Aller au contenu
publicité

WestAust

Membre
  • Compteur de contenus

    4 517
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    6

Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. In a similar fashion, yet different, the impact of oil on a "local" economy is real, when you see that Houston issued more single homes permit than the whole of california last year, sure economy isn' the only factor in this example, but it shows the extand of oil impact on booming economy http://www.businessweek.com/articles/2014-10-10/houston-is-issuing-more-home-permits-than-all-of-california
  2. Oui le traffic peut etre assez grave dans ce coin la, ils ont effectués des travaux en ajoutant/modifiant des voies, mais tant que la ville de brossard/mtq ne réalisera pas l'overpass au dessus de la 10 pour le boulevard du quartier ca va rester assez compliqué!
  3. Le propriétaire de l’Impact de Montréal Joey Saputo a fait l’acquisition, en compagnie d’un groupe d’investisseurs, du FC Bologne, un club de soccer italien, jeudi. «Je suis heureux de confirmer que l'offre d'achat de notre groupe d'investisseurs pour l'acquisition du FC Bologne a été acceptée par le conseil d'administration du club», a souligné Saputo, dans un communiqué. Une lettre d'intention a d’ailleurs été signée par le club à cet effet. «Je tiens à remercier tous les gens impliqués dans la transaction, notamment les fidèles partisans du FC Bologne pour leur encouragement au cours du processus. Nous allons continuer de travailler avec le conseil d'administration du club pour finaliser l'entente le 15 octobre.» Marco Di Vaio aurait pour sa part un poste qui l’attendrait avec l’équipe italienne. Il s’agit d’un revirement de situation puisque le FC Bologne avait indiqué, il y a deux semaines, sur son site web que l’équipe serait vendue à Massimo Zanetti. La formation italienne, qui a été fondée en 1909, a été reléguée en Serie B après une saison 2013-2014 difficile. http://www.tvasports.ca/2014/10/09/saputo-devient-proprietaire-du-fc-bologne
  4. Les travaux de creusage au coin Lucien L'Allier et Rene-Levesque Pour l'hotel, ce ne sera effectivement pas le Renaissance, il sera ailleurs au Centre-Ville
  5. En fait il reste encore 2-3 planchers à couler qui sont inclus dans le core déja bati, ensuite ce sera effectivement le mécanique et l'architectural (les 2 triangles)
  6. En fait, une des restrictions c'est lors de la période de dégel ou les camions ne peuvent rouler avec un chargement maximal, donc ca coute plus cher de vider un trou lors du dégel, mais rien n'empêche de le faire.
  7. Le core est terminé, ils sont à enlever tout ce qui le construisait Et son impact sur le skyline vue du pont victoria
  8. Très lentement mais surement on commence a voir le parc qui reprend forme, ils coulent le beton des sentiers
  9. We have to be careful to not to throw the baby out with the bathwater, i'm all for accusations against people like Riadh Ben Aissa or Pierre Duhaime whom clearly were involved in some of the scandals, even throw a big fine to SNC or ask them to payback the money that the govt can prove they stole, but launching full fledge criminal accusations against the whole company that could cause it's demise, even if probably 90% of the employees were not involved, is a risk i'm not sure we should take
  10. Très content de voir cette tour se réaliser, la qualité des matériaux dervait etre excellente, alors ce qu'elle n'as pas en hauteur ou design, elle l'aura en qualité et surtout, en espace bouché sur Maisonneuve. Seul point "négatif" ils devraient laisser tomber le maison au sommet de l'édifice, avoir seulement Manuvie d'inscrit. Pour ce qui est du podium, contrairement a l'image de la tour du SQ Phillips, la base ne peut aller se coller contre le St-Martin, l'entrée du stationnement de l'hotel est la.
  11. Toute une perte pour pointe st-charles et montréal en général, toujours triste de voir une institution fermer!
  12. Pour l'année 2013 au complet, Montréal affichait un taux d'occupation de 67% selon les données de Tourisme Montréal, en hausse de 2% par rapport à 2012 http://www.octgm.com/toolkit/fr/statistiques/bilan-2013-annee-a-date-janvier-2014.pdf
