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boluda

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Tout ce qui a été posté par boluda

  1. bof..pas convaincue de la nécessité de construire en hauteur dans ce coin-là..en tout cas, superbe projet dans le genre..j'adore l'alternance brique/bois!!
  2. ^ J'aimerais savoir aussi! Me semble que la phase I a été TRÈS lente à se vendre ET à se construire. Ils ont même pas encore fini le hall d'entrée! Ma mère a acheté un condo tout près de là, et avait visité les condos quand c'était encore le projet SLEB. Verdict: unités mal divisées, manque de fenestration, etc. Bref, les acheteurs sont pas fous! They know a good project when they see one. Ceci étant dit, c'est super que le building - superbe en plus - soit renové. Encore mieux si un autre est construit pour boucher le trou béant à côté!
  3. oui où est le privé? -Que se passe-t-il avec le terrain à côté du Louis Bohème? Il faut absolument un building en hauteur, quelquechose pour donner du "umph" à cette place des festivals... -La réno du building derrière La maison du jazz?
  4. En lisant cet article d'aujourd'hui dans La Presse j'ai découvert le Art Gallery of Alberta, inauguré récemment. http://www.cyberpresse.ca/voyage/canada/201009/10/01-4314487-edmonton-la-ville-qui-fait-boom.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1 Penser que les gens à Edmonton ont plus d'audace architectural qu'à Montréal...soupir.
  5. Ello! Drôle de question mais...j'ai besoin de sabler/teindre mon plancher en bois franc. Connaissez-vous des gens/une compagnie qui fait une bonne job pas chère? Je viens d'appeler une compagnie réputée "crème de la crème" qui charge 2,85$ le pied carré... Merci!!
  6. ABSOLUMENT. incroyable qu'on n'y a pas encore pensé ici!
  7. d'accord! à chaque fois que je passe devant la place est obstruée avec tout plein de trucs, des echaffaudages, des pancartes pas esthétiques...laissons-la un peu "respirer"!
  8. Et une autre bonne critique pour le F! Décidement... * L'aquarium de Carlos Philippe Mollé 13 août 2010 Le bistro F est moderne, l’éclairage ainsi que les sièges et le bar à l’entrée, sur la photo, s’harmonisent avec l’esprit des lieux. On l'attendait et il est arrivé, le nouveau bistro de Carlos Ferreira. Installé à côté de l'autre restaurateur bien connu Normand Laprise, le F, tout en longueur, attire l'œil sur cette magnifique place des Spectacles nouvellement inaugurée à Montréal. On pourrait aussi bien être à Lyon, à Barcelone ou à Bordeaux lorsque les jets d'eau viennent titiller le regard et nous permettre l'évasion que cet élément sait si bien communiquer. Le bistro F est délibérément moderne, l'éclairage ainsi que les sièges et le bar à l'entrée s'harmonisant avec l'esprit des lieux. Quant à la disposition des tables, elle se veut simple, mais élégante. Napperons de papier promotionnel du comité du porto et serviettes de papier coton, qui ressemblent de près à du «vrai linge de table», donnent le ton, et les verres et la coutellerie sont de qualité. Ferreira est allé chercher un chef de renom pour son nouveau restaurant: Gilles Herzog, qui officiait, dans son ancienne vie à Laval, au restaurant Derrière les fagots. L'esprit du restaurant est d'abord portugais, mais avec un clin d'oeil au reste de l'Europe et au continent nord-américain. En souvenir de l'ami proche Daniel Boulud, on trouve au menu son hamburger au foie gras, que l'on propose ici au prix du bistro (19 $). Le menu est attrayant et offre une nouveauté particulièrement intéressante dans le cas de certains plats: une version brève sous forme de tapas et une version longue pour ceux qui souhaitent faire durer le plaisir plus longtemps. Mon invitée et moi optons pour un partage des plats, avec trois entrées et deux plats version longue pour les plats principaux. Le tout accompagné de vin de la région de l'Alentejo (shyra), d'une grande finesse malgré sa longueur en bouche et sa puissance. La salade d'agrumes, aïoli safrané, moules et mâche (11 $) est fine et savoureuse. Le mélange subtil convient parfaitement au mollusque. La deuxième entrée, des pattes de cochon (sic) avec crevettes et condiments radis-câpres-persil (13 $), surprend à la lecture du menu et nécessite de la part de la serveuse une certaine explication. En fait, on parle ici d'une terrine de pattes de cochon désossées, moulée en forme de boudin et servie fine comme un carpaccio. Le