Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'globale'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

11 résultats trouvés

  1. La maison verte sera un bâtiment à énergie nette-zéro aménagé aux abords de la rivière des Prairies, dans le parc Simonne-Monet-Chartrand, sur la rive nord de l'île de Montréal. Son emplacement constitue un point d'entrée de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville et de Montréal En s'inspirant des approches écologiques de construction comme LEED Canada-NC 2009, passivhaus (énergie solaire passive) et le Living Building Challenge (Le Défi du bâtiment vivant), ce lieu muséal novateur et de haute technologie aura des caractéristiques durables et proposera une intégration harmonieuse au site, une gestion des eaux usées sur place et une conception écoénergétique globale. Enfin, la maison verte est un projet conçu pour les citoyens dont le concept facilite une appropriation de la communauté. En effet, en plus d'offrir l'accès à la rivière, le site sera accessible à des initiatives citoyennes.
  2. La Cité du cinéma prend de l'expansion. (Montréal) Les studios Mel's pourraient bientôt accueillir davantage de blockbusters hollywoodiens. Leur propriétaire, Vision Globale, a conclu une entente avec la Ville de Montréal pour acheter un terrain de 260 000 pi2 voisin de ses studios actuels dans le Technoparc et y construire de nouveaux studios de tournage. Vision Globale, qui a payé 362 536$ pour ce terrain vacant de 258 954 pi2 près de l'autoroute Bonaventure en bordure du centre-ville de Montréal, investira au moins 10 millions pour y construire des studios de tournage. Les studios Mel's/La Cité du cinéma comptent déjà 18 studios de tournage sur quatre sites dans la région de Montréal. Il n'y a toutefois qu'un seul studio (celui de 36 500 pi2) qui peut accueillir un film américain à grand déploiement. À titre d'exemple, ce studio héberge actuellement l'équipe de X-Men: Days of Future Past, un film mettant en vedette Hugh Jackman, Jennifer Lawrence et Ellen Page. À l'été 2011, Montréal avait perdu trois blockbusters américains en raison de son manque de studios de très grande taille. La construction de nouveaux studios réglera-t-elle le problème? Difficile à dire pour l'instant puisque la Cité du cinéma n'a pas décidé si elle allait bâtir un autre studio d'environ 35 000 pi2 sur son nouveau terrain. «Ce n'est pas encore décidé. Nous travaillons sur plusieurs maquettes, à savoir si nous allons construire un grand studio ou plusieurs petits studios», dit Michel Trudel, président de la division studios et équipement de Vision Globale. L'entreprise Vision Globale, propriété de l'actionnaire majoritaire Mathieu Lefebvre, a acheté les studios Mel's et sa filiale Locations Michel Trudel en décembre dernier. Un monopole renforcé Le gouvernement du Québec s'est déjà inquiété du fait que seule la Cité du cinéma possède des studios assez grands pour intéresser les producteurs d'Hollywood. Dans un rapport remis au gouvernement en juin 2012, le président de la SODEC, François Macerola, a conclu que l'offre aux producteurs est suffisante mais qu'elle peut avoir des désavantages. «Cette offre est en situation de quasi-monopole qui a parfois des effets négatifs sur l'industrie du cinéma et de la télévision du Québec et ses artisans, et auprès des majors américains qui exigent normalement de baser leurs décisions sur un processus d'appel d'offres», a-t-il écrit. Les films Source Code, The Aviator, The Day After Tomorrow, The Curious Case of Benjamin Button et White House Down, notamment, ont été tournés à la Cité du cinéma. La vente du terrain vacant dans le Technoparc a été approuvée mercredi dernier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Avant d'être officialisée, la transaction doit être approuvée par le conseil municipal de la Ville de Montréal le 17 juin. Selon le sommaire décisionnel de la Ville, Vision Globale peut construire sur 80% de l'espace du terrain, le reste étant utilisable uniquement à des fins de stationnement. Vision Globale s'est engagée à décontaminer le terrain et à commencer la construction de ses nouveaux studios d'ici deux ans, sous peine d'une pénalité de 1500$ par jour de retard. «Il faut attendre qu'il y ait moins de tournages pour commencer les travaux, car nous ne pouvons pas construire en même temps qu'un tournage à cause du bruit, dit Michel Trudel. Avec tous les tournages que nous amenons de Los Angeles, il faudra attendre un peu. Sinon, nous pourrions construire la nuit.» La Ville de Montréal estime cette transaction «profitable» car les nouveaux studios permettront «d'accroître la vitrine cinématographique de Montréal» et de décontaminer le terrain ayant servi de site d'enfouissement pendant 140 ans. Le prix de vente minimal du terrain de 24 057 m2 sera de 15,07$ par mètre carré. La Cité du cinéma discutait avec la Ville depuis environ deux ans pour acheter ce terrain, qu'elle a déjà loué pour y installer de l'équipement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201306/07/01-4658719-la-cite-du-cinema-prend-de-lexpansion.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4
  3. Menée par le Conference Board Montréal est au 13e rang d’une étude sur la prospérité des villes 8 avril 2009 - 07h07 LA PRESSE CANADIENNE< Une étude commandée par le Toronto Board of Trade sur la prospérité urbaine globale classe la ville de Calgary au premier rang et Montréal au treizième rang. Menée par le Conference Board du Canada, l'étude a mesuré des indicateurs tels que le produit intérieur brut, la productivité, le taux d'emploi, la criminalité, le revenu disponible, l'éducation, le climat et le temps de déplacement. Première au classement, Calgary a reçu la note «A», alors que la ville de Québec est arrivée en dixième position avec une note globale de «C». Treizième au classement, la ville de Montréal a pour sa part obtenu un «D». Toronto est quatrième au classement avec la note «C», tout comme les villes de Boston, London et New York. Au huitième rang figure Vancouver, qui a obtenu la note «C». Selon l'étude, qui est basée sur des informations recueillies avant le ralentissement économique, Toronto est une ville attirante et habitable, mais qui est languissante sur le plan économique et pas très concurrentielle.
