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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Hydro-Québec retient 15 projets Lesaffaires.com 5 mai 2008 Ces projets représentent des investissements de l'ordre de 5,5 milliards de dollars. Photo: Bloomberg Hydro-Québec a retenu quinze soumissions pour un total de 2 004 megawatts dans le cadre de son appel d'offres, lancé le 31 octobre 2005, pour l'achat d'énergie éolienne produite au Québec. Carte des projets retenus Répartition régionale des projets Il s’agit du la plus importante demande de soumissions pour des projets éoliens en Amérique du Nord. Ces projets représentent des investissements de l'ordre de 5,5 milliards de dollars, dont 1,1 milliard de dollars en transport selon Hydro-Québec. Le coût total moyen des offres retenues est de 10,5 cents le kilowatt/heure. Le prix moyen de l'énergie éolienne retenue est de 8,7 cents le kilowatt/heure, le coût de transport pour acheminer l'électricité produite est de 1,3 cent le kilowatt/heure et le coût pour le service d'équilibrage fourni par Hydro-Québec Production est estimé à 0,5 cent le kilowatt/heure. Les livraisons d'électricité s'échelonneront de 2011 à 2015. Les projets en question Sur les 66 projets soumis pour une valeur totale de 7700 MW, 15 ont été retenus, Il s’agit de : - Deux projets seront réalisés en Montérégie par Kruger Energie et Venterre pour un total de 150 mégawatts. - La région Centre-du-Québec aura un projet de 100 mégawatts réalisé par Enerfin Sociedad de Energia. - Dans Chaudière-Appalaches, deux parcs verront le jour sous la gouverne de 3CI dans un cas et de St-Laurent Energies dans l'autre pour un total de 306 mégawatts. - Dans la région de Québec, trois projets ont été retenus, soit deux qui ont été proposés par Consortium Boralex et Société en commandite Gaz Métro, et un autre soumis par St-Laurent Energies, pour un total de 345,9 mégawatts. - Dans la région du Saguenay-Lac-St-Jean et Capitale nationale, le projet de 350 mégawatts de St-Laurent Energies a été retenu. - Dans le Bas-St-Laurent, quatre projets (Invenergy Wind Canada, Kruger Energie, St-Laurent Energies et B&B VDK Holdings) pour un total de 606,6 mégawatts verront le jour. - Dans la région Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine, Venterre réalisera un parc qui procurera 66 mégawatts à Hydro-Québec. - Et, en Mingamie, St-Laurent Energies réalisera un projet de 80 mégawatts. Le grand total est de 2004,5 mégawatts. La suite des choses Hydro-Québec Distribution complètera les contrats avec les promoteurs au cours des prochains mois et ces derniers seront par la suite soumis à la Régie de l'énergie pour approbation. Les promoteurs devront obtenir les autorisations environnementales et les autorisations des instances municipales concernées avant de procéder au début des travaux. Les projets feront l’objet d’audiences publiques. Jean Charest, premier ministre du Québec souligné que le Québec avait « tiré les leçons du premier appel d’offres de 1 000 MW ». Il a cependant insisté sur le fait que «l’acceptabilité sociale est essentielle mais n’implique pas l’unanimité ». Projets coopératifs Un autre appel d’offre suivra pour des capacités de production de l’ordre de 500 MW. Cette fois ce ne sont pas les entreprises privées mais les communautés autochtones et les communautés sociales qui sont appelées à proposer des projets de fourniture d’énergie éolienne pour un total de 250 MW chacune. http://www.lesaffaires.com/article/0/energie/2008-05-05/477441/hydroquebec-retient-15-projets.fr.html
  2. Pont de l'autoroute 25 Le chantier s'active à Laval Mise à jour : 03/05/2008 09h02 Bonne nouvelle pour les automobilistes en provenance de la Rive-Nord de Montréal. Le chantier du nouveau pont de l'autoroute 25 s'active dans la pointe est de Laval. Les travaux sont en cours sur la rive de Laval. On s'affaire à installer d'immenses caissons qui vont permettre la construction de la structure de béton qui sera en quelque sorte la base du pont. La mise en opération du pont est prévue pour 2011. Transports Québec prévoit un achalandange de 2500 véhicules par heure de pointe. Les automobilistes qui emprunteront ce nouveau pont vont devoir payer pour l'utiliser. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2008/05/20080503-090236.html
  3. Tu pourrais en rajouter une deuxième juste à sa droite alors, car il s'agit du projet Les Diamants que j'illustrais sur ma carte.
