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  1. I figured I would start a thread dedicated to Place Alexis-Nihon, since it's undergoing significant renovations. You may think this is all cosmetic but they will be introducing significant measures to improve accessibility. Target is to open Fall 2013 fall and I was told the 8 million dollars IGA expansion is scheduled for January 2014. The food court will be completely remodeled in Summer 2014.
  2. Je n'ai pas trouvé de thread pour ce projet de réno. LaPresse parle de ce projet aujourd'hui Publié le 08 mars 2014 à 09h08 | Mis à jour à 09h09 Conversion d'un monument historique en condos par Karsten Rump L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE VINCENT LAROUCHE La Presse La Commission de la construction du Québec ordonne l'arrêt immédiat des travaux de conversion d'un monument historique de grande valeur au centre-ville de Montréal, après avoir constaté que l'ancien «roi des peep-shows» de la métropole tentait d'y aménager des logements en usant de procédés douteux. L'ordonnance de fermeture du chantier des Appartements Bishop Court, angle Bishop et De Maisonneuve, a pris effet à la fin février, mais elle vient tout juste d'être officiellement enregistrée au palais de justice de Montréal. Le bâtiment de style néo-Tudor, classé «monument historique» et «immeuble de valeur patrimoniale exceptionnelle» par le gouvernement du Québec, a été construit en 1904 par les architectes Saxe et Archibald. L'Université Concordia y a longtemps eu des bureaux, puis elle a vendu l'immeuble pour 3,2 millions de dollars en 2010. D'importantes rénovations ont été entreprises pour y aménager des logements de prestige. Après une série de mésaventures financières et de problèmes avec des entrepreneurs en construction qui disaient ne pas avoir été payés, le projet a atterri entre les mains de l'homme d'affaires Karsten Rumpf. Rumpf avait été baptisé «le Roi des peep-shows» par le magazine Affaires Plus au cours des années 1990, car il était le plus important propriétaire de cinémas XXX à Montréal et Hamilton. Aujourd'hui, son adresse correspond à une boîte postale de Nassau, aux Bahamas, et l'homme s'est recyclé dans la gestion d'un imposant parc immobilier. Son représentant à Montréal n'a pas répondu à nos appels hier. La Commission de la construction dit avoir inspecté le chantier des Appartements Bishop Court à plusieurs reprises. Ses inspecteurs étaient mal reçus et avaient du mal à pénétrer sur les lieux et y ont découvert des travailleurs sans cartes de compétence. Pire, les travaux n'étaient même pas supervisés par un entrepreneur accrédité en bonne et due forme, selon eux. «Ils ont aussi constaté des problèmes qui pouvaient porter atteinte à la sécurité à cause des installations électriques», raconte Simon-Pierre Pouliot, porte-parole de l'organisme. Le propriétaire devra maintenant convaincre la Commission qu'il a régularisé la situation avant de pouvoir reprendre les travaux.
  3. http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201606/02/01-4987626-un-condo-sur-trois-vendu-a-perte.php L'immobilier, un moyen assuré de s'enrichir*? Certainement pas pour les Québécois qui ont acheté un condo au cours des trois dernières années. La firme JLR a analysé toutes les transactions impliquant des copropriétés achetées en 2012 ou 2013 et revendues avant le 31*décembre dernier. Sa conclusion*? Près du tiers des vendeurs ont dû se résoudre à accepter un prix égal ou inférieur à celui qu'ils avaient payé*! Plus de la moitié (56*%) des 7195*condos vendus depuis 2012 ont généré un gain de moins de 5*% pour leur propriétaire, révèle l'étude publiée la semaine dernière par JLR. Une fois les frais de courtage, de notaire, les droits de mutation et l'inflation pris en compte, ce gain « se transforme souvent en perte ». La plus-value médiane lors de la revente a été de 3,9*%, toutes transactions confondues, précise l'étude de JLR.  Beaucoup de pertes à Québec La situation est encore pire dans la ville de Québec, où l'orgie de construction des dernières années a entraîné une surabondance de copropriétés sur le marché. Selon l'analyse de JLR, 37*% des condos ont été vendus à un prix égal ou inférieur au coût d'achat dans la Vieille Capitale. La proportion de propriétaires « perdants » grimpe à 62*% lorsqu'on inclut les appartements revendus avec un profit inférieur à 5*%. « Ces résultats corroborent le rapport de l'évaluation du marché de l'habitation de la SCHL, qui indique que le niveau élevé de l'offre de copropriétés demeure inquiétant dans la RMR de Québec », souligne l'étude. JLR conclut qu'il est « peu probable de sortir gagnant d'une revente après un court délai de possession », à moins d'avoir investi en rénovations pour améliorer la valeur de revente de sa copropriété. De quoi faire réfléchir sur ses besoins à court et à moyen terme avant de déposer une offre sur un condo.
