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  1. Entendu sur les ondes de Radio-Canada à midi: La bibliothèque Saint-Sulpice, un musée d'histoire naturelle? Mise à jour le vendredi 29 mai 2015 à 11 h 15 HAE Exclusif - Le Musée de paléontologie et de l'évolution (MPE) a manifesté son intérêt envers la bibliothèque Saint-Sulpice, située sur la rue Saint-Denis à Montréal, pour y fonder le premier véritable musée d'histoire naturelle au Québec. Un texte de Marianne DesautelsCourriel des Années lumière Le MPE, fondé en 1995 par des professeurs et des étudiants universitaires, ainsi que par des amateurs férus de paléontologie, compte une collection de plus de 60 000 fossiles d'une grande valeur scientifique. Dirigé par un de ses fondateurs, Mario Cournoyer, le musée est soutenu financièrement par une cinquantaine de membres qui organisent de nombreuses activités de fouilles et de vulgarisation. Le musée forme aussi des étudiants durant la saison estivale, est doté d'un laboratoire, d'une banque de données numériques et est à l'origine de plusieurs publications scientifiques. Le Musée de paléontologie et de l'évolution est pour le moment situé dans le quartier Pointe-Saint-Charles, à Montréal, sur un terrain privé, et est à la recherche d'un lieu permanent d'exposition pour permettre au grand public d'admirer le patrimoine fossile du Québec. En entrevue à l'émission Les années lumière, Ha-Loan Phan, biologiste et membre du conseil d'administration du MPE, a suggéré l'utilisation de bâtiments gouvernementaux vacants, telle la bibliothèque Saint-Sulpice, pour y installer le musée. « En plein centre-ville, ces bâtiments sont protégés patrimoine, et pour moi, une collection de fossiles, c'est exactement ça. On parle de patrimoine, on parle de pérennité. » — Ha-Loan Phan Les années lumière est présentée les dimanches dès 12 h sur ICI Radio-Canada Première. Le Québec mûr pour un musée d'histoire naturelle? Questionné sur le sujet, Richard Cloutier, professeur émérite à l'Université du Québec à Rimouski (UQAR) et chercheur en paléontologie reconnu mondialement, est d'avis qu'un tel musée est une nécessité. « Il y a une question de culture scientifique aussi qu'on délaisse, et je pense qu'une ville comme Montréal ou une ville comme Québec se doit d'avoir un musée d'histoire naturelle. » — Richard Cloutier, professeur à l'UQAR Le gouvernement du Québec a annulé la vente de la bibliothèque Saint-Sulpice le 25 mai dernier par l'intermédiaire d'un communiqué dans lequel la ministre de la Culture du Québec, Hélène David, annonçait la création d'un comité mixte avec la Ville de Montréal pour « analyser les opportunités permettant de faire revivre la bibliothèque Saint-Sulpice et d'assurer sa pérennité ». http://jefaismtl.com/ouverture-du-mus%C3%A9e-de-pal%C3%A9ontologie-et-de-l%E2%80%99%C3%A9volution https://www.facebook.com/pages/Mus%C3%A9e-de-pal%C3%A9ontologie-et-de-l%C3%A9volution/352710381424602
  2. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  3. Je n'ai pas trouvé une fil pour ce projet via Le Devoir : Dan Hanganu et EVOQ remportent le concours d’architecture pour la bibliothèque Maisonneuve 21 octobre 2017 |Jeanne Corriveau Photo: Dan Hanganu architectes + EVOQ Architecture Le jury dit avoir aimé cette proposition «qui met en valeur le bâtiment patrimonial, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur». Les firmes Dan Hanganu architectes et EVOQ Architecture ont été sélectionnées pour réaliser le projet d’agrandissement de la bibliothèque Maisonneuve, rue Ontario, à Montréal. Dans le cadre d’un concours d’architecture lancé au printemps dernier, le jury a arrêté son choix sur la proposition des deux firmes. Le projet prévoit la construction d’atriums vitrés de chaque côté du bâtiment patrimonial afin d’augmenter la surface de plancher de la bibliothèque, qui passera de 1240 à 3315 mètres carrés. Ces travaux seront exécutés par un aménagement extérieur destiné à devenir un lieu de rencontre et de détente. Les firmes gagnantes disposeront d’un budget de 11,1 millions pour réaliser les travaux d’agrandissement, lesquels devraient se terminer en 2020. Le coût global du projet est estimé à 23 millions. Inauguré en 1912, l’immeuble abritant la bibliothèque Maisonneuve avait été construit pour accueillir l’hôtel de ville de Maisonneuve, une municipalité qui fut annexée à Montréal en 1918. La bibliothèque municipale occupe les lieux depuis 1981, mais elle y est trop à l’étroit. À la suite du lancement du concours d’architecture, le jury avait retenu quatre propositions parmi les quinze dossiers reçus avant d’arrêter son choix sur la proposition des firmes Dan Hanganu et EVOQ Architecture. Rappelons que l’architecte Dan Hanganu est décédé le 5 octobre dernier, laissant derrière lui un héritage important. On lui doit, entre autres, la conception des bâtiments du musée Pointe-à-Callière, du Théâtre du Nouveau Monde (TNM) et de HEC Montréal. ---------------------- Communiqué de presse de la Ville de Montréal Dan Hanganu architectes + EVOQ Architecture remportent le concours d'architecture pluridisciplinaire de la Bibliothèque Maisonneuve MONTRÉAL, le 20 oct. 2017 /CNW Telbec/ - Félicitations aux firmes Dan Hanganu architectes et EVOQ Architecture, accompagnées des firmes NCK et PMA en ingénierie et Civiliti en architecture du paysage, pour avoir été sélectionnées par un jury au terme du concours d'architecture pluridisciplinaire pour la rénovation et l'agrandissement de la Bibliothèque Maisonneuve. Un concept audacieux résolument contemporain Les lauréats disposeront d'un budget maximal de 11 135 000 $ (avant taxes) pour rénover et agrandir l'actuelle Bibliothèque Maisonneuve qui loge dans l'ancien hôtel de ville de la Cité de Maisonneuve, à l'intersection de la rue Ontario et du boulevard Pie-IX dans l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Le concept déployé assurera la mise en valeur de ce bâtiment municipal d'intérêt historique, dont les dimensions actuelles de 1240 m2 seront de 3 315 m2 à la fin du projet. On y retrouvera notamment des pavillons abondamment vitrés aux extrémités de l'édifice, lesquels se marieront à son caractère néo-classique. Les lauréats envisagent aussi de développer un aménagement urbain extérieur en un lieu de rencontres, d'animation et de détente, tout en maintenant un environnement végétalisé. Une certification LEED Argent étant visée pour ce projet, les concepteurs privilégieront des matériaux locaux et des procédés à faible incidence énergétique. « Je suis ravi du projet gagnant qui contribuera au rayonnement de Montréal, à titre de Ville UNESCO de design. Celui-ci s'inscrit également harmonieusement dans un quartier en pleine effervescence en offrant un lieu culturel magnifiquement pensé. Nul doute que la Bibliothèque Maisonneuve deviendra une source de fierté pour tous les Montréalais et Montréalaises et un rendez-vous incontournable des résidents du quartier », déclare M. Russel Copeman, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable de l'habitation, de l'urbanisme, de la gestion et de la planification immobilière et de l'Office de consultation publique de Montréal. « Bravo aux lauréats d'avoir mis à contribution leur talent et leur ingéniosité afin de transformer la Bibliothèque Maisonneuve en un lieu contemporain, audacieux et respectueux de son caractère