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WestAust

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Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. Qu'un raisonnement bidon soit fait par certains gens, d'accord. C'est plus le fait qu'on y accorde de l'importance qui est problématique.
  2. Pour les materiaux, ca depend ce que tu veux changer, mais si tu achètes sur plans, tu va avoir des choix pour armoires, céramiques, planchers fort probablement. Sinon, pour les changements de plans, il vaut mieux que tu t'addresse au bureaux des ventes, ils vont pouvoir te répondre. J'ai un ami qui a acheté dans la phase 4, et il a pu entre autre, mettre une ouverture sur le mur entre la chambre et le salon, chose qui n'était pas dans les plans originaux.
  3. First the costs of new signs which are required anyway after rebuilding is a non-issue. Second, according to the MTQ, changing it from highway to national road allows for narrower lanes thus less space needed, and less expropriations! In the end, it's only the continuation of what will happen with Notre-Dame, all of this won't be an hightway!
  4. Les lignes du métro aux enchères La Société de transport de Montréal est sur le point de vendre les lignes du métro montréalais à des commanditaires dans le but d’accroître ses revenus. Les usagers des lignes orange, verte, bleu et jaune devraient emprunter d’ici quelques semaines des voies renommées en l’honneur de différentes entreprises. «Nous avons déjà eu des présentations. À mon avis ça pourrait se concrétiser avant noël ou au retour des fêtes», a expliqué à TVA Nouvelles Michel Labrecque, président du conseil d’administration de la STM. Le projet pourrait être lucratif pour les entreprises privées ou les sociétés publiques qui choisiront de s’associer à la STM puisque 850 000 déplacements sont assurés par le métro montréalais chaque jour. «Des multinationales ou des entreprises d’envergure comme des sociétés de téléphonie ont intérêt à amplifier leur présence dans un environnement comme le métro», a commenté à Argent Mathieu Bédard, vice-président de la firme Défi Marketing. Le spécialiste a précisé que le métro véhicule un grand nombre de jeunes consommateurs, une clientèle prisée par plusieurs annonceurs. «Les entreprises veulent être en tête de liste dans l’esprit des consommateurs. Si les consommateurs côtoient des marques au quotidien, c’est clair qu’elles vont se positionner», a ajouté M. Bédard. La STM refuse d’identifier les groupes qui vont s’associer aux lignes du métro mais Mathieu Bédard croit que des marques comme Bell ou Virgin Mobile pourraient être sur les rangs. Ce projet de commandites s’inscrit dans un nouveau plan d’affaires que la société de transport prévoit déployer au cours des prochaines années. L’organisation a confié à la firme Transgesco le mandat d’établir des stratégies pour hausser ses revenus autonomes qui sont tirés de la vente de publicité et de la location d’espaces commerciaux. Ces opérations génèrent actuellement des recettes annuelles de 17 M$ mais la STM souhaite que ce type de revenus double pour atteindre 35 M$ dans 3 ou 4 ans. Pour atteindre son objectif, la STM envisage aussi de construire des immeubles locatifs au dessus des stations de métro qui ne sont pas intégrées à des complexes immobiliers. «Nous ne sommes pas promoteur immobilier. On ne construit pas de logements ou de commerces mais on est capable d'aller chercher la plus value sur le terrain ou sur la construction d'un édifice à des fins commerciales ou résidentielles», a indiqué Michel Labrecque. La STM n’a pas précisé combien d’argent elle compte toucher en vendant le nom des lignes du métro mais des spécialistes tablent sur plusieurs centaines de milliers de dollars. Bell Canada a conclu une entente semblable avec le Canadien de Montréal en 2002. La société canadienne verse 5 M$ par an pour apposer son nom sur le Centre Bell. Dans le cadre de son nouveau plan d’affaires, la STM envisage aussi d’offrir à ses usagers un accès gratuit à internet sans-fil. La société négocie présentement des ententes avec les géants des télécommunications qui sont en affaires au Québec. ......... Exit lignes orange ou verte, bienvenue lignes Telus, Bell et Rona!