  4. La Régie de l'énergie accorde à Hydro-Québec une augmentation de 1,2% de ses tarifs à partir du 1er avril prochain, ce qui constitue une hausse globale de 18,2 % de ses tarifs depuis 6 ans. Pour en lire plus...
  5. La Caisse de dépôt et placement dévoile une perte globale de 39,8milliards de dollars en 2008 attribuable essentiellement aux fluctuations du dollar canadien et à l'importante détention de papiers commerciaux. Pour en lire plus...
  6. L'Agence internationale de l'énergie prévoit que la détérioration de l'économie globale causera un déclin mondial pour la deuxième année de suite. Pour en lire plus...
  7. La plus grosse banque suisse devrait annoncer une perte globale de 20 milliards de francs suisses (21,5 G$ CAN), le pire résultat de l'histoire de son pays. Pour en lire plus...
  8. Un sondage national révèle que la confiance des Canadiens par rapport à leur sécurité financière demeure relativement bonne malgré la volatilité financière globale. Pour en lire plus...
  9. Les pays émergents ont estimé que le G7, qui réunit les économies les plus avancées, ne pouvait plus faire face seul à une crise globale comme celle qui balaie aujourd'hui toutes les économies. Pour en lire plus...
  10. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 21H38)
  11. La qualité des transports en commun, selon l'Institut Fraser - Le Québec coiffe les autres provinces Le Devoir Amélie Daoust-Boisvert Édition du jeudi 23 octobre 2008 Mots clés : qualité, Transport en commun, Canada (Pays), Québec (province) Consolez-vous en attendant l'autobus ces jours-ci: le Québec aurait le meilleur réseau de transport en commun au pays, selon une étude de l'Institut Fraser, alors que l'Ontario vole la vedette pour la qualité globale de son réseau de transport, commun ou non, passagers et marchandises inclus. Selon la toute première étude exhaustive sur le réseau de transport du pays -- plus de 1,41 million de kilomètres de pavé --, globalement, le Québec se classe troisième derrière sa voisine ontarienne et la Nouvelle-Écosse. La Colombie-Britannique traîne en queue de peloton. Congestion chronique, temps de déplacements disproportionnés, accidents fréquents, infrastructures coûteuses et transport en commun dispendieux enfoncent le clou de son piètre bilan. Pour en arriver à ces conclusions, le chercheur américain spécialisé en transport David Hartgen a considéré l'étendue, l'usage, l'accessibilité, le coût et la sécurité de chaque mode de transport. Il s'est attardé aux routes, au transport en commun, au transport aérien et maritime, et ce, pour les personnes et les marchandises. Vingt-trois critères déterminent le classement global par province. En entrevue téléphonique, le professeur à l'Université de la Caroline du Nord explique qu'«un bon système de transport, c'est un système économiquement efficace. Il est de qualité adéquate pour le trafic attendu, le budget disponible et les impacts possibles, comme les impacts environnementaux». Sa devise se résume à comparer pour améliorer. En moyenne, au Québec, il en coûte 1,23 $ par usager par voyage pour fournir le transport en commun, alors qu'une personne permet de générer près de 95 passages par année. Bref, c'est le moins cher et le plus utilisé. «Nous avons évalué les critères de base, mais qu'il y en a bien d'autres. Le haut taux d'utilisation et le coût relatif par usager indiquent une bonne qualité globale, mais j'avoue que ça fait bien longtemps que je n'ai pas pris le transport en commun à Montréal. Si vous êtes insatisfaits de votre système, c'est peut-être qu'il est si bon que vous êtes désabusés», a-t-il avancé. Devant ses données sur le Québec, David Hartgen s'inquiète surtout du mauvais état de nos routes et du coût, pour celles-ci, 1,3 fois plus élevé par kilomètre que celui de la moyenne canadienne. Trente-huit pour cent des chaussées sont dans des conditions déplorables, ce qui nous place 9es... avant la petite dernière, l'Ontario, dont le système souffre tout de même de quelques défauts. http://www.ledevoir.com/2008/10/23/212086.html (23/10/2008 7H08)
×
×
  • Créer...