patrimonial. Cette transformation illustre la capacité des firmes d'ici de proposer des projets d'une qualité exceptionnelle, tant sur le plan architectural que sur le plan patrimonial et environnemental », ajoute Mme Manon Gauthier, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable de la culture, du patrimoine, du design, d'Espace pour la vie ainsi que du statut de la femme. « Je tiens à souligner l'excellent travail déployé par l'ensemble des collaborateurs dans le cadre du concours d'architecture pour le projet de rénovation et d'agrandissement de la Bibliothèque Maisonneuve. Mettre en valeur un bâtiment historique et patrimonial comme la Bibliothèque Maisonneuve et concevoir un agrandissement moderne qui saura répondre aux besoins techniques d'une bibliothèque du 21e siècle est un défi de taille qui commandait une analyse rigoureuse de la part du jury. Tous les efforts déployés dans le cadre de ce concours d'architecture permettront aux citoyens d'avoir accès à une installation de qualité adaptée à leurs besoins », précise M. Réal Ménard, maire de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Le jury Sélectionnés en juin parmi 15 dossiers de candidature, quatre finalistes ont présenté leurs esquisses lors d'une soirée publique tenue le 10 octobre dernier. Le projet de l'équipe de Hanganu et ÉVOQ est une réussite très habile et applaudie par le jury pour la mise en valeur du bâtiment patrimonial tant à l'intérieur qu'à l'extérieur. « L'aménagement de deux atriums de chaque côté du bâtiment existant permet un dégagement et une mise en valeur accentuée du patrimoine architectural ». Ce dernier était composé de M. Richard Adam, chef de division à la Division du Programme RAC à la Ville de Montréal, de Mme Claude-May Ambroise, architecte à l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, de M. Sébastien Bouchard, ingénieur et directeur du service technique à la Ville de Chambly, de M. Dinu Bumbaru, directeur des politiques chez Héritage Montréal, de Mme Mylène Poirier, architecte, citoyenne et membre du comité consultatif d'urbanisme à l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, de Mme Patricia-Ann Sarrasin-Sullivan, architecte chez Box architectures et de M. Frédéric Stében, chef de division, culture et bibliothèques à l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. L'équipe lauréate fera l'objet d'une recommandation au conseil municipal pour un octroi de contrat. Rappelons que les travaux de rénovation et d'agrandissement de la Bibliothèque Maisonneuve s'inscrivent dans le cadre du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (programme RAC). Conforme aux exigences du ministère des Affaires municipales et de l'Occupation du territoire, le concours d'architecture ainsi que le projet de rénovation et d'agrandissement de la Bibliothèque Maisonneuve font partie de l'Entente sur le développement culturel de Montréal, financée conjointement par le ministère de la Culture et des Communications et la Ville de Montréal. Le coût global du projet est estimé à plus de 23 M $. La fin des travaux sont prévus en 2020.
  4. Anne Carrier architecture / Labonté Marcil en consortium (ingénierie : Les services EXP) https://www.newswire.ca/fr/news-releases/devoilement-du-laureat-du-concours-darchitecture-pluridisciplinaire-pour-lagrandissement-et-la-renovation-de-la-bibliotheque-loctogone-675685993.html Dévoilement du lauréat du concours d'architecture pluridisciplinaire pour l'agrandissement et la rénovation de la bibliothèque L'Octogone Source Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Mars 02, 2018, 15:44 ET MONTRÉAL, le 2 mars 2018 /CNW Telbec/ - Au terme du concours d'architecture pluridisciplinaire visant l'agrandissement et la rénovation de la bibliothèque L'Octogone, le jury a retenu le projet de l'équipe Anne Carrier architecture + Labonté Marcil en consortium parmi les quatre équipes finalistes. Une future bibliothèque ludique Sélectionnés en novembre parmi 7 dossiers jugés admissibles, quatre finalistes ont dévoilé leur projet lors d'une présentation publique tenue le 21 février. Le jury a choisi le projet de l'équipe Anne Carrier architecture + Labonté Marcil en consortium (ingénierie : Les Services EXP). La proposition de l'équipe lauréate s'est distinguée notamment pour sa compréhension de l'histoire de l'arrondissement et de ses citoyens, pour l'intégration des préoccupations et des orientations données par la population locale pour sa future bibliothèque et pour son caractère ludique et attrayant. La bande dessinée occupera ainsi une place de choix, au cœur de la bibliothèque. « Félicitations aux lauréats pour leur proposition qui épouse les attentes des citoyennes et citoyens de l'arrondissement de LaSalle. Leur vision s'intègre et bonifie le secteur de l'arrondissement où se situe la bibliothèque L'Octogone », déclare Mme Magda Popeanu, responsable de l'habitation, de la gestion et planification immobilière et de la diversité montréalaise au comité exécutif de la Ville de Montréal. « Les Montréalaises et Montréalais disposeront d'un lieu culturel et de connaissances, à la fois rassembleur et inspirant, avec une variété de services adaptés à l'image d'une bibliothèque du XXIe siècle et dont la magnifique architecture, qui fut dévoilée aux citoyens de LaSalle lors de la présentation publique, a permis de les sensibiliser à l'effet indéniable d'un bel édifice bien conçu sur leur qualité de vie. À titre de Montréal, Ville UNESCO de design, nous pouvons affirmer mission accomplie ! », ajoute Mme Christine Gosselin, responsable de la culture, du design et du patrimoine au comité exécutif de la Ville de Montréal. « À l'issue des présentations des finalistes du concours d'architecture, nous avions la certitude que la future bibliothèque L'Octogone serait un espace culturel et d'échange qui se distinguerait tant par la qualité de son architecture que par son efficacité. L'équipe lauréate propose un concept novateur, accueillant et ludique qui plaira assurément aux LaSallois. C'est donc avec beaucoup de fébrilité que nous assisterons à la naissance de la toute nouvelle bibliothèque L'Octogone, un bâtiment à l'architecture affirmée pour une clientèle unique et diversifiée », dit Mme Manon Barbe, mairesse de l'arrondissement de LaSalle. Le projet de rénovation et d'agrandissement de la bibliothèque L'Octogone fait partie du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (programme RAC). Le concours ainsi que le projet s'inscrivent dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal et sont financés conjointement par le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal. Selon le programme RAC et conformément aux objectifs de la politique de développement culturel 2017-2022 de la Ville de Montréal, le projet a fait l'objet d'un concours d'architecture contribuant ainsi à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Le processus a été élaboré conformément aux exigences de la Ville de Montréal et du Ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire. Le projet Les lauréats disposeront d'un budget maximal de 12 649 491 $ (avant taxes) pour rénover les 2 900 m2 de la superficie actuelle et y ajouter 1 600 m2 de nouveaux espaces à la bibliothèque, située à l'intersection de la rue Dollard et du boulevard De La Vérendrye, dans l'arrondissement de LaSalle. Conformément