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boluda

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Tout ce qui a été posté par boluda

  1. c'Est bien beau la phase II mais la phase I avance à une vitesse de tortue sait-on combien de condo sont vendus?
  2. Génial!!! Pour ceux qui pensait que ça allait être une grosse place vide...
  3. boluda

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    euh, moi je l'écoute. raisons obscures...non. parce que c'est une des seules radio de qualité de Montréal.
  4. ^ whoa! absolument, absolument magnifique! c'est clair que le projet n'a pas été choisi car trop cher, les lignes sont bcp moins symétriques que l'autre. dommage!
  5. Je ne sais pas si vous avez lu ça http://www.bandeapart.fm/blogue/Entree.aspx?id=77057 En bref, lors d'un show a la SAT vla 1-2 semaines, des voisins se sont plaints du bruit et ont forcé la salle à baisser le niveau de son à un niveau ridiculement bas. Les spectacteurs qui assistaient à un show electro (grosse bass, gros son) en sont sortis bien déçus. Les jours suivants, les gens sont montés aux barricades: voilà une salle de show en plein dans le QUARTIER DES SPECTACLES qui se voit obligé d'arrêter les spectacles, justement, pour un voisin qui a volontairement fait le choix de vivre à coté, coin St-Laurent/Ste-Catherine. Aux dernières nouvelles, TOUS les shows de ILOVENEON/Highfood planifiés à la SAT déménagent au Studio Juste pour Rire, du moins jusqu'en juin, date à laquelle la SAT fermera pour réno. Voilà pour l'histoire. Je trouve que ça sent vraiment pas bon. Après la fermeture du Zoo, du Social et d'autres salles de spectacles, quel avenir pour la SAT? Hmmm.
  6. Bon, que se passe-t-il avec le terrain juste derrière la Place, à côté du Louis Bohème? Ces un espèce de parking/dépotoire. Quand est-ce qu'un investisseur privé va le racheter et construire quelquechose?! Car c'est bien beau la place, mais l'espèce de trou béant juste derrière amoche le global picture un peu.
  7. well said. Tremblay's signature project is delayed, too The Quartier project has become another symbol of immobilisme By HENRY AUBIN, FreelanceFebruary 23, 2010 Read more: http://www.montrealgazette.com/opinion/reader-comments/Tremblay+signature+project+delayed/2599653/story.html#ixzz0glmoFauW In its more than eight years in power, the Tremblay administration's biggest proposed construction initiatives have been the overhaul of the city's water system, the introduction of tram lines, the redevelopment of Griffintown, the enlargement of Notre Dame St., and the construction of the Quartier des spectacles. Until this month, only one of these five proposals was not already years behind schedule. That exception was the Quartier des spectacles - the imaginative plan to turn part of downtown into a classy entertainment district. The glitzy show-biz project shone during the 2009 election year. Mayor Gérald Tremblay used it to rebut criticism he represented immobilisme. In a speech last June at the inauguration of the Quartier's first (and easiest to build) component, a paved expanse for open-air performances, he said the rest of the project would be immune to delay. "We're not going to procrastinate anymore." Not so. Ground-breaking for the so-called "2-22," a six-storey building at the southwest corner of Ste. Catherine St. and St. Laurent Blvd. that is to serve as the Quartier's "porte d'entrée," was supposed to take place last August. The date was pushed back to October. And last week we learned that work will start in June at the earliest. The reason: The project is over budget. To cut costs, it will have only five storeys and its exterior will be brick rather than glass. The 2-22 is one of three buildings in the Quartier that a private developer, La Société de développement Angus, is to build. The public found out last week that these other projects are in greater trouble. One of them, the "Quadrilatère," was originally to be a 12-storey office building that Hydro-Québec would occupy. Now it's to shrink to five storeys. And construction, which was supposed to start this spring, has been delayed for at least two years. The main reason: The owner of a strip club on St. Laurent Blvd., won't sell, and until he does the project can't go ahead. The co-chairman of the city's executive committee, Alan DeSousa, told me yesterday that expropriating the property would make no sense: Going to court would mean high costs for lawyers and possibly even longer delays than negotiations. The final component in the Angus trio is - or was - a eight-storey building in the empty expanse by the St. Laurent métro station. Occupants would have included a five-screen cinema for independent movies and classrooms for various arts. But they're having trouble finding financing for these digs. The project has been delayed indefinitely. To be sure, these setbacks do not imperil the Quartier as a whole. Work is now under way on a new hall for the Montreal Symphony Orchestra and on the renovation of Place des Arts' foyer. Note that both these projects are provincial. They don't reflect directly on city hall. The problems with Angus's plans do, however, reflect on the Tremblay