Aller au contenu
publicité

Miska

Membre
  • Compteur de contenus

    1 727
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    4

Tout ce qui a été posté par Miska

  1. Mais pourquoi verdir cette rue ? Tu le dit, il n'y a que 2 heures d'ensoleillement par jour, pourquoi forcer les arbres à vivrent dans de tel conditions. En plus cette, un vrai canyon, est très venteuse, si on regarde un canyon dans la nature, il n'y a pas beaucoup de végétation qui y pousse. Est-ce si mauvais d'avoir certaines rues ou sections de rue qui sont sans arbres ? Point vue décoration, on peut penser à d'autres solutions pour rendre plus attrayant la rue, des solutions de design architecturales peuvent ajouter de la couleur, de la vie. Point du vue confort, on peut installer sur une rue des auvents, de grands parasols, faire des jeux de treillis, etc... pour protéger les usagers des intempéries.
  2. Il faut assumer la réalité de la présence du béton au centre-ville. J'ai l'impression que souvent on ajoute des arbres car c'est « la bonne chose à faire », les arbres sont alors plus décoratif qu'autres choses. Le centre-ville c'est principalement une zone de béton qui n'est pas propice à la survie d'un arbre. L'arbre doit combattre la chaleur emplifier par le béton (et idem l'hiver pour le froid). Le sol est quasi inéxisant, les racines doivent traverser la roche et se «battrent» contre les infrastructure soutérraines. Pourquoi s'efforcer à planter des arbres dans des lieux hostiles à ceux-ci ? Une solution est de créer des ilôts de verdure, des sections dédiées à la plantation d'arbres en groupes plutôt que d'isoler l'arbre. Plusieurs rues au centre-ville sont hostiles aux arbres (ex. : Président-Kennedy) mais la ville s'entête à planter et replanter année après années. D'autres solution peuvent peut-être aussi être trouvés qui ne seront pas forcément végétale mais qui contribureront à améliorer l'expérience des usagers. (ex. : des jeux d'eau) Mais assumons qu'il peut y avoir des sections de la ville qui sont en béton, c'est la réalité et c'est pas forcément mauvais ou laid.
  3. Condos Upbrella : révolution dans le domaine de la construction Alexandre Lampron Le Courrier du Sud LONGUEUIL. C’est dans l’arr. du Vieux-Longueuil, plus précisément au 3410, chemin de Chambly, que l’entreprise 3L-Innogénie a décidé d’ériger son premier projet pilote qui révolutionnera toute l’industrie de la construction d’édifices en hauteur au cours des prochaines années. Comme son nom l’indique, le système Upbrella, qui est une métaphore du mot «parapluie» en anglais, propose un concept novateur pour réaliser l’érection d’un édifice à étages multiples, par étapes successives et à l’abri des intempéries, en commençant par la toiture. La technique propose ainsi de construire au fur et à mesure que la demande se fait sentir, rendant l’édifice fonctionnel dès le début du projet. «La méthode traditionnelle pour la construction d’édifices en hauteur prévoit de construire le squelette du bâtiment et de refermer l’enveloppe. Typiquement, ce sont des projets qui durent deux ou trois ans. C’est donc dire que les clients qui en attente d’un local doivent patienter durant toute cette période, a mentionné au Courrier du Sud Joey Larouche, ingénieur et inventeur de ce concept. Avec notre méthode, en instance de brevet, nous prenons la toiture, le dernier élément du bâtiment, et nous venons l’installer sur le rez-de-chaussée construit, une fois les fondations terminées, et nous nous servons de cette toiture dans laquelle nous installons des systèmes de levage pour effectuer la construction.» Un projet de 5,5 M$ Selon M. Larouche, cette construction d’édifices en hauteur nouveau genre élimine par ailleurs l’aspect de la complexité et des risques qui sont souvent associés à l’évaluation de la demande et la vulnérabilité des projets d’envergure en raison des facteurs externes. La structure de la tour des condos Upbrella et son enveloppe seront du coup réalisées à l’abri des intempéries et respecteront les normes les plus élevées généralement requises des très hauts bâtiments. Le projet des condos Upbrella, évalué à 5,5 M$, sera érigé sur six étages aux allures résolument urbaines. Le projet comprend 25 unités résidentielles avec de grands espaces aménagés d’une ou trois chambres à coucher et dont les superficies varient entre 51,1 et 120,8 m2. De plus, le projet comprend également un rez-de-chaussée d’environ 465 m2, qui sera aménagé en studios urbains à usage commercial. Selon Joey Larouche, des pourparlers sont en cours avec une garderie et une pâtisserie. Vidéo : http://www.3l-innogenie.com/
