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  1. http://www.newswire.ca/en/story/1447329/-r-e-p-r-i-s-e-un-entrepreneur-local-lance-1642-cola-l-esprit-de-montreal-dans-une-bouteille?relation=org https://www.indiegogo.com/projects/le-cola-de-montreal-first-montreal-cola
  2. Un complexe de luxe pour financer le retour du baseball à Montréal Pour financer le retour du baseball majeur à Montréal, un groupe secret d'hommes d'affaires envisage de construire un hôtel cinq étoiles, une boîte de nuit et une salle de spectacles. L'immense projet baptisé «le Littoral de Montréal» serait situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest entre les ponts Champlain et Victoria. Destinées à «une clientèle ciblée», ses installations de luxe viseraient à financer le sport amateur ainsi que la construction d'un stade de baseball. Le projet est porté par l'avocat de Québec Guy Bertrand. Son désir de doter Montréal d'infrastructures sportives est connu depuis des années. Mais l'aventure est entourée de mystère. On ignore qui sont les bailleurs de fonds, même si l'avocat parle «d'investisseurs orientaux et internationaux». Guy Bertrand vient toutefois de mettre à jour son inscription au registre des lobbyistes, et de nouveaux éléments ont émergé, dont l'idée de financer un stade de baseball par un complexe de luxe. «Avant de se lancer dans la construction d'un stade et d'installations pour le sport amateur, il faut un projet rentable», a expliqué Guy Bertrand en entrevue. Selon l'inscription au registre, le complexe serait érigé en bordure du fleuve en cinq temps. Il comprendrait en plus du complexe de luxe, un stade de baseball, un centre sportif, un anneau de glace et peut-être un vélodrome. Le centre sportif serait doté de plateaux pour «par exemple le taekwondo, le judo, le ping-pong, note Me Bertrand. On a déjà été en contact avec des fédérations sportives et le but n'est pas de dédoubler ce qui se fait au Parc olympique, mais d'offrir des infrastructures qui n'existent pas ou qui doivent être améliorées.» La consultation du registre permet par ailleurs de découvrir l'identité d'au moins un des partenaires de Me Bertrand, la firme Scéno Plus. Cette entreprise de design montréalaise a notamment mené plusieurs projets d'envergure dans des casinos américains, comme la conception de salles de spectacles. Encore bien du travail à faire Mais le Littoral de Montréal est encore loin d'une réalisation. Et le retour du baseball à Montréal n'est pas pour demain la veille. Guy Bertrand précise ne pas avoir contacté le «Projet baseball Montréal» de Warren Cromartie. Le site envisagé est par ailleurs lourdement contaminé. Sa décontamination coûterait 100 millions de dollars. Me Bertrand entend d'ailleurs faire des démarches auprès du gouvernement fédéral pour obtenir des fonds publics, précisant que le reste du projet sera porté par des investisseurs privés. «La décontamination de ce secteur sera un enjeu important», reconnaît le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, qui dit avoir vaguement entendu parler du projet de Guy Bertrand, même si aucune démarche formelle n'a été entreprise, selon lui. «Je suis maire de l'arrondissement depuis 2009 et j'ai vu passer trois projets de stade de baseball sur ce site», note-t-il. Guy Bertrand n'est pas pressé. "Ça fait cinq ans qu'on travaille sur ce projet et c'est du sérieux. On va y aller tranquillement, assure-t-il. Que ceux qui veulent se complaire dans la morosité s'y complaisent. Moi, je pense qu'il faut ramener le baseball à Montréal et peut-être même les Jeux olympiques. C'est possible.» http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201308/23/01-4682468-un-complexe-de-luxe-pour-financer-le-retour-du-baseball-a-montreal.php
  3. Un auteur dénonce l’«apartheid» universitaire au Québec. Même si le poids démographique des anglophones est inférieur à 6% au Québec, les universités anglophones s’y partagent près de 30% du budget. Aux yeux de l’auteur Louis Préfontaine, c’est à ce problème que devrait répondre le gouvernement lorsqu’il est question du sous financement des universités du Québec. À l’occasion de la sortie du livre Apartheid universitaire, Métro s’est entretenu avec l’auteur. Vous dénoncez le surfinancement des universités anglophones. Le titre de votre livre, Apartheid universitaire, est-il volontairement provocateur? C’est pour faire prendre conscience qu’il y a deux réseaux parallèles d’éducation. On a un réseau francophone qui a une très faible vitalité avec des revenus moindres. La minorité anglophone du Québec jouit d’un réseau d’éducation largement mieux financé per capita que celui de la majorité francophone. On peut donc considérer qu’il y a une forme d’apartheid entre les réseaux. C’est une forme de discrimination à l’égard du Québec. On a qu’à regarder notre réseau pitoyable d’universités francophones. Mais oui, il y a une composante de