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LindbergMTL

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  1. Merci Rocco pour la précision, l'île approche de sa saturation.
  2. Merci Rocco pour la précision, l'île approche de sa saturation.
  3. Légalement parlant, dès que des clients achètent des unités, il est pratiquement impossible de changer les plans de la structure, non? Me semble...
  4. Magna: des batteries moins chères sont la clé du succès de l'auto électrique 21 septembre 2010 article Kristine Owram La Presse Canadienne Toronto Le coût est toujours le facteur déterminant qui retient les consommateurs d'acheter des véhicules électriques, et tant et aussi longtemps que l'on n'aura pas trouvé des batteries moins chères à produire, les véhicules à émission zéro resteront des produits de niche. C'est du moins ce que soutient Dave Pascoe, le vice-président de la division E-Car Systems de Magna International, la multinationale canadienne de pièces automobiles. «Quand les voitures électriques afficheront des performances et un coût équivalents aux autos à essence, on verra les consommateurs se tourner en grand nombre vers les modèles hybrides et électriques. On pourra alors parler de produits destinés au grand public», a-t-il indiqué lundi à Toronto à l'occasion d'une conférence sur la voiture électrique. Pour l'instant, il faudrait selon M. Pascoe que le prix de l'essence franchisse la barre des 5$ le gallon (1,36$ le litre) pour que les consommateurs envisagent sérieusement l'achat d'un véhicule hybride. À ce prix, M. Pascoe estime qu'il faut environ trois ans pour amortir le prix supérieur d'une voiture hybride. Au prix de l'essence en vigueur aujorud'hui - environ 1$ le litre - la surprime associée à l'achat d'une voiture hybride est plutôt amortie en six années. Selon M. Pascoe, plusieurs problèmes liés à la technologie des voitures électriques ont été récemment éliminés, mais les batteries demeurent très chères. «La durée de vie (des batteries) s'est améliorée, l'autonomie s'est améliorée, mais leur coût est demeuré prohibitif, a-t-il soutenu. Aux prix en vigueur aujourd'hui, les voitures électriques ne réussiront pas à percer le marché. Mais les coûts baissent, il y a donc de l'espoir.» Magna E-Car Systems, qui est dirigé par le fondateur et président du conseil d'administration de l'équipementier canadien, Frank Stronach, a néanmoins annoncé lundi l'ouverture d'un centre de développement de véhicules électriques et hybrides à Auburn Hills, au Michigan. Le centre de développement travaille déjà sur plusieurs projets, dont la mise au point conjointe avec Ford d'une version électrique de la Focus. M. Pascoe a indiqué que Magna E-Car Systems avait au moins un autre projet en branle. Certains informations ont laissé entendre que l'entreprise canadienne a entrepris des pourparlers avec l'entreprise japonaise GS Yuasa Corp. dans le but de produire de nouvelles batteries destinées au marché européen. «On va travailler avec des partenaires stratégiques, s'inspirant de leurs idées tout en développant nos technologies propres, a dit M. Pascoe. Les batteries étant la clé du succès des voitures électriques, c'est là-dessus que nous allons nous concentrer.» 75 modèles électriques d'ici 2015 Les voitures hybrides et électriques devraient représenter entre 7% et 12% du marché d'ici 2020, a indiqué de son côté Sarwant Singh, vice-president de Frost and Sullivan's, une firme de consultation automobile. Il estime que 47 constructeurs automobile vont lancer jusqu'à 75 modèles différents de véhicules électriques d'ici 2015, 35 d'entre eux venant de constructeurs chinois. «La Chine est une menace, et si on tient compte de leur technologie et de leurs plans d'affaires, ce pourrait représenter une menace pour l'avenir également, a soutenu M. Singh. Pour permettre une économie d'échelle, M. Singh estime par ailleurs que le niveau de production de batteries devra atteindre 100 000 unités par année, un volume qui permettrait au manufacturiers de réduire leurs coûts de 50% à 70%.
  5. Gallerysurlecanal... quel nom! Mais effectivement, une phase 1 toute en horizontale, mais finalement, le signal que j'attendais pour toute cette région du Sud. Good job Eidos!
  6. Gallerysurlecanal... quel nom! Mais effectivement, une phase 1 toute en horizontale, mais finalement, le signal que j'attendais pour toute cette région du Sud. Good job Eidos!
  7. Nostradamus a apparamment écrit une petite phrase au sujet du Chum. Puis il s'est ravisé, et l'a éffacé.
  8. Intéressant. Alors le Disctrict Griffin, c'est un peu moins que $400 le pied carré à son plus cher, comparativement à $400 et même $950 le p. carré pour l'Altitude, par exemple. Et le Séville se compare comment avec le Griffin?
  9. Joli! Fait penser à Yaletown à Vancouver. Une fois ces 5 tours construites, est-ce qu'il restera des terrains vacants, autres que le golf?
