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  1. Je ne parle pas de la faune d'Homo sapiens qui courent les bars. Je parle d'animaux sauvages. Ça fait 10 ans que je vis au centre-ville et j'en ai vu... un peu. Pas un orignal qui traverse la Sainte-Catherine, bien entendu. Mais la faune est aux portes du centre-ville, sur le mont Royal, le long du fleuve. De rares braves restent ici, certains sont de passage. Voici ce que j'ai vu jusqu'ici. Côté mammifères, c'est mince. Des écureuils, des écureuils, et encore des écureuils. Les rats eux, se cachent bien. J'en ai jamais vu. Le plus exotique est un raton laveur qui trainait, un matin, dans la cour. Pas d'animaux que l'on voit dans les banlieues, comme des moufettes ou des lièvres. Côté oiseaux, c'est plus varié. Les étourneaux, moineaux et pigeons dominent. Les goélands eux, nichent le long du fleuve mais survolent le centre-ville. L'an dernier on a eu droit à un ajout important. Des corneilles. Elles sont revenues cette année. Quand c'est très calme, le dimanche matin, j'entends parfois les carouges qui se tiennent au parc Viger. Je n'ai jamais vu par contre les mythiques faucons qui semblerait-il, nichent en haut d'une tour au centre-ville. J'ai vu aussi quelques oiseaux égarés, un merle d'Amérique, un pinson à tête blanche (Frédéric), une paruline (fauvette), un jonco ardoisé et un cardinal, dont voici la photo. À mon décompte, 2 espèces de mammifères et 11 espèces d'oiseaux. C'est pas la grosse biodiversité. Si vous avez vu des animaux inusités au centre-ville, parlez-en dans ce fil.
  2. Qu'ils aient visité le Vieux-Port, marché sur le Mont-Royal ou encore arpenté les rue du Plateau, les visiteurs qui ont mis les pieds dans la métropole pour deux nuitées ou plus au cours de l'année 2011 sont vraisemblablement repartis satisfaits de leur séjour, puisque 84% d'entre eux ont affirmé avoir certainement l'intention de recommander la destination à leurs proches. Et près de 49% des touristes ont donné une note de satisfaction de 9 sur 10 à la métropole en 2011, alors qu'ils étaient 40% à lui attribuer ce résultat en 2006. C'est du moins ce que révèle un sondage mené par la firme de recherche Ipsos pour le compte de Tourisme Montréal, dévoilé mercredi. Ainsi, l'année dernière 7,8 millions de touristes ont foulé le sol montréalais, une augmentation de 1,7 % par rapport à 2010. De ce nombre, 56 % provenaient du Québec, 21 % du reste du Canada et 23 % des États-Unis ou d'ailleurs dans le monde. Parmi les attraits les plus visités par les voyageurs, le Vieux-Port arrive en tête, suivi du parc du Mont-Royal et du Quartier chinois. Médias sociaux Par ailleurs, les données du sondage démontrent que les médias sociaux ont maintenant une importante influence dans le choix des destinations touristiques. La preuve, à la suite de leur séjour dans la métropole québécoise, près de 37% des visiteurs partagent leur expérience à Montréal en publiant en ligne des photos de leur voyage, alors que 25% d'entre eux émettent des commentaires sur différents sites Internet. De plus, le web a été l'outil le plus utilisé par les touristes qui ont atterri à Montréal pour l'organisation et les réservations. Plus de la moitié d'entre eux (57%) ont eu recours à internet pour planifier leur voyage. http://www.lapresse.ca/voyage/destinations/quebec/montreal/201205/23/01-4527907-les-visiteurs-satisfaits-de-leur-sejour-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  3. Austin Des sans-abri comme bornes wi-fi Agence QMI 13/03/2012 09h26 AUSTIN – Une initiative présentée dans le cadre du festival des nouveaux médias South by southwest (SXSW), à Austin au Texas, permettant aux sans-abri de porter sur eux des bornes internet mobiles, suscite la controverse. Le concept, tel que rapporté par Le Figaro, a été testé dans les rues d'Austin au cours du festival qui accueille des spécialistes du web de partout dans le monde. Soucieux de vouloir offrir une connexion internet sans fil stable partout dans la ville, les sans-abri sont utilisés comme bornes d'accès au réseau 4G et portent sur eux des bornes wi-fi. Pendant le festival, douze hommes et une femme se promènent dans les rues de la ville et proposent aux passants de se brancher. Ces sans-abri sont vêtus d'un t-shirt arborant leur prénom avec la mention : « Je suis un point d'accès 4G ». Pour accéder au réseau, les passants doivent envoyer un message texte au numéro indiqué sur le chandail. Il en coûte 2 dollars pour 15 minutes. Tous les profits sont remis aux sans-abri. Malgré l'originalité de cette démarche, plusieurs jugent que les sans-abri sont ainsi transformés en « objets », en « simple équipement » et sont « exploités ». Pour leur part, les sans-abri sont toutefois ravis de leur expérience. Ils peuvent ainsi faire un peu d'argent et sociabiliser avec le public.
