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LindbergMTL

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Tout ce qui a été posté par LindbergMTL

  1. Des blocs légos pour construire une garderie... Ils n'ont pas peur que les enfants la défassent?
  2. Ces décideurs sont constamment sollicités partout dans le monde, il faut leur faire un pitch en premier; c'est la job de Montréal International, par exemple.
  3. La recette du succès: un réservoir de talents qualifiés, stables, bien installés, ET, des crédits d'impôts ou plus faibles coûts. Répétez cette formule et vous avez expansion et prospérité.
  4. THQ s'installe à Montréal Publié le 12 octobre 2010 à 07h55 | Mis à jour à 07h55 Article THQ a choisi Montréal afin de réduire ses contrats de sous-traitance en Asie. L'éditeur américain de jeux vidéo inscrit au NASDAQ a fermé huit de ses dix-sept studios durant la dernière récession, mais il a fait le pari d'en ouvrir un à Montréal. L'objectif est double: produire des jeux vidéo à grand déploiement et rapatrier certains contrats de sous-traitance en Asie. «Nous voulons avoir une équipe artistique très forte à Montréal qui pourra aider nos autres studios. Nous voulons amener à Montréal une partie du travail sous-traité en Chine et en Malaisie», dit Dave Gatchel, directeur du studio de THQ à Montréal, en entrevue à La Presse Affaires. THQ s'attend à payer plus cher pour développer ses jeux à Montréal, mais la qualité du produit en vaudra la peine. «Il n'y a pas de décalage horaire, pas de barrière de langue, mais surtout, nous ramenons le travail à l'intérieur de la boîte. Ce sera notre produit et nos équipes seront mieux intégrées. Cette stratégie peut fonctionner à Montréal à cause de cette combinaison unique d'employés talentueux et de crédits d'impôt intéressants», dit M. Gatchel, qui inaugurera son nouveau studio officiellement le 19 octobre. Pour l'instant, la trentaine d'employés de THQ prêtent leur assistance aux autres studios du groupe pour trois jeux: Homefront, Red Faction Armageddon et Warhammer 40 000 Dark Millenium Online. Quand il aura 400 employés à sa disposition dans cinq ans, Dave Gatchel voudra produire lui-même des jeux d'action à grand déploiement (les jeux AAA dans le jargon du jeu vidéo). Des projets demandant des investissements considérables - entre 30 et 35 millions de dollars par jeu - et surtout plus risqués. Selon plusieurs observateurs, les jeux à grand déploiement, qui ont fait la gloire de l'industrie au cours de la dernière décennie, deviendront trop coûteux et ne pourront rejoindre les clients sur les nouvelles plateformes comme Facebook, les téléphones portables et les tablettes électroniques. «Les jeux à grand déploiement sont notre spécialité et nous voulons développer des franchises originales à Montréal, dit Dave Gatchel. Il y aura toujours une place pour les jeux AAA. Ce sera peut-être plus difficile, mais il faut prendre des décisions pour réduire ses coûts.» Une carrière dans l'industrie militaire Le Texan de 50 ans est l'homme parfait pour diriger des projets de jeux d'action à grand déploiement. Fils d'un pilote d'avion dans l'armée américaine, Dave Gatchel a passé 12 ans à travailler sur des simulateurs de vols civils et militaires après sa sortie des bancs d'université. En 1994, ce passionné de jeux vidéo faisait le tour du monde à installer des simulateurs de vols quand son employeur Paradigm a reçu un appel de Nintendo. L'entreprise japonaise voulait développer un jeu de vol pour la sortie du Nintendo 64. «Nous avons failli refuser, se rappelle Dave Gatchel. Nous aimions tous les jeux vidéo, mais nous avions peur de nous éparpiller comme entreprise.» Finalement, de la douzaine de développeurs indépendants approchés par Nintendo, la firme du Texas sera la seule à livrer son jeu à temps pour la sortie de la console en 1996. Pilotwings 64 deviendra ainsi l'un des deux seuls jeux distribués avec l'achat du Nintendo 64 - et la carte de visite de Dave Gatchel. Trois ans plus tard, les affaires fonctionnent tellement bien que la firme de Dallas crée une division de jeux vidéo sous la direction de Dave Gatchel, Paradigm Entertainment, qui sera rachetée par Atari puis par THQ en 2006. Récession oblige, THQ met la clé dans la porte du studio de Dallas en 2008. Une mauvaise nouvelle qui a éventuellement permis à Dave Gatchel de déménager et relever de nouveaux défis à Montréal. «J'ai hâte de vivre dans un centre-ville aussi vibrant. À Dallas, le centre-ville est désert le soir, les gens viennent au bureau en voiture et repartent chez eux en banlieue», dit le patron montréalais de THQ, dont le titre a perdu 34% de sa valeur depuis un an en date de vendredi dernier au NASDAQ.