à la politique montréalaise de développement durable pour les édifices municipaux, le projet vise une certification LEED Or. Le coût global du projet est estimé à plus de 24,5 M$. La fin des travaux de rénovation et d'agrandissement est prévue à la fin de 2020. En plus de conserver l'œuvre d'art actuelle, une nouvelle œuvre sera intégrée à l'architecture. Un espace d'animation extérieur et un lien visuel sur le parc Félix-Leclerc adjacent à la bibliothèque sont aussi prévus. SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif Renseignements : Sources : Geneviève Jutras, Attachée de presse de la mairesse, Cabinet de la mairesse et du comité exécutif, 514 243-1268; Renseignements : Linda Boutin, Relationniste, Division des relations médias, 514 872-6013 ----- https://designmontreal.com/concours/agrandissement-et-renovation-de-la-bibliotheque-loctogone « La localisation et l’implantation de la bibliothèque existante, au carrefour de trois axes majeurs nous ont dicté la stratégie urbaine autour de laquelle s’est développé le projet. (…) Le nouvel Octogone se distingue notamment par les trois lanternes articulées autour du cœur du bâtiment qui rappelle le mouvement du Moulin à vent Fleming. La lanterne urbaine est déposée sur les zones administratives et de soutien de la bibliothèque existante et constitue au nord-est un repère identitaire à la croisée de l’avenue Dollard et de la rue Salley. (…) Au sud-ouest, la lanterne pastorale s’étire vers le Parc Félix-Leclerc et le Canal de l’Aqueduc empruntant au grand octogone sous-jacent sa trame structurale. (…) La lanterne communautaire au sud-est abrite les espaces publiques qui bénéficient d’un lien direct avec le carrefour de l’entrée et les activités extérieures aménagées tout autour du volume du petit octogone reconfiguré et agrandi. (…) Le parti architectural mise sur la transparence et la distribution contrôlée de la lumière pour assurer la flexibilité, la qualité et la diversité des espaces et des ambiances.» - Extraits du texte de la prestation lauréate. Le jury reconnaît à l’unanimité que ce projet s’est distingué dans l’ensemble des critères évalués et qu’il rejoint le mieux les objectifs énoncés pour la mise sur pied de la nouvelle bibliothèque L’Octogone. Le jury a – notamment – apprécié les aspects suivants de la proposition : L’étude du site, le contexte, l’histoire de la ville et de ses citoyens ont été bien compris et transposés dans le projet. La présence accrue et marquée sur l’avenue Dollard contribue au rehaussement visé par la Ville pour cette importante artère. La proposition dans son ensemble est ludique et attrayante pour le citoyen. Les aménagements permettent une expérience client bonifiée. L’emprise au sol minimale et les propositions de développement durable témoignent de la présentation d’un projet responsable qui atteindra les objectifs de la commande. - Commentaires du jury
  5. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  6. Le projet est effectivement financé par la Ville de Montréal et par le ministère de la Culture et des Communications du Québec. Il prévoit qu'à terme, l'établissement, sis au 13 555, boulevard de Pierrefonds, comptera 4500 mètres carrés. Environ le tiers de l'ancienne bibliothèque sera conservé. Les travaux, suspendus temporairement lors des inondations du printemps 2017, sont toujours en cours. L'échéancier initial prévoyait qu'ils seraient terminés pour l'automne 2018. La rénovation de la bibliothèque ne date pas d'hier. Déjà en 2014, ses concepteurs avaient remporté le prix du magazine Canadian Architect.
  7. Nouvelle boutique à la Grande Bibliothèque Ouverture d'une boutique d'illustration artistique et patrimoniale à l'intérieur de la Grande bibliothèque à Montréal. Actualités:
  8. La bibliothèque Saint-Charles sera agrandie, mais sans l'ajout d'une maison de la culture. Cette décision a été prise suite à un consultation publique Source : http://ville.montreal.qc.ca/culture/bibliotheque-de-saint-charles Bibliothèque de Saint-Charles Cette bibliothèque occupe elle aussi une ancienne caserne de pompiers, celle-là datant de 1891. En 1973, c'est sous la pression des citoyens que l'édifice est sauvé de la démolition et réaménagé. Dès son ouverture en 1976, la bibliothèque devient un véritable lieu de rencontre pour les résidants des environs. Dans ce quartier ouvrier aux multiples problématiques sociales, la bibliothèque devient le coeur vivant d'une participation citoyenne active. On y trouve une oeuvre d'art unique, intitulée "Monsieur Philippe". Il s'agit d'une table dessinée par Philippe Béha, un illustrateur montréalais d'origine marocaine au talent aussi intarissable que son imagination. La table a été réalisée par l'architecte Philippe Lupien. C'est sur le plateau de cette table insolite que les enfants viennent tous les jours faire leurs devoirs. Inspirant! http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/1355932/pas-de-maison-de-la-culture-dans-pointe-saint-charles/ Pas de maison de la culture dans Pointe-Saint-Charles Par Justine Gravel Si l’idée d’une maison de la culture dans Pointe-Saint-Charles intéressait la quarantaine de participants à la consultation publique qui s’est déroulée mercredi soir au Centre Saint-Charles, l’empiètement sur l’espace vert du carré d’Hibernia et l’achalandage que cela causerait dans le quartier les a rebutés. L’arrondissement a profité du projet d’expansion de la bibliothèque Saint-Charles, possible grâce au Programme de rénovation, d’agrandissement et de construction (RAC) de la Ville de Montréal, pour offrir la possibilité aux résidents d’y ajouter une maison de la culture moderne. Le fait d’intégrer ce lieu culturel à la bibliothèque permettrait que l’entièreté des coûts liés à cette nouvelle construction soit assumée par la ville-centre. Toutefois, cette alternative s’accompagne de son lot d’enjeux, notamment un prolongement du délai des rénovations de la bibliothèque, en piteux état, une augmentation de la circulation dans un quadrilatère déjà achalandé et une réduction importante d’un parc fortement utilisé par les résidents. La construction de 2600 m2 prendrait en effet place dans l’espace vert de la rue Mullins. «C’est certain que je suis pour une maison de la culture, mais pas à cet endroit-là malheureusement. C’est dommage parce qu’on ne sait pas quand l’offre reviendra sur la table», déplore Denis Charron, un résident du quartier depuis 11 ans. Même son de cloche chez tous les résidents présents à la consultation, un consensus plutôt rare dans ce genre d’exercice. «Les gens sont super intéressés à avoir une offre culturelle intéressante dans le quartier. Qui serait contre? Par contre, avec les paramètres imposés par la Ville, c’est très difficile d’envisager cette offre-là», souligne Cédric Glorioso-Deraiche, chargé de projet à la Table de concertation communautaire de Pointe-Saint-Charles, Action-Gardien. Autres possibilités La conclusion de la consultation publique n’a pas surpris le conseiller ville du Sud-Ouest, Craig Sauvé. «Ce sont des gens impliqués que l’on voit souvent, je m’attendais à ce genre de commentaires», dit-il, précisant que le vote et le rapport de la consultation publique de mercredi soir seront les deux seuls éléments pris en compte dans la décision de l’arrondissement. L’idée d’une maison de la culture n’est toutefois pas