  4. Tourisme Montréal a la cote Agence QMI Mélanie Colleu 17/11/2011 18h18 MONTRÉAL – Les touristes semblent ravis de leur escale à Montréal, si bien que la plupart d’entre eux ramènent dans leurs valises l’intention d’inciter leurs proches à suivre leur exemple. Une enquête de satisfaction effectuée à la demande de Tourisme Montréal indique en effet que plus de 80 % des répondants accordent une note d’au moins 8 sur 10 à leur séjour dans la métropole. Environ 99 % affirment même vouloir recommander la destination à leur famille et leurs amis. L’ambiance générale de la ville, l’art, la culture, la courtoisie des habitants et l’offre de divertissement de la métropole font, entre autres, pencher la balance du côté positif. «Les visiteurs apprécient l’accueil qu’ils reçoivent à Montréal ainsi que la convivialité des Montréalais», a dit Charles Lapointe, président-directeur général de Tourisme Montréal, en soulignant également les nombreux évènements culturels et sportifs que propose la ville tout au long de l’année. Plus de 7 millions de touristes en 2010 La fréquentation touristique montréalaise en 2010 a enregistré une augmentation de 4,5 % par rapport à 2009. Tout au long de l’année, 7,4 millions de visiteurs ont traversé le St-Laurent pour venir flâner quelques jours dans les rues pavées du Vieux-Port, l’un des lieux les plus prisés de l’île. Près de 55 % d’entre eux provenaient du Québec, environ 21 % d’une autre province canadienne et autour de 24 % des États-Unis ou d’ailleurs dans le monde. Le sondage a été réalisé auprès des visiteurs ayant séjourné au moins deux nuits à Montréal durant l’année 2010.
  5. Provigo : le siège social se vide aussi 15 novembre 2011 | 18h52 ARGENT Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière. « Provigo est l’enfant délaissé de Loblaw » Olivier Bourque Argent Il n’y a pas que les entrepôts montréalais de Provigo qui se vident. Au siège social, ils étaient 1200 employés au tournant des années 2000, ils ne sont plus que 300 après la fermeture du département d’informatique survenue la semaine dernière, a appris Argent. Photo : Agence QMI En tout, environ une centaine de travailleurs évoluaient dans ce secteur. Loblaws a décidé d’impartir ce service vers IBM. Seulement une poignée de travailleurs de Provigo a pris le chemin du bureau montréalais du géant informatique. Cette information a été confirmée par plusieurs sources. «Tout a commencé en 2005. On a perdu les emplois par centaines dans tous les secteurs. Et selon moi, c’est loin d’être terminé», nous a indiqué un ex-employé qui a voulu demeurer anonyme pour éviter de se faire «stigmatiser» dans son secteur professionnel. Selon cet ex-travailleur, les derniers mois ont été particulièrement difficiles. Plusieurs employés devaient accepter d’être rétrogradés. D’autres ont passé des entrevues pour des postes, mais uniquement en anglais et menées par des patrons provenant de Loblaw à Toronto. «Nous avons eu plusieurs patrons qui étaient anglophones. Un d’entre eux était d’ailleurs unilingue anglais. C’était assez désolant», nous a-t-il confié. Questionnée sur ces pertes d’emplois au «siège social» de Provigo situé au 400, boulevard Sainte-Croix, l’entreprise a minimisé la situation. Par courriel, la porte-parole de Provigo Josée Bédard a souligné que 600 employés travaillaient toujours au siège social. Sur place, certains employés d’entreprises qui louent les locaux de Provigo ont confirmé le confinement de l’ancien géant de l’alimentation à quelques étages seulement. L’entreprise fait notamment la location d’une partie de ses installations à l’imprimeur Transcontinental. Courriels inquiétants Par ailleurs, Argent a reçu plusieurs courriels lors des derniers jours et a consulté plusieurs sources. La plupart nous ont confirmé qu’il était périlleux pour eux de s’adresser avec les médias. «Il est maintenant interdit aux employés de parler aux journalistes sous peine de congédiement. C’est rendu l’enfer», a relaté un employé. «Ils n’ont aucun respect du Québec, aucun respect du français, car parfois, on ne peut pas communiquer avec eux si on ne parle pas anglais», a affirmé un autre employé dans un autre courriel.
