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  1. Le vendredi 04 juil 2008 Un pont entre Verdun et L'Île-des-Soeurs? Simon Coutu La Presse Après des années de tergiversations, l'arrondissement de Verdun s'est prononcé en faveur de la construction d'un pont de services entre L'Île-des-Soeurs et la terre ferme. Le projet, estimé à entre 15 et 20 millions de dollars, serait réservé aux véhicules d'urgence, aux autobus, aux vélos et aux piétons. Lors de la réunion du conseil d'arrondissement de mercredi, le maire, Claude Trudel, a rendu publiques les conclusions d'un comité de réflexion qui recommande à l'unanimité la construction d'un pont de services. «L'arrondissement ne paiera pas pour ce projet, affirme-t-il. La Ville de Montréal ou le ministère des Transports se chargera des dépenses. On doit aussi faire approuver le pont par la majorité des habitants.» Au printemps, la firme Léger Marketing a sondé l'ensemble des Verdunois. Ils se sont prononcés à 71% en faveur de la construction d'un pont de services. «Si la population est d'accord, que nous ne déboursons pas un sou et que la sécurité est améliorée, je crois que c'est une bonne nouvelle», affirme la présidente de l'Association des propriétaires et résidants de L'Île-des-Soeurs, Juliette Barcelo. Soixante-quatorze pour cent des habitants de L'Île-des-Soeurs approuvent le projet de pont de services. Des résultats qui prouvent qu'ils font preuve de beaucoup plus d'ouverture, selon le maire. «Jusqu'en 2002, il y avait un mouvement pour que l'île se sépare de l'arrondissement de Verdun. On vient de faire un pas de géant.» Le maire Trudel avance que le pont devrait vraisemblablement s'ériger dans l'axe de la rue Galt à Verdun et du boulevard Marguerite-Bourgeoys à L'Île-des-Soeurs. Il aimerait que le projet se réalise dans les délais les plus courts. Le projet résidentiel de l'arrondissement prévoit que la population de L'Île-des-Soeurs passera de 17 000 à 23 000 personnes dans les prochaines années. Bell Canada installera aussi ses bureaux dans l'île en septembre prochain. La pression est grande, mais les Verdunois sont majoritairement contre la construction d'un pont tout usage. Seuls 41% appuient cette idée. Malgré tout, le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, craint qu'on n'érige un pont au nom des transports collectifs, pour ensuite y faire passer des voitures. «C'est l'attrape-nigaud habituel du marketing politique. L'idéal serait d'installer un tramway sur le pont. C'est de la fiction de penser que les habitants de L'Île-des-soeurs utiliseront l'autobus.» M. Bergeron se dit toutefois en faveur d'un pont de services. «Il faut construire quelque chose de spectaculaire. Pas un vulgaire pont en béton, dit-il. Mais c'est une bonne idée, ne serait-ce que pour permettre aux Verdunois de voir la beauté de L'Île-des-Soeurs à vélo.»
  2. Je propose une nouvelle discussion axée sur le transport des marchandises, et qui comprendrait des sections sur chacun des modes: ferroviaire, routier, fluvial/maritime et aérien, plus l'inter-modal. On sait que Montréal, comme plusieurs autres villes du monde, a historiquement pris son essor en raison des facilités de transport que son site avantageait, renforcé subséquemment par la construction d'infrastructures qui y convergeaient. Ces villes se distinguent de celles qui furent créées d'abord pour des raisons politiques ou religieuses. Je suis particulièrement intéressé par l'inter-modal, et les projets requis (essentiellement des infrastructures) pour réussir un gain quantitatif et qualitatif substantiel qui assurerait la pérennité du rôle de la ville/région en la matière. Il y a de nombreux enjeux sous-jacents: 1) compétences (constitutionnelles) partagées entre le fédéral et le provincial; 2) zonage agricole de certains sites pressentis; 3) éventuel dragage du fleuve et/ou construction d'un avant-port (un port en aval pour les navires à plus fort tirant d'eau; 4) rôle du secteur privé et tarifications; 5) politiques/mesures incitatives en faveur d'une réduction des coûts, des effets sur l'environnement (dont: consommation d'énergie) et des nuisances (bruits, risques pour les populations riveraines) Les exemples "venus d'ailleurs" pourront être sources d'inspiration, mais il serait bien que les particularité montréalaises soient correctement prises en compte. Inévitablement, les discussions ici ne pourront éviter un certain chevauchement avec d'autres. Le défi sera de maintenir le focus sur "marchandises", par opposition à "personnes".