  4. Résume bien la situation... ils sont où les pelles??
  5. On avait parlé de ça il y a quelques semaines!!! Comment les questions étaient tellement biasés... ça parait que le monde lisent pas
  6. J'ai voté, mais contre votre intention première de nous inciter à le faire. Si le débat est lancé (ce qui m'étonnerait énormément), je serais curieux de voir les opinions des spécialistes (urbanistes, architectes, etc.). Je suis pratiquement certain que les urbanistes seront contre.
  7. Belle job! Notre centre-ville grossira beaucoup dans les prochaines années! Et ce montage n'inclut même pas les tours du Projet Griffintown! Comme tu nous l'as dit, par contre, les bâtiments de René-Lévesque sont un peu trop haut... Tu pourrais même rajouter le Marriott entre la PVM et la tour Telus! (si tu peux, évidement)
  8. Haha! Je viens de vérifier la date, et voici ce que j'ai remarqué sur le site de NOMADE : Version anglaise de la nouvelle : "M9 phase II, aptly named M9 EVOLUTION, was launched at a party onsite reuniting clients, developer and design team. Construction is scheduled for beginning of Fall 2008." Maintenant, la version française de la nouvelle : "Le projet M9 phase II, nommé M9 ÉVOLUTION, fut dévoilé au cours d'un party de lancement réunissant clients, développeur, partenaires et équipe de design. La construction est prévue pour le début de l'automne 2009."
  9. :awesome: Bus fares still different in Laval and Montreal par Nathalie Villeneuve Voir tous les articles de Nathalie Villeneuve Article mis en ligne le 4 mai 2008 à 6:03 Bus fares still different in Laval and Montreal The arrival of charge cards won’t change anything - it will remain impossible to travel the river towards Montreal with a ticket that is also valid in the metropolis. Once the Opus card is introduced on April 21 “The same rate policy will be upheld,” said Odile Paradis, from the public affairs department of the Société de transport de Montréal (STM). No Discount The problem remains. In Montreal, a user can benefit from a discount of $4.50 by charging a batch of six tickets at $12 instead of buying a single ticket at $2.75. The user cannot use these tickets in one of the three metro stations in Laval. On the other hand a regular Laval user has to pay $105 to charge the TRAM 3 card (the monthly Train-Bus-Metro card) if they want to visit Montreal. Yet, residents of Longueuil have the privilege, since the construction of their metro in 1966 to use the regular CAM card offered by the STM. They only have to pay $66.25 to charge their Opus card. The charge cards will be introduced gradually up until 2009. From now until then, the old system will remain in place until people adapt and use up tickets sitting in the bottom of their drawers. Tickets will disappear Six months from now, however, no new tickets at the regular fare will be sold to users on the Montreal network. They will be replaced by a magnetic card. This card can hold either one or six tickets. The Société de transport de Laval (STL) has already replaced it’s booklet of eight tickets by their own magnetic card. The magnetic cards for the STM will not permit any harmonization; they will not work anywhere other than the Montreal network. From now until December “There is already some correspondence between the mayor of Laval and Montreal on the subject of this problem,” assures STL president Jean-Jacques Beldié. “It’s a problem that will be resolved by the CCM (Communauté métropolitaine de Montréal). We hope that it will be solved before the end of the year.” http://www.courrierlaval.com/article-209358-Bus-fares-still-different-in-Laval-and-Montreal.html
  10. Montreal Transit Corp. gets it right - at last The Gazette Published: Sunday, May 04 For the first time in living memory, the Montreal Transit Corp. has put out tenders for a contract to supply city buses. The MTC has also published the terms of those tenders, another first. It's about time. These seemingly innocuous act is a radical departure from the scandalously protectionist, byzantine way in which previous purchases have been handled. Montrealers should rejoice that the MTC has caught up, even if belatedly, with most of the modern world in seeking real competitive deals for our mass-transit system. Even better, Quebec has allowed the transit agency to tap the open market for the best possible deal, in place of yet another government-mandated purchase. The MTC is replacing 410 Novabus low-floor buses. These entered into service in 1996 and the MTC now admits what most city riders have known since then - this design was a lemon from the start. Now