  5. MONTREAL - In what can only be described as the most unexpected foodie news of 2010, celebrity chef Gordon Ramsay is taking over Montreal's Rôtisserie Laurier BBQ, the Gazette has learned. With restaurants in New York, Los Angeles and Florida, Ramsay, 44, already has a foothold in North America. Yet this unpretentious, family-style eatery will be his first foray into the Canadian restaurant scene. Opened in 1936 and located on Laurier Ave. in the heart of Outremont, this Montreal institution has long been famous for its barbecued chicken, chicken noodle soup, hot chicken sandwiches, and sugar pie. As of next February it will be renamed Rôtisserie Laurier BBQ by Gordon Ramsay, and the menu will include the house classics as well as salads, sandwiches, ribs, and hamburgers. Known for his expletive-laced rants on cooking reality shows like Hell's Kitchen, The F Word, and Gordon Ramsay's Kitchen Nightmares, Ramsay most recently faced a whirlwind of personal problems. Yet despite certain setbacks, Ramsay remains a bona fide superstar on the food scene and a successful restaurateur with a three-Michelin-starred restaurant in London, as well as 12 Michelin stars to his name, surpassed only by French chefs, Joel Robuchon and Alain Ducasse. He's also authored some 30 cookbooks, consults all over the world, and has a line of cookware and counter-top appliances. To find out how Ramsay's takeover of Laurier BBQ came about, please read Lesley Chesterman's story Thursday in The Gazette and on montrealgazette.com. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Exclusive+Gordon+Ramsay+taking+over+Montreal+resto/3808086/story.html#ixzz14umu6ObO
  6. Changements sur l’autoroute 720 Le changement du statut autoroutier de l’autoroute Ville-Marie (aut. 720) pour un statut de route nationale permettra la réduction de la largeur des voies et des accotements à l’est de l’échangeur Turcot. Ce scénario permettra de réduire les impacts sur les acquisitions résidentielles sur la rue Cazelais comparativement à ce qui était proposé précédemment dans le projet présenté dans l’étude d’impact sur l’environnement. Un seul bâtiment comprenant trois logements, inoccupés actuellement, devrait être acquis en totalité.
  7. Les abribus design coûteront deux fois plus cher MONTRÉAL - La beauté, ça se paye. Les nouveaux abribus de la Société de transport de Montréal (STM), conçus selon un « design du 21e siècle », coûteront deux fois plus cher aux contribuables que les anciens modèles. Alors que les 3000 abribus actuellement installés à Montréal valent chacun entre 6000 $ et 8000 $, la STM devra débourser entre 14 000 $ et 16 000 $ pour l’installation du modèle dernier cri. En fait, les 400 premiers exemplaires, qui seront installés d’ici la fin 2013, seront encore plus coûteux, à environ 35 000 $ chacun, pour un total de 14 millions $. La différence pour cette première commande s’explique dans les frais de recherche et développement et les coûts de financement, puisqu’un emprunt a été nécessaire pour les acquérir, indiquent les responsables du transporteur. Plus confortables Michel Labrecque, le président de la STM, croit que ces coûts se justifient. Selon lui, s’il est plus agréable et confortable d’utiliser les transports en commun, davantage de gens vont laisser l’automobile à la maison. «Si vous êtes une ville design, que vous voulez rehausser l’expérience clientèle, et que vous ne voulez pas construire un «bunker», vous avez besoin d’un abribus design», explique-t-il. Lundi, en conférence de presse, les responsables de la STM ont dévoilé le premier prototype fonctionnel des nouveaux abribus, situé sur le côté sud du boulevard René-Lévesque, un peu à l’est de la rue Jeanne-Mance. Alimenté à l’énergie solaire, presque entièrement vitré, il est très lumineux à l’intérieur. Beaucoup plus spacieux que les modèles actuels, il peut accueillir sans problème un fauteuil roulant ou une poussette à deux places. L’installation est plus facile à nettoyer que les abribus conventionnels, et la STM pourra appliquer sur le vitrage des pellicules de plastique qui s’enlèvent facilement, afin de faire disparaître les graffitis. Les bancs sont fabriqués à partir de plastique recyclé. Trois prototypes Les clients de la STM pourront profiter de trois versions du nouvel abribus d’ici le début décembre, dont une version « allongée », encore plus spacieuse, située aux abords de la station de métro Langelier. Par la suite, au printemps 2011, la STM lancera un appel d’offres pour en fabriquer 400 exemplaires. Les prototypes ont été dessinés par le consortium montréalais Leblanc Turcotte Spooner, qui a remporté en janvier 2010 un concours de design organisé par la Ville de Montréal.