  4. Peut-on rêver à une tour à bureau de 40 étage (150 à 160 m) ?
  5. Je trouve très bien ce projet mais j'aurais aimé encore plus si il remplacait un terrain vacant-stationnement plutôt qu'un bâtiment-stationnement !
  6. Je ne comparerais pas ce projet avec le métro. Mon commentaire était plus dirigé vers de nouveau projet de TEC du même niveau qu'Ottawa, soit un train léger ou tramway, pour venir bonifier le réseau de TEC déjà existant.
  7. Oui bien d'accord Et en passant... il y a une belle grosse pépine orange parké devant l'ancien édifice !
  8. Voici d,autres images du projet trouvé sur Facebook et Intercom
  9. Le projet est un immeuble de 4 étages, d'une hauteur de 42 pi. Ses façades seront en briques d'argile, en acier et en bois d'acajou. La construction démarrera à l'automne. Source : Rive-Sud Express.ca
  10. Premier projet éolien autorisé en Montérégie Valérie Lessard 16 juillet 2011 Actualité > Environnement Après près de cinq ans de consultation auprès de la population et d'études d'impact, la compagnie Kruger a obtenu le feu vert du gouvernement pour la création du premier parc éolien en Montérégie qui comptera 44 éoliennes et qui seront réparties dans cinq villes. D'ici 18 mois, la population verra poindre trois éoliennes à Mercier, sept à Saint-Michel, dix à Saint-Rémi, dix-neuf à Saint-Isidore et cinq à Saint-Constant. Ce parc éolien produira 101,2 mégawatts d'électricité tel que le stipulait l'appel d'offres d'Hydro-Québec. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement avait dressé un rapport favorable au projet en mai dernier. Le gouvernement du Québec a finalement délivré un certificat d'autorisation permettant la réalisation du projet, qui s'inscrit dans la Stratégie énergétique du Québec 2006-2015. Le parc éolien Montérégie représente un investissement 300 millions de dollars pour Kruger. Le contrat d'Hydro-Québec exige que 60 % de ce montant soit investi au Québec. «Les pâles et les nacelles seront construites en Allemagne. Les tours et de l'équipement électronique seront fabriqués à Matane», indique le vice-président et directeur général de Kruger Énergie, Jean Roy. La phase de construction créera entre 50 et 70 emplois. Les municipalités qui verront des éoliennes pousser dans leurs champs recevront des redevances financières de 5 700 $ par éolienne par année et ce, pendant 20 ans. Près de 70 propriétaires de terres recevront eux aussi des redevances pendant 20 ans. Un propriétaire qui aura une éolienne sur son terrain recevra au-delà de 10 0000 $ par année. Pour le ministre et député de Châteauguay, Pierre Moreau, cette annonce est une excellente nouvelle pour la région. « On estime que les retombées économiques seront entre 25 et 30 millions de dollars en Montérégie. Non seulement nous allons accueillir des travailleurs, mais tous ces gens qui auront des redevances, il est certain que ça augmentera leur pouvoir d'achat», explique Pierre Moreau. Communication et transparence Pour le vice-président et directeur général de Kruger Énergie, Jean Roy, l'autorisation du projet éolien par le gouvernement a conclu la partie la plus difficile du projet: l'acceptabilité sociale du milieu touché par le parc. «Dès le début, nous avons rencontré les gens pour les informer du projet et répondre à leurs questions», indique M. Roy. La compagnie a choisi de rencontrer à maintes reprises la population touchée par le projet pour répondre à leurs questions et faciliter l'acceptation du projet dans le milieu. Cette initiative n'était pas exigée par le gouvernement. Au total, Kruger a tenu 18 rencontres publiques dans les