  13. Environ 10000/heure en ce moment lorsque la voie reservée est en place http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?p=237937&sid=4bf89b07051bc8acd011737ce6692787
  14. Acquisition de Standard Life: Manuvie rassurante pour Montréal La Financière Manuvie (T.MFC) a voulu se faire rassurante à l'endroit du secteur financier québécois, jeudi, en suggérant que son acquisition des actifs canadiens de la Standard Life ne se traduira pas nécessairement par d'importantes suppressions d'emplois à Montréal. La directrice générale de la division canadienne de Manuvie, Marianne Harrison, a ainsi tenté de dissiper les inquiétudes quant à l'objectif de la société ontarienne de réaliser des synergies de 100 millions $ - une situation qui se traduit souvent par des licenciements. «Il y a un élément qui sera la clé pour nous: ça sera d'avoir cette présence au Québec», a-t-elle souligné, dans le cadre d'une conférence destinée aux investisseurs organisée à Montréal par la Banque CIBC. Plus de 1600 des 2000 employés canadiens de la Financière Standard Life se trouvent à Montréal. Questionnée sur le dossier, Mme Harrison a prévenu qu'une trop grande diminution d'effectifs dans la métropole réduirait l'empreinte de Manuvie - actuellement quasi inexistante - dans la province. Elle a réitéré à quelques reprises que la décision de l'assureur torontois de mettre la main sur une des plus importantes firmes financières de Montréal était surtout motivée par sa volonté d'établir son empreinte au sein du marché québécois. «Nous sommes une des seules compagnies d'assurances à ne pas avoir de leader pour nos activités au Québec, a souligné Mme Harrison. Depuis un an et demi, nous nous demandions comment percer au Québec lorsque cette occasion s'est présentée.» La directrice générale de la division canadienne de Manuvie a par ailleurs indiqué que la réalisation des synergies se fera vraisemblablement par le biais d'un processus qui s'appliquera à l'ensemble des activités de la société ontarienne. «Est-ce que cela veut dire que nous allons supprimer moins de postes pour réaliser ces synergies? Non», a affirmé Mme Harrison. Cette dernière a expliqué que Manuvie allait «trouver des postes» au sein de son organisation et que l'atteinte des objectifs pourrait également se faire grâce à une réduction naturelle des effectifs. «Par exemple, si nous avons des départs par attrition dans la région de Kitchener et Waterloo (en Ontario), est-ce que nous avons l'occasion de consolider notre expertise au Québec? C'est quelque chose que nous voulons faire», a expliqué Mme Harrison. Elle a réitéré que le Québec ne deviendra pas un simple «centre d'opérations» et qu'il était important d'y laisser «plusieurs professionnels». «Nous avons eu des difficultés à bâtir notre présence dans la province et (cette acquisition) vient de nous donner l'élan (nécessaire)», a-t-elle dit. Le président de Standard Life, Charles Guay, avait également tenté de se montrer rassurant peu après l'annonce de la transaction, annoncée le 3 septembre dernier. Dans une lettre publiée sur Internet, M. Guay avait souligné que les deux entreprises «se complémentent sur bien des plans». La transaction est financée en partie par la Caisse de dépôt et placement du Québec, qui a réalisé un investissement de 500 millions $ en capital-actions dans Manuvie pour cette entente. Sa clôture est prévue au cours du premier trimestre de 2015, après l'obtention des autorisations des actionnaires de la maison-mère de Standard Life, en Écosse, ainsi que des autorités réglementaires canadiennes. L'investissement porte à plus d'un milliard de dollars la participation de la Caisse dans Manuvie et en fait un de ses actionnaires les plus importants. En date du 30 juin dernier, les actifs sous gestion de la Standard Life totalisaient 52 milliards $ et quelque 1,4 million de clients. La société occupe le cinquième rang des principales entreprises d'assurance-vie et de produits financiers liés au Canada. En après-midi, à la Bourse de Toronto, le titre de la Financière Manuvie s'appréciait de 33 cents, ou 1,5%, pour se transiger à 22,38 $. http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201409/18/01-4801451-acquisition-de-standard-life-manuvie-rassurante-pour-montreal.php