provocation dans mon titre, mais il est assumé. Selon vous, la solution est de financer les universités anglophones selon le poids démographique des cette communauté au Québec? On ne prend pas les moyens d’assurer la vitalité de notre langue. Ce que je propose dans mon livre est de régler une injustice et de financer les universités anglophones en fonction de leur poids démographique. Et même en faisant cela, on leur donnerait plus que ce que les minorités des autres pays reçoivent. À ce sujet: McGill et Concordia blâmées par les étudiants Les étudiants s’inquiètent du taux d’emploi Des Belges se disent intimidés pour avoir porté le carré rouge Si on finançait de manière équitable les universités au Québec, il faudrait franciser les Universités Bishop, McGill et la moitié de Concordia. Ça vous donne une idée de l’ampleur du surfinancement. -Louis Préfontaine, auteur d’Arpatheid universitaire Mais il n’y a pas que des anglophones dans ces universités… C’est vrai et c’est correct. Mais ce serait bien aussi qu’il y ait des anglophones dans les universités francophones. Il y a aussi beaucoup d’étudiants étrangers dans ces universités qui sont financés avec nos impôts. On attire des gens (et notamment des Français) qui ne souhaitent pas de participer à la culture québécoise mais plutôt à la culture majoritaire anglophone nord-américaine. En soit, ce n’est pas un problème. Le problème c’est que nous payons pour ça. S’il y avait une université privée, elle pourrait faire ce qu’elle veut. Mais en ce moment, 50% des étudiants de McGill ne viennent pas du Québec. Et nous, nous payons pour ces gens-là. Sans McGill, le Québec ne se classerait pas dans les meilleurs palmarès d’universités… Oui McGill est une très bonne université, mais c’est une université qui ne favorise pas l’ouverture à la culture québécoise. Et si on donnait à l’UQAM les sommes que l’on donne à McGill ou si on donnait une faculté de médecine à l’UQAM on améliorait sa réputation et sa qualité. McGill, historiquement, est un symbole de la domination de la minorité de langue anglaise au Québec et ils n’ont jamais accepté le fait qu’ils ne sont plus une minorité canadienne, mais une minorité québécoise. Et c’est la clé pour comprendre le problème actuel. Votre livre sort dans un contexte propice où le financement universitaire est dans l’actualité. Oui. Je n’en parle pas directement dans le livre, mais c’est aussi un argument aux étudiants pour le dire regardez il y a moyen de réaménager les choses pour aller chercher les sommes dont le gouvernement a besoin. Le cas McGill L’université McGill reçoit 1,2 G$ du 1,7 G$ que les universités anglophone reçoivent (71%) du Québec. En prenant le financement de chaque institution séparément (et non pas en réseau comme le réseau de l’Université de Montréal qui comprend HEC et Polytechnique), McGill est l’université la plus financée au Québec. Et un étudiant sur deux à McGill vient de l’extérieur du Québec. M. Préfontaine se demande donc pourquoi ce serait au Québec de financer cette situation. http://journalmetro.com/actualites/national/65422/un-auteur-denonce-lapartheid-universitaire-au-quebec/
  4. États-Unis 800 millions pour un projet de train à grande vitesse en Floride Agence France-Presse 25/10/2010 22h52 MIAMI - Le gouvernement américain va allouer 800 millions de dollars pour la construction d'une ligne à grande vitesse reliant en train les villes de Tampa et d'Orlando en Floride, ont rapporté lundi des parlementaires de l'Etat et des médias locaux. Avec ces nouveaux fonds, le projet de train à grande vitesse en Floride --le premier aux États-Unis-- s'élève à plus de deux milliards de dollars. «C'est une super nouvelle pour la Floride», a déclaré le sénateur Bill Nelson. «Ce projet va permettre à l'État de garder un train d'avance en matière de train à grande vitesse», a-t-il ajouté. Le Tampa Tribune a rapporté lundi que le secrétaire d'Etat aux transports Ray LaHood avait annoncé aux parlementaires de Floride que 800 millions de dollars seraient alloués à la ligne Tampa-Orlando. Huit millions de dollars vont aussi servir à financer une étude pour une ligne reliant Miami et Orlando, selon le journal. Un porte-parole de la Federal Railroad Administration a refusé de confirmer auprès de l'AFP les chiffres avancés, précisant qu'une annonce sur ce thème serait faite jeudi.
  5. L'ancien premier ministre du Québec dénonce les emprunts de la Caisse de dépôt pour financer ses placements, en donnant en garantie les pensions des Québécois. Pour en lire plus...
  6. La demande pour les actions privilégiées de la banque semble forte et cette dernière en profite pour se financer davantage. Pour en lire plus...
  7. C'est moins facile que ça l'était, mais ça se trouve encore. Le producteur québécois d'énergie Innergex vient de trouver 53,4 millions pour financer son projet éolien de Carleton en Gaspésie. Pour en lire plus...