the MTC is calling for tenders from three manufacturers: Orion of Mississauga, New Flyer of Manitoba and St. Eustache's Novabus, which has fixed its quality problems since 1996. Some 15 years on, this is a long-forgotten story, but it's hard to top as a cautionary tale. There is a specific reason why Montrealers have been forced to ride these clunkers these many years; nationalist protectionism. In 1993, the Quebec government blocked Ontario bus-makers from bidding on contracts in Quebec, first for three years, then with rolling exclusions. Instead, Quebec forced Montreal to buy from MCI, a bankrupt company that the government revived as Novabus for the express purpose of supplying Quebec municipalities. That abruptly ended contract negotiations with Orion (then called Ontario Bus Industries). The rest is history - 12 years of buses that are noisy, that lurch, that brake roughly, that have a hard suspension and that are a nightmare to maintain - they're in the shop three times more often for repairs than other buses are. A starker example of the disastrous effects of the buy-chez-nous brand of protectionism is hard to imagine. We can only hope that Quebec has learned its lesson, a lesson others have learned already, without doing so the hard way. The Ontario town of Brampton, next door to Mississauga where Orion is located, recently ordered 75 buses from Novabus for $30 million, among other contracts across Canada that the St. Eustache firm has received. The MTC might also remember this cautionary tale next time it crafts tenders in such a way as to exclude everyone except Bombardier from winning, as it did with the $1.2-billion order for 336 new cars for the Montreal métro. It took a lengthy court challenge and veiled threats of retaliation from French President Nicolas Sarkozy to get that sweetheart deal for Bombardier rescinded. Next time, a simple and elegant open process would do the trick. Bombardier's excellent products might well win on their merits. And there's the key to this: Quebec products good enough to compete in world markets can surely compete at home. But Quebec products not good enough to compete in world markets shouldn't be good enough for Quebecers. http://www.canada.com/montrealgazette/news/editorial/story.html?id=c1e3df03-5eeb-49a4-92dc-645ddbfd6a96
  11. STRIKE BANS In Montreal, a civilizing effect INGRID PERITZ April 29, 2008 MONTREAL -- Once upon a time in Montreal, public-transit strikes seemed as common as Stanley Cup parades. They occurred almost annually, with devastating results. There was a month-long walkout during Expo 67; another in 1974 that dragged on for 44 days. In 1977, workers walked off the job for four days, then walked out again during Grey Cup festivities. Each time, Montrealers fumed. These days, strikes have become almost as rare as hockey playoff victories and when conflicts arise, the effects are diminished, thanks to Quebec's Essential Services law. Basic transit service is guaranteed in Montreal during strikes, a fact that brings a measure of civility to the city's turbulent labour relations. "The Montreal system, with predictable essential-services rules, has been a good system," said Allan Ponak, professor emeritus at the University of Calgary who has co-authored a book on the subject. "Predictable rules like you have in Montreal are better than ad hoc rules created in an urgent situation." The justification used by the Quebec government for declaring public transit an essential service in 1982 went like this: If everyone drove cars during a strike, traffic jams would threaten the safe passage of emergency vehicles. The law not only had a dissuasive effect on strikes - there have been only two in the past two decades - but it softened their impact when they did occur. Last May, for example, 2,200 maintenance workers went on strike to press for a new contract. The Essential Services Council ordered full bus and subway service during morning and afternoon peak hours, as well as late at night. "There's no question that public transit is an essential service just like hospitals," said Reynald Bourque, director of the School of Labour Relations at the University of Montreal. "The system is beneficial because it balances the rights of the striking workers with the rights of users." Unions have also come around to realizing they need public opinion on their side during conflicts - Quebec has floated the idea of restricting or abolishing the right to strike for public transit unions. So unions, too, have come to live with essential-services rules, a specialist says. "We really have