  8. Il faudrait donc un systeme a 4 parti, un de droite separatiste, droite fédéraliste, gauche fédéraliste et gauche séparatiste
  9. hosting a NFL game in montreal is one thing, feasable if a promoter is willing to take the financial risk (NFL revenue sharing comes partly from gates revenues being split to a certain % to the "home" team and the "away" team. If you want such a game to be a success, and convice teams to play that game here, they need to be assured of revenues at least as big as they would generate at home (and at the same time, the away team would get the same amount) Also, as far as I know, the superbowl has never been hosted outside of an NFL team city, hosting it in montreal would cost a lot more, if even possible. For the olympic stadium being Superbowl ready, i don't think much is needed, a revamp of the players room, a nice playing field turd, maybe a corporate suite overhaul, otherwise, not much more should be needed (other than a guarantee that the game can be hosted no matter what the outside conditions are in february and the past weeks)
  10. La gauche a-t-elle des solutions à proposer? Emmanuel Choquette L'auteur est chargé de cours à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke. «Nous ne prétendons pas non plus avoir le monopole de la lucidité, mais nous nions cependant à quiconque d'autre le monopole du coeur et des bons sentiments.» En ces termes, l'ancien ministre et ex-député du Parti québécois Joseph Facal exprime en quelque sorte l'un des plus grands défis auxquels la gauche québécoise contemporaine semble être confrontée. De fait, confinée au simple rôle de critique intempestif, la gauche s'éloigne progressivement de la décision et de la solution politiques. Pire, elle ouvre la porte à l'expression et peut-être même à la montée d'une droite plus radicale, comme elle semble s'exprimer de plus en plus fortement. La récente manifestation du Réseau-liberté Québec, l'élection d'un maire populiste à Toronto ou les positions parfois étonnantes du gouvernement conservateur au niveau fédéral témoignent de l'espace disponible sur les tribunes populaires. En fait, la question pourrait se poser en ces termes: après avoir largement exprimé vos angoisses, qu'avez-vous à proposer? Il semble que l'absence de réponse crédible constitue une véritable impasse en ce qui concerne l'avenir de la gauche au Québec. La peur de la dérive Précisons d'emblée une chose: les peurs et les critiques exprimées par la gauche ne sont pas toujours dénuées de fondements. C'est vrai que les excès du libéralisme caractérisés par l'une des pires crises économiques que le monde est connu depuis 1929 viennent entretenir un certain doute à l'égard de la capacité de la droite à démontrer les bienfaits de l'économie de marché. C'est également vrai que certaines mesures politiques manifestement influencées par l'approche néolibérale se sont soldées par des échecs et que quelques autres tardent à donner de bons résultats. On peut à cet égard questionner l'efficacité des partenariats public-privé (les PPP), du changement de mandat de la Caisse de dépôt et placement ou des baisses d'impôts effectuées par le gouvernement Charest en 2004. Admettons-le, la gauche n'a pas le monopole des «erreurs» de gestion. Mais une fois ces constats établis, une fois les grands principes moraux évoqués, notamment sur l'établissement d'une société plus juste et plus équitable, il faut reconnaître que le fardeau de la preuve se fait de plus en plus lourd sur les épaules de la gauche. Pour s'imposer, elle doit nécessairement dépasser le stade de la condamnation et démontrer de façon concrète le caractère applicable