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  1. Désolé pour els amateurs de mauvaises nouvelles. Voici un artcile sur la progression de PSP Investissement, une caisse de retraire comparable à la caisse de dépot et 100% basé à Montréal (mis à part un bureau bidon à Ottawa pour de la représentation). La croissance de leur actif les positionnent maintenant au 4e rang des caisses de retraire au Canada derrière CDP, CPP et Teacher's. Un jour ils auront leur propre tour dans le CV de Montréal je vous le garantie. Publié le 13 décembre 2013 à 06h42 | Mis à jour à 09h29 Actif doublé à plus de 85 milliards en quelques années à peine. Effectif montréalais approchant les 500 employés. Plus de 4 milliards par an en nouveaux capitaux à investir. Le tableau de bord de la société montréalaise Investissements PSP a de quoi susciter l'envie parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite au Canada. Mais au dire de son président et chef de la direction, Gordon Fyfe, les défis de gestion chez PSP s'apparentent encore à ceux d'une entreprise en pleine émergence: produire de bons résultats courants et futurs tout en gérant une croissance rapide de l'actif et des effectifs. «Pendant que nous développons nos équipes de placement et leur portefeuille, nous devons aussi gérer beaucoup de liquidités qui entrent et qui sortent chaque année dans notre actif», résume Gordon Fyfe en entrevue avec La Presse Affaires. «Néanmoins, cet afflux de liquidités est aussi l'un de nos principaux avantages comparatifs parmi les gestionnaires d'actif de grosses caisses de retraite. Nous avons plus de flexibilité pour effectuer nos transactions aux moments les plus avantageux selon nos objectifs de rendement.» D'où provient cet avantage? Pour l'expliquer, il faut rappeler qu'Investissements PSP a été créée il y a 13 ans par le gouvernement fédéral en tant que société d'État autonome avec le mandat de mieux gérer l'actif des caisses de retraite de plusieurs dizaines de milliers d'employés fédéraux. Il s'agit d'abord de la caisse principale des fonctionnaires, mais aussi celles de la Défense nationale, de la Gendarmerie royale du Canada et, depuis peu, des membres de la Réserve militaire. À l'époque, en 2000, l'actif combiné de ces caisses de retraite se chiffrait à une dizaine de milliards de dollars. Treize ans plus tard, il vient de passer le seuil des 85 milliards. Et il est déjà prévu autour des 300 milliards dans une quinzaine d'années, selon les hypothèses actuarielles des caisses de retraite fédérales. En ce moment, la croissance de l'actif géré par PSP est en partie attribuable aux revenus de placement accrus par une gestion active. Ces revenus ont atteint 7,1 milliards lors de l'exercice terminé le 31 mars, ce qui a porté à 23 milliards le total des revenus engrangés au cours des quatre dernières années, depuis le revers de 9,5 milliards subi l'année de la crise financière. Mais aussi, admet d'emblée Gordon Fyfe, la croissance d'actif chez PSP provient encore beaucoup de l'influx annuel de 4 à 5 milliards de dollars en nouveaux capitaux à investir. PSP se retrouve ainsi dans une situation singulière parmi les gestionnaires d'actif des plus grandes caisses de retraite du secteur public au Canada. Selon M. Fyfe, cette situation découle de la «jeunesse démographique» des caisses de retraite fédérales dont PSP gère les placements, comparativement à ses semblables comme la Caisse de dépôt et placement du Québec et les caisses Teachers' et OMERS en Ontario. «Ces caisses de retraite sont plus matures démographiquement, et certaines déjà en phase de sortie de liquidités [NDLR: nombre croissant de retraités-prestataires par rapport aux salariés-déposants]. Chez PSP, les caisses dont nous gérons les actifs ne seront pas dans cette situation avant 15 à 20 ans.» D'où l'avantage comparatif auquel prétend PSP parmi ses pairs en pouvant compter sur un apport considérable de capitaux neufs à investir pour plusieurs années. Aussi, PSP peut orienter sa recherche d'actifs selon deux critères principaux. D'une part, des actifs à potentiel supérieur de