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  1. Les entrepreneurs canadiens ont totalement perdu confiance en l'avenir Olivier Schmouker, Lesaffaires.com 09:41 La hausse des prix de l'énergie et la vigueur du huard sont sources de soucis. Photo Y a-t-il des dirigeants d'entreprise qui ont encore le moral? Presque plus : seulement 6% d’entre eux se disent plus optimistes qu’un an plus tôt, selon un rapport conjoint de l'Institut canadien des comptables agréés et de RBC Banque Royale. En fait, l'optimisme envers l'économie s'est effondré au cours des 12 derniers mois, passant de 67 à 23%, selon les résultats du sondage trimestriel. La hausse du coût de l'énergie est un facteur important de la baisse du niveau d'optimisme. C’est du moins le cas pour la moitié (53%) des entrepreneurs canadiens. «Il y a un an, le prix moyen du baril de brut se situait à 71 dollars américains, le prix moyen de l'essence à la pompe à 1,07 dollars, et le dollar canadien atteignait 0,94 dollars américains», se souvient Shauneen Bruder, vice-présidente directrice, entreprises clientes et marchés commerciaux chez RBC. D’ores et déjà, quatre entrepreneurs sur dix ont indiqué que leur entreprise avait pris des mesures pour atténuer l’impact de la hausse du carburant.
  2. Si cette proposition est retenue, l'ajustement mensuel serait de 1,13 $ pour un logement moyen, de 2,70 $ pour une petite maison et de 4,87 $ pour une grande maison. Pour en lire plus...
  3. Le prix des maisons a doublé depuis 2002 à Québec 23 juillet 2008 - 06h00 Le Soleil Pierre Couture Le marché immobilier de la capitale ne dérougit pas. Depuis 2002, le prix des maisons unifamiliales a bondi de 100%. Selon les données compilées par Le Soleil, un acheteur devait étaler en moyenne 205 000 $ à Québec au dernier trimestre pour acheter une maison unifamiliale, soit le double du prix moyen payé en 2002 (102 000 $). «Depuis quelques années, on constate que le marché de la revente de maisons ne semble pas vouloir s'essouffler», indique l'analyste Frédérique Brie à la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). L'an dernier, le prix des maisons unifamiliales a progressé de 10,7 % (192 500 $) alors qu'en 2006, les acheteurs ont déboursé en moyenne 6,1 % de plus (150 100 $) pour une résidence détachée. Selon les données recueillies par la SCHL, la flambée des prix serait d'ailleurs loin d'être terminée. Depuis le début de 2008, la hausse est de l'ordre de 11,5 % dans la région métropolitaine. En juin, le prix moyen payé pour une maison unifamiliale a même atteint 214 000 $ à Québec, soit 12 % de plus qu'en juin 2007. Selon M. Brie, la bonne tenue de l'économie de la région n'est pas étrangère à cette impulsion du marché immobilier. «Il s'est créé 10 000 emplois l'an dernier, et la demande demeure forte pour ce type de produits», note-t-il. L'analyste de la SCHL fait remarquer que les bas taux d'intérêt observés ces dernières années et l'apparition de nouveaux produits hypothécaires permettant d'étaler les paiements sur une plus longue période (30 et 35 ans) ont aussi collaboré à cette poussée des prix. La SCHL constate également que le nombre de maisons disponibles pour les acheteurs est en légère baisse dans la région de Québec. En juin, 3199 inscriptions ont été répertoriées (2,5 %) contre 3282 à pareille date l'an dernier. Le prix des condos stagne Si le prix des maisons unifamiliales est en forte hausse, on ne peut en dire autant de celui des condominiums. En juin, le prix moyen pour un condo n'a progressé que de 0,2 % (163 393 $) par rapport à la même période l'an dernier. Pour tous les types de maisons confondus (unifamiliale, condo et maison en rangée), le prix moyen s'est élevé à 188 000 $ après deux trimestres à Québec, en hausse de 5 % depuis le début de l'année. D'ici la fin de l'année, la SCHL croit que le marché immobilier demeurera vigoureux dans la région. Si tout se déroule comme prévu, quelque 7000 résidences devraient changer de mains
  4. La montée continue, mais le rythme d'ascension ralentit. Le prix moyen des maisons de la région de Montréal continuera de croître dans la seconde moitié de l'année, mais avec plus de modération. Pour en lire plus...