  5. Taverne Donald Duck??? Eh les enfants vous venez avec moi à taverne? Pas mal bonne celle-là!!!
  6. C'était plutot une initiative privée de la part des agences de publicité. Le maire s'y est greffé sur le tard. Il va y avoir un suivi d'année en année. Faites un google search sur "yul lab" et vous verrez un des aspects des efforts d'intégrer Montréal dans les grandes stratégies de comptes internationaux.
  7. Les gens en place dans les gouvernements ne sont pas toujours personnellement sensibles aux questions pour lesquelles ils ont une responsabilité ministérielle. C'est à nous, le peuple, de faire passer le message fort. Nous devrions profiter de ce forum pour exercer notre droit d'intervention. Peut-être sous le nom "du Forum MTLUrb" , nous pourrions cibler certains sujets qui nous semblent pressants, et envoyer une lettre co-signée aux élus?
  8. Construction to resume on Libeskind's Zlota 44 project as building permit confirmed Mazovian Voivodship has confirmed the validity and effectiveness of the building permit for the 192m (630ft) high, 54-storey Złota 44 apartment project in the centre of Warsaw, designed by Daniel Libeskind. The project was stopped mid construction by objections from neighbors that led Polish authorities to suspend the permit for several months. As a result of this confirmation, Orco may now enter the construction site and resume construction based on this final and effective building permit. While these administrative and legal delays have raised many concerns, Orco has confirmed that it will do its utmost to complete as much of the project as it can before EURO 2012. Jean-Francois Ott, Orco's President & CEO commented: "Today's decision from the Governor confirms what Orco has known all along: Złota 44 is a meticulously well prepared project that was planned and designed in accordance with all Polish laws and regulations. We are very pleased with this decision because it allows us to resume construction on the site in eight to twelve weeks." He continued: "Warsaw will soon be able to showcase a state of the art skyscraper to the entire world. Of equal importance, this decision allows Orco to finish a unique residential project in Warsaw for the benefit of our customers, shareholders, and stakeholders." Libeskind explains: "As someone who knows the Polish culture intimately, and lived under the strategy of Poland, between the destruction by the Nazis and oppression under the Soviets, this building represents a new direction for Poland, east and west." On today's decision Libeskind said he was "thrilled to begin again on a project which is so important to me personally and to the city of Warsaw." http://www.worldarchitecturenews.com/index.php?fuseaction=wanappln.projectview&upload_id=14908
  9. <object width="640" height="385"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=0n7RmbeUaZc?fs=1&hl=en_US"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=0n7RmbeUaZc?fs=1&hl=en_US" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="640" height="385"></embed></object>
  10. Descends la fenêtre de ton char, ou ouvre la porte de ta maison et multiplie ça par 60 000.
  11. Bonne nouvelle quant à moi, il faut un toit rétractable, et il faut plus de temps pour valider la meilleure option.
  12. Une UQAM en santé financière aurait peut-être été intéressée à le convertir, comme McGill fait ce genre de chose si bien.
  13. Merci pour les précisions, nous sommes aussi sur la même longueur d'ondes. Peut-être que le monorail passera sur le pont de la Concorde pour traverser le fleuve?
  14. Les Habs sont surement regardés quelque part à New York, mais où?
  15. Passer au dessus du fleuve Saint-Laurent en monorail, wow! Peut-être feront-ils passer le monorail à travers le dome géodésique, comme pendant l'Expo 67?
