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  1. Les commerçants commencent à réaliser que les stationnements sont pas si important que ça pour attirer leur clientelle... http://m.24heures.ca/24hmontreal/actualites/archives/2015/04/20150416-183632.html La Petite-Italie: stationnement sacrifié pour des terrasses Améli Pineda Hier à 18:36 Photo Améli Pineda / 24 Heures Stefano Faita, co-propriétaire de Impasto. MONTRÉAL - Malgré un manque de stationnement dans le secteur, des restaurateurs de la Petite-Italie, à Montréal, sont prêts à sacrifier des places de stationnement pour voir plus terrasses dans les rues du secteur. Stefano Faita, copropriétaire du restaurant Impasto, fait partie des restaurateurs qui troqueront les espaces de stationnement devant leur commerce pour installer une terrasse. «Même si on perd une couple de places de stationnement, je ne crois pas que ce soit un gros problème. Je pense au Plateau, où on se promène et qu'il n'y a pas toujours de stationnement et pourtant, les terrasses sont bondées», a dit M. Faita. Il soutient qu'avec seulement une douzaine de places supplémentaires grâce à cette terrasse, les retombées économiques viendront éponger les mois plus difficiles. Un avis partagé par Nick De Palma, propriétaire du restaurant Inferno situé sur la rue Dante. «L'hiver a été très difficile alors c'est certain qu'avec une terrasse ça aide à arrondir nos fins de mois», a-t-il confié. Solutions recherchées À la Société de développement commercial (SDC) Petite-Italie-Marché Jean-Talon, Cristina D'Arienzo assure que des solutions sont actuellement analysées pour combler le manque de stationnement dans le quartier. «Ce n'est pas les une ou deux places qui vont changer la problématique. Le manque de stationnement dans le quartier est connu et on travaille pour y remédier», a fait valoir Mme D'Arienzo. Elle indique que la SDC tente d'établir des partenariats pour occuper des stationnements privés, notamment dans des immeubles à condos, ainsi qu'au marché Jean-Talon, qui possédera un stationnement souterrain de 350 places. Doubler le nombre de terrasses Le maire de Rosemont-La Petite-Patrie, François W. Croteau, veut doubler le nombre de terrasses dans le quartier dès cette année. Quatre nouvelles rues seront autorisées à implanter des terrasses sur la rue, soit les rues Dante, Saint-Zotique, Shamrock ainsi que Beaubien, entre la 1re avenue et Fabre et entre Saint-Denis et Saint-Laurent. «On veut que ça amène une qualité de vie, que ça attire des gens pour que le quartier soit animé», a dit M. Croteau. En plus des restaurants et cafés, les autres commerces pourront aussi se doter d'une terrasse publique, à l'image des «placottoirs» sur le Plateau, qui constituent un espace de rencontre, avec des bancs et de la verdure. «On veut amener les commerçants à créer une vie de quartier. Si une crèmerie veut offrir un espace pour ses clients, elle pourra aussi le faire en implantant sa propre terrasse», a mentionné M. Croteau. Dans Rosemont, la saison des terrasses sera lancée le 1er mai. sent via Tapatalk
  2. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  3. Microsoft achète la division affaires de l’entreprise lavalloise InCycle Software pour un montant qui n’a pas été dévoilé. Plus précisément, Microsoft achète la division InRelease, qui conçoit des solutions de gestion de développement continu d’applications. Grâce à cette acquisition, le numéro un mondial du logiciel dit vouloir «élargir son offre de solutions de développement des opérations utilisant Microsoft Visual Studio et Team Foundation Server.» Visual Studio est un ensemble d’outils qui permet de développer des applications Web, alors que Team Foundation Server est un système de développement collaboratif de logiciels. «L'acquisition d'InRelease ajoutera des capacités de gestion de lancement aux solutions de gestion du cycle de vie des applications (application lifecycle management, ou ALM en anglais) et de développement des opérations offertes par Microsoft, ce qui aidera les clients à offrir de meilleures applications plus rapidement et plus efficacement», a expliqué l’entreprise de Redmond dans un communiqué. «InRelease a été conçu comme un complément aux fonctionnalités existantes de Visual Studio. Nous sommes très heureux qu'il fasse maintenant partie d'une solution d'ALM intégrée dont tous les clients Visual Studio pourront bénéficier», déclare Claude Remillard, président d'InCycle Software. Fondée en 2002, InCycle Software possède des bureaux à Laval, New York, San Francisco et Seattle. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/microsoft-achete-a-laval/558304#.Uaz00thKR5F
  4. Les associations de pêcheurs des provinces de l'Atlantique et de la Gaspésie réclament une rencontre d'urgence avec les ministres fédéral et provinciaux pour trouver des solutions à la crise qui secoue l'industrie. Pour en lire plus...