  5. Royal LePage prévoit que le prix moyen des maisons augmentera de 3,5% à l'échelle nationale d'ici à la fin de l'année, a-t-il indiqué jeudi. Pour en lire plus...
  6. Cette somme représente une prime de 78,7% par rapport au prix moyen de vente des actions de la société ces 20 derniers jours. Pour en lire plus...
  7. Le taux d'inoccupation moyen des immeubles du secteur privé de trois logements et plus s'établissait à 2,5% dans les centres urbains du Québec ce printemps. Pour en lire plus...
  8. Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour en lire plus...
  9. Montréal: une plus grande part du budget pour se loger 4 juin 2008 - 11h09 Presse Canadienne Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Les Canadiens payent davantage pour l'épicerie et l'essence ces jours-ci, et dans la région de Montréal il y a d'autres mauvaises nouvelles pour le compte en banque. En fait, les paiements de loyer ou d'hypothèque des Montréalais accaparent une plus large part du budget familial qu'au début de la décennie, révèle une nouvelle analyse des données du recensement sur les coûts d'habitation. Le coût médian d'habitation la région de Montréal était de 8 208 $ par année - ou 683 $ par mois - en 2006, a rapporté mercredi Statistique Canada dans un nouveau rapport sur les coûts de logement à travers le pays. Ces données indiquent aussi que le ménage moyen la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour les propriétaires, ceci inclut les paiements hypothécaires, les taxes foncières, les frais de condo et les services publics; pour les locataires, les coûts tiennent compte des paiements de loyer et les services publics. Les données du précédent sondage de 2001 indiquaient que les ménages dans la région métropolitaine de Montréal avaient dépensé 18,1% de leur revenu pour les coûts d'habitation. Les locataires dans la région de Montréal en général dépensent proportionnellement plus de leurs revenus pour les coûts d'habitation que les propriétaires qui paient encore une hypothèque. Le locataire moyen doit engager 7 360 $ par année - ou 23,8% du revenu du ménage - pour les coûts d'habitation. Les propriétaires avec une hypothèque dans la région de Montréal ont dépensé un médian de 13 969 $ par année ou 18,9 pour cent de leur revenu pour l'habitation. Pour les propriétaires sans hypothèque, la proportion était beaucoup moindre - 8,5% pour un coût annuel de 5 198 $. Un total de 53,3% des ménages dans la région de Montréal sont propriétaires. Ceci est une augmentation par rapport à il y a cinq ans, alors qu'il était de 50,3%. Les propriétaires sans hypothèque représentent 20,3% des ménages dans la communauté. À travers le Canada, le coût médian de logement pour les propriétaires en 2006 était de 10 056 $ par année et pour les locataires, il était de 8 057 $. Au Québec, les propriétaires ont dépensé 8 619 $ et les locataires ont payé 6 788 $. Le ménage canadien moyen a dépensé 18,1% de son revenu annuel en habitation - ce qui signifie que les gens dans la région de Montréal ont environ les mêmes coûts de logement que le reste du pays. L'analyse publiée mercredi par Statistique Canada est basée sur les données du recensement recueillies il y a plus de deux ans. Le prochain resencement aura lieu en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/80604120/5891/LAINFORMER01
