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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. He will have no choice if he wants to attract more paying tenants, let say he's a class C building, well if he wants to make more money, he'll want to convert to a class B building. No buisness man refreshes his building just for the fun of it.
  2. On édite pas des logiciels (sinon je serais aux anges), mais plutôt des services conseils en ingénérie avec ces dits logiciels... on a plusieurs clients de très hauts profils, malheureusment je ne peux pas en parler ici. On aide les compagnies à implanter ces logiciels dans leur processus de travails, mais aussi on fait du travail que ces compagnies nous lèguent. C'est assez diversifié. (je crois qu'on est 320+ employés).
  3. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    grosse merde hier... la maladie de choke commence tôt cette année, comme notre hiver
  4. So we discussed this before and we're still not agreeing on anything. Taking the metro is about the same time as me taking my car and going ANYWHERE on the island of Montreal (off rush hour) and having the liberty on leaving and returning home at any time I want without any constraints. Look yesterday I left my place in Laval to a place close to the village for under 15 minutes.
  5. Quelques mots sur le 'Québec Bashing' La phase de consultation publique de la Commission Bouchard-Taylor arrive à son terme. Qu'y a-t-on appris ? Que le Québec est intolérant ? Que les Québécois sont attachés à leur héritage catholique ? Que les immigrants n'ont qu'un rêve : repartir ? Les moments d'introspection sont généralement coûteux. Le Québec s'est livré à l'un de ces douloureux exercices au cours des consultations publiques de la Commission Bouchard-Taylor. La province a exhibé ses doutes, ses colères avec finalement plus de retenue, en dépit de certains excès, que d'agitation. Qu'est-ce qu'en a retenu la presse étrangère et canadienne anglaise ? Finalement peu de choses. En France peu d'analyses sur le sujet ont été faites. Plus loin, une dépêche d'agence de presse a suffi. Ou lorsque l'on parle de l'accueil des immigrants au Québec, il est montré comme agréable, comme le fait une Britannique installée à Montréal, Patricia Smith, dans The Daily Telegraph, qui souligne que cette ville "la deuxième plus grande ville francophone au monde après Paris." (J'ai déjà eu l'occasion de souligner certaines difficultés qui existent également, mais la presse internationale présente en général le Québec et le Canada comme des endroits ouverts aux communautés culturelles.) Patricia Smith écrit ainsi que Montréal est une ville "est vibrante, jeune, bilingue - certains sont même trilingues - et arriver ici en ne parlant qu'anglais n'est pas un problème. Même si vous parlez parfaitement français, on remarquera votre accent. Je vis ici depuis quatre ans et les gens me répondent toujours en anglais une fois qu'ils m'ont entendue dire 'Bonjour' [en français dans le texte]." Le Canada a abondamment parlé de la Commission. Et pas toujours sur un ton élogieux. Difficile pour moi de tirer à distance des conclusions sur les séances de consultation, mais un bref bilan sur le travail de la presse canadienne anglaise est faisable. Le National Post expose ses craintes que la Commission "n'ait infligé plus de blessures qu'elle n'en a guéries." "Son impact est catastrophique", affirme Lamine Foura, animateur d'une émission de radio destinée aux immigrants nord-africains. "La communauté musulmane se sent comme si elle avait été lynchée, comme si elle était lapidée devant la Commission." L'opinion de Lamine Foura n'est pas mon propos. Ce qui m'intéresse c'est plutôt le choix du National Post de répercuter ses mots dans ses pages. "Lyncher" et "lapider" sont des mots forts, imagés sans doute, et s'il y a pu y avoir de l’intolérance voire du racisme, il faut vraiment n'avoir jamais été lynché ou lapidé pour les utiliser dans un tel contexte. Le catastrophisme