  5. Les représentants de 27 pays producteurs et consommateurs de pétrole réunis à Londres tentent de trouver des solutions pour endiguer l'effondrement des prix de l'or. Pour en lire plus...
  6. Très populaire chez les enfants, au défilé de samedi sur la rue Sainte-Catherine, le père Noël doit s'attaquer cette semaine à la mission difficile de transformer tout ça en achats. Pour en lire plus...
  7. Le géant canadien des télécommunications va investir 100 M$ sur trois ans dans le créneau de la santé en lançant une nouvelle marque, Telus Solutions en santé, basée sur l'expertise d'Emergis. Pour en lire plus...
  8. La Bourse de New York a perdu 2,63%, le Nasdaq 2,29% et le TSX 2,88%. Les indices boursiers ont manifesté leur découragement face au manque de solutions apportés par le G20 en fin de semaine. Pour en lire plus...
  9. Paul Martin : le Canada risque de perdre sa place mondiale * Anne Robert, Lesaffaires.com * 15:33 Si le Canada ne prend pas les devants pour initier la refonte des institutions internationales, il pourrait être exclu des plus grandes prises de décision mondiales, affirme Paul Martin, ancien premier-ministre du Canada. C’est ce qui pend au nez du Canada si l’actuel G8 ne parvient pas à se muer en un G20 incluant les grandes puissances émergentes, clame Paul Martin lors d’un déjeuner conférence du conseil des relations internationales de Montréal. «Nous ne sommes pas une des plus grandes économies de ce monde et rien ne garantit que nous participerons au résultat final », a-t-il dit. Le risque d’exclusion est réel dans la mesure où certains parlent déjà d’un G6 limité aux États-Unis, l’Europe, la Russie, la Chine, l’Inde et le Japon. Dans ce contexte, la voix du Canada serait tue dans les grandes prises de décision. C’est ce qui se pourrait se produire si le G8 insistait pour préserver sa structure «eurocentrique et américanocentrique», nourrissant ainsi le ressentiment des pays émergents envers les institutions internationales actuelles. «Si l’on reconnait la nécessité de partager le pouvoir, il faut el faire pendant qu’on le possède et on pas lorsque les autres sont en mesure de le prendre de force», a-t-il ajouté. Le G8 reformulé selon Paul Martin se composera de 16 à 20 pays devront constituer un «conseil d’administration mondial» qui aura pour apportera des solutions qui, même si elles ne sont pas suivies, auront le mérite de donner une direction mondiale. Cependant, à son avis, le sommet de Washington qui commence samedi ne fera que baliser le travail en vue mais n’apportera pas de solutions immédiates. «Je pense que des groupes de travail seront constitués, mais l’absence du nouveau président Barack Obama sera une entrave à l’avancée des travaux », a-t-il dit. Barack Obama n’a pas de rôle officiel pour l’instant puisqu’il a été élu mais ne prendra ses fonctions qu’en janvier prochain.
  10. Québec se démène pour trouver des solutions exceptionnelles aptes à venir en aide aux entreprises qui parrainent des régimes de retraite à prestations déterminées (PD). Pour en lire plus...
  11. Deux jours après le G7, les dirigeants politiques européens se réunissent à Paris afin de trouver des solutions à la crise. Pour en lire plus...
  12. La radio continue de prospérer au pays malgré la présence de plusieurs solutions de remplacement comme la radio par satellite, la radio par Internet ou les baladeurs numériques. Pour en lire plus...
  13. Une compagnie américaine débauche des infirmières québécoises Les infirmières Mélanie, Marie et Lyhn devant l'hôtel Ritz-Carlton, où des représentans américains leur ont vanté les avantages de travailler aux États-Unis. Photo André Tremblay, La Presse Catherine Handfield La Presse Alors que la pénurie d'infirmières est criante au Québec, une entreprise américaine recrute des diplômées québécoises depuis plusieurs mois en leur promettant de meilleures conditions de travail et un milieu où il fait bon vivre. Une cinquantaine d'infirmières décideraient de partir chaque année, a appris La Presse. Hier après-midi, des infirmières assistaient au quatrième séminaire d'information organisé par AmeriCANÀ Healthcare Solutions. L'entreprise du New Jersey recrute ici depuis mars 2006 pour combler le manque de personnel dans les hôpitaux des États-Unis. Plus d'une trentaines d'intéressées, ainsi que quelques hommes, ont écouté les conseils dans une salle de réception du chic hôtel Ritz-Carlton, rue Sherbrooke Ouest, à Montréal. Pat Chibbaro, infirmière new-yorkaise et consultante pour l'entreprise, y vantait les mérites de l'immigration chez nos voisins du Sud. «Il y a tellement de bonnes raisons d'aller travailler aux États-Unis», a-t-elle indiqué à plusieurs reprises. Elle a insisté surtout sur la possibilité de se spécialiser, sur la flexibilité des horaires, le respect de la profession et, bien sûr, le salaire avantageux. À leur arrivée, les candidates recevaient un porte-monnaie en cuir et une pochette d'information sur les avantages financiers de l'immigration aux États-Unis. Alors que