tout accompagné de crevettes assaisonnées. Le mélange est sublime, avec cependant un peu trop de pattes de cochon à mon goût. Voilà un plat qui pourrait être servi seul tellement il est intéressant. La garniture de condiments vient juste adoucir le côté relevé des crevettes. Les dernières tapas sont des calmars frits en croûte de maïs, servis avec une mayo-lime épicée (9 $). Les calmars ne ressemblent en rien aux traditionnels calmars frits que l'on retrouve ailleurs. Passés dans le lait puis dans la poudre fine de farine de maïs, ils sont ensuite plongés dans l'huile pour ressortir croustillants. Un plat savoureux qui s'accompagne bien de la mayonnaise à la lime. Le plat de veau avec escargots en persillade et concentré de tomate en polenta (21 $), tout comme les «short ribs» de bison avec patate douce, sucs d'orange (25 $), est servi dans un faitout en inox qui conserve la chaleur, mais difficilement accessible et peu pratique pour le client. Cependant, constatant cette difficulté, on nous propose des assiettes pour mieux apprécier la qualité des plats servis. Le veau, sous forme de médaillon, est parfaitement cuit. Rosé, il repose sur la tranche de polenta moelleuse à la tomate. Les escargots se mélangent délicieusement à l'ensemble et on en apprécie tous les parfums. Un plat signature qui mérite les honneurs. Le ribs de bison est braisé et s'accompagne d'un jus de braisage de patate douce et de zeste d'orange qui met en valeur le plat. Une viande qui, malgré une bonne cuisson, demeure, comme la bavette, assez filandreuse. Les traditionnelles natas (petites tartelettes feuilletées portugaises) sont ici accompagnées d'une sauce caramel et d'un sorbet aux poires (9 $). Même si les natas ne sont pas faites «maison», elles sont fameuses et croustillantes à souhait. Le dessert «sablé à la fleur de sel de l'Algarve, crémeux de dattes et yogourt de chèvre» (10 $) est très fin. Le sablé au beurre laisse une pointe de sel en final et s'accorde bien avec le yogourt et le crémeux de dattes, qui est en fait un trait de purée de dattes. Le bistrot F constitue assurément un attrait de plus pour le Montréal des arts et des spectacles. Il offre une cuisine simple mais goûteuse et un service courtois et professionnel qui permettent de lui prédire un franc succès. Le seul problème pour l'instant demeure l'accès au restaurant, mais nous savons que, pour accéder au paradis, il faut passer d'abord par le purgatoire. *** -Restaurant F, 1458, rue Jeanne-Mance, Montréal, 514 289-4558. -Prix payé le soir pour deux personnes avec une bouteille de vin, avant taxes et service: 158 $. -Plus: une cuisine inventive avec une formule accessible à tous. -Moins: le service des plats dans des récipients trop hauts.
  9. Suis d'accord avec toi. Par contre, quand des magasins comme MAC, American Apparel, InBeat quittent...laissant des locaux vides pendant DES MOIS, je trouve ça triste.
  10. Tristesse! http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201008/13/01-4306481-quand-la-main-decline-apres-le-clinquant-le-vide.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B42_acc-manchettes-dimanche_369233_accueil_POS6 Publié le 14 août 2010 à 05h00 | Mis à jour à 10h04 Quand la Main décline: après le clinquant, le vide Anabelle Nicoud La Presse (Montréal) Entre la rue Sherbrooke et l'avenue des Pins, le boulevard Saint-Laurent a pris un visage plutôt inédit dans son histoire: celui de zone désertée du jet-set, croient plusieurs commerçants de la Main. Autour des restaurants clinquants et résistants (le Buona Notte et le Med), les panneaux «à vendre» et «à louer» se multiplient. Côté est, l'éphémère Hyper Brasserie n'aura tenu qu'une quinzaine de mois. Les vitrines autour de l'ancienne boutique American Apparel se cherchent encore des locataires, le défunt Shed Café a cédé la place à un pub irlandais... «La rue est plus laide que jamais», constate la designer Hélène Barbeau, qui a installé sa boutique il y a six ans sur le boulevard Saint-Laurent, entre la rue Marie-Anne et l'avenue du Mont-Royal. «Il y a des locaux à l'abandon, des immeubles à vendre et des graffitis», décrit-elle. Une simple balade sur le boulevard Saint-Laurent, entre la rue Sherbrooke et l'avenue du Mont-Royal, permet de prendre le pouls de la Main. Une trentaine de vitrines affichent «à vendre» ou «à louer». Parmi elles, des lieux emblématiques de Montréal qui mettent la clé sous la porte, comme la