  3. Publié le 10 août 2009 à 23h45 | Mis à jour le 10 août 2009 à 23h45 Les Québécois favorables à l'euthanasie Catherine Handfield La Presse Un peu plus de trois Québécois sur quatre sont d'accord pour que l'euthanasie soit légalisée au Québec, révèle un sondage Angus Reid-La Presse. Un droit qui devrait toutefois être limité aux grands malades, selon une majorité de répondants. Jaideep Mukerji, vice-président aux affaires publiques d'Angus Reid Strategies, avoue avoir été surpris par les résultats du coup de sonde mené les 4 et 5 août auprès de 800 adultes québécois. La marge d'erreur du sondage, fait en ligne, est de 3,5%. «Il est surprenant de voir à quel point les Québécois sont en faveur de l'euthanasie et que leur opinion sur le sujet est claire», observe M. Mukerji. Parmi les répondants, 31% se disent «fortement d'accord» avec la légalisation de l'euthanasie et 46% se disent «modérément d'accord». À l'opposé, 8% sont «fortement en désaccord» et 9% sont «modérément en désaccord». Le débat sur l'euthanasie a refait surface cet été. À la mi-juillet, le Collège des médecins du Québec a annoncé qu'il envisageait de recommander la décriminalisation de l'euthanasie dans des circonstances précises. Le Groupe de travail en éthique clinique publiera un document de réflexion à la mi-octobre, a révélé le quotidien The Globe and Mail. Cette prise de position viserait à faire pression sur le gouvernement fédéral afin qu'il modifie le Code criminel. Si on se fie aux résultats du sondage, le Collège des médecins du Québec aura l'appui de la population dans sa démarche. Trois Québécois sur quatre estiment que rouvrir le débat sur l'euthanasie est une bonne idée. Et les appuis se trouvent dans toutes les sphères de la société, note Jaideep Mukerji. «Les réponses des Québécois sont constantes, peu importe le sexe, le revenu ou le lieu de résidence», souligne-t-il. Le seul groupe qui a fourni une réponse légèrement différente est celui des 55 ans et plus : 71% sont en faveur de la légalisation, soit 6% de moins que la moyenne. Par ailleurs, près de 50% des répondants estiment que les provinces devraient avoir le droit de déterminer si l'euthanasie est permise ou non. Trente pour cent souhaitent que la question demeure de compétence fédérale. Limité aux grands malades Si les Québécois sont d'accord avec la légalisation de l'euthanasie, ce droit devrait toutefois être limité aux gens atteints de graves maladies, révèlent les résultats du sondage. Quelque 85% des Québécois sont d'accord pour permettre au médecin d'aider un malade à mettre fin à ses jours quand ce dernier est en phase terminale et qu'il éprouve d'intenses douleurs. La majorité des répondants sont en faveur de l'euthanasie pour les gens atteints d'une maladie incurable qui les laissent tétraplégiques (58%) ou encore pour les malades dans le coma qui ont déjà précisé qu'ils souhaitaient mourir s'ils se retrouvaient dans une telle situation (86%). À l'opposé, les trois quarts des répondants s'opposent à l'euthanasie d'un malade qui désire mourir en même temps que son conjoint. Dans le même ordre d'idée, près de 50% s'opposent à ce qu'un parent puisse demander la mort d'un enfant qui souffre d'une forme grave d'une maladie comme la paralysie cérébrale. «On peut déduire que les Québécois ont besoin d'une justification morale pour permettre l'euthanasie et qu'une souffrance terrible peut en être une pour eux», analyse Margaret Somerville, directrice fondatrice du Centre de médecine, éthique et droit de McGill. Mme Somerville attribue en partie au déclin de la religion le fait que les Québécois se montrent si favorables à l'euthanasie. «C'est difficile d'argumenter contre l'euthanasie si on n'a aucune croyance religieuse...» note-t-elle. Suzanne Philips-Nootens, professeure à la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, appelle pour sa part à la prudence dans l'analyse des résultats du sondage. «Les répondants se sont prononcés sur une situation abstraite, dit-elle. Mais le jour où les gens deviennent réellement malades, les études démontrent que leur opinion sur l'euthanasie a tendance à changer.»
