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yarabundi

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Tout ce qui a été posté par yarabundi

  1. yarabundi
    Ce protocole en effet n'est que symbolique. Rapellez-vous que les premiers ministres provinciaux et les gouverneurs des états intéréssés ont depuis longtemps donné leur accord au TGV pour le nord-est du continent. Il est où le TGV ? Si les niveaux supérieurs de gouvernements ne suivent pas, ce genre d'entente n'a aucune valeur
  2. yarabundi
    Et tout ça en-deça du budget prévu !!
  3. yarabundi
    Une deuxième grue en cours de montage ce matin...
  4. yarabundi
    Il faut au minimum terminer le réseau de contournement !!
  5. yarabundi
    Ce qui est le plus désolant c'est que tout çes démolitions ont été faites pour rien finalement !! On se croirait revenu à l'époque de Jean Drapeau !!
  6. yarabundi
    Je suis dans le Vieux-Montréal plusieurs fois par semaine et je passe devant cet édifice au moins une dizaine de fois par semaine et je n'y vois aucune activité depuis très longtemps (des mois voire des années !!)
  7. yarabundi
    J'ai ttoujours trouvé ces photos particulièrement hallucinantes !! Peculiar ? Non-existing you means !! Karen Young a utilisé la huitième photo pour la couverture d'un de ses albums en 1997 Je crois que c'est Michel Donato qui est à gauche de Karen Young...
  8. yarabundi
    Trouvé sur flickr : source : http://www.flickr.com/photos/misschlalom/3819775918/sizes/o/in/pool-501258@N24/ Photo par Miss Chlalom
  9. yarabundi
    Moins polluantes mais polluantes tout de même versus un tramway qui ne l'est pas du tout !!
  10. yarabundi
    Je suis (au contraire de vous) étonné qu'on ait pas permis plus de 20 étages !! J'aurais permis jusqu'à 30*!!
  11. yarabundi
    Je suis tout à fait conscient qu'il y a déjà eu un tramway sur Sainte-Catherine. Pire !! La rue était à deux sens dans ce temps-là !! Deux réalités différentes aujourd'hui : plus de voitures et une ligne de métro en souterrain qui déssert parfaitement bien le centre-ville et la rue Sainte-Catherine en particulier. Combien d'édifice de la rue Sainte-Catherine sont directement reliés à une station de métro ? Sans réfléchir : Place Dupuis UQAM Complexe Desjardins PDA La Baie Galeries de la Cathédrale Les Ailes de la Mode Centre Eaton Université Concordia Place Alexis-Nihon Une dizaine -et j'en ai peut-être oublié. Je n'ai pas inclus les édifices indirectement reliés comme le Complexe Industrielle-Alliance ou la Place Montréal Trust. C'est tout de même presque le quart de tous les édifices faisant partie du RÉSO !! Plus !! De PDA ou du Complexe Desjardins, on peut rejoindre la ligne orange. Idem via Centre Eaton... Faudrait mettre nos efforts ailleurs si on pense vraiment qu'un réseau de tramways peut voir le jour à Montréal.
  12. yarabundi
    Je suis d'accord avec GDS : pourquoi un tramway sur Sainte-Catherine ? Malek : si on se compare avec l'Europe c'est parce qu'on est un pays occidental, démocratique, capitaliste comme ceux où le tramway est en train de s'implanter massivement. Il est vrai que le problème n'est pas le même, l'étalement urbain est moindre pusique la densité de population est généralement plus élevé donc il y a assûrément un bassin potentiel de clients plus important que dans nos villes. Cela dit, on doit tout de même se poser la qeustion suivante : à part la question de l'augmentation de la fréquentation (qui est tout de même dans le vif du sujet -c'est probablement la question la plus pertinente) des transports publics d'un strict point de vue urbanistique, pourquoi ne serions-nous pas capable de mettre sur pied un réseau de tramways dans une ville dont la trame urbaine est totalement régulière et simple alors que de villes européennes dans lesquelles la trame urbaine est souvent anarchique et compliquée réussissent à imposer le tramway ?
  13. yarabundi
    Ça va rapidement de ce côté-là !! Impressionnant !!
  14. yarabundi
    Il n'y a tout de même pas tant d'hotels que ça autour de l'aéroport. Si on compare avec n'importe quelle autre ville de la même taille on est probablement en-deça de la moyenne. Avant qu'on me répète (et que je me le répète à moi-même) qu'on ne peut pas comparer Montréal et Toronto il ya tout de même des douzaines et des douzaines d'hotels de part et d'autres de Pearson (Etobicoke et Mississauga). Alors je suis convaincu qu'il y a cette demande à Montréal.