différentes municipalités touchées. D'ailleurs, au terme d'une première série de rencontres publiques, la compagnie avait modifié son projet en tenant compte des doléances des citoyens. Ils étaient donc passés de 50 à 44 éoliennes légèrement plus hautes et plus puissantes pour minimiser l'impact visuel dans la région. Il s'agira du premier complexe éolien pour Kruger dans la province, mais elle en compte deux en Ontario. «Le complexe en Ontario était plus simple puisqu'il touchait une seule municipalité alors que dans ce cas-ci nous en avions cinq.» Dans les mois à venir Fidèle à sa façon de procéder, Kruger a déjà prévu une rencontre d'information dans chacune des villes concernées pour expliquer les étapes à venir dans les prochaines semaines. D'ici décembre 2011, les chemins d'accès et les fondations seront construits. «D'ici l'hiver, les gens verront du camionnage de gravelle et de béton», souligne M. Roy. L'érection des turbines est prévue pour le printemps prochain soit de juin à octobre 2012. Le Soleil de Châteauguay - - - - - Un plan d’implantation révisé a été présenté lors des séances publiques d’information de juin 2009 et une révision supplémentaire à été présentée en juin 2010. Ce dernier plan d’implantation a été inclus à l’étude d’impact et fera l’objet de consultations publiques par le BAPE. Il pourrait encore être modifié en cours de processus d’approbation réglementaire. Le plan Une simulation Source : projeteolienmonteregie.com
  11. Il aurait fallu que l'entourage soit mise moins en évidence ! Un peu comme ça :
  12. Vraiment cool le rendu de l'édifice. C'est drôle quand on regarde les alentours... on voit un logo Bing au haut d'un édifice, le Mont-Royal est pratiquement absent et il est entouré d'édifices de style soviétique !
  13. Mise à jour le vendredi 15 juillet 2011 à 7 h 47 HAE C'est par un vote unanime, jeudi, lors d'une séance extraordinaire, que le projet modifié de train léger a été adopté par le conseil municipal d'Ottawa. Le projet du maire Jim Watson, qui ne devrait pas dépasser les 2,1 milliards de dollars, comporte quelques modifications par rapport au projet initial. D'abord, le tunnel sera construit sous la rue Queen plutôt que sous la rue Albert, au centre-ville d'Ottawa, ce qui permettra de réaliser des économies, notamment en frais d'expropriation. Le tunnel sera également moins creux que ce que prévoyaient les plans d'origine. Il aura une profondeur de 4 étages, plutôt que 12. En vertu du nouveau projet d'implantation, l'entrepreneur devra assumer tous les coûts excédentaires. Il devra aussi fournir jusqu'à 400 millions de dollars pour financer une partie de la construction. Selon le maire Jim Watson, après des années d'indécision, la Ville d'Ottawa joindra finalement les autres grandes villes du monde en se dotant d'un train léger. Le système de transport devrait atténuer la congestion routière au centre-ville d'Ottawa durant les heures de pointe. Un appel d'offres devrait être lancé cet automne et le maire Jim Watson espère que le train léger sera en service en 2018. Radio-Canada.ca ------------- Pendant ce temps à Montréal au regarde nos routes qui pourrissent et qui risque de tomber à tout moment, et aucun projet de TEC voit le jour....
  14. Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.»
  15. Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.»
  16. En fait je pensait à celle sur la rive-sud (ville de Sainte-Catherine), démoli en 2007.
  17. Après le Motel Canada et l'orange Julep, on pert un autre «joyau» de la kétainerie au Québec ! La folie kitch québecoise est en voie d'extinction !