  6. Après leur annonce du Rogers Arena à Vancouver pourquoi pas un Centre Rogers à Montréal avec un spectacle permanent du Cirque du Soleil maintenant qu'ils sont partenaires ? Ça serait pas mal du tout et j'ai l'impression qu'ils ont les poches profondes:highfive: ! En tout cas moi je m'abonne avec eux s'ils font ça ! http://smr.newswire.ca/fr/rogers-communications-inc/cirque-du-soleil-and-rogers-two-icons-of-innovation
  7. La récession terminée en septembre, selon des analystes Publié le 09 avril 2009 à 15h47 | Mis à jour le 09 avril 2009 à 15h49 Agence France-Presse Washington La récession aux États-Unis prendra fin en septembre, selon le pronostic qui se dégage de l'enquête de conjoncture mensuelle réalisée par le Wall Street Journal auprès de 54 économistes et publiée jeudi sur son site internet. Selon le journal des milieux d'affaires, une majorité relative de 43% des économistes interrogés estime que la récession commencée en décembre 2007 s'achèvera au troisième trimestre. Les économistes «prévoient que la récession finira en septembre, bien que la plupart d'entre eux disent que l'économie ne se reprendra pas suffisamment pour faire baisser le chômage avant la moitié de l'année 2010», écrit le WSJ. Selon le consensus qui se dégage de l'enquête, le PIB américain devrait avoir reculé de 5,0% en rythme annuel au premier trimestre et reculera encore de 1,8% au deuxième, avant de progresser à partir du troisième trimestre (+0,4%), et de continuer sur sa lancée au quatrième (+1,6%). Le journal note que c'est la première fois depuis le début de la récession que les économistes n'ont pas abaissé leurs prévisions concernant le PIB par rapport au mois précédent. Selon les derniers chiffres officiels disponibles, le PIB américain a reculé de 6,3% au quatrième trimestre 2008, après un recul de 0,5% au cours des trois mois d'été. Néanmoins, seuls 12% des économistes estiment que l'économie retrouvera une croissance suffisamment rapide d'ici à la fin de l'année pour faire baisser le taux de chômage, actuellement à 8,5%, son plus haut niveau depuis fin 1983. La majorité d'entre eux (35%) estime que la croissance ne sera assez forte pour faire baisser le chômage qu'à partir du troisième trimestre 2010 (contre 24% à partir du deuxième trimestre, et 14% à partir du premier). Mercredi, un des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed), Richard Fisher, a estimé que le taux de chômage pourrait atteindre 10% d'ici à la fin de l'année. Les économistes interrogés par le Wall Street Journal tablent eux sur un chômage de 9,5% en décembre. Ils voient le PIB se contracter de 1,4% sur l'ensemble de 2009, après avoir cru de 1,1% en 2008. Selon les dernières prévisions des dirigeants de la Réserve fédérale (Fed) publiées mercredi dans les minutes de sa réunion de politique monétaire de mars, le PIB américain devrait ralentir sa chute «progressivement jusqu'à se stabiliser au second semestre de cette année et [progresser] lentement» en 2010.