  15. yarabundi
    Il y a en effet une auberge de jeunesse juste au bout de la rue Overdale avant que celle-çi ne change de nom (Mackay). Il m'arrive d'aller y chercher des groupes scolaires -surtout au printemps !!
  16. yarabundi
    Provocation, provocation !! Pourquoi t'acharner sur etienne ? Tu peux ne pas être d'accord avec lui mais de là à chercher à le provoquer ??!! Tu te comportes pratiquement comme un boulet parfois. Assez surprenant !! Quand un forumeur (toi, moi ou un autre) poste sans argumenter (ça m'arrive, eh oui !!) il n'apporte rien de bon à la conversation. Cela étant dit : j'étais à Trudeau hier et il y avait une bus de la STM en panne juste à la sortie de l'aéroport juste au début du rond-point. Résultat : une voie au lieu des deux (qui sont nettement insuffisantes). Joli bouchon avant même d'avoir quitté l'aéroport !! Un avant-goût de ce qui peut nous attendre pendant les travaux. Nécéssaire mais pénible. Pénible mais nécéssaire.
  17. yarabundi
    Tellement vrai. Imaginez être un touriste qui arrive au centre-ville par cette gare telle qu'elle est en ce moment !!
  18. yarabundi
    On peut ne pas être d'accord avec ces deux co-signataires de la lettre d'opinion il n'en reste pas moins qu'elle vient de deux acteurs de la scène culturelle de Montréal et en particulier de la scène jazz locale. Ce qu'ils disent dans cette lettre on l'entend depuis des années. Bien évidemment il faut se féliciter de la grande réussite du FIJM mais il est aussi vrai que Spectra ne fait pas grnad chose pour promouvoir la scène locale. Hors du FIJM, il ne se passe pas grand chose pour une ville qui pourtant organise le plus grand festival de jazz sur la planète. Je serais tout de même curieux d'éliminer de n'importe quel calendrier des éditions précédentes tous ceux et celles qui n'ont pas un lien direct ou indirect avec le jazz (qui aurait l'audace ici de prétendre que Steve Wonder appartient à la mouvance jazz ??) et de ne garder que les noms vraiment associés aux jazz. Après, comparer le nombres d'artistes avec disons le festival de Montreux : pourrions encore prétendre être le deuxième plus grand au monde ? Ne vous méprenez pas : je ne suis pas en train de condamner le festival. J'essaie seulement de me mettre dans la peau des deux co-signataires. C'est en tant qu'acteurs de la scène culturelle et jazz de Montréal qu'ils signent leur lettre et c'est dans cette pperspective et cette perspective seulement selon moi qu'il faut la lire et la comprendre. Maintenant cela étant dit ils peuvent difficilement comparer New-York à Montréal, la scène jazz new-yorkaise et montréalaise. On n'est même pas dans la même ligue. Le jazz est littéralement né aux États-Unies et New-York en a été l'un des promoteurs depuis le début. Si le jazz n'est pas né à New-York il y a tout de même grandi. Il y a une grosse différence.