et bénéfique des solutions qu'elle propose. Si la droite ne représente guère le parfait modèle de gestion de l'espace public, la gauche ne constitue pas un exemple irréprochable de vertu pour autant. «Démoniser» la droite, c'est alors brandir des épouvantails, lesquels ne font à l'évidence plus peur à personne. On comprend donc que les craintes fréquemment évoquées par la gauche concernent davantage les risques de dérives de la droite, c'est-à-dire le glissement du centre-droit vers une droite plus franche à plusieurs niveaux. Du point de vue collectif, on semble préoccupé par les risques liés à l'augmentation des frais de gestion dans le domaine de la santé, de l'éducation ou de l'énergie. Les critiques estiment alors que la hausse des tarifs d'électricité et des frais de scolarité ou l'établissement d'un ticket modérateur dans les hôpitaux privilégient les mieux nantis au détriment des usagers à plus faibles revenus. Ce n'est donc pas uniquement la peur du libéralisme qui semble s'exprimer, mais surtout celle du libertarisme ou la notion d'individualisme poussée encore plus loin. Dans cette perspective, la seule idée de revoir le fonctionnement de certaines politiques publiques engendre un état de panique au sein de plusieurs mouvements de gauche de la province. C'est cette réaction, cette perpétuelle fin de non-recevoir qui mine la crédibilité de la gauche au Québec. Au-delà des bonnes intentions, la gauche est dépourvue de toute raison et n'offre aucune solution. La phrase peut paraître percutante, mais je sais qu'elle exprime ce que plusieurs «ténors» de la droite québécoise, de Pierre Fortin à Alain Dubuc, ont à maintes reprises évoqué, parfois plus ou moins subtilement. Justement, on peut bien diriger un tollé de critiques envers ces penseurs et acteurs de la droite québécoise, mais ces derniers possèdent toutefois le mérite de proposer des solutions précises, réfléchies et largement documentées. Il existe un véritable consensus à droite sur les problèmes et les mesures à entreprendre pour s'y attaquer. Qui plus est, ce consensus semble substantiellement appuyé par l'opinion publique, laquelle se dit ouverte à l'émergence d'un nouveau parti politique de centre droit dans la province. Pendant que les instances de gauche plafonnent ou même dégringolent en termes d'appuis populaires, pensons à la stagnation de Québec solidaire dans les intentions de vote ou au faible soutien de la population à l'égard des revendications du front commun syndical, les idées dites de droite séduisent de plus en plus l'électorat. Solutions Est-ce à dire que la gauche est condamnée à la marginalisation? Bien sûr que non, mais elle n'a d'autre choix que de s'éloigner de la critique et de l'interventionnisme systématiques. En ce sens, les pistes de solution se situent à bien des niveaux. En premier lieu, un sérieux exercice de réflexion m'apparaît indispensable afin d'adapter le «modèle» à la réalité de notre époque. Cette étape exige une analyse en profondeur des éléments constitutifs de l'idéologie et du coup, une capacité d'abstraction et une ouverture d'esprit exceptionnelle. En second lieu, la gauche doit identifier et mettre en valeur les grandes idées rassembleuses, celles qui permettront de proposer des initiatives originales, crédibles et attrayantes. Je sais que pour certains, il s'agit là d'une gauche édulcorée, dépouillée de son essence et d'une invitation supplémentaire à retrouver le centre. Je sais aussi que pour plusieurs, dont je suis, il s'agit surtout d'un profond désir de conserver une social-démocratie prospère, toujours soucieuse du bien commun et respectueuse des libertés individuelles.