écartée de la table. «La conclusion de ce soir ne veut pas dire qu’il n’y en aura jamais. Il y a d’autres opportunités à saisir», indique M. Sauvé. L’utilisation de l’auditorium de l’école primaire Charles-Lemoyne à des fins de spectacles ou des salles du Centre-Saint-Charles pour y tenir des expositions a d’ailleurs été évoquée par un résident. «On nous parle d’occuper un espace vert alors qu’il y a plein d’espaces sous-utilisés près de la bibliothèque», mentionne Denis Charron. Une idée jugée intéressante par le conseiller de ville, qui compte explorer cette alternative avec son équipe. La culture figure parmi une longue liste de priorités pour le nord de Pointe-Saint-Charles, notamment l’offre commerciale de la rue Centre, les espaces verts et l’habitation. Communiqué de l'arrondissement : Agrandissement de la bibliothèque Saint-Charles sans maison de la culture 24 janvier 2018 Montréal, le 24 janvier 2018 -Le projet d'agrandissement de la bibliothèque Saint-Charles dans le carré d'Hibernia ira de l'avant sans l'ajout d'une maison de la culture. La question a fait consensus auprès de la quarantaine de personnes ayant participé à la soirée de consultation organisée par les élus du Sud-Ouest, le 17 janvier au Centre Saint-Charles, sur la possibilité d'ajouter un lieu de diffusion culturel au projet. Ainsi, environ les deux tiers des participants se sont prononcés contre. « Il était important pour nous de sonder l'opinion des citoyens de Pointe-Saint-Charles sur la possibilité d'ajouter un tel volet. Les participants auraient tous bien aimé pouvoir profiter des services d'une maison de la culture dans leur quartier, mais la localisation est loin d'être idéale et les délais qui en auraient découlé pour l'agrandissement et la rénovation de la bibliothèque Saint-Charles inquiétaient aussi », a tenu à préciser le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest et président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Benoit Dorais. Parmi les enjeux soulevés, notons le prolongement des délais de réalisation de la future bibliothèque, l'empiétement supplémentaire dans le parc d'un bâtiment plus imposant de quatre étages et l'augmentation significative de la circulation automobile dans le secteur. La réalisation de ce projet s'inscrit dans le cadre du Programme de rénovation, d'agrandissement et de construction (RAC) des bibliothèques de Montréal. « Ce projet implique une démarche globale de réaménagement du carré d'Hibernia. La construction de la nouvelle bibliothèque constitue bien sûr une priorité. Le bâtiment d'intérêt patrimonial actuel doit faire l'objet d'une rénovation urgente pour en assurer sa sécurité. De plus, l'actualisation des services de la bibliothèque est essentielle pour répondre aux nouvelles normes en vigueur. » « La soirée de consultation constituait une étape importante dans le processus. Je remercie tous les participants qui, par leurs commentaires et suggestions, nous ont permis de prendre une décision éclairée. Nous pouvons maintenant aller de l'avant avec l'élaboration du programme fonctionnel et technique de la future bibliothèque.», a conclu le maire Dorais.
  9. Saint-Laurent, le 1er février 2010 – La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, et le maire de Saint-Laurent et vice-président du comité exécutif, M. Alan DeSousa, ont dévoilé aujourd’hui le projet lauréat du concours d’architecture tenu à l’échelle du Québec pour la nouvelle bibliothèque de Saint Laurent. Cette annonce s’est faite en présence de la responsable de la culture, du patrimoine et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, et de la présidente du jury, Mme Lise Bissonnette. (...) Selon l’échéancier établi, la firme lauréate travaillera à l’élaboration des plans et devis du bâtiment tout au cours de l’année 2010. La construction s’effectuera en 2011 et en 2012. L’ouverture du nouvel édifice est prévue à la fin de 2012. http://bibliotheque.saintlaurent.ville.montreal.qc.ca/
  10. MONTRÉAL, le 28 février 2011 - Au nom de la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, le député de Marquette, M. François Ouimet, la responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Mme Helen Fotopulos, ainsi que le maire de l'arrondissement de Lachine, M. Claude Dauphin, annoncent l'investissement de 10, 9 M$ pour le réaménagement et l'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow dans l'arrondissement de Lachine. Ce projet est financé dans le cadre de l'Entente sur le développement culturel de Montréal. Le coût global de ce projet, qui s'inscrit dans le programme de rénovation, d'agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC), est de 10,9 M$. La Ville et le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCF) investiront chacun 4,3 M$, tandis que l'arrondissement injectera près de 2,3 M$. L'ouverture de la bibliothèque agrandie et rénovée est prévue pour le printemps 2013. Soulignons que durant les travaux, les services offerts aux citoyens seront maintenus, mais temporairement relocalisés au sein de l'arrondissement. « Je suis très fier d'être ici aujourd'hui pour annoncer ce beau projet pour les citoyens de Lachine, qui permettra à la bibliothèque Saul-Bellow d'être un pôle culturel plus attrayant et accessible. Cette réalisation, où battra le cœur de Lachine, a été rendue possible grâce à un engagement commun pris lors du Rendez-vous novembre 2007 - Montréal, métropole culturelle. Le concours d'architecture associé à ce projet offre une occasion privilégiée de se surpasser et de viser l'excellence. L'effervescence de notre communauté passe indéniablement par l'accès à un lieu de savoir et de culture vaste et diversifié », a souligné M. François Ouimet. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent accès à la culture et au savoir à ceux qui les fréquentent. Les citoyens de Lachine pourront profiter d'une bibliothèque agrandie, modernisée et axée sur les besoins des familles. Aujourd'hui, notre Administration démontre, encore une fois, qu'elle est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré Mme Fotopulos. « Je suis heureux d'annoncer ce projet de réaménagement et d'agrandissement de la bibliothèque Saul-Bellow puisqu'il s'agit d'un investissement direct qui permettra d'offrir aux citoyens de Lachine une bibliothèque moderne, attrayante, fonctionnelle et ouverte à sa communauté. Ce projet vise à combler l'important déficit de l'arrondissement en matière d'offre de service, tant sur les plans qualitatifs que normatifs. Il permettra de plus, de consolider un pôle culturel et social au cœur de l'arrondissement de Lachine », a affirmé M. Claude Dauphin. Ce projet a été retenu par la Ville et le MCCCF sur la base de critères spécifiques, soit : l'écart par rapport aux normes qui avait été rendu public dans le Diagnostic des bibliothèques municipales de l'île de Montréal, la volonté de l'arrondissement de s'engager financièrement, ainsi que la faisabilité et la qualité du projet. Architecture, développement durable et art publicLa future bibliothèque Saul-Bellow intégrera le bâtiment existant (1427 m2) et un ajout d'environ 1194 m2. Une fois les travaux terminés, la superficie de la bibliothèque aura presque doublée. La conception de la bibliothèque fait l'objet d'un concours d'architecture qui contribuera à consolider le statut de Montréal Ville UNESCO de