croissance mais à long terme, notamment dans les économies émergentes par rapport aux économies développées. C'est ce qui explique en partie la part de 16% de l'actif total de PSP qui est identifiée aux régions d'économies émergentes comme l'Asie et l'Amérique latine. Flexibilité D'autre part, explique Gordon Fyfe, PSP a la flexibilité de liquidités pour investir rapidement dans des actifs de qualité mais qui se retrouvent en «détresse» temporaire en raison d'une conjoncture négative ou de problèmes financiers chez leurs propriétaires. Un exemple de cette flexibilité? Au lendemain de la crise financière de 2008, et même si le rendement de son actif en avait été très affecté comme chez ses pairs, PSP avait encore des milliards de dollars en capitaux neufs à investir dans des actifs soudainement dépréciés. C'est ainsi que PSP a pu profiter de la crise immobilière dans plusieurs villes américaines, dont New York, pour garnir son portefeuille de bons immeubles commerciaux à prix avantageux. Quelques années plus tard, le portefeuille immobilier de PSP approche les 10 milliards, à hauteur de 12% de l'actif total sous gestion. Et le rendement courant de ce portefeuille immobilier (11% durant l'exercice terminé le 31 mars) cote au double de celui de l'indice de référence sectoriel. «Nous réalisons de solides rendements de nos divers portefeuilles depuis quelques années et nous entendons bien continuer ainsi», affirme Gordon Fyfe. Quant à sa lecture courante des marchés du placement, il préfère s'en tenir à sa philosophie de direction des équipes de portefeuille chez PSP. «Ce qu'il y a d'intéressant dans notre domaine, c'est qu'il y a toujours quelque part de bons actifs qui se retrouvent dans le trouble. Et chez PSP, nous avons les moyens de transiger rapidement dans ce type d'actifs, mais toujours quand ça nous plaît vraiment et selon nos objectifs de rendement.» Investissements PSP en un coup d'oeil > Activités: gestion des placements de l'actif de quatre caisses de retraite d'employés fédéraux: fonction publique, Défense nationale, GRC, Force de réserve > Actif net (au 1er déc. 2013): 86 milliards > Rendement annualisé depuis quatre ans: 12,2% (au 31 mars) > Siège administratif: Montréal > Effectif: 470 employés > Frais d'exploitation: 0,24% de l'actif net (au 31 mars) > Rémunération des cinq principaux dirigeants: 16,1 millions (+57% en 2013) > Année de fondation: 2000 (société d'État fédérale) Source: Investissements PSP Les grands gestionnaires de fonds de retraite > Office d'investissement du Régime de pension du Canada: 192 milliards (au 30 sept. 2013) > Caisse de dépôt et placement du Québec: 186 milliards (au 30 juin 2013) > Teachers (Régime de retraite des enseignants de l'Ontario): 129 milliards (au 31 déc. 2012) > Investissements PSP: 86 milliards (au 1er déc. 2013) > Alberta Investment Management Corp.: 68 milliards (au 31 déc. 2012) > Omers (Régime de retraite des employés municipaux de l'Ontario): 61 milliards (au 31 déc. 2012) > BC Pension: 31 milliards (au 31 mars 2013) > OPB (Commission des régimes de retraite de l'Ontario): 19 milliards (au 31 déc. 2012) Sources: rapports annuels, Bloomberg, archives média Eureka
  2. L'assureur américain déclare une perte colossale de 62G$US au 4e trimestre, portant ses pertes à 100G$US pour 2008. Washington, déjà actionnaire majoritaire d'AIG après lui avoir versé 150G$US, est prêt à investir 30G$US de plus. Pour en lire plus...
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  6. Le gouvernement américain préfère investir dans les banques et les prêts hypothécaires pour sauver l'économie du chaos. Pour en lire plus...
  7. Le chef de la direction de Shaw, Jim Shaw, a affirmé que la société ne comptait pas investir dans le sans-fil l'an prochain. Pour en lire plus...
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  9. Le patron du groupe allemand Porsche, Wendelin Wiedeking, affirme dans la presse allemande être personnellement épargné par la crise financière, n'ayant jamais été détenteur d'actions et préférant investir dans les troquets. Pour en lire plus...