  4. Démolie depuis peu si on mets les choses en perspective. Pourtant, peu de gens s'en souviennent.
  5. jesseps

    SAQ lawsuit

    CJAD This should be an interesting case to watch. We know that we are being screwed.
  6. Quebec vows to fight national securities plan RHEAL SEGUIN Globe and Mail Update September 18, 2008 at 4:11 PM EDT For the second consecutive day, the Quebec government waded into the federal election campaign against Conservative policies, lashing-out today at the Harper government's proposal to create a national securities commission. Quebec Finance Minister Monique Jérôme-Forget warned that in the event of a majority Conservative government in Ottawa bent on creating a national securities commission, all provinces and territories except Ontario will fight the decision right-up to the Supreme Court of Canada. The confrontation, she predicted, would disrupt markets and create havoc for investors. “The protection of investors is a provincial jurisdiction,” she said. “I suspect they (a Harper government) are going to come-up with legislation. They are going to implement such a securities commission. We are going to appeal. We're going to go as high as the Supreme Court. There's going to be disruption in the market.” The Minister added that Canada's financial leaders underestimate the impact if Ottawa moves to unilaterally impose changes without provincial consent. Ontario remained the only province to support the federal initiative. All the others propose to harmonize regulations through what they call a “passport” system, where companies can file a prospectus for approval in one province or territory and have it automatically accepted by all the others. There are currently 13 provincial and territorial securities commission. She predicts that a national securities commission will only create another layer of bureaucracy by adding a 14th commission, creating confusion for investors. “People won't know where to go. The market will want to know who's in charge. There will be a court challenge right up to the Supreme Court because the provinces argue is their jurisdiction,” Ms. Jérôme-Forget said. “Quebec isn't alone. You have British Columbia, Alberta, Manitoba, the Atlantic provinces. They are all on side.” Improvements to the current system are needed, she added, such as finding ways to accommodate restrictions imposed by the Charter of Rights and Freedoms. In the past, that has created obstacles for prosecutors who want to use confidential information held by regulator bodies in pursuing criminal cases such as fraud. “We don't want to change the Charter but we have to find ways to share the information,” she said. Backed by two international studies, the Minister argued that Canada's current securities regulations are among the best in the world and that there was no need to change the system. The comments came at the conclusion of a federal-provincial meeting of ministers responsible for their respective securities commissions. Her charge against the Harper government's intrusion in a provincial jurisdiction comes on the heels of severe criticism by Quebec this week against other Conservative policies. On Wednesday, Cultural and Communications Minister Christine St-Pierre scoffed at federal Heritage Minister Josée Verner's suggestion that if Quebec wanted more funding for culture it should use its own money. “We've increased budgets (for culture) by 25 per cent. We're already doing our share,” Ms. St-Pierre said in referring to the $45-million in federal cutback in programs including those aimed at promoting Canadian and Quebec culture abroad. The cutbacks sparked widespread criticism from Quebec's cultural community including world renowned theatre artist Robert Lepage, who said the Harper government was discouraging home grown artists from seeking prominence abroad by locking them into a “cultural prison.” Ms. Jérôme-Forget also challenged the Conservative party's claim that it has fixed the fiscal imbalance between Ottawa and the provinces, especially after signing a multi-billion agreement for infrastructure projects. “Obviously for me it's not enough. Post-education (money) for all provinces has not been settled. ” Ms Jérôme-Forget said. “There was a great move done by Mr. Harper….but for post secondary education there is still room to manoeuvre.” Despite mounting tensions over a growing number of issues, the Quebec government stopped short of calling Mr. Harper's vision of open federalism a failure. “The objective of federalism isn't to say: ‘If I don't get everything, I'll slam the door.' You have to build alliances and on occasion force your position and try to influence others. It's normal to have differences,” she said.