  8. Un sondage récent mené par la firme Environics montre que les Canadiens demeurent optimistes face à la crise, et ce, même si une majorité d'entre eux estiment que l'économie n'a pas encore touché le fond. Pour en lire plus...
  9. En période de crise, beaucoup d'investisseurs cherchent un refuge. Dans la conjoncture actuelle, plusieurs d'entre eux se sont tournés vers le marché obligataire. Pour en lire plus...
  10. À plusieurs reprises, les dirigeants le groupe franco-néerlandais ont fait savoir qu'ils observeraient toutes les opportunités se présentant à eux. Pour en lire plus...
  11. Selon la Banque, la situation est attribuable «aux activités d'un individu qui n'est plus au service de l'entreprise». L'entreprise a par ailleurs avisé les organismes de réglementation appropriés et affirme collaborer avec eux pleinement. Pour en lire plus...
  12. Avec ses 156 000 étudiants, Montréal se classe première parmi les grandes villes d'Amérique du Nord pour le nombre d'étudiants par habitant. Mais seulement le quart d'entre eux ont décidé de s'établir dans la métropole en 2005. Pour en lire plus...
  13. Et si on devenait le Dubaï de l’Amérique du Nord ? René Vézina Les Affaires samedi 24 mai 2008 Le Québec aurait avantage à hausser les tarifs d’électricité, quitte à rembourser en partie ses citoyens, particulièrement ceux qui risquent d’être coincés par l’alourdissement de leur facture. Il gagnerait au change et pourrait ainsi se constituer une réserve financière pour mieux promouvoir ses intérêts. L’argument n’est pas neuf, c’est vrai, mais il mérite votre attention, ne serait-ce qu’à cause du messager qui le transmet : Rodrigue Tremblay, professeur émérite de sciences économiques de l’Université de Montréal et ancien ministre de l’Industrie et du Commerce sous le gouvernement de René Lévesque. Ce n’est pas la première fois que M. Tremblay plonge dans la mêlée. Dès 1970, il avait lancé l’idée d’un marché commun entre le Québec et les États-Unis... 10 ans avant qu’on commence à discuter de libre-échange. Voilà qu’il remet ça. M. Tremblay prononçait la conférence de clôture du dernier congrès de l’Association des économistes québécois, le 16 mai, à Gatineau. Il en a profité pour revenir sur cette question : Comment le Québec pourrait-il suivre l’exemple d’autres États, c’est-à-dire créer un fonds souverain, un fonds de placement détenu par le gouvernement ? Dubaï en a un. Les milliards de dollars que l’Émirat retire du pétrole sont mis à contribution pour acheter aussi bien des ports que des mines. La Norvège (cinq millions d’habitants) également. Le fonds norvégien dispose actuellement d’un capital de 322 milliards de dollars, qui provient en bonne partie des redevances pétrolières. Globalement, ces fonds souverains représentent une énorme force de frappe. La Deutsche Bank évalue leur valeur totale à 3 000 milliards de dollars, et prévoit que celle-ci pourrait tripler d’ici 10 ans. Le Québec ? Oui, nous avons la Caisse de dépôt et placement, mais ses milliards sont d’abord destinés à la retraite de ses déposants. Dieu merci, on a fini par le comprendre, et la Caisse évite maintenant d’intervenir maladroitement au nom de la cause du moment. Reste Hydro-Québec. Le Fonds des générations créé par l’ancien ministre des Finances Michel Audet, correspond davantage au modèle. Il est alimenté par des contributions d’Hydro-Québec et des droits perçus auprès des producteurs privés, à raison de quelques centaines de millions de dollars par année. Mais il est tout jeune et sert essentiellement à rembourser la dette publique québécoise. Rodrigue Tremblay suggère une approche plus dynamique. L’hydroélectricité, c’est notre pétrole. Elle sera de plus en plus convoitée à notre époque qui valorise les énergies propres et renouvelables. Mais encore faut-il en avoir à vendre à nos voisins, alors que les surplus sont appelés à fondre. Une façon de réduire la consommation au Québec est d’augmenter les prix. On le voit bien, ces jours-ci, avec l’essence. Les gens sont forcés de faire attention. Mais les finances des citoyens, justement, sont serrées. De là l’idée de leur