ambiant fait peut-être des titres accrocheurs, mais s'éloigne de la réalité. Le Toronto Star dresse un autre bilan, soulignant les "deux solitudes québécoises". "Pendant des mois, les commissaires ont vu parader et ont écouté des Québécois francophones de souche ('old-stock') exprimer leur peur à propos de la survie de la culture francophone, catholique, et s'interroger sur les moyens pour s’assurer que les immigrants adoptent la culture majoritaire. Mais au cours des derniers jours, le ton a changé." Finalement, la Commission arrivait à Montréal. Soudainement, toute l'intolérance reprochée aux Québécois disparaît, mais faisant apparaître "au moins deux solitudes à l'intérieur de la province, l'une générationnelle et l'autre géographique." En clair, le Québec des régions rejette ou craint l'immigration, tout comme les "plus vieilles générations". L'analyse est un peu rapide. Certes, une fracture existe entre Montréal et les régions. Mais l'article ne s'arrête que sur l'exception représentée par Montréal et sa banlieue, sans faire de bilan de ce qui a été dit en région. Il cite également le malaise légitime ressenti par certaines communautés face à ce qui a été dit devant la Commission. En fait, il ne montre pas au-delà de deux commentaires comment les Québécois jeunes et urbains sont plus tolérants que les campagnards plus âgés. L'approximation est pleine de sous-entendus et n'est pas très honnête, même s'il faut reconnaître qu'elle fait partie du journalisme. Un quotidien ne peut pas être exhaustif. Mais montrer le Québec profond comme étant arriéré ? La presse a fait ses choux gras de la xénophobie de certains, qu'il faut condamner, mais en soulignant qu'ils ne forment pas le tout des consultations publiques de la Commission Bouchard-Taylor, loin de là. Ce que tous n'ont pas fait. Les deux articles passés en revue ne forment pas un tableau complet de la presse canadienne. Ils ont une position moyenne par rapport au contenu éditorial des quotidiens dont ils sont tirés. Et s'ils sont prompts à dégainer, je ne crois pas leurs auteurs foncièrement mal intentionnés envers le Québec. Ils sont moralisateurs à certains égards, de mauvaise foi parfois. Mais exposer ses doutes a un prix, la critique.
  6. Montréal métropole culturelle - De l'écho à l'international Martine Letarte Édition du samedi 01 et du dimanche 02 décembre 2007 Mots clés : Festival de jazz, métropole culturelle, Culture, Économie, Montréal « Repenser le centre-ville en fonction de son offre culturelle ne peut pas faire autrement qu'assurer le rayonnement de Montréal » Il y a déjà deux semaines prenait fin le Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. C'était du jamais vu que de réunir à la fois les trois ordres gouvernementaux, le monde des affaires et la communauté culturelle pendant deux jours pour discuter des orientations à prendre pour développer davantage Montréal au moyen de la culture. Toutefois, s'imposer en tant que métropole culturelle passe par une meilleure reconnaissance à l'international. C'est l'un des buts à atteindre. showBigBox();Les différents acteurs réunis lors du Rendez-vous souhaitent évidemment que les efforts de concertation fassent en sorte qu'à l'avenir, tous travailleront à assurer le rayonnement de Montréal à l'étranger comme métropole culturelle. Avant de voir si cela se réalisera, force est de constater que la tenue même de la rencontre a attiré l'attention de différents pays sur Montréal. «Même au niveau international, les rencontres de cette envergure pour discuter du développement d'une ville par la culture sont très rares. Nous avons suscité l'intérêt d'abord par notre démarche et je sais que Louise Sicuro, de l'organisme Culture pour tous, est allée à Strasbourg pour un colloque et des représentants de différents pays se sont montrés intéressés par la démarche», indique Isabelle Hudon, présidente et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Le Quartier des spectacles Un projet discuté lors du Rendez-vous a