  10. Joli! Fait penser à Yaletown à Vancouver. Une fois ces 5 tours construites, est-ce qu'il restera des terrains vacants, autres que le golf?
  11. Il n'y a pratiquement pas d'investissements privés massifs en immobilier à Montréal. Les opportunités sont là pourtant, tout autour du quartier des spectacles, au sud de La Gauchetière et dans le coin du Square Viger/Radio-Canada. Il y a un gros bogue. Ce n'est pas normal qu'une ville comme Montréal se développe si peu, en comparaison à Toronto et Vancouver surtout.
  12. Publié le 18 septembre 2010 à 07h34 | Mis à jour à 07h36 Article Stéphane Laporte La Presse Je sais, vous ne l'aimez pas. Je sais, vous le trouvez gros et laid. Je sais, pour vous, c'est un échec. Une honte. Il a coûté trop cher. Vous voulez le détruire. Le raser. Le transformer en Ground Zero. Malgré tout, ce matin, je me suis donné l'innocente mission de vous convaincre de l'aimer. De l'apprécier. Et d'y croire encore. Parce que je l'aime. Depuis le premier jour. Je m'en souviens, c'était en avril 1972, le maire Drapeau avait dévoilé la maquette du futur Stade olympique de Montréal. Wow! Une soucoupe volante posée sur la métropole. Avec un toit-parachute rétractable. L'architecte était Roger Taillibert, un vrai Français, comme Gustave Eiffel. Une merveille du monde, rien de moins, dans ma ville, ou plutôt dans celle du maire Drapeau. J'avais hâte de la voir pour vrai. Trente-huit ans plus tard, je ne l'ai toujours pas vue pour vrai, la merveille. Il y a bien quelque chose qui lui ressemble au 4545, avenue Pierre-de-Coubertin. De loin, c'est même très beau. Mais plus on s'en approche, plus on s'approche d'une ruine neuve. Les travaux de construction du Stade ont débuté en avril 1973. Ils ne sont toujours pas terminés. En mai 1975, le chantier tombe en grève. Un problème que les bâtisseurs des pyramides d'Égypte n'avaient pas. Les travailleurs ne se remettront à l'ouvrage qu'à la fin du mois d'octobre 1975 - moins de neuf mois avant l'ouverture des Jeux olympiques. Ils n'auront pas le temps d'ériger le mât. C'est donc avec un stade sans érection que Montréal accueille le monde. Alors commence la malédiction du stade inachevé. Sa raison d'être, les Jeux olympiques de 1976, étant finis avant lui, il n'y avait plus d'urgence à le terminer. Plus d'orgueil non plus. Alors le Stade olympique est devenu cette pièce, au sous-sol de la maison, qu'on retape à temps perdu. Qu'on rafistole avec des bouts de deux-par-quatre. On est parvenu à terminer le mât. Puis on a posé une toile en rapiéçant quelques abris Tempo. La toile s'est percée. Alors on l'a laissé décapoté, puis on a posé un toit. Un toit fixe, mais pas fixe de partout. Des morceaux sont tombés. On a mis du stuc. On a bouché ça pour que ça ne coûte pas trop cher. Le toit s'est mis à couler de nouveau. On a mis des seaux. Et on a pris la précaution de ne pas s'en servir en hiver au cas où la neige le percerait. On a donc un stade couvert dont on ne peut pas se servir quand le temps est couvert aussi. On peut l'utiliser seulement les jours où on n'aurait pas besoin de toit. Seulement au Québec... Mais le gouvernement va remédier à ça bientôt. Un bientôt relatif, bien sûr. On étudie des projets de toit permanent qui tient. On n'arrête pas le progrès. Aussitôt qu'on aura décidé, on va sortir les marteaux. Au point où on en est rendu, plutôt que de le transformer en bunker, pourquoi ne pas lui permettre d'être enfin ce qu'il aurait toujours dû être? L'endroit de nos rêves. Un stade avec un toit rétractable, qui laisse entrer le soleil les jours de juillet et qui protège des tempêtes les jours de janvier. Qu'on le veuille ou non, le symbole de Montréal, ce n'est pas l'oratoire Saint-Joseph, Orange Julep ou un poulailler urbain. Le symbole de Montréal, c'est le Stade olympique. Même si on n'y va jamais, même si on le laisse dépérir, c'est quand même l'immeuble qui a le plus de gueule. Celui devant lequel les touristes se font prendre en photo. Il nous a coûté 1 milliard. C'est énorme, mais c'est quand même seulement le coût d'un week-end à Toronto au mois de juin. Allongeons les sommes qu'il faut pour qu'il soit à son mieux. Comme ça, mon père n'aura pas fumé pour rien. Si j'aime le Stade olympique même s'il est tout croche, c'est que c'est le seul endroit où on peut être une grosse gang ensemble. Et quand nous y sommes tous rassemblés, le Stade mal-aimé parvient chaque fois à se transformer en merveille. Comme quand on y a vibré ensemble pour Greg Joy, Gary Carter, le Manic ou Pink Floyd. Une ville, ce n'est pas seulement faire sa petite affaire de son bord, avec ses enfants et ses poules. Une ville, c'est parfois faire de grandes affaires ensemble. On a ce lieu. On a cet édifice qui nous le permet. C'est juste qu'on n'en profite pas. On le boude parce qu'il est sombre l'été et fermé l'hiver. On envisage toujours sa rénovation comme une punition. Quin, mon maudit stade, prends ce clou-là dans le front! Et c'est toujours à recommencer. Parce qu'on ne gosse pas après un stade comme après un meuble IKEA. La tâche de la RIO, ce n'est pas de fermer un dossier. C'est de nous réconcilier avec le Stade olympique. D'en faire le coeur de la ville. Le lieu des grands événements. Bref, qu'il cesse d'être une erreur. Et qu'on cesse de l'avoir en horreur. Ravalons toutes les insultes qu'on a dites à son sujet; les coupables, c'est nous. C'est nous qui manquons d'envergure, pas lui. Il faut voir plus loin que le bout du toit. Et pour ça, il faut que le toit s'ouvre.
