Aller au contenu
publicité

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'créanciers'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. http://journalmetro.com/culture/955808/clap-de-fin-a-lexcentris/ Cinq mois après la fermeture temporaire de l’Excentris, le groupe français MK2, qui souhaitait reprendre le cinéma du boulevard Saint-Laurent et l’agrandir, s’est finalement retiré du projet. Cela a forcé l’organisme à but non lucratif Cinéma Parallèle, propriétaire de l’Excentris, à se placer officiellement sous la loi sur les arrangements avec les créanciers le 5 mai prochain. La Société de développement des entreprises culturelles, actionnaire principal de l’Excentris, devrait reprendre l’immeuble pour le revendre. Quant à l’exploitant de salles français MK2, qui envisageait d’étendre son réseau, il flirte plutôt avec l’idée de construire un complexe au centre-ville de Montréale sent via Tapatalk
  2. L'entreprise qui gère les quatre hippodromes de la province peut demeurer sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers jusqu'au 24août. Pour en lire plus...
  3. R.R. Donnelley veut acheter Quebecor World Publié le 13 mai 2009 à 08h07 | Mis à jour à 08h10 La Presse Canadienne Chicago L'imprimeur américain R.R. Donnelley & Sons (RRD) veut acquérir son concurrent québécois en difficulté Quebecor World (T.IQW) pour un montant global de 1,35 milliard de dollars US en espèces et en actions. Dans un communiqué de presse émis mardi, l'entreprise, dont le siège est à Chicago, dans l'État de l'Illinois, a rendu publique une lettre d'intention qu'elle a fait parvenir cette semaine aux dirigeants de Quebecor World. R.R. Donnelley y explique qu'elle estime, après étude du dossier, que son offre est plus intéressante pour les créanciers et les prêteurs de Quebecor World que les plans et déclaration d'information modifiés soumis récemment dans le cadre de sa restructuration, tant aux États-Unis qu'au Canada. Quebecor World s'est placée sous la protection des tribunaux en janvier 2008, alors que ses dettes étaient supérieures à 1 milliard de dollars US. Le tribunal américain de la faillite doit évaluer vendredi les nouveaux documents devant servir de base aux fins du vote éventuel des créanciers de Quebecor World aux États-Unis, alors qu'au Canada, la Cour supérieure du Québec devrait entendre jeudi la motion de l'entreprise visant à obtenir l'autorisation de tenir une assemblée de ses créanciers canadiens. Quebecor World estime que, si tout se passe comme prévu, elle pourrait se libérer de la protection contre ses créanciers avec un bilan solide d'ici la mi-juillet. Dans ce contexte, R.R. Donnelley, qui s'était déjà montrée intéressée en avril 2008 à acquérir Quebecor World, dit être prête à réaliser la transaction qu'elle propose le plus rapidement possible. Elle assure que sa proposition ne nécessite aucune condition de financement et qu'elle n'est pas non plus conditionnelle à un vote d'actionnaires. La proposition de Donnelley comprend une partie en espèces d'environ 700 millions de dollars US, plus un montant de 257 millions de dollars US correspondant aux liquidités estimées de Quebecor World au 30 juin prochain, plus 30 millions d'actions de R.R. Donnelley représentant environ 15 pour cent des actions émises et en circulation de la compagnie et ayant une valeur d'environ 394,2 millions de dollars US sur la base du cours du titre à la clôture des marchés le 11 mai dernier, soit lundi.
  4. Chrysler se protège de ses créanciers Publié le 30 avril 2009 à 09h00 | Mis à jour à 09h49 Michel Munger lapresseaffaires.com (Montréal) Tel que le réclamaient les autorités, le constructeur automobile Chrysler va demander la protection des tribunaux afin de se restructurer, pouvant ainsi éviter la faillite. La Maison-Blanche a annoncé ce matin que l'entreprise aura recours au chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites. Le président Barack Obama devrait confirmer le tout devant les médias à midi.La protection judiciaire permettra à Chrysler de faire le ménage au sein de ses activités, au lieu de se faire démanteler par environ 45 créanciers à qui elle doit 6,9 milliards de dollars US. Les médias italiens ont rapporté plus tôt dans la journée que Chrysler s'est entendue avec le constructeur italien Fiat pour que ce dernier prenne une participation de 35%. Les deux entreprises avaient jusqu'à aujourd'hui pour boucler ce partenariat. Le Wall Street Journal rapportait cette semaine que dans le cadre du marché avec Fiat, le syndicat United Auto Workers raflerait une participation de 55% dans Chrysler. Les créanciers, notamment des banques, et les autorités américaines hériteraient des 10% restants. Le recours à la loi sur les faillites était imminent car Chrysler avait jusqu'en fin de journée pour déposer un plan de relance. Le Trésor américain espérait que les créanciers acceptent une révision à la baisse à 2,25 milliards de la dette du constructeur. Ils ont finalement dit non. L'administration Obama a joué un rôle important dans la décision, ayant fait savoir qu'une restructuration avec la protection des tribunaux était la meilleure solution pour Chrysler. Le 30 mars dernier, Barack Obama donnait 30 jours à Chrysler pour préparer sa restructuration et s'entendre avec Fiat, lui fournissant temporairement du capital afin de survivre. Washington laissait entendre qu'une fois ces objectifs atteints, il pouvait allonger 6 milliards de dollars US de prêts. Ce plan de match avait été lancé après des consultations avec les gouvernements canadien et mexicain. «Nous ne pouvons pas, nous ne devons pas et nous ne laisserons pas disparaître notre industrie automobile. Ce secteur est comme aucun autre un emblème de l'esprit américain et un symbole passé comme avenir de la réussite de l'Amérique», déclarait le président Obama il y a un mois. Il avait cependant averti qu'«il y a des emplois qui ne pourront être sauvés et des usines qui ne rouvriront pas» et que «des choix difficiles» devront être faits.