particulièrement attiré l'attention et c'est le Quartier des spectacles. L'annonce de l'engagement des trois ordres de gouvernement à y verser un total de 120 millions de dollars y est pour quelque chose. Qu'ils proviennent du secteur des arts, des affaires ou du milieu politique, plusieurs nourrissent de grandes attentes envers ce projet. «Au même titre que le Quartier international, qui a gagné 25 prix dans le monde, le Quartier des spectacles servira de référence aux gens d'ailleurs», affirme Gérald Tremblay, maire de Montréal. Simon Brault, président de Culture Montréal, croit aussi que le Quartier des spectacles pourra favoriser le rayonnement de Montréal sur la scène internationale. «Ça fait déjà plusieurs années qu'il n'y a pas eu de grand projet collectif qui a véritablement décollé à Montréal, alors le Quartier des spectacles suscite beaucoup d'intérêt. De plus, avec son design avant-gardiste, nous avons de bonnes chances d'attirer l'attention sur Montréal si le projet est réussi.» La réalisation du Quartier des spectacles est une nouvelle formidable pour l'industrie, pour les artistes, pour la ville, pour la province ainsi que pour le pays, croit Mme Hudon. «Déjà, notre centre-ville attire beaucoup de touristes et le fait de repenser le centre-ville en fonction de son offre culturelle ne peut pas faire autrement qu'assurer le rayonnement de Montréal. Toutefois, nous devons faire preuve d'une extrême rigueur dans la qualité de l'aménagement du paysage urbain, comme on l'a fait avec le Quartier international. Nous devons nous dire que nous pouvons réussir aussi bien le Quartier des spectacles et, pourquoi pas, encore mieux!», ajoute-t-elle avec la fougue qu'on lui connaît. Montréal jouit déjà d'une reconnaissance Les stratégies de marketing et les efforts de cohésion sont importants, mais il n'en demeure pas moins qu'ils seraient vains sans une certaine richesse culturelle et un bassin de créateurs de grand talent dans la métropole. «Et la créativité, c'est la force de Montréal! Plusieurs événements, artistes ou entreprises culturelles et artistiques font déjà rayonner la métropole sur la scène internationale», indique Gérald Tremblay. Le maire donne plusieurs exemples qui lui viennent en tête, que ce soit le Festival de jazz, par sa renommée internationale, le festival Juste pour rire qui se produit à Nantes, le Cirque du Soleil, l'Orchestre symphonique de Montréal qui a réussi à attirer le grand Kent Nagano ou encore, l'Orchestre métropolitain du grand Montréal avec Yannick Nézet- Séguin qui a maintenant une reconnaissance internationale. L'événement Rendez-vous - Montréal, métropole culturelle a en fait permis une prise de conscience du milieu politique et des affaires quant à la possibilité que Montréal s'impose véritablement dans le monde comme une métropole culturelle. C'est du moins l'avis de Simon Brault. «C'est certain que Montréal brille déjà à l'étranger par ses festivals et par quelques réussites, comme les spectacles de Carbone 14, de La La La Human Steps et de Robert Lepage entre autres, mais nous devons passer du phénomène anecdotique à une véritable stratégie de rayonnement international.» Les affaires et la culture Pour y arriver, Simon Brault croit qu'on doit arriver à entrecroiser le réseau international des affaires de Montréal avec celui de la culture. «Il y a déjà des rapports, mais souvent, on voit ça comme de la charité. Ça doit changer. Pour les affaires, la vitalité culturelle de Montréal est très positive. L'art est une bonne façon de s'introduire à l'autre.» Du point de vue des entrepreneurs, on peut toutefois penser que l'idée de voir Montréal s'afficher comme métropole culturelle n'est pas nécessairement la plus séduisante. Pourtant, Isabelle Hudon affirme que c'est tout à l'avantage des gens d'affaires. «On attire le talent et l'investissement dans une ville par sa qualité de vie, qui est grandement nourrie par la vitalité culturelle. Comme Montréal est déjà choyée dans le domaine et que la ville