  10. La compagnie junior d'exploration pétrolière et gazière a notamment entrepris le forage d'un puits à Bécancour il y a un peu plus de deux semaines. Pour en lire plus...
  11. L'action de Cascades a constamment reculé depuis le début de 2007. Est-ce un tel repli qui poussé deux membres de la famille Lemaire à y investir massivement ? Pour en lire plus...
  12. Investir à Québec Les Affaires, 00:00 Canadian Real Estate Il n'y a pas que Céline et Sir Paul qui aiment Québec. Le magazine Canadian Real Estate aussi. Car Québec est un bon endroit pour placer son argent dans la brique, nous apprend ce magazine spécialisé. Mieux : ce serait, après Ottawa, le deuxième endroit au Canada pour l'investissement immobilier. Canadian Real Estate a publié la liste des 10 marchés immobiliers les plus prometteurs. Cette liste est fondée sur les performances actuelles du marché, les infrastructures et les projets de développement. La Vieille Capitale est la seule ville québécoise à figurer au palmarès. Décidément, tout réussit à la ville de Québec ces temps-ci.
  13. Le plus grand producteur d'engrais au monde prévoit investir 1,6 G$ US pour ajouter 2,7 millions de tonnes à la capacité de potasse de trois de ses usines et mines en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  14. Industrielle Alliance pourrait investir 250 M$ aux États-Unis 18 juin 2008 - 06h56 Bloomberg Industrielle Alliance (IAG), Assurance et services financiers, quatrième assureur-vie au Canada, pourrait investir jusqu'à 250 millions de dollars au cours des cinq prochaines années pour assurer son essor aux États-Unis. Cet essor est susceptible de comprendre des acquisitions, a fait savoir hier le PDG de la société, Yvon Charest. Les activités d'Industrielle Alliance en Californie, au Texas et en Arizona forment 1% de toutes les primes et les dépôts de l'entreprise. «Nous sommes convaincus que les choses vont suffisamment bien au Canada pour utiliser certaines ressources à plein temps dans nos activités aux États-Unis», a précisé M. Charest à des investisseurs au cours d'une conférence qui se tenait hier à Toronto. Industrielle Alliance, dont le siège est à Québec, pourrait augmenter ses bénéfices par action de 10% par année sans recourir à des «actions de gestion» comme des acquisitions, a dit M. Charest. Il n'a pas nommé de cibles d'acquisition spécifiques. Industrielle Alliance a haussé la somme des bénéfices qu'il versera en dividendes selon une gamme de 25 à 35% des profits. Il s'agit d'une hausse par rapport à la fourchette antérieure, qui oscillait entre 20% et 30%. De plus, la société a revu à la hausse ses prévisions quant à la fourchette du rendement des capitaux propres entre 14% et 16% pour l'an prochain, comparativement à 13% à 15% selon sa prévision antérieure. Hier, l'action d'Industrielle Alliance a glissé de 55 cents, à 35,15$, à la Bourse de Toronto. Le titre a chuté de 16% cette année. Source http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080618/LAINFORMER/806180677/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  15. Comme leurs ventes faiblissent, les centres commerciaux investissent dans les agrandissements et les rénovations. Pour en lire plus...
  16. Kruger doit confirmer, cet après-midi, un investissement de 200M$ à son usine de Trois-Rivières. Le projet vise la construction d'un atelier de désencrage, c'est-à-dire des installations pour traiter le papier déjà utilisé afin de le transformer à nouveau en pâte. Cet atelier de désencrage sera le plus gros au Québec. Ce faisant, Kruger va devenir le premier recycleur de papier et de fibres de la province. Quelque dizaines d'emplois seraient ainsi créés. Le papier recyclé est de plus en plus en demande en raison des pressions des groupes environnementaux. Ca fait plus de 10 ans que Kruger songe à investir dans un tel projet, mais elle n'y avait pas donné suite jusqu'à maintenant. L'annonce va se faire en compagnie du premier ministre Jean Charest et d'une brochette de ministres.
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