  19. yarabundi
    La gare de la navette sous Trudeau : source : http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://www.cyberpresse.ca/images/bizphotos/569x379/200903/04/52691.jpg&imgrefurl=http://spacingmontreal.ca/transit/page/3/&usg=__56FfZscuIgkYsDNwlN3cjMZT9kM=&h=379&w=569&sz=18&hl=fr&start=4&tbnid=0tfT84KXwPVCRM:&tbnh=89&tbnw=134&prev=/images%3Fq%3Dtrain%2Bstation%2Bmirabel%26gbv%3D2%26hl%3Dfr
  20. yarabundi
    Publié le 18 août 2009 à 12h10 Le Festival de jazz, un monstre arrogant Cyberpresse En ces temps de crise et de questionnement sur les bonnes et mauvaises dépenses de l'État et à la suite de la création de la Maison du Festival Rio Tinto, à quoi il faut maintenant ajouter la controverse suscitée par le nouveau calendrier des FrancoFolies de Montréal, nous voudrions offrir quelques observations sur la centralisation et la vision délirante qui sévit au Québec en matière de politique culturelle. Plus particulièrement en ce qui concerne la plus pauvre des grandes musiques, le jazz. Parlons conséquemment de Spectra et de son Énorme Festival International de jazz, plus gros que les autres, plus gros surtout que les musiciens de jazz, plus gros même que le jazz. Un simple parallèle nous éclairera d'un trait sur le phénomène. Au Jazz at Lincoln Center de New York, trois salles ont été spécifiquement conçues pour la présentation du jazz sous toutes ses formes. La plus petite se nomme le « Dizzy Gillespie Coca Cola Jazz Club », en l'honneur du grand trompettiste et du fameux breuvage. À Montréal, nous avons la « Maison du Festival Rio Tinto Alcan ». Va pour Rio Tinto Alcan, dont nous saluons la générosité, mais on voit que ce qui est célébré d'autre part, ici, ce n'est pas une mythique figure du jazz, ancienne ou moderne, mais bien l'organisation récréo-touristique elle-même. Point de Maison du jazz, mais une Maison du Festival. Cette différence ne tient pas aux simples mots. Elle participe, plus gravement, d'un symptôme. Sur l'échelle du gigantisme, au-delà de l'énorme, il y a le monstrueux. Le FIJM est devenu ce monstre arrogant et narcissique que nous connaissons aujourd'hui, créé par les pouvoirs publics et les plus centralisateurs de leurs représentants. Ce monstre, tel Saturne, au lieu de les faire vivre, de les nourrir, mange aujourd'hui ses enfants. Jamais le jazz, en qualité d'institution, ne s'est plus mal porté au Québec que sous la dictature dépensière et ingrate du Festival international de Jazz de Montréal. Du point de vue de l'art, qui appartient aux artistes, c'est autre chose - mais nous pouvons avancer nettement que s'il y a jazz québécois, en 2009, c'est malgré «l'Énorme» Festival. Que les contribuables ne s'y trompent pas : ceux-ci soutiennent de leurs impôts, via l'appareil de diffusion qu'est l'Énorme Festival, outre ses quelques dirigeants, les musiciens étrangers (et les gros noms de préférence, fussent-ils même étrangers au jazz), 1000 commerçants et une légion d'employés et de sous-traitants, mais pas le jazz d'ici, pas les musiciens d'ici, rien de rien, ou quelques miettes pour la galerie, que nous nommerons les pourboires de la paix ou de la bonne conscience. Et toutes les réponses de ses puissants propriétaires, pleins de moyens, de copains et d'esclaves pour nous contredire, n'y changeront goutte. Les faits nous donnent raison, dès que la raison nous guide mieux que la crainte de n'être pas du groupe élu. Les seuls changements réalisables et souhaitables nous viendront d'abord de quelques fonctionnaires et autres décideurs plus rares (nous en connaissons) qui commencent à se dire que mettre tous ses oeufs dans un même panier demeure un gage d'échec à long terme et présente les pires dangers d'excès et de démesure, que l'entretien d'un monopole immuable est néfaste et tue la diversité nourricière, que la concentration de l'argent et des ressources, sur des décennies, est la recette parfaite des mauvais lendemains et un soutien très peu artistique à la suffisance et à l'arbitraire. Par ailleurs, au-delà de cet aspect, penchons-nous sur le concept même de festival. Car, qu'est-ce qu'un festival ? C'est une formule locale et ponctuelle destinée soit à promouvoir un produit régional saisonnier (la patate, le blé d'inde, les vendanges, etc.) à grand renfort de publicité pour une courte période, soit à déplacer, toujours ponctuellement, une certaine diffusion culturelle vers des régions qui ne peuvent pas en bénéficier à l'année. Alors, comment peut-on baser une politique culturelle sur la notion de festival, particulièrement dans les villes-centres, comme semblent le préconiser le gouvernement Harper, le gouvernement Charest, l'actuelle administration montréalaise? Que penser, en effet, de cette politique culturelle dont « bénéficie » entre autres le jazz et qui mise sur