administration. It decided to give the planning and development of the three buildings to private enterprise. The normal course would have been for the city do the planning and hire a company to carry out the work. As well, when Benoit Labonté was still a member of the administration, he - as the official in charge of culture and as Ville-Marie mayor - chose Angus for the job without calling for tenders. In the case of the 2-22, the city bought the land but Angus raised the money for the project. It is a reputable company but it is small and it appears to have gotten in over its head. Still, there could be a silver lining in these troubles. The original glass design for the 2-22 was cold and impersonal. Who knows, brick could be a visual improvement. As for the original Quadrilatère plan, it called called for an office building - hardly a cultural thing - to dominate the area. Smaller scale would help the Quartier maintain its cultural identity. As for the lot next to the métro, a more useful future purpose might be found for the land some day. Inaction in this case might be better than a gaffe. Yet the underlying problem remains. City hall's handling of this supposed showpiece of its own competence is anything but reassuring. When it comes to fumbling its major projects, Tremblay now is going five for five. Read more: http://www.montrealgazette.com/opinion/reader-comments/Tremblay+signature+project+delayed/2599653/story.html#ixzz0glmkUuve
  8. damn! im all for the TGV but i have to say id be happy with 250km/h, hell even with 150...getting to nyc within 4hours?! wow. + they can run ON THE SAME TRACKS as our actual trains, why they havent done it yet is BEYOND ME
  9. Pratte veut pas péter notre bulle, mais... http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/andre-pratte/201002/23/01-954312-le-mauvais-tgv.php LE MAUVAIS TGV André Pratte La Presse Au sortir d'une rencontre avec le secrétaire américain aux Transports, le premier ministre Jean Charest a annoncé la formation d'un groupe de travail conjoint sur d'éventuelles liaisons ferroviaires à grande vitesse de Montréal à New York et de Montréal à Boston. Ce vieux fantasme québécois, d'abord évoqué par Jean Drapeau il y a 25 ans, refuse donc de mourir. Jusqu'ici, malgré les déclarations de certains politiciens, les Américains ont démontré peu d'intérêt réel pour ces projets. Dimanche, le secrétaire LaHood n'a pas fait montre d'un grand enthousiasme lui non plus. Certains couvaient l'espoir que les TGV États-Unis-Montréal reçoivent un coup de pouce des subventions de 8 milliards promises par le président Obama pour le transport par rail rapide. Or, de ces 8 milliards, les améliorations de la voie existante entre Montréal et New York ont reçu... 3 millions. M. Charest a convenu que la plus grande partie du trajet, celle entre Albany et Montréal, n'intéresse pas les dirigeants américains parce qu'ils ne l'estiment pas rentable. D'où cette idée géniale: le gouvernement du Québec pourrait «étudier la possibilité de contribuer financièrement à rendre cette partie du trajet rentable». Voici donc qu'un gouvernement endetté par-dessus la tête voudrait financer une liaison ferroviaire déficitaire! Il ne fait aucun doute que pour des raisons environnementales, les gouvernements canadiens doivent favoriser le train. Toutefois, la construction de voies rapides étant très coûteuse, il faut choisir ses priorités. Pour le Québec, cela devrait être simple: si TGV il y a un jour, ce sera entre Montréal et Toronto. C'est sur ce dossier que le gouvernement provincial devrait concentrer ses énergies. Pourquoi entre Montréal et Toronto? Parce que les liens économiques entre les deux provinces sont bien plus imposants que ceux entre l'État de New York et le Québec. Parce que la clientèle potentielle est au moins deux fois plus importante (15 vols par jour Montréal-New York, cinq ou six Montréal-Boston, contre une trentaine entre Montréal et Toronto). Parce qu'un tel projet a beaucoup plus de chances de recevoir l'appui financier du gouvernement du Canada qu'un TGV vers les États-Unis. Cela dit, avant d'aller de l'avant, il faut s'assurer que la contribution de l'État se limitera aux infrastructures; l'exploitation du service doit être rentable. L'enthousiasme de M. Charest pour le transport rapide vers le sud est d'autant plus étonnant qu'il s'inscrit mal dans sa stratégie de «nouvel espace économique» pour le Québec, une politique ambitieuse et originale qui vise, notamment, à diminuer la vulnérabilité de la province aux soubresauts de l'économie américaine. Dans ce contexte, le premier ministre ne devrait pas se laisser distraire par un projet dont tout indique qu'il ne se réalisera jamais.
  10. Gilbert, oui c'est sûre, mais c'est juste décevant. ne peut-on pas ambitionner un building phare/marque de commerce pour ce QdesS?
  11. je passe souvent devant les unités de la phase II ne semblent pas toute habitées qqun sait ou ils en sont dnas les ventes?
  12. ouaip! bein c'est cool Juliette&chocolat dégage plus une vibe franco, uqam. mais si la place fonctionne sur st-lau et aide à mettre un peu de vie pendant le jour et une partie de la soirée, je trouve ça bien.