  10. L’anglais toujours un accélérateur de carrière Marc-Olivier Bherer 07/03/2008 14h17 Tandis que le français recule au Québec au profit de l’anglais comme langue de travail, les Anglo-Québécois quittent la province. Que faut-il comprendre de ce phénomène? «Les Anglo-Québécois s’enfuient en masse (et en voiture familiale) de la Belle province depuis la prise du pouvoir par le Parti québécois en 1976. Mais ce n’est que récemment que l’élite québécoise a commencé à considérer cet exode comme problématique», écrivait le National Post dans un éditorial. Au même moment se tenait du 29 février au 2 mars à l’université de Montréal une conférence sur «La revitalisation de la communauté anglophone au Québec: tendances et perspectives d'avenir». Le National Post avait une réponse toute prête à adresser aux Québécois pour redynamiser cette communauté, «Arrêtez de faire des anglophones vos ennemis». Les universitaires Jean-Luc Migue et Gérard Bélanger n’écartent le rôle joué par la xénophobie pour expliquer ces départs. Mais ils ne s’y limitent pas. Ils remarquent dans un article également publié par le National Post répondant à l’éditorial cité plus haut que les anglophones québécois disposent d’un plus grand capital mobilité par rapport à leurs concitoyens. «Ils n’ont pas à franchir des barrières linguistiques et culturelles lorsqu’ils migrent. Ils possèdent de manière historique des aptitudes qui leur permettent de briguer des postes plus en demande et plus lucratifs. En un mot, ils sont plus mobiles. Tant que la province restera une province moins développée économiquement, ils seront plus aptes à partir» que les autres Québécois, tranchent-ils. À l’intérieur même de la communauté anglophone, les individus les plus mobiles sont également les plus diplômés, comme le constate Henry Aubin, du quotidien The Gazette, alarmé par «la fuite des cerveaux» qui frappe la minorité anglophone. «Parmi les adultes nés au Québec dont la langue maternelle est l’anglais, 61% des détenteurs d’un baccalauréat étaient partis vivre ailleurs au Canada, selon les données du recensement de 2001, le dernier en date. La catégorie qui est le plus susceptible de rester au Québec? Ceux qui ont abandonné leurs études au niveau secondaire», s’inquiète-t-il. Il note encore que ceux «qui partent sont généralement bilingues». Le bilinguisme est effectivement une aptitude valorisé par le marché. Le salaire moyen des Québécois bilingues, qu’ils soient anglophones et francophones, était d’environ 38 000 dollars en 2000, soit plus que ne gagnent les personnes ne parlant une seule langue, d’après une étude de l’Institut C.D. Howe. Par contre, selon la même étude, les unilingues anglophones profitaient toujours d’une prime par rapport aux unilingues francophones. Leur salaire moyen en 2000 atteignait 34 097 dollars, par rapport à 29 665 dollars. Plus inquiétant encore, les allophones ne parlant que l'anglais disposaient d’un revenu moyen de 27 216 dollars alors que ceux ne s’exprimant qu’en français gagnaient 21 233 dollars. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2008/03/20080307-141727.html
  11. Profits records à la SAQ 26 avril 2007 - 06h48 Le Soleil Pierre Couture La Société des alcools du Québec (SAQ) est de plus en plus rentable. Au cours de la dernière année, la société d'État a engrangé des profits de plus de 700 millions $, a appris Le Soleil. Des documents du ministère des Finances révèlent notamment que la SAQ a roulé sur l'or en 2006-2007. L'exercice financier annuel terminé au 31 mars dernier fait état d'un bénéfice net d'au moins 702 millions $, en progression de 6 %. L'an dernier, la SAQ avait déclaré des profits sans précédent de 657 millions $. Mercredi, à la SAQ, personne n'a voulu commenter cette autre excellente performance financière. «Nous n'avons pas l'habitude de discuter de nos résultats avant que notre rapport annuel soit publié», a fait valoir la porte-parole Linda Bouchard. Chaque année, la SAQ dépose quelque part en juin devant l'Assemblée nationale son bilan annuel officiel. Quoi qu'il en soit, les ventes de bouteilles de vin sont