  7. (Courtesy of The Montreal Gazette) I should have done this years ago when I lived in Pierrefonds. The 201 would never show up on time. Sometimes it be 30 mins to an hour late
  8. Jan. 26 (Bloomberg) -- Smurfit-Stone Container Corp., a maker of cardboard packaging and one of the world’s largest paper recyclers, filed for bankruptcy in the face of falling demand and heavy debt payments. The petition for Chapter 11 bankruptcy, filed today in a U.S. Bankruptcy Court in Wilmington, Delaware, listed $5.6 billion in consolidated debt and $7.5 billion in consolidated assets as of Sept. 30. Twenty-four affiliates also sought protection. Smurfit-Stone, based in Chicago is North America’s second- largest maker of corrugated packaging, and has 22,000 employees in the U.S., Canada, Mexico and Asia, according to its Web site. The company joins other pulp- and paper-related bankruptcies as rising Internet use hurts magazines and newspapers. Corp. Durango SAB, Mexico’s largest papermaker, sought U.S. bankruptcy in October. Quebecor World Inc., a magazine printer and Pope & Talbot Inc., a pulp-mill operator, also sought cross-border bankruptcies for their operations in the U.S. and Canada. Smurfit-Stone’s 30 largest consolidated creditors without collateral backing their claims are owed about $4.2 billion, court papers show. The Bank of New York, as agent for bondholders, has an unsecured claim of $2.2 billion, CIT Group Inc. is owed $36.8 million and British Petroleum is owed $22.1 million, according to court papers. Debt Levels Rivals AbitibiBowater Inc., Temple-Inland Inc. and International Paper Co. also have significant debt, according to Mark Wilde, an analyst at Deutsche Bank Securities in New York. In December, Smurfit-Stone said fourth-quarter earnings would be “significantly” lower than the previous period, citing slowing demand for containers for industrial and consumer goods. It said it would reduce production of containerboard and some types of paper. Credit-rating companies Moody’s and Standard & Poor’s downgraded their ratings on Smurfit-Stone’s debt shortly thereafter. Both said the company could be required to get waivers on its debt covenants. Smurfit-Stone has an $800 million revolving credit facility due Nov. 2009. Moody’s also rates an estimated $3.5 billion in debt, and noted in December that the company could need to get waivers on some of its covenants to maintain access to the revolver. Containerboard and corrugated containers are Smurfit-Stone’s main products, and it collects recycled paper as a raw ingredient through 27 recycling plants. Its net sales were $7.4 billion in 2007, and a three-year program designed to make mills more productive is slated to finish in the first half of this year, according to the company’s Web site. The case is Smurfit-Stone Container Corp., 09-10235, U.S. Bankruptcy Court, District of Delaware (Wilmington).
  9. Exportation et développement Canada fournirait à Nortel jusqu'à 30 millions de dollars en garantie de cautionnement à court terme. Pour en lire plus...
  10. Le gouvernement britannique a annoncé mercredi un plan consistant à garantir jusqu'à 20 milliards de livres (35,9 G$ CAN) de prêts à court terme. Pour en lire plus...