  11. J'aime surtout qu'ils s'approprient le mot progressiste, comme si tout ce qui était de gauche/syndicaleux était du progrès!
  12. Avis aux médias - Un autre Québec est possible - Lancement de l'Alliance sociale QUÉBEC, le 3 nov. /CNW Telbec/ - Afin de contrer le discours de droite de plus en plus présent sur la scène publique et en prévision des consultations prébudgétaires du ministre des Finances, Raymond Bachand, des groupes progressistes lancent l'Alliance sociale. Les représentantes et les représentants des médias sont invités à une conférence de presse qui se tiendra le 5 novembre 2010, à 9 h 30, à l'hôtel Québec Hilton, à la salle Beauport. Cet événement se déroulera en présence de Michel Arsenault (FTQ), Claudette Carbonneau (CSN), Réjean Parent (CSQ), François Vaudreuil (CSD), Lucie Martineau (SFPQ), Dominique Verreault (APTS), Gilles Dussault (SPGQ), Louis-Philippe Savoie (FEUQ) et Léo Bureau-Blouin (FECQ).
  13. Does the topography between montreal and ny allows such speed? From what i remember driving down there,it would be a 20 billion dollar thing to drill tunnels/build bridges through the addirondacks
  14. Et l'impact monétaire de cela est grand aussi 2m pour un agrandissement vs. 4m pour une nouvelle construction ailleurs + X$ que ca va couter soit démolir ce poste et ré-aménager le terrain ou la reconversion de celui-ci en qqc d'autre. Tout ca pour gagner 100m de gazon!
  15. Cataclaw: Your first graphic only shows US production and import, not even the reserves. Also, US are far from being the holders of the largest reserves (13th actually according to the CIA factbook) Also, on your second graphic, it is probably normal that discoveries will go down, as most of this planet has already been scouted. But again, the important number is what has been discovered already.
  16. TGV Montréal-NY, le gros de la facture serait payé par les USA puisque la majorité du trajet est dans leur territoire (surement pas au prorata de la distance, mais ca ne serait pas 50/50) et pour la partie canadienne, une grande partie payée par le fédéral. Axe Québec Windsor, la ville de Québec en faveur, mais ne payera pas un cent pour ce projet, le gouvernement du québec en faveur, mais la majorité de la facture sera payée par le fédéral.
  17. La volonté politique ici peu bien y être, peu importe le trajet, on veut faire payer la majorité, voire la totalité de la facture par quelqu'un d'autre!
  18. WestAust

    Le Port-Royal (2011)

    Une photo que j'ai prise avec mon cell a partir du bureau, ca donne une bonne idée de l'effet du nettoyage sur l'immeuble data par westaustmtl, sur Flickr
  19. Dans de magnifiques triplex qui ne cachent la vue à personne, sauf à celui en demi-sous-sol de l'autre coté de la rue
  20. Pour chaque exemple comme celui là, tu va trouver un résident de brossard ou de l'ile des soeur qui lui est très content! Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours des gens pour qui c'est une bonne chose et pour qui c'est une moins bonne.
  21. C'est bien beau dire que le QDS est bien servi par le TEC, je serait pret a gager que les 3/4 (sinon plus) des gens qui vont à l'OSM n'y vont pas en voiture, et n'iront jamais en voiture, et possiblement la même chose pour les spectacles de Duceppe, ou une grande partie des spectateurs n'iront jamais en TEC.
  22. Pas nécessairement vrai, tout dépendemment de la configuration des maisons de ville, ca peut être parmis les unités les plus chère du projet vu leur superficie, et permet de vendre des unités dans les premiers étages à un prix supérieur à ce qu'ils obtiendraient s'ils les vendaient en plusieurs unités plus petites, tout en étant parmis les moins chère a construire au pied carré, après tout, construite une petite extension de 3 étages coûte presque rien dans un projet.
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