succeeded in civilizing the right to strike in public transit," said Michel Grant a professor at the University of Quebec in Montreal. "It's a model, and if they'd had had it in Toronto there wouldn't have been a problem and they wouldn't have needed a special law." Maintenance employees and drivers in Montreal belong to separate unions. Montreal's bus and subway drivers, who belong to the Canadian Union of Public Employees, voted overwhelmingly in February for a new five-year contract. As for maintenance workers, their strike last May ended in only four days. They voted to return to work to dodge the threat of a government-imposed settlement, but remain without a contract. http://www.theglobeandmail.com/servlet/story/LAC.20080429.TTCMONTREAL29/TPStory/TPNational/Ontario/
  12. Montréal, entre McDo et Bilbao http://www.cyberpresse.ca/article/20080504/CPOPINIONS05/805040578/6741/CPOPINIONS Daniel Gill Photo Robert Mailloux, La Presse Rima Elkouri La Presse En dépit de ses prétentions, le futur Quartier des spectacles ne suffira pas à placer Montréal dans le circuit international des métropoles culturelles. Montréal ne peut plus se contenter de la culture McDo. Il lui faut absolument lorgner du côté de Bilbao, croit Daniel Gill, professeur à l'Institut d'urbanisme. En annonçant en grande pompe la réalisation du Quartier des spectacles l'automne dernier, politiciens et promoteurs en ont parlé comme d'une formidable vitrine pour Montréal-la-festive à l'étranger. Or, sans vouloir jouer les trouble-fête, il n'en est rien, avertit Daniel Gill, de l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal. «Les places festives n'ont pas d'impact à l'échelle mondiale. Ce qui a de l'impact, ce sont les grandes institutions et les grands musées», observe le professeur, qui prononcera mardi au congrès de l'ACFAS une conférence intitulée Les arts et la ville: entre McDo et Bilbao(1). Une présentation où il jettera un regard très critique sur la vision montréalaise de la culture - si vision il y a... Entre McDo et Bilbao, Montréal a choisi McDo, tandis que Toronto arrive avec succès à jouer sur les deux tableaux, constate Daniel Gill. «Montréal investit beaucoup dans la culture fast-food. Mais il faut aller au-delà de ça», dit-il. La prospérité des villes passe plus que jamais par leur capacité d'attirer le tourisme international. La ville marchande, devenue «ville marchandise», se sert désormais de la culture comme d'un levier. Deux modèles s'opposent, tout en cohabitant parfois: d'un côté la McDonalisation de la culture - un modèle qui mise sur une culture générique, jetable, populaire; de l'autre, un modèle élitiste calqué sur le succès de Bilbao, ville au passé industriel qui a su se repositionner en 1997 grâce à son musée Guggenheim à l'architecture audacieuse. Après des années de déclin, Bilbao a ainsi pu se transformer en misant sur le pouvoir de la culture. Et une petite ville industrielle ordinaire comme Pittsburgh est devenue une ville incontournable...»Tous les Européens veulent y aller. Son musée attire un million de visiteurs par année.» Ce qui importe quand on parle de «l'effet Bilbao», note Daniel Gill, ce n'est pas tant ce que l'on trouve à l'intérieur de son musée Guggenheim que l'oeuvre architecturale en elle-même, qui devient l'image de marque de la ville. «À Montréal, l'impact de nos musées sans grande audace est minime, constate-t-il. L'image qui représente encore et toujours Montréal à l'étranger, qu'on le veuille ou non, c'est le bon vieux Stade olympique. Il attire autant de gens que le Musée d'art contemporain, même s'il n'offre pas grand-chose à voir.» Que Montréal soit une ville de festivals, c'est très bien à l'échelle locale ou régionale. Mais cela ne suffit pas si on veut attirer, par exemple, des touristes de New York, Boston ou Philadelphie. «C'est une belle ville pour nous. Mais, pour l'étranger, le branding est mauvais», dit Daniel Gill. Pour le moment, la ville mise encore sur sa gloire passée. «On roule encore sur le prestige des J.O. et de la Formule 1. Si on perdait ça, ce serait la catastrophe.» Et le projet de Quartier des festivals de 120 millions? Ce n'est qu'un «parvis», dit Daniel Gill. Le parvis de quoi? De rien, c'est bien ça le problème. «Devant une église, il y a un parvis. Devant un musée, il y a un parvis. Devant l'hôtel de ville, il y a un parvis. Mais une place publique, qui n'a pas de sens parce qu'elle n'est pas encadrée d'activités publiques, ça devient quoi? Au mois d'octobre, ce sera quoi?» Les touristes vont dans les villes où il y a des «attractions», pas juste une ambiance de festival. D'où