design. Ce nouvel équipement culturel vise une certification environnementale LEED OR. L'appel de candidatures pour le concours d'architecture, qui se déroulera en deux étapes, a été lancé le 16 février dernier. Un jury formé de sept membres recommandera à la Ville de Montréal et à l'arrondissement de Lachine sept finalistes parmi les architectes qui auront déposé leur dossier de candidature. Les sept finalistes retenus présenteront ensuite un concept sur la base duquel l'équipe lauréate sera choisie. Les membres du jury sont : monsieur Patrice Poulin, architecte, PA LEED et gestionnaire immobilier à la Direction des stratégies et des transactions immobilières de la Ville de Montréal; monsieur Alex Polevoy, directeur - Culture, sports, loisirs et développement social, au sein de l'arrondissement de Lachine; madame Julie-Anne Cardella, directrice de la bibliothèque de Westmount; monsieur Daniel Pearl, architecte et professeur à l'Université de Montréal; madame Louise Bédard, architecte; monsieur Maxime Frappier, architecte; madame Anne Carrier, architecte, et monsieur Charles Ferland, architecte et membre suppléant. Selon la Politique d'intégration des arts à l'architecture et à l'environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec, la Ville procèdera en 2012 à un concours d'art public sur invitation visant à doter la bibliothèque Saul-Bellow d'une œuvre. Rappelons que cette politique consiste à réserver un pourcentage de l'ordre de 1% du budget de construction à la réalisation d'une ou de plusieurs œuvres conçues spécifiquement pour ce lieu. La réalisation du projet d'oeuvre d'art sera gérée par la Division des équipements culturels, de l'art public et du patrimoine artistique par l'entremise de son Bureau d'art public. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1344&lang=fr
  11. L’accès au fleuve, la transformation de la rue Notre-Dame et le développement économique doivent être des priorités pour les Montréalaises et les Montréalais. Le chef de Projet Montréal et de la 2e opposition à l’Hôtel de ville, Richard Bergeron, vous invite au dévoilement du projet d’Entrée maritime de Projet Montréal, inspiré des meilleurs exemples au monde de mise en valeur des rives et de développement urbain. L’événement aura lieu le mercredi 7 novembre, à 19 h, à l’amphithéâtre de la Grande Bibliothèque, 475, boul. de Maisonneuve Est. Ouvert à tous et toutes. Veuillez s’il-vous-plaît confirmer votre présence par courriel au richardbergeron@ville.montreal.qc.ca ou en appelant au 514 872-0251. Projet de Novembre 2012 http://projetmontreal.org/files/EM_DOC_PM_FINAL.pdf Anciens documents 2011 (Quartier Sainte-Marie) http://projetmontreal.org/wp-content...6941157_fr.pdf 2008 http://projetmontreal.org/wp-content...aritime_fr.pdf
  12. http://journalmetro.com/plus/immobilier/378092/nathalie-dion-montreal-et-ses-defis-architecturaux/ Avec l’élection d’une nouvelle présidente à l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) et la campagne électorale municipale, la conjoncture est excellente pour discuter des enjeux qui attendent la métropole avec celle qui dirige l’organisme. Élue en mai dernier à la présidence de l’OAQ, l’architecte Nathalie Dion compte pas moins de 25 années d’expérience tant dans le domaine privé que public. Histoire de briser la glace, en ce matin pluvieux au sommet du majestueux mont Royal, Métro lui a demandé si elle était d’accord avec l’auteur-compositeur-interprète Jean-Pierre Ferland, pour qui «Montréal est une femme du monde en running shoes». «Montréal n’est pas une ville uniforme si on la compare à Paris, par exemple, commence-t-elle. Elle présente un paysage morcelé, qui a toutefois une identité propre, mais difficile à définir. Sa convivialité? Au fond, c’est peut-être cela son côté “femme du monde en running shoes”», sourit l’architecte, soulignant au passage que le Stade olympique semble, paradoxalement, davantage apprécié des visiteurs que des Montréalais eux-mêmes. Quels sont les grands enjeux dont nous devrions débattre au cours de la campagne électorale qui s’amorce, selon elle? «Nous avons l’impression que l’architecture montréalaise est issue de politiques qui changent continuellement : s’il existe bien divers plans (transports, préservation du patrimoine), une vision d’ensemble semble manquer. L’un des grands chevaux de bataille de l’Ordre est d’encourager la création d’une politique nationale de l’architecture et de l’aménagement», affirme la présidente. Elle ne souhaite évidemment prendre position pour aucun parti en lice, mais appelle de ses vœux une mobilisation forte pour un concours d’architecture sur l’avenir du pont Champlain. «La Ville s’était fixé comme objectif d’investir 240 M$ par année jusqu’en 2018 pour l’amélioration du transport à Montréal […]. Cet objectif n’a jamais été atteint : il y a eu 60 M$ en 2008, 104 M$ en 2009, ce qui représente de 25 à 30 % de l’objectif!» – Nathalie Dion Nouvelle présidente de l’OAQ «On ne peut pas rater cette occasion-là», souligne-t-elle avant d’ajouter, toujours au sujet des enjeux fondamentaux, qu’«il faut faire en sorte que l’ensemble de l’offre en matière de logement privilégie l’intégration des familles». Ce qui pourrait passer par l’augmentation du nombre de logements sociaux, croit-elle, mais aussi par des politiques encadrant la création de plus grands logements pour y installer les familles. Bref, dit en substance l’architecte Nathalie Dion, qui souhaite également une réactivation de l’investissement dans le réseau cyclable, «il faudrait penser davantage à une vision d’ensemble cohérente, plutôt qu’au seul profit à courte vue, comme ce fut le cas, par exemple, dans Griffintown, où l’on souhaite faire venir les familles, mais où personne n’a, semble-t-il, songé à construire une… école!» *** Palmarès Des bons coups, selon Nathalie Dion La Grande Bibliothèque (Croft Pelletier architectes/Gilles Guité/Patkau architectes), résultat d’un concours d’architecture. Elle est la bibliothèque la plus fréquentée en Amérique du Nord. En 2011, elle a reçu 2,7 millions de visites, ce qui la place devant la bibliothèque de Toronto. Pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Mont*réal (Provencher Roy et associés). Planétarium de Montréal (Cardin Ramirez Julien et Ædifica). Habitat 67, Moshe Safdie (Safdie Architects). De moins bons coups Parfois, des architectes qui débordent de talent doivent composer avec les demandes de leurs clients. Hélas, il arrive que les profits passent avant la qualité. La Maison symphonique de Montréal est un bâtiment fort intéressant, mais il aurait pu l’être davantage. Lorsque des consortiums PPP (partenariat public-privé) décrochent des contrats en raison de leur montage financier, cela se fait au détriment de la qualité. La salle est très belle, l’acoustique y est excellente, mais lorsqu’on en sort, cela n’a rien à voir avec la beauté de l’aire d’attente de la salle Wilfrid-Pelletier ou celle de la salle Maisonneuve.» «L’autoroute métropolitaine (la 40). La solution? On pourrait s’inspirer de New York, où l’on a transformé une infrastructure de trains surélevée qui traversait une zone industrielle et d’anciens abattoirs en projet vraiment formidable, le High Line. C’est devenu une promenade parsemée de végétation. L’un des plus beaux lieux de la ville avec sa vue imprenable sur la rivière Hudson.»