  5. Aux prises avec de lourdes dettes, la direction de Nortel envisagerait de vendre l'entreprise en pièces détachées à ses concurrents plutôt que de la restructurer pour payer ses créanciers. Pour en lire plus...
  6. Le géant canadien des médias obtient un autre sursis de ses créanciers, cette fois jusqu'au 7 avril, au moment où il se débat pour éviter la faillite. Pour en lire plus...
  7. Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers 17 février 2009 - 09h44 ARGENT Dette de 1,7G$ US - Trump Entertainment se place sous la protection de ses créanciers La société de casinos Trump Entertainment Resorts Inc. (TRMP) s’est placée mardi sous la protection de ses créanciers en vertu du Chapitre 11 de la loi sur la faillite. La requête était largement anticipée, après que le président et fondateur de l’entreprise, le flamboyant Donald Trump, eut quitté son siège au conseil d’administration la semaine dernière. Sa fille, Ivanka Trump, avait aussi démissionné. La société avait raté une échéance de paiement d’intérêts au montant de 53,1M$ le 1er décembre dernier, alors que les clients se font plus rares dans les établissements. Les détenteurs d’obligations ont poussé la société à avoir recours au chapitre 11, ce que ne voulait pas M. Trump. La dette de la société de casinos se chiffrait à environ 1,74G$ US le 31 décembre dernier, en comparaison avec des actifs de 2,1G$ US, selon l'agence Reuters. Donald Trump a affirmé que la compagnie représentait moins d’un pour cent de sa valeur nette, et que cet investissement n’avait plus de valeur pour lui. Trump Entertainment Resort Holdings avait déjà eu recours au chapitre 11 en 2004, pour en sortir une année plus tard avec M. Trump au poste de chef de la direction.
  8. Le distributeur américain de produits d'électronique grand public sera liquidé, faute d'un accord avec ses créanciers. Les investisseurs perdront tout et 30 000 salariés seront touchés. Pour en lire plus...
  9. Dix institutions créancières s'allient pour négocier l'échange d'obligations contre une entrée au capital du constructeur automobile. Pour en lire plus...
  10. Selon Nortel, ses activités se «poursuivent normalement» malgré sa mise à l'abri de ses créanciers. Pour en lire plus...
  11. Les dirigeants de la compagnie se sont rencontrés à Toronto, mardi soir, pourenvisager d'avoir recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers. Pour en lire plus...
  12. Selon le Globe and Mail, le géant canadien des télécommunications se placerait sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies ce matin. Pour en lire plus...
  13. Aux prises avec des difficultés financières, les dirigeants de l'entreprise pourraient décider de demander la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies. Pour en lire plus...