  16. Rail Service Expansion Imperiled at State Level http://www.nytimes.com/2010/10/05/us/05rail.html?_r=1 October 4, 2010 Rail Service Expansion Imperiled at State Level By MICHAEL COOPER Republicans running for governor in a handful of states could block, or significantly delay, one of President Obama’s signature initiatives: his plan to expand the passenger rail system and to develop the nation’s first bullet-train service. In his State of the Union address this year, the president called for building high-speed rail, and backed up his words with $8 billion in stimulus money, distributed to various states, for rail projects. But Republican candidates for governor in some of the states that won the biggest stimulus rail awards are reaching for the emergency brake. In Wisconsin, which got more than $810 million in federal stimulus money to build a train linebetween Milwaukee and Madison, Scott Walker, the Milwaukee County executive and Republican candidate for governor, has made his opposition to the project central to his campaign. Mr. Walker, who worries that the state could be required to spend $7 million to $10 million a year to operate the trains once the line is built, started a Web site, NoTrain.com, and has run a television advertisement in which he calls the rail project a boondoggle. “I’m Scott Walker,” he says in the advertisement, “and if I’m elected as your next governor, we’ll stop this train.” Similar concerns are threatening to stall many of the nation’s biggest train projects. In Ohio, the Republican candidate for governor, John Kasich, is vowing to kill a $400 million federal stimulus project to link Cleveland, Columbus and Cincinnati by rail. In Florida, Rick Scott, the Republican candidate for governor, has questioned whether the state should invest in the planned rail line from Orlando to Tampa. The state got $1.25 billion in federal stimulus money for the project, but it will cost at least twice that much to complete. And the nation’s most ambitious high-speed rail project, California’s $45 billion plan to link Los Angeles and San Francisco with trains that would go up to 220 miles per hour, could be delayed if Meg Whitman, a Republican, is elected governor. “In the face of the state’s current fiscal crisis, Meg doesn’t believe we can afford the costs associated with new high-speed rail at this time,” said Tucker Bounds, a campaign spokesman. Ms. Whitman’s desire to delay the project, which has already received $2.25 billion in stimulus money, drew a rebuke from the administration of Gov. Arnold Schwarzenegger, a Republican who champions high-speed rail. “To say ‘now is not the time’ shows a very narrow vision,” said Matt David, the governor’s communications director. The state-level opposition is a reminder of the challenge of building a national transportation project in the United States: while the federal government can set priorities, the construction is up to the states. With recent polls showing all of the anti-rail Republican candidates leading or within striking distance of their pro-rail Democratic rivals, it is possible they could be elected and try to stop the train projects. Federal officials, meanwhile, are incredulous that candidates are threatening to spurn stimulus money that their states competed ferociously to win just a year ago. “The bottom line is that high-speed rail is a national program that will connect the country, spur economic development and bring manufacturing jobs to the U.S.,” Transportation Secretary Ray LaHood, a former Republican congressman, said in a statement. “It will also transform transportation in America, much like the Interstate highway system did under President Eisenhower. It’s hard to imagine what would have happened to states like Ohio and Wisconsin if their leaders had decided they didn’t want to be connected to the rest of the country back then.” Several candidates said they wanted to spend the stimulus rail money on roads and bridges, but it is unlikely they would be able to do so without changing the law: the stimulus, which included $28 billion for roads and bridges, required that the $8 billion for rail projects be spent on rail projects. Federal officials declined to speculate on what would happen if anti-rail candidates were to win. But states that turn down rail money would probably have to return it to the federal government, which could then award it to states that want it. Building a real high-speed rail network, like the ones expanding in Europe and Asia, is costly. The Acela trains between Boston and Washington can reach 150 m.p.h., but average around half that on their curvy, busy tracks. That corridor, the most heavily used in the country, was largely shut out of the stimulus money; last week Amtrak outlined a $117 billion proposal to make it a true high-speed line. The Obama administration used the rail stimulus money to make down payments on the high-speed lines in Florida and California and to build conventional rail service in other states. The administration’s hope is that these rail lines will develop into networks that connect more cities, and that future investment can speed the trains. But critics question who will ride the new, not very fast trains. The train proposed in Ohio would reach only 79 m.p.h. Estimates have suggested that some trips, with stops factored in, could average 39 m.p.h. Federal officials say the trains would be faster, but the number has stuck: in a recent debate Mr. Kasich, the Republican candidate, vowed that if he is elected governor, “the 39 mile-an-hour high-speed passenger train is dead.” Gov. Ted Strickland, a Democrat seeking re-election, looked flabbergasted that anyone would turn down a $400 million construction project, fully financed by the federal government, to link the state’s biggest cities. “Your position, quite frankly, really puzzles me,” he responded at the debate. Mr. Walker, the candidate in Wisconsin, said in an interview that he doubted many people would ride the train between Milwaukee and Madison. He said that it would be more expensive than a car trip without saving much time, and added that he worried about having to provide an annual subsidy to run the train. In Florida, Bettina Inclán, a spokeswoman for Mr. Scott, the Republican candidate, noted that the state already paid to operate a commuter rail system and added that “we cannot afford to be subsidizing the bullet train as well.” All Republicans are not against trains. One prominent rail advocate, John Robert Smith, was a four-term Republican mayor of Meridian, Miss. “Any notion that somehow rail is subsidized, and other modes of transportation aren’t, is simply not factual,” said Mr. Smith, the president Reconnecting America, a nonprofit transportation advocacy group, who noted that highways and airports were subsidized as well. “Honestly, transportation infrastructure should not be a partisan issue. When you talk about good transportation solutions, they cross party lines.” MORE IN U.S. (5 OF 31 ARTICLES) 11 Arrests in Alabama Bingo Investigation Read More » Close
  17. Un monorail, c'est vraiment joli, écolo mais surtout fun, amusant. Il faut que Montréal investisse dans de nouvelles infrastructures comme celles-là.