bénéficiera grandement des investissements annoncés, la culture deviendra réellement un vecteur de rayonnement. Ça n'enlève rien aux autres secteurs, mais l'image de marque d'une ville doit être unique, intéressante et englobante. On ne peut pas présenter Montréal d'abord comme une ville de biotechnologies ou d'aéronautique, puisque ces secteurs sont trop pointus.» Maintenant, si tous semblent satisfaits des conclusions du Rendez-vous, il reste à leur donner suite. «J'ai reparlé au maire depuis, ainsi qu'à Isabelle Hudon, indique M. Brault, et c'est réellement une priorité pour nous tous de nous assurer du suivi et de la réalisation des projets à la hauteur des attentes. Et je crois que le fait de voir enfin des initiatives débloquer fera en sorte que Montréal sortira de sa déprime.» Collaboratrice du Devoir
  7. Montreal's restaurants fluent in French BY RAPHAEL SUGARMAN Saturday, December 1st 2007, 4:00 AM Europea's chef, Jerome Ferrer, prepares a fine French meal. New Yorkers looking for the perfect destination to tantalize their palates needn't spend hours traveling overseas to Paris. They should instead make the relatively short jaunt to Montreal and enjoy a culinary tradition that is just as passionate and arguably more exciting than that of France. "The food [in France] is very good and very classic, but here we are more open-minded," says Normand Lapris, executive chef of Toque, a highly rated Montreal restaurant. "When I am cooking, I don't think to myself, 'I can't use this recipe or this spice because it is not French,'" adds Lapris. "If I like curry, I put curry in my food." Fostering classic French cuisine - while remaining open to North American eclecticism - makes Montreal an ideal city for food lovers. More than half the city's 20 top-rated restaurants are classified as French or French-Canadian, and the cuisine - and its Quebecois influences - undeniably inspires the greatest passion in Montreal's kitchens. A very good case can be made that the city's top French restaurants - including Chez L'Epicier, L'Express, Au Pied de Cochon and Toque - offer every bit as delectable and memorable a dining experience as any spot in Paris. Because Montreal is, by nature, a French city, dining in a bistro here offers a much more authentic experience than similar establishments in New York or other North American cities. "When you are dining at L'Express, you feel like you could be in Paris, like you are in another world," says Lesley Chesterman, restaurant critic for the Montreal Gazette. Much like France, the quality of restaurants in Montreal is driven by the superb food markets. At the Atwater Market in the Saint-Henri district, and at the Jean-Talon Market adjacent to Little Italy, locals and tourists alike marvel at the bounty of luscious, home-grown products. At Jean-Talon, make sure to visit Le Marche Des Saveurs du Québec (The Market Flavors of Quebec), a pair of shops that feature a staggering 7,000 delicacies produced in the province. "The small producers make all the difference here in Quebec," says Carl Witchel, a local food historian. "The difference between Montreal and New York is that here you can go into a really inexpensive bistro with 20 or 25 seats and have something really remarkable." IF YOU GO ... Where to stay: Le Saint-Sulpice: Cozy boutique hotel in the heart of Old Montreal, a block from Notre Dame. (877)-SULPICE. Hotel Le Germain: A gem in the city's downtown business district. (514) 849-2050. Where to eat: Nuances: Jean-Pierre Curtat's wonderful French fare, irreproachable service and ethereal sunsets. (514) 392-2708. Club Chasse Et Péche: You have to love a place that lists "Six Oysters with Charisma" on the menu. (514) 861-1112. Europea: The Lobster Cream Cappuccino with truffle oil is just one of chef Jerome Ferrer's inventive offerings. (514) 398-9229. Beaver Club: Located in the Fairmont Queen Elizabeth Hotel, this opulent stalwart has been serving classic French cuisine for decades. (514) 861-3511.