  18. [...]Lors de son ouverture dans les années 1950, il portait le nom de Moulin Rouge et était à la fois un restaurant, une épicerie et une salle de danse pouvant servir de salle de réception. En 1967, le Moulin Rouge fut victime d'un violent incendie. Le restaurant fut rebâti dans le style espagnol, le propriétaire de l’époque affectionnant particulièrement l’Espagne, et fut renommé Le Madrid.[...] wikipedia.org
  19. Autoroute 20 Le Madrid sera démoli Première publication 9 juillet 2011 à 11h41 Par Kathryne Lamontagne | Le Journal de Québec Le visage de l'autoroute 20 entre Québec et Montréal ne sera plus jamais le même, le restaurant Le Madrid venant tout juste d'être vendu à des promoteurs de la capitale qui comptent bien le détruire pour ériger une toute nouvelle halte routière qui devrait loger deux restaurants, issus de chaînes populaires, et un dépanneur. Après plus d'une année de négociation, de mésentente et de relance, le Madrid est passé hier entre les mains d'Immostar, un promoteur de Québec qui a travaillé, notamment, à la construction de sept importantes aires de service, dans la province. «Ça faisait longtemps qu'on négociait. Il y a eu plein de petits imprévus ; c'est allé assez lentement. Là, c'est fait. On a les émotions dans le tapis, mais on est contents», a commenté Julie Arel, qui a repris l'entreprise de son père, avec son mari, il y a de cela 15 ans. Rasé La propriétaire de l'endroit cède ainsi le restaurant, l'hôtel, les Big Foot, la poste d'essence, le dépanneur et la plupart des terrains autour du Madrid. Le mobilier, et les éléments de décoration seront, quant à eux, vendus au public lors d'un vaste encan qui se tiendra le 3 septembre. «Tout le monde va pouvoir repartir avec son petit morceau personnel du Madrid. C'est important, pour nous, de laisser cette trace-là», avance-t-elle. Soulagé Bien que triste de laisser partir ce projet familial, Julie Arel, qui travaille tous les jours, au Madrid, depuis son adolescence, se dit toutefois bien heureuse de la tournure des événements. «J'ai eu le temps d'y penser et je suis rendue là. Il y a 15 ans, je savais que c'est là que je voulais aller. Je voulais prendre la place de mon père, voir des line ups, des autobus à la porte. Tout ce que dont je rêvais est arrivé, au-delà de mes espérances. Toutefois, à 36 ans, je vais pouvoir faire autre chose», clame la maman de deux enfants, de 13 et 16 ans, qui compte bien se reposer, voyager, et passer du temps avec sa famille au cours des prochains mois. Fermeture en août Si tout se déroule comme prévu, la Madrid devrait officiellement fermer ses portes à la fin du mois d'août. Les travaux devraient s'entamer à l'automne, pour per mettre l'ouverture officielle de la nouvelle halte routière le plus rapidement possible. Rappelons que, au début de l'été dernier, la vente du Madrid avait été avortée entre les deux parties puisqu'une mésentente était survenue concernant le montant de la transaction. Il a été impossible de connaître le montant exact de la transaction. «On parle de millions», a simplement laissé tomber Mme Arel. Contraintes économiques Si les acheteurs affirmaient l'an dernier avoir pour objectif de conserver et de rénover l afin d'entretenir sa vocation familiale, il semble que des contraintes économiques aient largement modifié la donne. «On a tenté de le rénover. On a regardé cinq ou six scénarios pour garder l'édifice, ou l'ossature, mais après études, on s'est rendu compte que c'était impossible», explique André Pelchat, président d'Immostar, nouvel acquéreur du célèbre château rouge.
  20. Cyberpresse.ca Publié le 09 juillet 2011 à 11h34 | Mis à jour à 11h34 La Presse Canadienne Une véritable institution disparaîtra sous peu. Le restaurant Madrid, situé sur l'autoroute 20, à Saint-Léonard-d'Aston, dans le Centre-du-Québec, sera démoli, après la fête du Travail. L'emplacement servira à faire place à une nouvelle halte routière comportant deux établissements de restauration rapide, un dépanneur et des terrains de jeux pour les enfants sur la thématique des «dinosaures», qui entourent le restaurant actuel. C'est un promoteur de Québec, Immostar, qui a acquis l'édifice et les terrains adjacents. Le coût total de la transaction est évalué à quatre millions de dollars. Le promoteur entend investir au total 8 millions de dollars dans l'aventure. La copropriétaire Julie Arel explique avoir pris la décision de vendre pour passer plus de temps avec sa famille, la gérance d'un restaurant étant très exigeante. Le Madrid, tel qu'on le connaît aujourd'hui, a été construit en 1967. Le président d'Immostar, André Pelchat, a indiqué qu'il tentera de s'inspirer du bâtiment actuel pour construire son nouveau développement. La nouvelle halte devrait être inaugurée au printemps 2012.
  21. Vraiment bonne nouvelle ! Que la construction commence au plus...
  22. Oui, il y 2 autres grues pour le projet de condos Cité Dix30.
×
×
  • Créer...