  18. Une excellente idée. Ce n'est pas exhorbitant. Et c'est une infrastructure qui va attirer des touristes (le monorail sera sur toutes les photos et annonces), et rapprocher les citadins du fleuve et du parc. Allez, en avant toute!
  19. Cet avion est immense mais vraiment silencieux pour sa taille, surtout lorsqu'il décolle! Vraiment impressionnant! 1
  20. Publié le 04 octobre 2010 à 06h29 | Mis à jour à 06h29 (Montréal) Ils déposent plus de brevets, lancent plus d'entreprises et attirent plus de capital-risque que quiconque sur la planète. Malgré un territoire pauvre en ressources naturelles et une situation politique instable, les Israéliens se sont hissés au sommet des indicateurs internationaux d'innovation. Le Québec, qui traîne la patte en la matière, peut-il s'inspirer de l'État hébreu? > Suivez Philippe Mercure sur Twitter Lundi dernier, à Québec. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, lance les mises en candidature pour combler un tout nouveau poste: celui de «scientifique en chef». La personne choisie deviendra à la fois le chef d'orchestre, le conseiller du gouvernement et le porte-parole de tout ce qui touche à la recherche québécoise et son financement. Ce rôle, les Israéliens le connaissent bien. Ils comptent sur un scientifique en chef depuis 1984. Le parallèle n'est pas fortuit. «Mon idée de créer le scientifique en chef est venue quand j'ai regardé ce qui se passe en Israël - un petit pays, mais qui a des gains de productivité très élevés», a révélé à La Presse Affaires le ministre Gignac lors du dévoilement de la stratégie québécoise sur l'innovation, au printemps dernier. Cet exemple illustre un fait méconnu, mais facile à vérifier: le milieu de l'innovation québécois a les yeux rivés sur Israël, un territoire qui compte une population et un PIB similaires à ceux de la province, mais qui innove beaucoup plus. «Israël est un monde que je connais particulièrement bien et qui a influencé mes réflexions depuis sept ans», dit Jacques Bernier, associé principal de Teralys - plus important réservoir de capital-risque du Québec et de tout le Canada avec 700 millions sous gestion. M. Bernier dit aller en Israël en moyenne une fois par année. Il y a deux ans, Raymond Bachand, actuel ministre des Finances qui occupait à l'époque le siège de M. Gignac au Développement économique, s'y est aussi rendu avec une importante délégation commerciale. But de la mission: tisser des liens, mais aussi prendre quelques notes. «Israël est similaire au Québec à plusieurs points de vue, observe M. Bachand en entrevue. Il y a la taille, il y a ses secteurs porteurs qui sont très similaires à ceux du Québec - la biotechnologie, la pharmaceutique, les technologies de l'information. Et Israël est un leader mondial à la fois dans les secteurs technologiques et le capital-risque.» «Pour motiver un changement de perspective sur la technologie au Canada ou au Québec, Israël est le pays qui nous offre la plus belle occasion», dit carrément Céline Bak, du Russell Mitchell Group, groupe de consultants en technologie établi à Ottawa. Pourquoi Israël? «Quand on parle de la Chine, les gens nous disent: ils sont un milliard et demi, il n'y a pas de démocratie, ce n'est pas la même chose, répond Mme Bak. Avec Israël, on n'a pas d'excuse. C'est un pays où il n'y avait rien ou si peu il n'y a pas si longtemps, et tout d'un coup il se retrouve chef de créneau dans plein de secteurs.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/international/201010/04/01-4329218-israel-les-lecons-pour-le-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
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