  13. Ooops, j'ai fait un rendu... Non, mais sans blague, t'es mieux de pas oublier la bonne pince en bas quand vient le temps de changer l'ampoule. Impressionnant! Merci pour le lien.
  14. J'espère que ça va fonctionner, parce que je suis à Vancouver en ce moment, et de voir leur stade se faire doter d'un toit rétractable, ça me fait rager contre l'idée d'un toit fixe, à $300 millions. Je me dis toujours, attendons un peu, la solution va poindre à l'horizon. Peut-être est-elle celle-ci?
  15. Bravo! Nagano comprend que la musique classique a besoin de se faire entendre sous un autre angle... J'étais au NY Port Authority ce matin, et ils jouaient de la musique classique très fort dans les corridors... apparamment ça fait fuire les maraudeurs et les taggeurs...
  16. Ils n'ont qu'à créer une recette spéciale, la Montréal Burger Sauce, au foie gras et érable.
  17. Oui du marbre, en continuité avec les 2 autres pavillons: "Un site est choisi dans le quartier du Mille carré, rue Sherbrooke, siège de l'élite de la ville à l'époque. Les architectes Edward et William S. Maxwell sont engagés pour construire un bâtiment imposant en marbre de style beaux-arts terminé en 1912. Après un portique classique, une salle centrale dotée d'un grand escalier relie une série de galeries à éclairage zénithal. Les installations ont aussi une salle de conférences, une bibliothèque et des studios d'enseignement. Entre 1975 et 1977, l'architecte Fred LEBENSOLD y fait un agrandissement. Une croissance rapide des collections suit et donne lieu à un ajout majeur du côté sud de la rue Sherbrooke qui reproduit, à l'échelle sinon en forme, les premiers travaux des Maxwell. Dessiné par Moshe Safdie et exécuté en collaboration avec Lemay Associés, le nouveau pavillon Jean-Noël-Desmarais en marbre blanc doté d'un toit vernissé et d'une entrée au rez-de-chaussée double l'espace d'exposition existant." http://www.canadianencyclopedia.ca/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0010652
  18. Avec plaisir MTLMan. J'adore ces histoires de collectionneurs fous! Herbert Black, un tycoon du fer, est tout un personnage. Il a d'ailleurs écrit que pour lui, Montréal était sa ville préférée et qu'il allait y rester pour toujours.
  19. En fait, ce collectionneur dit dans l'article qu'il préfère le style britannique du 18ième à celui de la France par exemple parce qu'il est beaucoup plus réservé et retenu. Cette résidence fut batie pour mettre en valeur toutes ses pièces de collection accumulées au long des années et qui étaient entreposées sans que personne ne puisse en profiter. Il s'agit ici d'un collectionneur tombé fou en amour avec ce style. Le propriétaire est Herbert Black, (pas de lien avec Conrad) et d'après ce que j'ai lu de lui, sa personnalité n'a rien à voir avec son homonyme.
  20. Vous n'avez peut-être pas lu le texte. On parle de meubles antiques, provenant de l'Angleterre du 18ième siècle. Avez-vous remarqué la sculpture de Degas ou le fusain de Matisse? Un des chandeliers a son jumeau exposé au Metropolitan Museum. Je ne suis pas amateur de ce style, mais je trouve remarquable que toute cette richesse muséale se retrouve dans une maison privée à Westmount. La maison et son contenu sont évalués à $100 millions.
  21. On parle ici d'une maison à Westmount, qui est qualifiée de "Number one home in Canada" dans un article du Architectural Digest. Je vous en recommande fortement la lecture. L'article dans Architectural Digest. La firme d'architectes: http://www.ericjsmitharchitect.com Designer d'intérieurs: http://www.davideastoninc.com/
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