  13. boluda

    Vancouver 2010

    yep totally! "we own the podium"=USA owns the podium
  14. ce qui est incroyable c'est que le QdesS devait être LA marque du maire Tremblay, son legacy. et si rapidement tout tombe à l'eau...
  15. revenons a nos moutons pour ceux qui passent souvent sur cette partie de la main, y a-t-il de nouveaux occupants dans les locaux vides? juliette et chocolat (dans les anciens locaux du Sofia) etait plein a craquer lautre jour
  16. eh boy eh boy http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/nathalie-collard/201002/19/01-953262-un-projet-mal-parti.php Publié le 19 février 2010 à 08h58 Un projet mal parti Nathalie Collard La Presse La première pelletée de terre pour construire l'édifice 2-22, à l'angle de la rue Sainte-Catherine et du boulevard Saint-Laurent, devait avoir lieu en octobre dernier. Elle a été reportée à mai prochain. Le projet initial a été revu et il sera moins ambitieux. Le côté ouest du boulevard St-Laurent devait accueillir 400 000 pieds carrés de bureaux et de commerces. Sur les plans, l'espace a été réduit des deux tiers et là aussi, le début des travaux est repoussé. Quant au projet de locaux culturels au-dessus du métro Saint-Laurent, il est paralysé. Que se passe-t-il? Comment expliquer que la revitalisation d'un secteur aussi névralgique de Montréal soit sans cesse retardée? Est-ce dû à l'inexpérience du promoteur Christian Yaccarini, pdg du Technopôle Angus? Ou est-ce la faute de la Ville de Montréal qui a lancé ce projet n'importe comment, sans cadre ni balise et surtout, sans aucun appel de propositions public? Bref, serions-nous, comme le laissent entendre plusieurs acteurs de la scène municipale, face à un projet qui, à lui seul, cristallise tout ce qui ne tourne pas rond lorsqu'il est question de développer Montréal? Devant les membres de la chambre de commerce de Montréal, hier, M. Yaccarini a dénoncé les consultations publiques qui, à son avis, arrivent trop tard dans le processus. Personne ne remettra en question l'importance de l'Office de consultation publique, qui est primordiale. M. Yaccarini n'a pas tort de remettre en question le fait qu'on consulte une fois que le projet est très avancé, mais il faut bien consulter sur quelque chose! Peut-être devrait-on s'inspirer davantage de l'expérience menée dans l'arrondissement du Sud-Ouest, où l'Office est intervenu dès le début du projet de développement des anciens entrepôts du CN? La question doit être posée. Le point de vue de M. Yaccarini est avant tout celui d'un promoteur qui n'apprécie pas qu'on lui mette des bâtons dans les roues, c'est entendu. Cela ne l'empêche pas de soulever des questions pertinentes, par exemple lorsqu'il souligne, comme plusieurs avant lui, le manque de leadership politique à Montréal. Justement, on peut se demander pourquoi la Ville de Montréal a cédé ainsi les rênes du développement de la Main à un promoteur, sans avoir réfléchi au préalable à ce qu'elle aurait aimé retrouver dans ce coin de la Ville. Comment expliquer cette absence de cadre, de direction? Maintenant que le promoteur est avancé et qu'il éprouve des difficultés à boucler son projet, comment expliquer que la Ville ne l'appuie pas publiquement et avec vigueur puisque c'est elle qui l'a choisi? Comme si, à l'hôtel de ville, on se disait: advienne que pourra... Bref, du début à la fin, le développement de cette portion de la Main aura été marqué par des décisions discutables et surtout, par un manque de colonne vertébrale des élus montréalais qui semblent incapables d'imposer une vision de développement pour un Quartier des spectacles qui est pourtant, du moins c'est ce qu'on nous répète, la priorité des priorités. Soupir.
  17. OMG "en harmonie avec le style montréalais" what the hell does that mean?? =plate, carré, BRUN, et sans audace? bravo!! on fait sauter plein de batisses pis on est même pas capable de construire à l'intérieur de l'année. aussi bien laisser l'ancien bâtiment tel quel!
  18. YES! fiou je respire en lisant ce commentaire. Si vous voulez faire vos freshy avec vos "autos" sortez à Laval. Vive NYC ou il est impensable de se balader en ville avec la voiture! Et puis PS: les clubs "vip" à NY sont 100x plus classe que n'importe quoi qu'on trouve sur la lower main qui n'est qu'un gros rassemblement de fils à papa et de gens qui se pensent importants. À NY il y a du monde pour de vrai important et riche et ce monde là prend le taxi ou le transport en commun (oui j'ai vu des filles en talons et coat en fourrure looking like a million bucks dans le métro à NYC, et le métro n'a rien de glamour là-bas!) Anyway. on s'éloigne du sujet initial...