  8. The MUHC’s Montreal Children’s Hospital receives Go Green Plus certificate from BOMA Québec November 30, 2007 The McGill University Health Centre’s (MUHC) Montreal Children’s Hospital has become more environmentally-friendly, and has met the Go Green Plus certification criteria set by the Quebec Building Owners and Managers Association (BOMA). At a presentation of some sixty Go Green certificates yesterday, the MUHC was one of only sixteen organizations and the only hospital to receive the Go Green Plus distinction. “The MUHC is a university healthcare centre that is always prepared and preparing, 365 days of the year, so that patients and families receive the very best care. So the importance of reducing our environmental footprint is not the first thing that comes to people’s mind, but we’re conscious that it’s part and parcel of creating healing environments,” stated MUHC Dr. Arthur T. Porter, Director General and CEO. “We’re proud that The Children’s has been certified Go Green Plus.” There were fifteen criteria to meet to receive the certificate. BOMA Quebec’s Go Green Plus programme requirements span the following areas: Energy (energy consumption, features, management, transportation) Water (water efficiency) Resources (waste reduction and recycling; site) Emissions, Effluents and Other Impacts (air emissions; ozone depletion; water effluents, hazardous materials, hazardous products, health & safety and WHMIS) Indoor Environment (indoor air, lighting, noise); and Environmental Management (EMS documentation, purchasing policy, emergency response, tenant awareness) “Making our hospitals greener is only possible when you have the necessary willingness and support from senior administration, staff and other stakeholders so that an action plan can be set in motion,” added Serge Sévigny, Director of Technical Services at the MUHC. “We have this at the MUHC and we are also very fortunate in the healthcare sector to have leaders like Pierre Chénier at the Agence de la Santé et des Services sociaux de Montréal and Gilbert Desmarais at the Association des gestionnaires de parcs immobiliers, who are supporting the MUHC and other healthcare institutions’ sustainable development projects.” This latest green initiative is part of the MUHC’s commitment to best practices in sustainable development. The MUHC began this fall a partnership with the Agence de santé et services sociaux de Montréal and the Canadian Centre for Pollution Prevention (C2P2) to provide Environmental Management System training to several Montreal-area hospitals, including St. Mary’s Hospital, the Sir Mortimer B. Davis Jewish General Hospital, the Douglas Institute and the CSSS l’Ouest –de-l’Île. In August 2007, the MUHC became a partner in the City’s first sustainable development plan (2007-09 phase). The MUHC also hired a full-time Environmental Management System (EMS) coordinator. The first phase of implementing an EMS, a MUHC-wide environmental review, is underway. Four interns recruited from the Collège Rosemont’s Environment Programme are assisting the MUHC’s EMS Coordinator. The review will give the MUHC a clear snapshot of its practices and opportunities. In May 2007 and March 2006, the Royal Victoria and Montreal General became the first hospitals in Canada to be certified Go Green Plus and Go Green by BOMA (Building Owners and Managers Association). Other MUHC sites are on target for certification. The BOMA Go Green Environmental Certification programme is voluntary and designed for existing or occupied buildings. Its goal is to recognize buildings where environmental best practices have been implemented into operations. The future Glen and Mountain campuses are LEED® (Leadership in Energy and Environmental Design) candidates. Already the LEED® criteria for the environmental remediation of the Glen Campus have been met. LEED® certification distinguishes building projects that have demonstrated a commitment to sustainability by meeting higher performance standards in environmental responsibility and energy efficiency. In January 2007, the MUHC became the first Quebec member of Hospitals for a Healthy Environment (H2E) because it shares H2E’s vision of a healthcare system that recognizes the link between operational decisions and health outcomes. The H2E programme has currently 1,407 partners representing 7,557 healthcare facilities, including 1,678 hospitals, 3,881 clinics, 942 nursing homes and 1,056 other types