  11. Tours à bureaux: le marché avantage les locataires 29 décembre 2008 - 09h28 La Presse Laurier Cloutier Parce que les conditions économiques se détériorent rapidement, le marché des bureaux, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, tourne à l'avantage des locataires. Pourtant, la pénurie de locaux a soulevé l'inquiétude des locataires en 2008 à Montréal. La contrepartie, c'est qu'il faudra faire une croix sur les chantiers attendus de tours à bureaux à Montréal, et pour plusieurs mois. C'est l'évaluation que fait Jean Laurin, président et chef de la direction de GVA Devencore, de Montréal, une société canadienne spécialisée dans l'immobilier commercial. Les compagnies immobilières SITQ, Westcliff, Canderel, Magil-Laurentienne/Desjardins et Sidev n'ont pas encore trouvé le locataire principal pour lancer la construction de leur tour à bureaux respective. Les promoteurs devront patienter encore six mois, sinon jusqu'en 2010, estime Jean Laurin. Pourtant, au printemps de 2008, plusieurs s'attendaient à la construction d'une première de ces tours, en raison du plus faible taux d'inoccupation depuis longtemps à Montréal. Peu favorable à court terme «Le marché n'est plus favorable à court terme pour trouver ce locataire principal et amorcer la construction de cette tour à bureaux», note Jean Laurin. «La tempête économique remet tout en question: le plan d'affaires, l'organisation, la situation financière, déclare le président. Ça force à la réflexion.» Entre-temps, des promoteurs pourront par contre restaurer des immeubles existants, bien situés, dans quelques quartiers. Ils pourront ainsi en rénover au centre-ville, afin d'améliorer leur attrait pour les locataires. D'autres en trouveront le long des lignes de métro. On pourra convertir des immeubles industriels en bureaux. Car pour les locataires, les économies vont prendre la tête des priorités, du moins à court terme, souligne Jean Laurin. «Ils vont mettre au congélateur le prestige et l'image de marque.» «Au cours des six premiers mois de 2009, il ne va rien se passer. Après, on verra d'abord quel type de reprise se dessine», déclare le président de Devencore. Les constructeurs pourront tout de même rénover de cinq à 10 immeubles à Montréal en 2009, avec un nombre de pieds carrés plutôt appréciable, estime Jean Laurin. Il faudra pour cela que des promoteurs aux reins solides découvrent de bons immeubles à restaurer, bien localisés. Place à la négociation Dans ce contexte en évolution rapide, des locataires de Montréal et d'ailleurs au Canada, avec des baux qui approchent de l'échéance, peuvent renégocier avec les propriétaires, ajoute le président. Pour garder un bon locataire, le propriétaire de l'immeuble va accepter de négocier un bail à la baisse. «De gros propriétaires en particulier s'adaptent rapidement à la nouvelle situation du marché. La tendance des prix est à la baisse», note Jean Laurin. Le président de Devencore revient de New York, où «la valeur des immeubles et les loyers ont baissé, pendant que le taux d'inoccupation des bureaux a augmenté au rythme de la dégradation des disponibilités financières des entreprises. Et à Londres, c'est encore pire», dit-il. «Au Canada, le taux d'inoccupation des bureaux devient relativement élevé et les pressions à la hausse sur les loyers se sont évaporées. À Calgary, à Vancouver et à Ottawa, le marché devient plus favorable aux locataires. À Toronto, des constructeurs ont même mis en chantier de nouvelles tours de 2,5 à 3,5 millions de pieds carrés, à livrer sur le marché en 2009 et 2010, ce qui favorisera aussi les locataires», explique Jean Laurin. À Montréal, le taux d'inoccupation a fini par augmenter légèrement, mais on ne trouve toujours pas sur le marché les grands blocs de locaux contigus recherchés, conclut le président de Devencore. LE MARCHÉ DES TOURS À BUREAUX Grands centres urbains (automne 2008) SUPERFICIE (pi2) / INOCCUPATION / TAUX LOCATIF Toronto: 64,8 millions / 6,8% / 45$/pi2 Montréal: 45,2 millions / 5,5% / 33$/pi2 Calgary: 34,5 millions / 3,8% / 50$/pi2 Vancouver: 24,3 millions / 2,4% / 52$/pi2 Ottawa: 16,9 millions / 2,3% / 39$/pi2 Source: GVA Devencore
  12. En lançant un plan de sauvetage à court terme pour l'industrie automobile, George W. Bush, met simplement la table pour son successeur Barack Obama. Pour en lire plus...