redistribuer des dividendes après coup. Apparemment, c’est revenir au point de départ, sauf qu’entre les deux opérations, le Québec gagne de l’électricité qu’il peut exporter au prix fort. Il peut en récolter de jolis bénéfices. Les dividendes, eux, sont imposables. Les contribuables aux revenus élevés finissent par redonner de l’argent à l’État, tandis que les personnes peu fortunées conservent le remboursement qui leur permet entre autres d’amortir la facture d’électricité. On neutralise ainsi l’argument selon lequel plusieurs seraient pris à la gorge. Après cette présentation, ça jasait fort dans la salle. Le conférencier n’a probablement pas convaincu tout le monde. Les économistes sont rarement unanimes... Au moins, on saura mieux, dorénavant, où loge la majorité d’entre eux : l’Association a décidé de sonder régulièrement ses membres sur les grandes questions de l’heure. Pourquoi ne pas commencer avec la thèse de Rodrigue Tremblay ? http://www.lesaffaires.com/article/1/publication--lesaffaires/2008-05-24/478238/et-si-on-devenait-le-dubai-de-lamerique-du-nord-.fr.html
  14. Bernier a dépensé 22 573 $ pour un billet d'avion Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier. Photo PC La Presse Canadienne Toronto Le ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier, et son équipe ont dépensé des dizaines de milliers de dollars en frais de voyage pour assister à une conférence de deux jours au Laos l'an dernier. Le Toronto Star rapporte que le vol du ministre a coûté 22 573 $, avec une escale à Paris. Le journal affirme avoir étudié le prix des billets d'avion pour l'Asie du Sud-Est et prétend que M. Bernier aurait pu voyager confortablement vers le Laos pour moins de 7000 $. Selon les dossier mis en ligne dans le site du ministère des Affaires étrangères, trois membres du personnel du ministre étaient eux aussi du voyage: le vol de deux d'entre eux aurait coûté 18 500 $ chacun, alors que celui du troisième n'aurait coûté que 2676 $. Le vol de M. Bernier constitue le vol le plus cher d'un ministre ou d'un représentant officiel depuis que Stephen Harper est arrivé au pouvoir il y a deux ans, selon le Star, qui a passé en revue les documents comptables du gouvernement. Le directeur des communications du ministre Bernier, Neil Hrab, a indiqué au quotidien torontois que son ministère étudiait actuellement les rapports de dépense. http://www.cyberpresse.ca/article/20080516/CPACTUALITES/80516264/1019/CPACTUALITES
  15. Jeudi 29 Novembre 2007 Un sondage réalisé par Léger Marketing pour le compte de la Communauté métropolitaine de Montréal révèle que 83 % des résidants du Grand Montréal sont fiers de leur région. De même, 91 % d'entre eux estiment que la région a une image positive à l'étranger. Lorsqu'interrogés sur les premiers mots qui leur venaient en tête pour décrire le Grand Montréal, les citoyens de la région ont parlé d'une grande ville (16 %) accueillante (18 %) et, surtout, cosmopolite (41 %). Selon eux, c'est ce même aspect cosmopolite qui constitue la plus grande force du Grand Montréal (29 %), suivi de sa culture (14 %), de sa gastronomie (12 %) et de son caractère chaleureux et accueillant (12 %). Dans l'ensemble, plus de 8 résidants sur 10 de la région métropolitaine se sont dits d'accord que les éléments suivants constituent des forces pour le Grand Montréal, notamment par rapport à d'autres grandes villes : la vie culturelle (92 %), le mélange des cultures américaine et européenne (88 %), la variété des activités de loisir (88 %), le multiculturalisme (88 %), l'ouverture d'esprit (86 %), le français (83 %) et le bilinguisme (82 %). " L'importance de doter Montréal d'une image de marque a été réitérée lors de l'événement Montréal, métropole culturelle - Rendez-vous novembre 2007, rappelle M. Massimo Iezzoni, directeur général de la CMM. Après avoir consulté la population, les élus et les leaders du Grand Montréal pour connaître leur perception de la région et les attributs qu'ils souhaitent mettre de l'avant, nous pouvons véritablement affirmer que le projet est bien lancé! "
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