of facilities. About the MUHC Redevelopment Project Guided by its mission and its role as the nerve centre of the McGill integrated university hospital network, the MUHC is carrying out a $1.579-billion Redevelopment Project that will help the Government achieve its vision for academic medicine in Quebec. Excellence in patient care, research, education and technology assessment will be fostered on two state-of-art campuses—The Mountain and the Glen—and through strong relationships with healthcare partners. Each LEED®-registered campus will be designed to provide patients and their families with “The Best Care For Life” in a healing environment that is anchored in best sustainable development practices, including BOMA Go Green guidelines. www.muhc.ca/construction The McGill University Health Centre (MUHC) is a comprehensive academic health institution with an international reputation for excellence in clinical programs, research and teaching. The MUHC is a merger of five teaching hospitals affiliated with the Faculty of Medicine at McGill University––the Montreal Children’s, Montreal General, Royal Victoria, and Montreal Neurological Institute and Hospital, as well as the Montreal Chest Institute. Building on the tradition of medical leadership of the founding hospitals, the goal of the MUHC is to provide patient care based on the most advanced knowledge in the health care field, and to contribute to the development of new knowledge. www.muhc.ca
  9. Infrastructure: Tremblay pourrait être forcé de réduire ses ambitions Tommy Chouinard La Presse Québec Gérald Tremblay pourrait être forcé de revoir à la baisse l'ambitieux programme d'infrastructures qu'il a déposé mercredi avec son budget. Le gouvernement Charest refuse de s'engager à verser les 250 millions de dollars supplémentaires que réclame la Ville de Montréal pour financer ce programme triennal. «J'imagine que c'est de bonne guerre de leur part de faire des projections. Mais à ce stade-ci, ce serait imprudent de garantir ou non cette somme-là», a affirmé hier Jonathan Trudeau, attaché de presse de la ministre des Affaires municipales, Nathalie Normandeau. Mercredi, Gérald Tremblay a déposé un programme d'infrastructures pour les trois prochaines années qui prévoit des investissements record de 3,2 milliards de dollars. C'est un milliard de plus que dans l'exercice précédent. Le maire compte essentiellement sur Québec pour financer cette augmentation des investissements. Le versement de 750 millions de dollars est déjà garanti puisqu'il repose sur des ententes conclues entre Québec et Montréal dans le passé. Mais Gérald Tremblay a prévu qu'il toucherait 250 millions supplémentaires en provenance de Québec. Or, le gouvernement Charest refuse de s'engager à verser à Montréal les sommes auxquelles la Ville s'attend. Aucune entente n'est intervenue entre Québec et Montréal à ce sujet. «C'est trop tôt pour garantir» le versement de 250 millions de dollars supplémentaires en trois ans», a dit Jonathan Trudeau. Gérald Tremblay compte en particulier sur l'octroi de nouvelles sources de revenus. Mais les trois pouvoirs de taxation prévus au projet de loi 22 sont loin de permettre à la Ville de Montréal d'amasser 250 millions de dollars. Le maire a déjà écarté l'idée d'instaurer une taxe sur les billets de spectacle et une autre sur les repas au restaurant. L'opposition à ces deux mesures est trop forte. La Ville engrangerait 40 millions par année en instaurant une taxe sur les stationnements commerciaux. Gérald Tremblay demande depuis des semaines au gouvernement Charest de profiter de la baisse de 1% de la TPS annoncée par Ottawa pour augmenter la TVQ d'autant. Il souhaite que les sommes recueillies -1,1 milliard de dollars par année- soient versées à Montréal et aux autres municipalités afin de financer le renouvellement des infrastructures. La Ville toucherait 250 millions. Mais Québec a déjà rejeté toute hausse de la TVQ. «Le gouvernement fédéral a choisi d'augmenter le pouvoir d'achat des consommateurs québécois. On n'a pas l'intention de les priver de ce petit plaisir qui arrive si peu souvent», a expliqué Nathalie Normandeau plus tôt ce mois-ci. Pour financer son plan, Gérald Tremblay pourrait instaurer des péages, puisqu'il en a déjà le pouvoir. Il pourrait récolter environ 275 millions par année. Mais Québec voit d'un mauvais oeil d'éventuels péages à plusieurs endroits dans la métropole. Il craint la grogne des banlieusards, du 450.