  13. Agrandissement et rénovation de la bibliothèque Reginald Dawson. http://www.expressoutremont.com/Actualites/Vos-nouvelles/2012-02-02/article-2883159/L%26rsquoagrandissement-commence/1
  14. Jardins / Terrasses Darling Occupation Automne 2010 Promotions spéciales en pré-vente 50% VENDU Condos neufs, 16 unités, 3½-4½. Projet magnifique au cœur du quartier HOMA, un secteur en pleine expansion. Bordé par la promenade Ontario, qui comporte une multitude de boutiques, banques, restaurants et autres services. Quartier charmant entouré d’îlots de verdure. Face à un parc, une bibliothèque et une piscine intérieure. À proximité de la piste cyclable du parc linéaire de la rue Notre-Dame. Situé à quelques minutes de marche de 2 stations de métro (Préfontaine et Joliette). http://www.projethabitation.com/Projets/Montr%C3%A9al/Mercier-Hochelaga-Maisonneuve/Jardins-Darling-278/ http://www.devmas.com/projets-residentiels-en-cours-construction-montreal.php?tabs=4
  15. Merci à MTLskyline sur SSP !!! NOUVEAU PAVILLON DE MUSIQUE CLIENT: UNIVERSITE DE MONTREAL COÛT : 100 000 000 $ ESQUISSE AVANT-PROJET Conception préliminaire d’un nouveau pavillon pour la faculté de musique dans le cadre du développement du nouveau campus Outremont de l’Université de Montréal. Le projet comprend la réalisation d’un programme fonctionnel et technique préliminaire et la conception volumétrique et technique du bâtiment. Le nouveau bâtiment phare du campus se sépare en deux sections : une première fonctionnelle et rigoureuse qui regroupe les services, les locaux de pratique, les lieux d’enseignement et la bibliothèque. Une seconde section sculpturale et spectaculaire enveloppe les salles de concert et de répétition ainsi que les locaux techniques nécessaires à ces lieux et aux différents groupes de recherche. http://www.leclerc-architectes.com/projets_realises/education/pavillon_musique/
  16. Centre-ville Une lamelle de verre de la Grande Bibliothèque éclate Agence QMI Maxime Deland 08/09/2011 21h55 MONTRÉAL - Les lamelles de verre du parement extérieur de la Grande Bibliothèque du Québec (GBQ) font encore parler d'elles. Une des lattes du bâtiment situé au centre-ville de Montréal a volé en éclats, jeudi après-midi, presque trois ans jour pour jour après le dernier incident du genre. Le bris de la lamelle n'a heureusement pas fait de blessé. La cause exacte de l'éclatement n'a pas encore été déterminée, mais la variation de température pourrait avoir joué un rôle dans cet incident. Les nombreuses chutes de lamelles de verre à la GBQ ont fait couler beaucoup d'encre depuis la construction de l'édifice, en avril 2005. À ce jour, plus d'une douzaine de lattes se sont fracassées d'elles-mêmes. La Grande Bibliothèque compte au-delà de 6000 plaques similaires. En tombant au sol, les éclats de verre pourraient facilement blesser des passants. À la suite de la chute d'une sixième lamelle, en août 2005, des clôtures de sécurité avaient été installées le long de la bibliothèque afin d'éviter que des gens soient blessés. À l'époque, la GBQ avait dû débourser plusieurs dizaines de milliers de dollars pour l'aménagement du périmètre de sécurité.
  17. la construction de cinq immeubles comptant 926 appartements pour retraités et d’un hôtel situé au 5500, rue Sherbrooke Est. Le projet comporte une salle de spectacle de 350 places, un cinéma, un restaurant de 375 places, un centre d’activités physiques avec spa, une piscine, une pharmacie, une bibliothèque, une chapelle et un stationnement intérieur de 400 places. Investissement prévu 140 millions de dollars Promoteurs Gouverneur Inc. www.residencesgouverneur.ca
  18. 30 avril 2011 Marathon d'architecture à la Grande bibliothèque -------------------------------------------------------------------------------- La quatrième édition du marathon d'architecture permettra aux architectes lauréats des Prix d'excellence 2011 de présenter leur projet primé devant le public pendant 8 minutes, top chrono! De 13 h à 17 h, ils révèleront les faits saillants, parfois cocasses, qui ont entouré la réalisation de leur projet. Objectif? Faire connaître la démarche de l'architecte et la synergie avec son client, un élément essentiel au succès de tout projet d'architecture. Le défi en est un aussi de séduction puisque les architectes font campagne jusqu'au 31 mai pour remporter le Prix du public Loto-Québec ainsi que le Prix Vision architecture & jeunesse remis en collaboration avec Joli-Coeur Lacasse avocats. Entrée libre. Les projets lauréats seront présentés à tour de rôle (voir l'horaire). http://www.pea-oaq.com Direction | Ordre des architectes du Québec | 1825, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3H 1R4 | T. 514.937.6168 | info@oaq.com | oaq.com Production déléguée : SCPGR | Sylvie Champeau | 1858, avenue Woodland, Montréal (Québec) H4E 2J3 | T. 514.983.6547 | pea@scpgr.com | scpgr.com Horaire Description Firmes ou organismes 12 h 30 Ouverture des portes 12 h 45 Mot de Bienvenue Bibliothèque et Archives nationales du Québec 12 h 50 Mot du président de l'Ordre des architectes du Québec André Bourassa, architecte 12 h 54 Mot du partenaire principal, TD Assurance Meloche Monnex Marie Cacchione, Directrice, Marché de l'affinité, Québec 12 h 58 Explications des règles du Marathon d'architecture et coup d'envoi Sylvie Champeau, agence SCPGR, productrice déléguée 13 h 00 Mission Kitcisakik, Architectes de l'urgence Canada Guillaume Lévesque, architecte, lauréat du prix Action 13 h 10 Résidence Saint-Hubert _naturehumaine 13 h 20 Résidence de la Congrégation _naturehumaine 13 h 30 Abbaye Val Notre-Dame Atelier Pierre Thibault inc. 13 h 40 Résidence André-Coindre (1965) Jean-Marie Roy, architecte (présentation par Martin Dubois, Patri-arch) 13 h 50 Les Quatre Arbres Les Architectes Boutros + Pratte 14 h 00 Agrandissement du Centre de formation professionnelle Gabriel-Rousseau Le consortium AC/a (Anne Carrier architecte) et Poulin architectes 14 h 10 Conservatoire de musique et d'art dramatique de Montréal Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 20 Théâtre Denise-Pelletier Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 30 Le 300 St-Paul �� Place Telus ABCP Architecture en collaboration avec Claude Guy, architecte 14 h 40 Siège social de Schlüter-Systems (Canada) inc. DCYSA architecture & design 14 h 50 Centre spécialisé de technologie physique du Québec Le consortium bisson associés + carl charron architecte 15 h 00 Université de Sherbrooke �� nouveau campus de Longueuil Le consorium Marosi +Troy, Jodoin Lamarre Pratte, Labbé architecte 15 h 10 Hôtel Marriott de l'aéroport Montréal-Trudeau et Siège social d'Aéroports de Montréal Provencher Roy + Associés architectes 15 h 20 Restauration du pavillon de la Jamaïque de l'Expo 67 à l'île Notre-Dame Réal Paul, architecte 15 h 30 Théâtre de Quat'Sous Les architectes FABG (Brodeur, Gauthier, Lavoie, architectes) 15 h 40 Place des Festivals - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 15 h 50 Vitrines habitées - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 16 h 00 Scandinave Les Bains Vieux-Montréal Saucier + Perrotte Architectes 16 h 10 Boutique Michel Brisson_ Saucier + Perrotte Architectes 16 h 20 Unité de vie des Filles de la charité du Sacré-Cœoeur de Jésus acdf* architecture | urbanisme | intérieur / Allaire Courchesne Dupuis Frappier 16 h 30 La Cornette YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 40 Géométrie noire YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 50 Maison-atelier du Moine Urbain Gabriel Rousseau, architecte 17 h 00 Conclusion du Marathon et vernissage de l'exposition Entrée libre �� Auditorium de la Grande Bibliothèque, 475, boul. De Maisonneuve Est, Montréal �� Métro Berri-UQAM Marathon d’’architecture 2011 « Un défi intellectuel pour les architectes, 240 minutes de pur bonheur et d’’inspiration pour le public. » « Une invitation à venir voir performer puis rencontrer les architectes qui se sont illustrés dans le cadre des Prix d’’excellence en architecture de l’’Ordre des architectes du Québec. » Le samedi 30 avril http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/evenements/vue_detaillee/article/marathon_darchitecture_le_30_avril_a_la_grande_bibliotheque.html