boutique de vinyles Inbeat, qui a jeté l'éponge en juillet, après 25 ans d'existence. La nuit, la faune artistique qui envahissait les trottoirs du boulevard Saint-Laurent a elle aussi laissé la place à une clientèle estudiantine, plutôt jeune et anglophone. Si les adresses plus au nord du boulevard, comme le Bluedog, le Blizzard ou la Casa Del Popolo tirent leur épingle du jeu, le rajeunissement se constate aisément aux emplacements des anciens Angel's et Swimming. «Quand j'étais jeune, je n'aurais jamais imaginé un endroit cool ailleurs que sur Saint-Laurent, dit un jeune trentenaire qui travaille dans le monde de la nuit. Maintenant, Saint-Laurent est devenu Crescent: il y a les étudiants, les touristes et la clientèle 450.» L'ancien visage de la Main Dans les boutiques, les commerçants confirment la pente descendante qu'a prise la Main. Installé depuis 30 ans sur le boulevard Saint-Laurent, le magasin d'antiquités de Jean-Pierre Hubert rappelle, comme le magasin de casseroles Nino et la charcuterie Slovenia, l'âme de Saint-Laurent immortalisée par Mordecai Richler et Michel Tremblay. Avec une gouaille que ses années à Montréal n'ont pas entamée, M. Hubert, un Français, décrit non sans regret l'ancien visage du boulevard Saint-Laurent. «Avant, il y avait une diversité. Maintenant, il y a des magasins de vêtements et des bars», dit celui qui, depuis bientôt deux ans, cherche à vendre son magasin. Travaux, loyers, récession «Il y a 1001 choses qui minent la rue», croit Gordon Bernstein, président de la Société de développement commercial (SDC) du boulevard Saint-Laurent. Parmi elles: les travaux qui ont encombré le boulevard pendant deux ans, et qui ont emporté dans leur sillon les magasins les plus fragiles. «Il y a un taux de vacance assez important depuis les travaux, en effet, confirme le maire de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, Luc Ferrandez. Compte tenu de ce qu'ont coûté les travaux et du temps qu'on y a mis, le changement ne compense pas les désagréments. Force est de constater que l'on n'a pas eu les changements auxquels on pouvait s'attendre.» Les travaux se sont non seulement étirés en longueur, mais leur fin a coïncidé avec le début de la récession. Martin Delisle, de la boutique Blank, dit avoir observé, comme d'autres commerçants, une baisse de 30% de son chiffre d'affaires cette année. Malgré tout, les impôts fonciers ont augmenté et les loyers restent souvent inabordables. «C'est inaccessible, déplore M. Delisle, qui travaille à l'ouverture d'une nouvelle boutique au coin de la rue Marie-Anne. Il y a beaucoup de gens jeunes et dynamiques qui veulent s'installer ici. Mais les propriétaires sont gourmands: à court et moyen terme, il va falloir baisser les loyers.» La Presse a pu constater, en appelant incognito, que certains locaux vacants se négocient à des loyers supérieurs à 10 000$ par mois. «Le problème est avant tout spéculatif: il y a des loyers à 22 000$!» s'étonne le maire Luc Ferrandez. Passée de mode? Boudée par la clientèle aisée de Montréal et les créatifs, partis dans le Vieux-Port (voir autre texte), la Main est peut-être tout simplement passée de mode. «La qualité de la clientèle a diminué. Ici, cela fonctionne bien, mais il faut vraiment aller chercher des gens, croit le propriétaire du restaurant Macaroni, William Zorko, un ancien du Med. Je crois qu'il y a des cycles: One day you're hot, next day you're not.» Les restaurants clinquants qui ont fait les belles années de la Main entre la rue Milton et l'avenue des Pins ne sont tout simplement plus dans l'air du temps, estime un entrepreneur qui a déserté le boulevard Saint-Laurent. «Il y a eu un revirement dans ce que les gens trouvent cool. Ce n'est plus cool de se promener en Ferrari et d'acheter des magnums. Les supper-clubs qu'on pourrait trouver à Miami non plus.» Le boulevard doit aussi séduire une clientèle de banlieue qui, avec le quartier DIX30 et sa salle L'Étoile ou des franchises comme la Casa grecque et L'Académie, est moins incitée à venir à Montréal. Ses défenseurs veulent malgré tout croire que la Main peut encore sortir de l'impasse. «Le boulevard est un endroit particulier, unique, qui amène le «rêve canadien», croit M. Bernstein de la SDC. Saint-Laurent, c'est la vie urbaine, ce n'est pas une fausse rue comme le quartier DIX30. Il faut travailler sur le feeling de la rue: ce n'est pas Main Street à Disneyland. C'est la Main .»