le salaire annuel d'une infirmière varie entre 37 600$ et 56 000$ au Québec, il oscille entre 62 000$US et 74 000$US en Californie, par exemple. «Au Québec, c'est le syndrome du burnout, a dit à l'assistance le président d'AmeriCANÀ Healthcare Solutions, Jacob Safran. Les infirmières travaillent trop et sont sous-payées.» Mélanie Tremblay, qui vient tout juste d'être embauchée à l'Hôpital juif de Montréal, souriait pendant la présentation. Elle rêve depuis longtemps de travailler à New York, et la rémunération pèse aussi dans la balance. «Je me suis endettée pour faire mes études et, au Québec, le salaire n'est pas très bon pour la charge de travail.» «C'est difficile pour moi de trouver un emploi parce que je ne maîtrise pas le français», a dit pour sa part Marie Tess, qui ne parle qu'anglais. Un bureau à Montréal AmeriCANA Healthcare Solutions, qui possède un bureau à Montréal, convainc une cinquantaine d'infirmières par année d'émigrer aux États-Unis. «Nous sommes en contact régulier avec 170 personnes, et nous avons établi une liste de 600 candidates potentielles», explique Jacob Safran. L'entreprise n'est pas la première à convoiter les diplômées canadiennes, mais elle demeure la seule à cibler le Québec, selon M. Safran. «Le sentiment de fatigue est plus prononcé ici que dans les autres provinces», estime l'expert en recrutement. Le salaire au Québec est en effet le plus bas au Canada. Les recruteurs utilisent surtout le bouche à oreille pour se faire connaître puisque les cégeps de la province ont refusé qu'ils rencontrent les étudiantes. Ils font aussi paraître une publicité... dans la revue officielle de l'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec. «Le problème n'est pas la publicité, mais le manque de compétitivité des conditions de travail», se défend la présidente de l'Ordre, Gyslaine Desrosiers. Selon l'Association des infirmières et infirmiers du Canada, quelque 8000 nouvelles diplômées canadiennes de 2007 partiront travailler aux États-Unis. Le ministère de la Santé estime qu'il manque 1500 infirmières actuellement, un nombre qui pourrait grimper à 5000 dans les prochaines années et à 17 000 en 2019. Le Bureau international du travail prévoit pour sa part une pénurie d'un million d'infirmières aux États-Unis en 2010.
  14. Thursday, August 23rd, 2007 Areva T&D Canada adding 94 jobs as it consolidates operations near Montreal Canadian Press MONTREAL (CP) - Areva T&D Canada is adding nearly 100 new jobs as it consolidates its Canadian operations in La Prairie, Que., southwest of Montreal. The energy company said the plant will be expanded by March 2008, primarily to meet the new needs of its systems business unit. "The consolidation will make it possible to better meet the needs of our clients, present and potential, and increase of commercial synergies in a market where reaction and response time are essential to success," president Greg Farthing said in a release. "Furthermore, this reorganization will help us to respond to a growing number of clients who want integrated turnkey solutions consisting of products manufactured by several business units." The Quebec plant will eventually house more than 300 employees. A facility in nearby St-Leonard will be closed. The company said the consolidation follows the launch of its new systems group business unit, HT shop layout, acquisition of new tools for the production of high-tension circuit breakers and disconnectors, implementation of new manufacturing software and the strengthening of its sales force in Canada. Areva provides technological solutions for carbon dioxide-free power generation and electricity transmission and distribution. The Canadian company is a division of French nuclear giant Areva.
  15. Bernard Lord se joint à l'Institut économique de Montréal à 11h56, le 17 juin Équipe rédactionnelle - Jminforme.ca nouvelle@jminforme.ca L’ancien premier ministre du Nouveau-Brunswick vient de se joindre à L’institut économique de Montréal (IEDM), un institut de recherche et d’éducation indépendant, sans but lucratif, à titre de membre du conseil. M. Lord, qui est depuis le mois de mai, le premier professeur en résidence de l’Institut d’analyse stratégique et d’innovation du Centre universitaire de santé McGill, travaillera à l’élaboration d’études stratégiques sur les politiques de santé, axées sur la responsabilisation des citoyens envers la gestion de leur santé. «Il est important de rechercher des solutions nouvelles qui nous permettront de relever le défi démographique et d'aider les gens à vivre en santé plus longtemps», affirme Bernard Lord. L’IEDM propose des solutions afin de susciter l'élaboration de politiques publiques optimales en s'inspirant, notamment, de réformes appliquées avec succès ailleurs dans le monde. L’institut étudie aussi le fonctionnement des marchés dans le but d'identifier les mécanismes et institutions susceptibles de favoriser une prospérité et un bien-être accrus et durables.
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