l'importation massive, épisodique et couteuse de produits culturels étrangers, dans une logique éminemment touristique, tout en laissant dans la misère tout le milieu artistique local, ainsi que son public, le reste de l'année ? Pourtant, le jazz a acquis ses lettres de noblesse. Le jazz est la seule forme de musique enseignée systématiquement, à côté de la musique classique, dans les écoles et universités occidentales. La majorité des Universités et CEGEP du Québec décernent chaque année des centaines de diplômes, baccalauréats, maîtrises et doctorats en jazz. Mais où ces musiciens iront-ils jouer de mois en mois ? Dans votre restaurant favori, gratuit d'entrée avec l'achat d'un Rib Steak coupe Cowboy de 16 onces. Au Jazz at Lincoln Center, si l'on s'en tient à notre parallèle, la riche tradition du jazz et ses développements contemporains sont reconnus et présentés à l'année dans des conditions optimales, à travers des concerts, des classes de maîtres (master class), des conférences, des activités de développement ciblées conçues en fonction des différents groupes d'âge, des ateliers spécialisés pour le ressourcement des professionnels ou l'initiation des jeunes en sorties scolaires... À la Maison du Festival, il y aura bien quelques concerts épars, mais vous y chercherez longtemps la présence quotidienne et véritable de la musique de jazz d'ici et de nos créateurs. Elle n'y sera pas. Cette Maison du Festival, financée publiquement de 9 millions, est un projet qui a été approuvé sans études de besoins, ni consultation auprès de la communauté jazz. Par le choix de ce projet (il y en avait d'autres sur la table) et de ses dirigeants (toujours les mêmes), les pouvoirs publics ont choisi d'enrichir les riches et d'alimenter les plus repus. Et derrière cette décision, ne cherchez pas la musique de jazz. Non, ici, le mot « jazz » est un gargarisme, une gomme à mâcher que l'on recrache après usage. Quel David se lèvera pour faire contrepoids à la gigantesque machine? Jacques Laurin et Claude Marc Bourget Jacques Laurin est ex-président du Regroupement des artistes jazz du Québec (RAJQ) et initiateur du projet de Centre International de Jazz de Montréal (CIJM). Claude Marc Bourget est pianiste, compositeur et initiateur de la Société des musiques improvisées du Québec. source : http://www.cyberpresse.ca/opinions/forums/cyberpresse/200908/18/01-893635-le-festival-de-jazz-un-monstre-arrogant.php
  21. yarabundi
    Qu'est-ce qui sera construit en premier ? Le CHUM oula navette aéroportuaire ? Les paris sont ouverts !! Ne retenez pas votre respiration !! Lorsque Mirabel a été construit, le gouvernement y a inclus une gare ferroviaire pour le lien prévu entre l'aéroport et Montréal. Aujourd'hui, Mirabel est fermé et il n'ya jamais eu de train. Si l'exemple de Mirabel est une indication de ce qui nous attend... Pendant ce temps, Vancouver inaugurait sa navette aéroportuaire hier...
  22. yarabundi
    Il y a une gare déjà construite en-dessous du nouvel aérogare prête à accomoder une navette jusqu'au centre-ville. Ça me fait penser à un autre aéroport...
  23. yarabundi
    Complètement d'accord. Ne sont-ce pas ces même Sulpiciens qui au 19ième siècle (entre 1848 et 1850) avaient entamés la destruction du Vieux Séminaire jouxtant l'église Notre-Dame pour construire un nouveau séminaire ?? Dans l'histoire de Montréal les Sulpiciens se sont souvent comportés en maîtres de lieux comme s'ils n,avaient pas de compte à rendre à qui que ce soit. Je ne crois pas que ce soit bon pour la cause de Mr Pomerleau de citer les Sulpiciens. Les Sulpiciens ne sont véritablement intéressés que par l'argent. Ils l'ont toujours été. Ce n'est certe pas en citant une congrégation religieuse catholique qu'on pourra voir notre société évoluer et aller de l'avant. Il y a une contradiction ici dans le discours de Mr Pomerleau.
  24. yarabundi
    OursNoir : tu as le don de ridiculiser l'argumentaire de qui que ce soit qui n'est pas d'accord avec toi. Tu devrais cesser ta mesquinerie et t'en tenir à des arguments. Cela étant dit : Excellente idée !!
  25. yarabundi
    Je suis en désaccord : ce n'est pas autant Montréal qui lui a laissé un goût amer autant que l'administration en place. Tout cela pourrait bien changer avec un autre maire ayant une attitude d'ouverture différente. A propos de ton rêve : l'emplacement Bleury/Sainte-Catherine = ça ne ferait sûrement pas plaisir à Bumbaru mais j'autoriserais la démolition de toutes les structures jusqu'à Jeannne-Mance pour autoriser la construction d'une salle digne du Cirque !! Avec les terrains disponibles au sud (le stationnement sur Jeanne-Mance, l'édifice de la garderie qui pourrait très bien être relocalisée) ça libèrerait un magnifique espace !!
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