  19. Inauguration de l'Édifice Gaston-Miron Le Devoir Stéphane Baillargeon Édition du mardi 24 février 2009 Mots clés : Édifice Gaston-Miron, Conseil des arts de Montréal, bibliothèque centrale, Montréal, Québec (province) Lors de l'inauguration, Pierre Lebeau a lu des extraits de l'œuvre de Gaston Miron entouré du maire de Montréal et de Christine St-Pierre. Photo: Jacques Nadeau La mutation est parachevée. L'ancienne bibliothèque centrale de Montréal est maintenant officiellement l'Édifice Gaston-Miron. Le bâtiment historique rénové, situé en face du parc La Fontaine, abrite le Conseil des arts de Montréal (CAM), le Conseil du patrimoine, des organismes culturels (comme BJM Danse) et des studios de répétition. L'inauguration a eu lieu hier matin en présence du maire de Montréal, de la ministre de la Culture du Québec et de Denise Miron, soeur du poète Gaston Miron (1928-1996). Le comédien Pierre Lebeau a lu des extraits de son oeuvre, et le maire Tremblay a aussi cité quelques vers de L'Homme rapaillé: «Les mots que l'on regarde /nous demandent de partir avec eux /jusqu'à perte de vue.» «Cet édifice est un formidable héritage de très grande valeur qui a influencé la vie culturelle de plusieurs générations de Montréalais», a commenté Louise Roy, présidente du Conseil des arts de Montréal, principal locataire du 1210, rue Sherbrooke Est. «Cet édifice devra maintenant composer avec les imaginaires débridés de nos danseurs, musiciens, comédiens et autres créateurs qui le fréquenteront.» Le CAM était depuis 1989 dans l'ancienne École des beaux-arts de Montréal, rue Saint-Urbain. L'organisme municipal soutient la création et la diffusion professionnelle contemporaine avec des budgets annuels d'environ 10 millions. La restauration et la conversion de l'Édifice Gaston-Miron, propriété de la ville, a coûté près de 3,1 millions, dont 600 000 $ octroyés par Québec. Les espaces publics ont retrouvé leur splendeur. Le grand hall d'entrée déploie un plafond de verre en caisson et un entablement sur lesquels apparaissent les noms de grands écrivains universels et nationaux, de Platon à Fréchette, de Cicéron à Crémazie. Les studios de répétition (loués) occupent les ailes latérales. Les bureaux des organismes locataires se trouvent à l'étage. Des oeuvres d'art contemporain agrémentent la promenade sur la mezzanine. La bibliothèque fut inaugurée en 1917, après des années de combat et de controverse sur fond de cléricalisme borné. Elle est demeurée la plus imposante du secteur municipal jusqu'à l'inauguration de la Grande Bibliothèque du Québec, où se trouvent les collections de la ville depuis 2005. Le bâtiment monumental conçu par l'architecte Eugène Paquette conserve sa colonnade néoclassique et ses éléments décoratifs de granit. À la même époque, beaucoup de grands bâtiments officiels américains adoptaient ce style récupéré ensuite par des régimes totalitaires d'Europe pour en faire l'expression de leur propagande monumentale, jusqu'à l'hystérie architecturale. Eugène Paquette est également le concepteur de la plus sobre bibliothèque Saint-Sulpice, rue Saint-Denis, un édifice qui attend toujours une nouvelle vocation. http://www.ledevoir.com/2009/02/24/235637.html (24/2/2009 2H02)
  20. 19/04/2007 La proposition de la Grande Bibliothèque du Québec d'installer des marquises au bas de l'édifice, afin de protéger le public contre d'éventuelles chutes de lamelles de verre provenant de sa façade, est rejetée. L'arrondissement Ville-Marie estime que les moyens proposés sont inadéquats et qu'ils n'assurent pas suffisamment la protection des citoyens. Une inspection a révélé que le tiers des 6200 plaques de verre de l'établissement sont défectueuses. La suggestion d'installer un filet le long des murs est cependant jugée acceptable sur une base temporaire, dans la mesure où cette solution obtienne l'appui d'experts.
  21. Montréal, le 13 décembre 2007 - Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, et le maire de l'arrondissement de Rosemont—La Petite-Patrie, monsieur André Lavallée, sont heureux d'annoncer qu'une nouvelle bibliothèque publique sera construite sur les terrains des anciens ateliers municipaux Rosemont. Il s'agit d'un investissement total de 12,5 M$. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent à ceux qui les fréquentent accès à la culture et au savoir. Ces lieux de convergence sont une porte d'entrée sur le monde et sur toute l'histoire de l'humanité. Quand on entre dans une bibliothèque, les frontières du monde et du temps tombent. La construction de cette nouvelle bibliothèque démontre, encore une fois, que notre administration est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré le maire Tremblay. Après avoir augmenté de façon significative les heures d'ouverture des 44 bibliothèques publiques puis procédé à l'harmonisation des systèmes informatiques, cette nouvelle bibliothèque représente un pas de plus dans la réalisation du plan de consolidation du réseau de bibliothèques publiques de Montréal, mis de l'avant depuis 2005. « Ce projet répond à un besoin clairement exprimé par la population de Rosemont—La Petite-Patrie, soit celui d'avoir accès à des lieux de savoir et de culture dans leur quartier. La future bibliothèque qui sera érigée dans l'environnement immédiat du métro Rosemont, pourra ainsi desservir un important bassin de population, et plus particulièrement les familles du quartier. Cette annonce constitue un pas en avant très significatif par rapport au plan de développement culturel de l'arrondissement adopté l'an dernier », de se réjouir monsieur Lavallée. Une bibliothèque adaptée aux familles Le concept de famille guidera la conception de cette bibliothèque, ses aménagements et ses services. La vocation familiale sera perceptible dans plusieurs choix de la bibliothèque : des espaces spécifiques seront aménagés pour les adultes, les adolescents et les enfants; une répartition différente accordera une importance particulière aux enfants et l'aménagement sera adapté aux besoins de la clientèle famille (tables à langer, emplacement pour les poussettes). Quant aux adultes et adolescents, ils pourront profiter de salons de lecture, de sections d'écoute et de petites salles fermées pour le travail en équipe. Une salle multimédia sera également aménagée. Finalement, les programmes d'animation et de médiation culturelle seront adaptés à la clientèle. Plan de consolidation des bibliothèques publiques de Montréal Depuis 2005, la Ville de Montréal a entamé un important plan de consolidation des bibliothèques publiques. Ainsi, la gratuité a été instaurée partout et 4,7 M$ sont investis de façon récurrente afin d'augmenter les heures d'ouverture jusqu'à un minimum de 53 heures par semaine dans chacune des 44 bibliothèques publiques de Montréal. De plus, la Ville a investi quelque 4,5 M$ pour l'harmonisation des systèmes informatiques. Récemment, la Ville lançait un site Internet amélioré comprenant le catalogue Nelligan qui permet désormais aux citoyens d'accéder aux plus récentes technologies de l'information, et ce, à partir de leur bibliothèque de quartier.