  19. totally agreed. there is huge problem in montreal with modern architecture - i dont mind having a city that does not look like the Arab Emirates but for the love of god find me good architects! look at Berlin!
  20. tu veux dire qu'ils en construisent un ou bien qu'ils le détruisent? moi je pense au stationnement horrible en face du X-centris lequel à mon avis devrait être rasé et remplacé par un building ou quelquechose. la journaliste parle aussi du building coin des pins et st-lau qui s'écroule presque - un beau building d'époque pourtant mais personne n'est prêt à mettre les sous pour lui redonner vie..?? le MAC a déménagé sur St-Denis. le AmericanApparel (le tout premier!!) n'a pas renouvelé son bail (St-Lau sans AA c'est juste absurde!), quoi d'autre? il y a peut-être signe d'espoir: le Sofia (dont elle parle) va être occupé bientôt par un Juliette et Chocolat....par ailleurs je ne pleure pas la disparition du Shed Cafe....
  21. Je lisais cet article aujourd'hui et je trouvais que ça reflétait bien la réalité. L'autre fois je marchais sur St-Lau et je trouvais ça triste. Que s'est-il passé dans la dernière année?? http://www.cyberpresse.ca/opinions/editorialistes/nathalie-collard/201001/22/01-942079-pauvre-boulevard-saint-laurent.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_opinions_377155_accueil_ECRAN1POS1 Pauvre boulevard Saint-Laurent Nathalie Collard Cyberpresse On apprenait vendredi dernier que les travaux de réfection du boulevard Saint-Laurent, terminés en 2008, coûteront finalement plus cher que prévu. La Ville de Montréal doit en effet verser 800 000$ supplémentaires au promoteur Frank Catania, à qui on avait demandé d'accélérer la cadence pour terminer les travaux en 13 mois plutôt que 22. Ce n'est pas tout: un autre montant de 2 millions pourrait être réclamé par le même entrepreneur car, dit-il, ses profits ont été revus à la baisse à la suite de la réduction des délais. Sa requête est actuellement sous examen. Jusqu'ici, il en a coûté 32 millions pour refaire une beauté à ce tronçon de rue de 2,5 kilomètres. Le résultat final: trottoirs plus larges, chaussée refaite, nouveaux arbres ainsi que des nouveaux fils et des nouveaux tuyaux au sous-sol. On se souviendra que les commerçants du boulevard étaient à bout de nerfs durant les travaux. Ils craignaient de ne jamais être en mesure de récupérer leur clientèle. Ils avaient vu juste. La faute aux travaux ou à l'économie? En effet, la crise a assené un coup terrible aux commerces de la Main, qui a pourtant déjà été source de fierté et de reconnaissance à l'étranger. Or il suffit d'aller s'y balader aujourd'hui pour constater à quel point cette époque dorée n'est plus qu'un lointain souvenir. Espaces à louer, locaux abandonnés, malpropreté...Il règne une atmosphère de ville en déconfiture. Les locaux de l'ancien Shed Café seront occupés par un pub irlandais membre d'une chaîne. L'immense surface d'American Apparel est vide depuis plusieurs mois. La boutique Dex, l'ancien Sofia, les locaux du Pistol attendent également qu'un locataire leur redonne vie. Et que dire du coin avenue des Pins, boulevard Saint-Laurent? L'édifice qui abritait un resto de falafels est décrépi et envahi par les pigeons. Sans compter que l'ex-Centris n'attire plus les cinéphiles qui allaient manger une bouchée ou boire un verre avant ou après le film. Triste à mourir. Il y a bien quelques irréductibles comme la boutique Scandale de George Lévesque, la librairie Gallimard ou le restaurant Buena Notte, mais on parle tout de même d'un taux d'inoccupation avoisinant les 8%. Personne n'aurait pu éviter les effets de la crise (on observe d'ailleurs une situation semblable rue Sainte-Catherine), mais on peut se demander si la Ville de Montréal a offert suffisamment de soutien aux commerçants après les travaux de réfection. À l'automne 2008, la Ville, l'arrondissement et la Société de développement commercial avaient promis un plan de relance de plusieurs millions de dollars. Vérification faite, Montréal a accordé une subvention de 50 000$ et Gaz Métro (qui avait dû rouvrir la chaussée une fois les travaux terminés) aussi. Au total, c'est donc 100 000$ qui ont été investis pour relancer la Main. Visiblement, ce n'était pas suffisant. La nouvelle administration de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal, composée à 100 % de membres de Projet Montréal, est consciente de la situation. Le maire Luc Ferrandez assure que la question se retrouvera au programme cette année. Selon lui, il ne s'agit pas uniquement d'une question de marketing. Il songe à des mesures d'apaisement de la circulation automobile, au verdissement, etc. Une chose est sûre, il faut une vision et vite. La Main est en train de mourir...
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