  14. Démissions en bloc au conseil de Quebecor World 17 décembre 2008 - 09h27 LaPresseAffaires.com Pierre Karl Péladeau a démissionné du conseil de Quebecor World. Quebecor World (IQW) a annoncé mercredi que Pierre Karl Péladeau, Erik Péladeau (vice-président du conseil), Jean Neveu et Jean La Couture (président du comité de vérification) ont démissionné de son conseil d'administration. Selon le communiqué de Quebecor World, les quatre administrateurs ont jugé «que suite aux demande présentées par Quebecor et ses filiales dans le cadre du processus de restructuration de Quebecor World, qui s'est placée sous la protection du tribunal, que leur démission est souhaitable». Alain Rhéaume, l'administrateur principal, a été nommé en tant que nouveau président du comité de vérification de la Société et siège maintenant au comité de restructuration. André Caillé a été nommé à titre de membre du comité de vérification. M. Caillé demeure président du conseil de restructuration qui est toujours composé de M. Rhéaume, Michèle Desjardins et Jacques Mallette. Quebecor World ne croit pas que ces démissions auront un impact sur son objectif qui est de sortir de la protection contre les créanciers en tant qu'entreprise solide au sein de notre industrie. En janvier 2008, l'imprimeur s'est mis à l'abri de ses créanciers et Quebecor a par la suite rompu progressivement ses liens avec lui. Lors des derniers mois, Quebecor avait décidé de se distancer de sa filiale de l’imprimerie. Quebecor avait notamment fait connaître sa décision de retirer à Quebecor World le droit d'utiliser la raison sociale «Quebecor», dans le but «d'éliminer toute confusion dans l'esprit des gens». Cet automne, l'imprimeur a déménagé son siège social hors de l'édifice qui abrite celui de Quebecor.
  15. Nortel demandera-t-elle la protection de la loi pour éviter une faillite ? C'est la question que soulève un reportage du Wall Street Journal mercredi matin. Pour en lire plus...
  16. Quebecor World passe en mode acquisition * Presse Canadienne, * 25 novembre 2008 L'imprimeur commercial montréalais Quebecor World a fait l'acquisition de deux nouvelles presses offset à découpe réduite afin de rehausser sa plateforme d'encarts publicitaires aux Etats-Unis. Les détails financiers de l'accord n'ont pas été dévoilés. Quebecor World, société insolvable qui a mis en branle un plan de restructuration tandis qu'elle profite de la protection de la loi contre ses créanciers au Canada et aux Etats-Unis, a expliqué que l'achat de ces presses l'aiderait à tirer profit de sa présence croissante au sein du marché américain des encarts publicitaires. "Cet investissement constitue une autre preuve de notre engagement à fournir à notre clientèle la plate-forme la plus flexible et la plus efficace disponible sur le marché de la vente au détail actuel", a déclaré le président et chef de la direction de Quebecor World, Jacques Mallette, par voie de communiqué. "Nous poursuivons les investissements nécessaires en termes de processus, de main-d'oeuvre et d'équipement alors que nous nous rapprochons de notre but qui est de sortir de la protection contre les créanciers en tant que participant solide au sein de notre industrie", a-t-il ajouté. La première des nouvelles presses devrait entrer en service au cours du troisième trimestre de 2009. Quebecor World compte environ 23 000 employés dans une centaine d'imprimeries et ateliers de services connexes aux Etats-Unis, au Canada, en Argentine, au Brésil, au Chili, en Colombie, au Mexique et au Pérou. L'imprimeur produit des magazines, encarts publicitaires, circulaires, livres, catalogues et annuaires, notamment. A la Bourse de Toronto, mardi après-midi, le cours des actions de Quebecor World était de cinq cents, inchangé par rapport à son taux de clôture de la veille.
  17. D'autres faillites d'entreprises et de défauts de paiements sont à prévoir cette année, voire au-delà, a indiqué Moody's mardi, selon qui cela va faire grimper le nombre d'accords avec les créanciers pour renégocier ces dettes. Pour en lire plus...
  18. Les créanciers ont demandé à la cour la permission d'intenter une poursuite pour que l'imprimeur montréalais a payés à des prêteurs privés avant sa faillite pour racheter sa dette. Pour en lire plus...
  19. L'entreprise a également annoncé qu'il a obtenu une ordonnance de la Cour prolongeant jusqu'au 10 décembre la protection dont il bénéficie en vertu de la Loi sur les arrangements avec les créanciers. Pour en lire plus...
  20. Près de 8000 entreprises et individus canadiens se sont dits incapables de rembourser leurs créanciers au mois de juillet. C'est 4% de plus qu'au mois de juin, et 17% de plus qu'en juillet 2007. Pour en lire plus...
  21. Zoom Airlines ne sera pas le dernier transporteur aérien à se placer sous la protection de ses créanciers, mais il est peu probable qu'une nouvelle fermeture soit imminente. Pour en lire plus...
  22. Le gouvernement de Silvio Berlusconi a modifié par décret la loi italienne sur les faillites afin de l'adapter au cas d'Alitalia et de permettre le sauvetage de la compagnie en difficulté. Pour en lire plus...
  23. Selon les officiels, la compagnie subit les contrecoups de la hausse des prix du carburant, une tendance lourde dans l’industrie aérienne. Pour en lire plus...
  24. Selon la proposition faite récemment aux créanciers, seulement 860 000$ dollars sont disponibles pour distribution, tandis que le passif dépasse les 87 millions de dollars. Pour en lire plus...
  25. Le service d'ambulance aérienne AirMédic se place sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies et change de directeur. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...