l'importance d'avoir l'audace d'investir aussi dans la monumentalité architecturale, croit Daniel Gill. Pour le moment, il n'y a rien de tel en ville. Le dernier grand geste architectural fait à Montréal, c'est la Grande Bibliothèque. Sur le plan du rayonnement international, il s'agit d'un geste raté. «Dans nos investissements publics, il faut ne pas rater ces occasions de faire des bâtiments qui, tout en servant avant tout aux gens qui habitent là, s'inscrivent dans une perspective mondiale. Si ça coûte 70 millions faire une bibliothèque ordinaire, ça vaut la peine d'en ajouter 20 autres, qui feront de la bibliothèque un landmark ou point de repère de la ville.» Pour se démarquer, Montréal doit donc faire un «geste majeur», dit Daniel Gill. Le projet de casino avec le Cirque du Soleil, s'il avait été mieux situé, est-il le genre de «geste» auquel il pense? «Oui, le Cirque du Soleil, c'était une grande occasion ratée. On a peut-être mal présenté le projet. On l'a peut-être mal situé aussi. Mais c'est vraiment une occasion ratée. Les gens ne saisissent pas l'importance du tourisme international actuellement.» Chaque époque a ses monuments architecturaux, rappelle Daniel Gill. Avant la période industrielle, le pouvoir religieux s'exposait dans les grandes cathédrales. Durant la période industrielle, le pouvoir industriel s'exposait à travers les grandes foires internationales (la tour Eiffel en témoigne). La période postindustrielle est symbolisée par les grandes tours à bureaux (le World Trade Center, par exemple). Et dans cette période «informationnelle» qui est la nôtre, on met de l'avant les lieux de savoir: les musées, les bibliothèques, les salles de spectacles... Aucun projet urbain de renommée internationale ne peut aujourd'hui être envisagé sans «starchitects» - de grandes stars de l'architecture qui, comme Frank Ghery à Bilbao, vont changer du tout au tout l'image d'une ville, constate Daniel Gill. Or, à Montréal, parce qu'on manque d'audace et de vision, on n'en est pas là. Si l'idée de créer, par exemple, une annexe du Musée d'art contemporain au silo no 5 pourrait être prometteuse, il semble que ce ne soit pas pour demain. Alors qu'à Toronto, où on est en train de construire le Bell Lightbox, un complexe cinématographique d'avant-garde qui deviendra le quartier général de son festival de films et une référence sur la planète cinéma, on est déjà ailleurs. D'ici à 2017, la ville pourra sans prétention aucune se qualifier de capitale canadienne de la culture. Peut-on fonder un peu d'espoir dans la nouvelle salle de l'Orchestre symphonique de Montréal? «Il va falloir qu'elle soit belle, qu'elle se démarque. Si on fait une salle semblable à la Place des Arts dans son architecture, on va manquer notre coup. Ma crainte, et c'est toujours le problème au Québec, c'est qu'on ne comprend pas la valeur de l'architecture dans le positionnement des villes.» C'est une question de richesse aussi, non? Non, dit-il. Le manque de moyens est une question secondaire. «On a toujours pensé que la culture découlait d'une économie florissante. Mais il faut penser autrement maintenant. C'est la culture qui génère l'économie florissante.» À méditer. (1) Le colloque international Arts et territoires: Vers une nouvelle économie culturelle? aura lieu les 6 et 7 mai à Québec dans le cadre du 76e congrès de l'ACFAS (Information: www.acfas.ca)
  13. Huhummm... Est-ce que tu as des contacts dans le milieu (casino, cds, ville)? Ou c'est un rêve dont tu nous faisais part?
  14. La construction commence tard...automne 2009... Nouveau rendu, de jour cette fois-ci :
  15. Moi, j'aime bien NOMADE. C'est dommage, par contre, que beaucoup de leurs meilleurs projets sont à l'étranger... NOMADE sait innover, créer du nouveau, du jamais vu dans la métropole. Leurs réalisations ont un style américain (donc plus carré que rond) s'armonisant parfaitement avec ce qui est déjà construit, mais possèdent une modernité incroyable à mes yeux. Le nouveau style américain finalement! On devrait leur donner plus de contrats. M9 Le projet de casino
  16. Je sais que le Louis Boheme, de MSDL, a gagné un prix... EDIT Je viens de vérifier: il s'agit d'un concour pancanadien et le projet n'a pas gagné le premier prix.
  17. Gregbx à raison, c'est plutôt les deux bâtiments qui ont été construit pour ressembler à l'architecture traditionnelle chinoise.
  18. c'était 200 jobs en sous traitance,... ça aurait put être perdu n'importe quand. Là ils seront intégré à Morgan Stanley, peut etre de meilleurs conditions et salaires... qui sait?
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