  22. La Presse Le jeudi 28 juin 2007 La Grande Bibliothèque n'aura pas à payer un seul sou pour les clôtures qui l'encerclent. Par bon voisinage, l'arrondissement de Ville-Marie fait une croix sur la somme d'un million et demi de dollars que lui doit l'institution du boulevard De Maisonneuve. Les fameuses clôtures, qui monopolisent le trottoir depuis un an et demi, servent à éviter qu'une lame de verre de la bibliothèque n'assomme un passant. En janvier dernier, la Grande Bibliothèque (GBQ), avait proposé d'installer des marquises et des bacs à fleurs pour régler le problème. Un projet de 500 000$. Mais l'arrondissement, qui avait demandé une expertise externe, avait jugé l'idée non sécuritaire, et refusé de délivrer un permis. Une décision qui a mis le feu aux poudres. La direction de la GBQ, qui a douté de la bonne foi de Ville-Marie, a demandé un avis à la Régie du bâtiment. Un avis qui se fait toujours attendre. Le chargé de communication de Ville-Marie, Jacques-Alain Lavallée, a expliqué, hier, que les élus ont jugé qu'il valait mieux ne pas facturer la Bibliothèque en attendant l'avis. Mais il n'a pas manqué de rappeler que le service d'incendie de Montréal avait appuyé Ville-Marie dans sa décision. «Nous agissons pour la sécurité du public, a dit M. Lavallée. Et il faut se souvenir que nous étions d'accord avec l'installation de filets de protection pour remplacer les clôtures de sécurité.» Au mois de mai dernier, la directrice de la Grande Bibliothèque, Lise Bissonnette, s'était indignée publiquement contre la facture de 38 000$ par mois imposée pour les clôtures. Une somme qui menaçait d'amputer son budget de fonctionnement et de programmation, disait-elle. Jointe hier, la directrice des communications de la GBQ, Hélène Panaïoti, a indiqué que l'institution avait un permis d'occupation du domaine public jusqu'au 31 juillet. Elle n'était pas au courant de la décision de l'arrondissement. «Vous comprendrez que je ne peux pas commenter une décision dont nous n'avons pas été informés. Mais il est exact de dire que nous n'avons pas reçu de facture pour les clôtures», a-t-elle dit. Essais techniques De son côté, la Régie du bâtiment affirme que des essais techniques ont été menés, il y a un mois, pour évaluer le projet de marquises et de bacs à fleurs. «Nous posons plusieurs questions aux experts de la Bibliothèque, notamment sur les matériaux utilisés, explique Christine Grant, porte-parole de la Régie. Il y a une bonne collaboration. Mais il m'est impossible, à ce moment-ci, de dire quand l'avis sera déposé.» La décision de Ville-Marie de ne pas facturer la GBQ pour les clôtures va réjouir les commerçants du centre-ville, croit pour sa part André Poulin, directeur de Destination Centre-Ville, qui représente 8000 entreprises. «Il est normal de sévir contre les mauvais clients corporatifs, explique-t-il. Mais pas contre les propriétaires qui font preuve de bonne volonté. Je pense que les frais sont de toute façon exagérés pour une institution gouvernementale. Et que d'une façon ou d'une autre, ils sortent des poches des contribuables.» Moins de risquesDix lamelles de verre de la Grande Bibliothèque se sont détachées depuis son ouverture, en avril 2005. Une expertise a démontré que plus le temps avance et plus les risques de chute diminuent. «Mais avant de clamer la fin du phénomène, il ne serait pas surprenant de voir, durant les prochaines années, quatre ou six lamelles additionnelles se briser», indique par ailleurs une expertise de CPA verre structurel, commandée par l'arrondissement de Ville-Marie. Les clôtures qui entourent la Grande Bibliothèque servent à éviter qu'une lame de vere qui se détache ne blesse en passant.
  23. le 13 avril 2007 Alors que l'arrondissement voisin de Ville-Marie construira un nouvel édifice pour accueillir la bibliothèque Centrale-jeunes, l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal cherche toujours une solution au débordement de sa bibliothèque. La bibliothèque du Plateau-Mont-Royal occupe présentement un espace de 12 000 pieds carrés. Selon les normes, elle devrait plutôt profiter de 34 000 pieds carrés. L'espace est tellement exigu que les rayons débordent et les livres sont disposés tant par terre que sur le bord des fenêtres. Louise Guillemette-Labory, directrice associée bibliothèque à la ville de Montréal, admet que l'arrondissement Plateau-Mont-Royal planche toujours pour trouver une solution à la surcapacité de la bibliothèque du Plateau-Mont-Royal, sur l'avenue du Mont-Royal. «La bibliothèque du Plateau est très utilisée, confirme-t-elle. Il y a encombrement et un manque d'espace minimal à respecter». Le nerf de la guerre consiste à trouver le financement pour mener un projet d'agrandissement de la bibliothèque. «On cogne à toutes les portes», ajoute-t-elle. Plan de rattrapage La Ville de Montréal s'est engagée par le biais de sa Politique de développement culturel de la Ville de Montréal 2005-2015, à se doter d’un plan de rattrapage pour ses bibliothèques. Amorcé en 2005, ce plan vise à atteindre, au cours des 10 prochaines années, le niveau moyen de services des bibliothèques des grandes villes canadiennes. Le plan prévoit notamment l'augmentation des heures d'ouverture selon les particularités locales, l'ajout de personnel spécialisé, la mise à jour des collections dans les bibliothèques sous-dotées, de même que la mise aux normes des espaces. Sa mise en œuvre fait appel à la volonté de tous les acteurs concernés et implique, entre autres, une synergie entre les bibliothèques, les partenaires du milieu, les arrondissements, les services corporatifs et les villes de l'Île de Montréal. Le défi est vaste et sa réalisation contribuera à faire de Montréal une Ville de lecture, une Ville de savoir. Le financement La Direction du développement culturel et des bibliothèques évalue à environ 175 M$ les sommes nécessaires à la réalisation du plan de rattrapage dont une partie sera versée par le biais du programme triennal d'immobilisations. @R:En comptabilisant les sommes récurrentes d’année en année, le total des investissements requis, selon la Direction, se chiffre à près de 250 M$ pour les 10 prochaines années. Les trois éléments incontournables et indissociables dans la mise en place d’une bibliothèque publique sont : des locaux adéquats, des collections à jour et un personnel qualifié. Cependant, il apparaît pertinent de rappeler l’importance capitale des espaces alloués au fonctionnement d’une bibliothèque, car même «un bibliothécaire exceptionnel ne pourra jamais donner sa mesure dans un local étriqué», comme l'écrit Bertrand Calenge dans le livre Les petites bibliothèques publiques. À l'étroit La bibliothèque du Plateau occupe 12 000 pieds carrés alors que la norme est de 34 000 pieds carrés.
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