  4. Si on se fie aux perspectives de placement pour 2009 de l’institution financière, les principales places boursières vont prendre du mieux à la faveur d’une diminution de la volatilité. Pour en lire plus...
  5. L’immobilier tourne à la faveur des acheteurs 20 novembre 2008 - 10h26 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Le plus grand boom immobilier depuis la Deuxième Guerre mondiale est maintenant terminé, selon un rapport publié par Scotia. Le changement de cap est plus prononcé dans les régions de l’Ouest canadien incluant Calgary, Edmonton et Vancouver qui avaient connu une explosion immobilière dans les dernières années notamment en raison de la hausse vertigineuse des prix des matières premières. Toutefois, souligne Scotia, les conditions sont les mêmes dans presque toutes les régions du Canada alors que le marché tourne à la faveur des acheteurs pour la première fois en plusieurs années. «Nous ne sommes pas alarmistes concernant le futur de notre marché domestique. Ce n’est pas la même situation qu’aux États-Unis qui a été causée par trop de construction, l’achat spéculatif et des prêts imprudents», indique Adrienne Warren, économiste principale chez Scotia. Même si la situation tourne, le marché canadien ne subit pas les mêmes secousses qu'aux États-Unis. Le rapport cible notamment des différences fondamentales entre les deux marchés. Selon Scotia, au Canada, le nombre de nouvelles propriétés ou pour la revente augmente mais se situe encore dans les cycles normaux. Avec les constructeurs qui diminuent la cadence dans la plupart des régions au Canada et avec le risque faible de saisies immobilières, le marché canadien ne présente pas la même situation qu’aux États-Unis alors que la surabondance de la construction a fait décliner les prix à des niveaux record. Toujours selon l’étude, le prix des propriétés a connu une hausse plus faible en Amérique du Nord que dans plusieurs autres marchés mondiaux. Ainsi, dans les dernières années, le prix a augmenté de 50% aux États-Unis et de 61% au Canada. Par comparaison, l’augmentation a dépassé les 100% dans plusieurs pays dont l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Espagne, la France et l’Australie.
  6. Le plus grand boom immobilier depuis la Deuxième Guerre mondiale est maintenant terminé. Le marché tourne à la faveur des acheteurs pour la première fois en plusieurs années, dit Scotia. Pour en lire plus...
  7. Le Canada plaidera en faveur d'une réglementation plus stricte des institutions financières ce week-end. Pour en lire plus...
  8. Le Québec doit-il retourner en déficit? Oui, disent les économistes à l'unisson. Même le grand responsable de l'atteinte du déficit zéro, l'ancien ministre des Finances Bernard Landry, plaide en faveur d'un retour au déficit si l'état de l'économie québécoise continue de se détériorer. Pour en lire plus...
  9. Dans le vaste monde des fonds communs, les fonds intégrés (littéralement des fonds de fonds) s'attirent la faveur de beaucoup d'investisseurs, séduits par cette solution tout-en-un. Pour en lire plus...
  10. Le secrétaire américain au Trésor affirme toutefois que la situation s'améliorerait par la suite à la faveur du plan de sauvetage bancaire. Pour en lire plus...
  11. Le ciel semble s’éclaircir au-dessus de Wall Street et l’économie américaine alors que le Sénat a adopté le plan de sauvetage qui pourrait mettre fin à la crise financière aux États-Unis. Pour en lire plus...
  12. Le ciel semble s’éclaircir au-dessus de Wall Street et l’économie américaine alors que le Sénat a adopté le plan de sauvetage qui pourrait mettre fin à la crise financière aux États-Unis. Pour en lire plus...
  13. Un plan en faveur des banques comme celui envsagé par le gouvernement américain n'est pas nécessaire au Canada, où le secteur financier «demeure très sain», dit le Premier ministre. Pour en lire plus...
  14. Les cours du pétrole ont débuté la semaine par un rebond de plus d'un dollar lundi à New York à la faveur d'une réduction de la production sur des sites au Nigeria. Pour en lire plus...
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