  11. Tellement!! Est-ce que ça a avancé depuis le dernier post?
  12. Une bonne critique du bistro T! dans le Hour: --- July 22nd, 2010 The Quartier des Spectacles adds another good look - and taste - to its roster: Brasserie T! photo: Melora Koepke Toqué!'s Normand Laprise brings full-on flavour and modern style to his new Brasserie T! For some reason that I'll never be able to fathom, we were able to get a table last Saturday night at Brasserie T! Without a reservation and in the middle of rush hour and Just For Laughs. We tourist-watched while we ate, right next to the spot where, as we were leaving, a guy was shot out of a cannon. Quite the digestif. The only thing this city loves more than a festival of clowns is Normand Laprise, so it makes sense that Laprise's new venture, called Brasserie T!, with the exclamation mark just like Toqué!, would be the pièce de résistance of the newly refurbished Quartier des Spectacles. The space itself is pretty cool, a prefab glass box plunked right in front of where we used to wait in line for the 80 bus. Its look is somewhere between a Duchamp readymade and a trailer, but it works. So does the menu, which leans heavily on the classics, with prices that are right as rain. The place has been open for three weeks already, but they just got their liquor licence last week - I'd like to thank whoever was inspired to put a Montagne-St-Émilion by the glass for $14 on the wine list. A rare treat. Some critics have enthused that the T! menu is a way to experience a micro-version of Laprise's cuisine, but I'm not sure I agree: A Toqué! meal is still the enduring highlight of Montreal eating, while I wouldn't say the same here. Certainly, kitchen standards are high: Every ingredient on the menu is thoroughly sourced and dishes are well-executed, if not always thrilling. After an amuse-bouche of rather standard fondue parmesan, we ordered a couple of things from the abundant selection of charcuteries: The foie gras terrine was fresh and tasted of itself, but the true standout was the duck terrine, which was the tastiest I've had in this city. For mains, a first choice was pan-fried bacon with vegetables, but they were out - so my friend had the "Montreal sausages." We had to ask: The waiter explained that saucisses de Toulouse were so famous that Laprise hoped "in 20 years that Montreal would be known for their sausages, like Toulouse." The sausage was indeed special: tender casings filled with guinea fowl, with a lovely crumbling texture and taste as though they had been stuffed to order. We had a vegetarian in the mix who didn't have much to choose from on the meaty menu, but contented herself with some runny eggs and beautifully sautéed mushrooms. We also ordered ribs and fries - the ribs were dressed with a sauce the waiter called "sauce pb" - sauce pas bon, as in, not good for you, full of all the good/bad stuff ribs are supposed to be slathered with. I swear, after having ribs at Balmoral a few weeks ago and those old standards at Baton Rouge, they should be calling this block the Quartier des Côtes Levées, but there's no doubt that Laprise's are the best. Sides of fries and haricots verts dressed in butter were impeccable, as was a dessert of madeleines wrapped in a napkin as we scurried off to beat the rain and just in time to see a true human cannonball. Brasserie T! 1425 Jeanne-Mance; (514) 282-0808 Dinner for two, before tax, tip and beverage: $40 http://www.hour.ca/food/food.aspx?iIDArticle=20173
  13. quand je suis passée il y a quelques semaines il y avait pas mal de monde au T et presque personne à l'autre... j'ai remarqué que les grands médias n'ont pas encore sorti leur critique..j'imagine qu'ils font exprès d'attendre...sûrement que les critiques élogieuses auraient un effet positif sur l'achalandage... c'et quand même une c!iss de belle idée, j'espère beaucoup que ça marche..
  14. moi aussi. si les resto fonctionnent (doigts croisés), je pense que ça n'a pas le choix de faire un effet boule de neige. c'est bien que les commerces sur la place des festivals aient un certain standing. avec un peu de chance, on aura un bon building juste derrière à gauche (là on y'a un stationnement), le terrain du spectrum sera occupé,etc etc.
  15. WOW! http://www.ruefrontenac.com/detente/153-actualite/24558-normand-laprise-carlos-ferreira-brasserie
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