demeurées le moteur de croissance de la SAQ au cours des 12 derniers mois. À la SAQ, 75 % des revenus émanent de la vente de bouteilles de vin alors que 16 % proviennent des spiritueux. Des conseils payants Évidemment, la nouvelle approche-client privilégiée par la SAQ et ses conseillers en vins a rapporté gros l'an dernier. Selon la SAQ, un client bien conseillé en magasin tend à augmenter sa facture moyenne de 30 à 65 %. Actuellement, l'achat moyen d'un client de la société d'État tourne autour de 17 $. Continuant à chérir sa clientèle dite passionnée - qui génère 25 % des ventes - , la SAQ s'est attaquée au très porteur marché des découvreurs dits conviviaux âgés entre 30 et 35 ans. Dans cette nouvelle approche, la SAQ a ainsi fait davantage de place aux produits dits de spécialités. Résultat: au troisième trimestre, les ventes de bouteilles de vin dont le prix oscillant entre 24 et 25 $ ont bondi de 50 %. Pendant cette même période, les bouteilles vendues entre 14 et 17 $ ont vu leurs ventes progresser de 20 %. En décembre, soit le mois le plus achalandé - la SAQ y réalise 15 % de son chiffre d'affaires annuel - , les différentes promotions offertes dans les succursales ont contribué à hausser les ventes de vins de près de 10 %. Avec un chiffre d'affaires avoisinant les 3 milliards $, la SAQ a poursuivi son contrôle serré sur ses dépenses d'exploitation, en progression de moins de 4 %. Comme l'an dernier, les revenus engrangés dans les épiceries et les dépanneurs ont affiché une légère baisse. En contrepartie, les ventes réalisées dans les succursales et les centres spécialisés ont augmenté de 10 %. Nouvelle Sélection En 2006, la SAQ a aussi lancé un nouveau concept de magasins Sélection dans la région de Montréal. Réservée uniquement au grand public, cette nouvelle génération des Sélection offre un vaste choix de vins bas, moyen et haut de gamme entouré de plusieurs équipes de conseillers spécialisés. Bien qu'elle se dit à l'écoute de sa clientèle, la SAQ n'a toutefois pas l'intention, du moins pour l'instant, de changer ses bannières Classique, Sélection et Express. Déjà, le concept Express s'avère très rentable. Au pied carré, ce type de magasin génère un profit moyen de 720 $ alors que l'ensemble du réseau offre un rendement moyen de 489 $ au pied carré. Depuis 1996, année où sont apparues les bannières Express, Classique et Sélection, la SAQ dit avoir investi moins de 100 millions $ pour revoir la configuration de son réseau, tout en ouvrant 60 nouveaux magasins. Rapport financier pour l'année 2006Profit de 657 millions $ Exercice financier terminé le 31 mars 2007 Profit net d'au moins 702 millions $ en progression de 6 %
  12. Un rendement supérieur aux marchés en 2006 Les gestionnaires du principal bas de laine des Québécois, la Caisse de dépôt et placement, se félicitent, jeudi, d'un rendement annuel moyen de 14,6 % l'an dernier. Cette performance permet à la Caisse de s'afficher dans le premier quartile des grandes caisses de retraite canadiennes pour une troisième année consécutive. En fait, seules 5 % des grandes caisses canadiennes ont atteint le rendement moyen de 13,8 % enregistré au cours des trois dernières années par la Caisse de dépôt et placement du Québec. L'actif net de la Caisse dépasse maintenant les 143 milliards de dollars, en hausse de plus de 21 milliards de dollars par rapport à 2005. De cette dernière somme, 17,8 milliards sont considérés comme des revenus de placement nets. Les 3,5 milliards restants ont été déposés au cours de l'année. Les dirigeants de la Caisse ne commenteront pas les résultats de l'institution en raison de la présente campagne électorale au Québec.
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