  10. Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île par Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 30 novembre 2007 à 14:55 Voici la maquette du futur siège social de Clarins Canada qui bordera l'est de l'autoroute 13, à hauteur du boulevard Notre-Dame. L'immeuble de 108 000 pieds carrés abritera des bureaux administratifs, un entrepôt et une boutique SPA. Fichier: Clarins Maquette Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île Entreprise implantée à Montréal depuis 40 ans, Clarins Canada quittera au printemps ses installations de l’arrondissement Saint-Laurent à la faveur d’une place d’affaires et d’un nouvel entrepôt en bordure de l’autoroute 13, près de Notre-Dame. Il s’agit d’un investissement évalué à quelque 10 M$ du Groupe Montoni, propriétaire du terrain et des immeubles que sa division construction est actuellement à ériger. Selon ce que le Courrier Laval a appris, ce coup de filet est l'aboutissement d'un démarchage de cinq longues années mené auprès des dirigeants de cette société. Expansion Les projets d'expansion de Clarins Canada, troisième distributeur de l'industrie des cosmétiques et des parfums en importance au pays, nécessitaient un déménagement. Non seulement le groupe augmentera-t-il la superficie de son entrepôt et de son siège social canadien de 35 %, mais Clarins pourra toujours, au besoin, ajouter à sa capacité d'entreposage par la possibilité d'un agrandissement qu'offre le terrain adjacent. Une option non négligeable pour cette entreprise qui «fait de plus en plus d'acquisitions de marques», explique la vice-présidente des finances et des opérations, Louise Villaggi. Outre la gamme originale de produits de soins et de maquillage connue sous la bannière de la multinationale française fondée en 1954, Clarins Canada possède une seconde division abritant les marques Thierry Mugler et Azzaro de même que toutes les marques dont elle assure la distribution. Fait intéressant à noter, les nouveaux quartiers généraux de Clarins avoisineront ceux de Andlauer Transport et Services (ATS), l'entreprise qui assure le service de livraison à travers tout le pays. Personnel À compter du 1er avril 2008, Laval gagnera un nouveau siège social et la centaine d'emplois s'y rattachant. «L'annonce du déménagement a été bien accueillie par notre personnel», fait savoir Mme Villaggi. Incidemment, la majorité de ces employés qui convergent tous les matins de la semaine vers les installations actuelles de l'arrondissement Saint-Laurent résident à Laval. Par ailleurs, la vice-présidente des finances et des opérations signale que l'avènement du métro à Laval a pesé dans la balance quand est venu le temps de choisir le site. «Nos employés qui habitent sur l'île de Montréal et sur la rive-sud et qui utilisent les transports en commun seront tout aussi bien servis», assure-t-elle, précisant qu'un circuit d'autobus relie la station Montmorency à ses futurs bureaux et que la distance à parcourir est sensiblement la même qui sépare les locaux actuels à la station Côte-Vertu. Fichier: Clarins Maquette
  11. Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 30 novembre 2007 à 14:55 Soyez le premier à commenter cet article Voici la maquette du futur siège social de Clarins Canada qui bordera l'est de l'autoroute 13, à hauteur du boulevard Notre-Dame. L'immeuble de 108 000 pieds carrés abritera des bureaux administratifs, un entrepôt et une boutique SPA. Fichier: Clarins Maquette Laval attire une autre société montréalaise Clarins transférera son siège social canadien et une centaine d’employés dans l’ouest de l’île Entreprise implantée à Montréal depuis 40 ans, Clarins Canada quittera au printemps ses installations de l’arrondissement Saint-Laurent à la faveur d’une place d’affaires et d’un nouvel entrepôt en bordure de l’autoroute 13, près de Notre-Dame. Il s’agit d’un investissement évalué à quelque 10 M$ du Groupe Montoni, propriétaire du terrain et des immeubles que sa division construction est actuellement à ériger. Selon ce que le Courrier Laval a appris, ce coup de filet est l'aboutissement d'un démarchage de cinq longues années mené auprès des dirigeants de cette société. Expansion Les projets d'expansion de Clarins Canada, troisième distributeur de l'industrie des cosmétiques et des parfums en importance au pays, nécessitaient un déménagement. Non seulement le groupe augmentera-t-il la