collaborations De fait, les travaux de l'équipe Tahar intéressent tellement les entreprises que, «chaque fois que nous obtenons des résultats intéressants, cela donne lieu à des collaborations avec des firmes à travers le monde», rapporte M. Tahar. C'est ainsi que son groupe travaille actuellement dans le cadre de trois partenariats, l'un avec la firme Erikson, de Montréal, un autre avec STMicroelectronics (le plus grand fabricant microélectronique en Europe) et un troisième avec Huway (le numéro un chinois des systèmes électroniques). «On essaie d'appliquer diverses techniques pour aider les industriels à vérifier leurs systèmes.» C'est ainsi que, il y a quelques années, l'équipe a scruté une composante électronique fabriquée par la société PMC-Sierra, l'un des grands fournisseurs de semi-conducteurs utilisés dans une foule d'équipements de communication. «Grâce à l'une de nos nouvelles techniques, basée sur des méthodes formelles, nous avons découvert une défaillance dans l'un des modes de fonctionnement du circuit électronique, raconte M. Tahar. Sur le coup, l'entreprise ne nous a pas crus, elle a donc refusé nos conclusions... mais elle a par la suite compris que nous avions raison.» De la probabilité à la certitude Prévoir les aléas de l'environnement? À l'occasion de sa présentation au congrès de l'ACFAS (lundi midi), M. Tahar traitera de l'application de la théorie des probabilités à l'identification des failles dans les systèmes. «C'est un domaine de recherche que nous avons commencé à explorer il y a quatre ans, précise-t-il. On a fait l'observation que beaucoup de systèmes ont un comportement probabiliste... Pensons simplement à la variation des conditions météorologiques; lorsqu'on place un système quelconque dans un environnement physique, il y a beaucoup de comportements qui dépendent de probabilités. Nous nous intéressons à la vérification des systèmes probabilistes, c'est-à-dire que ce n'est pas seulement le fonctionnement du système qu'il faut vérifier, mais son comportement probabiliste.» Cette démarche intéresse au plus haut point plusieurs autres chercheurs autant que des industriels. C'est ainsi que deux professeurs émérites de l'Université de Cambridge, en Grande-Bretagne, ont l'intention d'appliquer les méthodes mises au point par l'équipe de Concordia à un ensemble de domaines, notamment les télécommunications, la conception de logiciels, l'aviation et l'automobile. Par ailleurs, un gestionnaire de Rockwell Collins (un géant de l'avionique) a été si impressionné, lors de sa visite des laboratoires de M. Tahar l'été dernier, qu'il désire absolument collaborer avec lui. «Les choses vont vraiment très vite pour nous!», remarque Sofiene Tahar avec enthousiasme. *** Collaborateur du Devoir *** - «Formal Probabilistic Analysis Using Theorem Proving», le lundi 11 mai à 15 heures. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248474.html (2/5/2009 9H07)
  7. Amesys à Montréal Devoir Le Édition du mardi 11 novembre 2008 La société française Amesys, spécialisée dans l'architecture de systèmes sécuritaires et critiques, s'implante à Montréal dans le but de percer le marché nord-américain. L'entreprise, qui bénéficie de l'aide de Montréal International pour s'installer dans la métropole, prévoit notamment embaucher une centaine d'ingénieurs au cours des cinq prochaines années, peut-on lire, dans le communiqué. Amesys compte déjà plus de 850 employés dans l'ensemble de ses centres de production en France, au Maroc, au Luxembourg, en Allemagne ainsi qu'en Espagne. L'entreprise offre des services allant de l'ingénierie et de l'intégration de systèmes complexes au développement de produits et de logiciels.
  8. L'économiste en chef de l'institution financière se joindra au ministère des Finances à Ottawa, où il occupera le poste de conseiller spécial au sous-ministre des systèmes financiers. Pour en lire plus...
  9. Les technologies de l'information et des communications (TIC) telles que le courriel, les intranets, les collecticiels, les systèmes de réunion électronique et les systèmes de communication mobile bouleversent en profondeur les modes d'organisation du travail dans les entreprises. Pour en lire plus...
  10. En vertu de l'entente, Odeon installera des systèmes de projection numérique Imax dans deux de ses complexes de cinéma à Londres. L'installation des deux systèmes devrait être complétée en décembre. Pour en lire plus...
  11. C'est une épidémie mondiale: les systèmes d'investissement frauduleux qui misent sur le marché des devises se répandent sur Internet. Pour en lire plus...
  12. Le marché énergétique est si important et la demande si forte que cela pourrait modifier les systèmes agricoles traditionnels, a dit Jacques Diouf, directeur de la FAO. Pour en lire plus...
  13. Si la dernière décennie a été celle des boîtes vocales et des systèmes automatisés, les années 2000 marquent le retour des téléphonistes. Pour le plus grand bonheur des clients... et des entreprises. Pour en lire plus...
  14. E-Trade Canada, qui compte 190 employés et gère des actifs totalisant 4,7 G$ pour ses clients, est un des principaux systèmes non bancaires de courtage pour les investisseurs individuels. Pour en lire plus...
  15. Ericsson embauche 200 personnes à Montréal 15:18 | Denis Lalonde, LesAffaires.com La direction d’Ericsson Canada souhaite embaucher près de 200 nouveaux employés à ses bureaux de Montréal au cours des 4 à 6 prochains mois. Pour en savoir plus Ericsson Article connexe Ericsson est notamment à la recherche de développeurs de logiciels, de concepteurs et d’intégrateurs de systèmes, d’Intégrateurs de systèmes client, d’analystes de soutien des systèmes et de gestionnaires de projets. Le recrutement commence immédiatement pour 95 postes, dont 68 sont permanents, alors que les autres sont contractuels. Selon l’entreprise, le centre de recherche et développement et de services de Montréal est l'un des plus importants d’Ericsson à l'extérieur de la Suède, avec 1600 employés. La société y a d'ailleurs réalisé des investissements de 152M$ en 2006. Le centre a pour mission de développer, tester et supporter les systèmes pour plusieurs standards sans fil, de même que pour la technologie de la prochaine génération de solutions en télécommunications. C’est donc un revirement de situation pour le centre d’Ericsson à Montréal, qui avait perdu 300 emplois il y a deux ans parce que la société n’était pas parvenue à percer le marché américain avec sa technologie CDMA, une norme en téléphonie sans-fil. Les suppressions d’alors avaient surtout touché des ingénieurs et des informaticiens.
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