  8. Pour se renflouer, Chrysler veut gonfler les stocks de véhicules d'une partie de ses concessionnaires, mais plusieurs refusent, n'ayant pas les moyens d'en financer davantage. Pour en lire plus...
  9. La Chine pourrait vendre des obligations dites de «construction» pouvant atteindre 200 milliards de yuans (3,5 milliards CAN) pour aider à financer un programme de dépenses gouvernementales, d'après un dirigeant du Centre d'information d'État. Pour en lire plus...
  10. Le crédit se tarit pour les centres commerciaux 17 octobre 2008 - 06h37 La Presse Laurier Cloutier Le financement de projets commerciaux se tarit à vue d'oeil aux États-Unis et au Canada, obligeant les promoteurs à présenter davantage de garanties pour obtenir du crédit. Selon plusieurs spécialistes nord-américains, les prêteurs exigent des promoteurs de centres commerciaux 65% de baux signés, plutôt que 50% auparavant, et 40% de capital, au lieu de 30%, avant de financer en partie un projet. Et les écarts ne semblent pas si grands entre les nouvelles normes de crédit aux États-Unis et au Canada. Des projets commerciaux sont reportés, mis sur la glace, sinon abandonnés. Après vérification dans son réseau, Jean Lambert, directeur de la recherche mondiale de l'International Council of Shopping Centers (ICSC), de New York, affirme qu'il serait surpris de voir un projet commercial démarrer à court terme aux États-Unis. «Avec le magasin d'une grande chaîne comme locomotive, un centre commercial peut lever, mais seulement avec 60% de financement», dit-il. «Les banques américaines ont fermé le robinet, presque complètement, dans le crédit au développement. Un projet fantastique peut attirer quelques banques, mais à des taux d'intérêt très élevés et avec tous les recours (garanties mur à mur). Au Canada, les banques ont toujours été plus prudentes et, en outre, le commerce de détail se porte mieux qu'aux États-Unis», ajoute Jean Lambert. Projets reportés Au Québec, Gilles Fortin, président de la chaîne Tristan&America, a signé un bail pour aménager un autre magasin de vêtements dans un projet de centre commercial, mais il ne sait pas quand il va ouvrir. Le promoteur n'a pas encore 65% de ses baux signés et, avec la crise, tout est reporté. «Aux États-Unis, il y a beaucoup de projets commerciaux reportés, mis sur la glace et même annulés. C'est assez généralisé. Toutes les banques serrent la vis, sauf pour un promoteur avec un excellent crédit», ajoute Jean Lambert, du ICSC. à New York. «Avant, au Québec, une banque pouvait financer 70% de la valeur d'un projet commercial. Là, c'est seulement 60% ou 65%, avec 35% à 40% de comptant et à un taux d'intérêt de 1% plus élevé», déclare de son côté Frédéric Labrie, directeur du commerce de détail au Groupe Altus (consultants). «Avant, les banques se battaient entre elles sur 0,05% de taux d'intérêt. Là, c'est l'inverse. Sur 15 projets, les banques en regardent cinq et font un seul prêt.» «Depuis trois mois, les conditions sont plus difficiles, autant sur le financement de projets commerciaux que sur celui de propriétés existantes, mais ce n'est pas alarmant, ajoute Frédéric Labrie. Le Quartier DIX30 a déjà des assises solides et ce n'est pas difficile de financer la construction des autres phases. Quand viendra le temps de mettre en chantier, Griffintown devra par contre avoir du cash et des baux signés.» «Des projets sont remis en question, reconnaît Jean-Guy Parent, président des consultants Intercom Services immobiliers. Rien n'a été annulé encore, mais des chaînes attendent.» Jean-Guy Parent ne peut avancer de chiffres, mais des prêteurs comme la Banque Royale, Desjardins et la Banque Nationale, depuis deux semaines, lui disent qu'ils serrent la vis dans l'immobilier commercial. «Je ne dis pas qu'il n'y a plus de financement, mais on verra encore beaucoup de nervosité d'ici deux ou trois mois», affirme-t-il. Jean-Guy Parent voit aussi quatre ou cinq banques exiger des mises de fonds qui passent de 30% à 40%. «Ça peut retarder des projets commerciaux. Il n'y a pas de panique, mais des feux rouges s'allument. Ça prend des promoteurs avec des nerfs et des reins solides, avec du cash pour passer au travers.»
  11. Les deux organismes de financement hypothécaire viennent de vendre pour 3 G$ US de titres de dette de court terme, ce qui donne à penser qu'ils peuvent se financer sans aide du gouvernement. Pour en lire plus...
  12. Le bas de laine des Québécois détient 23,2% du capital-actions du gestionnaire aéroportuaire britannique. Ce prêt vise à financer les dépenses en immobilisation de BAA. Pour en lire plus...
  13. Le vendredi 1er août, GM Canada cessera de financer la location, un énorme marché au pays, et ne misera que sur la vente pour se maintenir en tête de l'industrie. Pour en lire plus...
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