  13. Judge nixes bid to halt Montreal renovation LES PERREAUX From Tuesday's Globe and Mail December 16, 2008 at 3:48 AM EST MONTREAL — The owners of a Westmount house with a million-dollar view will have to give up a slice of their panorama. A judge has refused an attempt by the couple in the affluent Montreal enclave to stop a neighbour from adding a fourth storey and cutting into their spectacular view of the city below. Mr. Justice Robert Mongeon of Quebec Superior Court ruled Steven Goldberg is entitled to raise the roof on his house at 27 Bellevue Ave., even if it cuts into the sight line of his neighbours up the hill. Mireille Raymond and her husband, John Keyserlingk, sought an injunction to block an addition they say will also block sunlight and decrease the value of their $1.7-million property on Sunnyside Avenue by about 30 per cent. Those are exaggerations, Judge Mongeon ruled, after taking the unusual step of holding court on the hillside to check out the view. The judge, who was assisted by a wooden frame and yellow police tape set up on the roof of Mr. Goldberg's house to mimic the new addition, found only a small sliver of the view to the east will be blocked. "The loss must be considered in a much more realistic fashion than was initially presented," he ruled in a judgment handed down late Friday. Mr. Goldberg's lawyers pointed out that he had submitted his plans to the City of Westmount in September of 2007 and his permit was granted after an in-depth study over six months. The city argued nothing guaranteed Ms. Raymond and her husband that they would enjoy their view in perpetuity. Ms. Raymond was upset by the verdict, saying the judge, like the city, seemed to discount the importance of the unencumbered view. Ms. Raymond and Dr. Keyserlingk were ordered to
  14. La Chambre des représentants approuve le plan de sauvetage à court terme de l'industrie automobile américaine, mais les sénateurs pourraient en retarder l'adoption. Pour en lire plus...
  15. L'économie américaine «traverse une période particulièrement difficile» et l'activité devrait «se dégrader davantage à court terme», estime l'OCDE. Pour en lire plus...
  16. Le papier recyclé suit les autres ressources. Résultat: il s’accumule dans les centres de tri de la planète, une occasion d’affaires à court terme. Pour en lire plus...
  17. On connaît le cliché: les marchés boursiers poussent les entreprises qui y sont inscrites à gérer à court terme. Chez Van Houtte, on vit l’inverse. Pour en lire plus...
  18. Le groupe, considéré comme le plus menacé des trois constructeurs automobiles nationaux par une crise de liquidités à court terme réclame 12 G$ sous forme de prêts pour éviter le dépôt de bilan en 2009. Pour en lire plus...
  19. Le gouverneur de la Banque du Canada a clairement indiqué à Londres que les taux d'intérêt devront encore être abaissés à court terme pour aider l'économie. Pour en lire plus...
  20. Quebec City seeks to ban billboards Ontario's top court overturns similar bid MARIANNE WHITE, Canwest News Service Published: 13 hours ago For many Canadians, roadside billboards are part of everyday life. But historic Quebec City wants to make them a thing of the past. The municipality said this week it is moving ahead with a plan to ban all billboards across the 400-year-old city, just as Ontario's top court overturned Oakville's attempt to restrict their use. Oakville's city council has been fighting for years to keep billboards out of its community and the recent ruling dealt a major blow to their attempt. The Ontario Court of Appeal found Monday that the bylaw was an unreasonable "intrusion" on freedom of expression and sent Oakville back to the drawing board. But that decision isn't stopping Quebec City council. "We are aware of the situation, but we are sticking to our position," spokesman François Moisan said. "People come to Quebec City because it's beautiful and we want to make it even more beautiful." The city celebrated the 400th anniversary of its founding this year. Quebec is the latest Canadian city to move to restrict billboards. Vancouver has banned large signs on rooftops while some Ottawa city councillors are asking for the power to veto billboards in their wards. Last year, one of the world's most populous cities, Sao Paulo, Brazil, unplugged its neon signs and banned all types of outdoor advertising. But taking down billboards isn't always easy. The case of Oakville has been a long-running legal battle between the city and a billboard firm and it took Vancouver 10 years to finally be able to get rid of its some 300 billboards. Oakville councillor Tom Adams, who has worked on drafting the billboard bylaw, said other Canadian cities are going to benefit from his city carrying the banner on this issue. "This battle is not over yet and other municipalities will obviously be interested in the outcome," Adams said. Rawi Tabello, who runs the Toronto-based website illegalsigns.ca, which keeps track of sign wars, said advertising firms are eager to put up a fight. "Advertisers are getting desperate to attract people because now you don't have to watch ads on TV. So billboards are proliferating because you have no choice but to look at them," he added.
  21. La Banque TD estime que la valeur du dollar américain pourrait diminuer de 10 pour cent «à court ou moyen terme». Pour en lire plus...
  22. Le prix Nobel d'économie Joseph Stiglitz a minimisé les risques à court terme d'effondrement du système financier mondial. Pour en lire plus...
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