superficie de son entrepôt et de son siège social canadien de 35 %, mais Clarins pourra toujours, au besoin, ajouter à sa capacité d'entreposage par la possibilité d'un agrandissement qu'offre le terrain adjacent. Une option non négligeable pour cette entreprise qui «fait de plus en plus d'acquisitions de marques», explique la vice-présidente des finances et des opérations, Louise Villaggi. Outre la gamme originale de produits de soins et de maquillage connue sous la bannière de la multinationale française fondée en 1954, Clarins Canada possède une seconde division abritant les marques Thierry Mugler et Azzaro de même que toutes les marques dont elle assure la distribution. Fait intéressant à noter, les nouveaux quartiers généraux de Clarins avoisineront ceux de Andlauer Transport et Services (ATS), l'entreprise qui assure le service de livraison à travers tout le pays. Personnel À compter du 1er avril 2008, Laval gagnera un nouveau siège social et la centaine d'emplois s'y rattachant. «L'annonce du déménagement a été bien accueillie par notre personnel», fait savoir Mme Villaggi. Incidemment, la majorité de ces employés qui convergent tous les matins de la semaine vers les installations actuelles de l'arrondissement Saint-Laurent résident à Laval. Par ailleurs, la vice-présidente des finances et des opérations signale que l'avènement du métro à Laval a pesé dans la balance quand est venu le temps de choisir le site. «Nos employés qui habitent sur l'île de Montréal et sur la rive-sud et qui utilisent les transports en commun seront tout aussi bien servis», assure-t-elle, précisant qu'un circuit d'autobus relie la station Montmorency à ses futurs bureaux et que la distance à parcourir est sensiblement la même qui sépare les locaux actuels à la station Côte-Vertu. Fichier: Clarins Maquette
  12. so how long do you walk to your restaurant? or how long does it take you by mass transit? ah you're from ottawa... its not a fair comparison.
  13. Aussi c'est très dense ce coin, genre concordia ghetto, que je m'étonne qu'on ai pas construit plus haut (au moins plus haut que les tours à côté), c'est chiant d'acheter un condo et d'être plus bas que tes voisins.
  14. En passant, les autres tours autour sont tellement laides, que ces nouvelles tours sont très jolis somme toute.
  15. C'est sur le site du projet: (C'est toujours rose, mais un peu moins «enfant»)
  16. la qualité est pas là, mais j'aime beaucoup l'angle.
  17. En construction proche d'Henri Bourassa et Deguire. 3 Tours de 8 étages chacunes. http://www.toursdeguire.com Pour que le bien-être soit au rendez-vous, Développement Scalia et fils adapte, à votre demande, les plans de votre demeure pour un condo à votre mesure. Que ce soit un spacieux 3 ½ 4 ½ ou 5 ½ vous pourrez avec l’entreprise déterminer la dimension et la disposition des pièces afin qu’elles reflètent vos besoins et vos goûts. La qualité Structure en béton - insonorisation supérieure 2 Ascenseurs Plafonds de 8 pieds Surveillance par caméra 1, 2 ou 3 chambres à coucher Les services Piscine intérieure Spa Sauna Salle d’exercices Salle communautaire Stationnement intérieur Aires de stationnement pour visiteurs Le souci du détail Finition de style colonial Revêtement de plancher : lattes de bois en merisier, tuiles de céramique (vestibule, cuisine, coin-repas, salle de bain et salle de lavage)
  18. Dites vous qu'au moins, ils parlent encore de 2013.
  19. Je suis bien content qu'ils n'aient pas construit le stade. On aurait tous eu honte d'un stade vide. Le déménagement du stade n'aurait vraiment pas changer le fait que les montréalais se désintéressaient complètement des expos. Comme dis alains, à court terme, peut-être, mais je crois que ça n'aurait même pas duré une saison complète. Oui, il était beau, il aurait complètement revitalisé le quartier, mais heureusement qu'ils ne l'ont pas construit.
  20. Le coin est loin de se chercher. Le RIO, est les deux en même temps, et depuis assez longtemps en plus. Le planétarium à toute sa place avec les autres «musées de la nature» (insectarium, biodome, jardin botanique) Moi, je referais tout simplement (et ça ne couterait pas trop cher en plus!) l'aménagement paysagé. Enlever les grosses plaques de béton qui recouvrent tout le site et mettre du gazon, des arbres. Ce genre de chose qui pourrait donner de la vie.
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