  15. Les premiers morceaux de la grues sont arrivés, le cab et le pivot entre autre, le tout semble neuf directement de chez Liebherr en Allemagne
  16. On voit la grue de la tour deloitte vue a partir du Courtyard sur R-L
  17. École Saint-Gérard: la façade sera en partie préservée Un pas important vient d'être franchi en vue de la reconstruction de l'école Saint-Gérard, selon les élus municipaux de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. La Commission scolaire de Montréal (CSDM) accepte de préserver une partie de la façade de l'école, levant l'un des derniers obstacles qui se dressaient devant le projet. Le conseil d'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension s'est réuni en séance extraordinaire hier pour étudier de nouveau le dossier de l'école Saint-Gérard. Les élus ont alors appris que la commission scolaire se rendait aux arguments de ceux qui souhaitaient préserver une partie du patrimoine de l'ancienne école dans la future construction. «La CSDM s'engage à intégrer des éléments architecturaux significatifs de la façade de la rue Berri au projet de reconstruction de l'école Saint-Gérard», peut-on lire dans un courriel signé par la présidente de la commission scolaire, Catherine Harel-Bourdon. La CSDM a refusé d'en dire davantage sur ce qui sera préservé de l'actuelle façade. Un dessin architectural envoyé aux élus permet toutefois de comprendre que des éléments des entrées, de la fenestration ainsi que de la corniche devraient être intégrés. Un «grand pas en avant» «C'est un grand pas en avant. C'est un gain important en faveur du patrimoine, que la CSDM accepte de préserver une partie de la façade», s'est réjouie la conseillère Elsie Lefebvre, qui estime que l'intégration d'éléments «va être un beau rappel historique de l'ancienne école». «C'est une avancée majeure», a également commenté le conseiller Sylvain Ouellet, de Projet Montréal. L'élu s'était auparavant opposé au projet, mais s'est rallié hier en raison du «coup de théâtre» que représente selon lui la préservation d'éléments de la façade. «Je suis assez heureux. J'ai vu le projet évoluer grandement depuis deux mois, évoluer dans la bonne direction.» Il reste encore quelques étapes avant que la CSDM ne reçoive le feu vert final pour démolir, puis reconstruire l'école Saint-Gérard. Lundi, les élus du conseil municipal doivent se prononcer sur le retrait du bâtiment de la liste des bâtiments patrimoniaux, étape incontournable afin de permettre la démolition. Projet Montréal s'y opposait par le passé justement parce qu'il réclamait à tout le moins la préservation de la façade. Une fois le vote du conseil municipal passé, les élus de l'arrondissement devront se prononcer une troisième et dernière fois sur le projet, le 2 septembre. C'est à ce moment que la CSDM devrait pouvoir aller de l'avant. «Ça semble bien s'aligner pour le dernier vote», a indiqué M. Ouellet. En obtenant le feu vert au début du mois de septembre, la CSDM vise une réouverture l'établissement en septembre 2016. Rappelons que l'école Saint-Gérard a été fermée aux élèves en janvier 2012 à la suite d'une contamination fongique provoquée par d'importantes infiltrations d'eau. Le futur bâtiment pourra accueillir jusqu'à 642 élèves, soit 50% de plus que l'ancien. http://www.lapresse.ca/actualites/education/201408/15/01-4791925-ecole-saint-gerard-la-facade-sera-en-partie-preservee.php
  18. WestAust

    L'Économie du Québec

    It's the other way around, we lost jobs in construction, health and social services
  19. Le fabricant californien de véhicules électriques de luxe Tesla Motors est sur le point de frapper un grand coup à Montréal. Tesla aura pignon au 5350, rue Ferrier, près de concessionnaires Mercedes, Jaguar et Rolls-Royce. Le constructeur californien prévoit bientôt présenter un modèle coûtant de 30 000 à 40 000 $. L'entreprise fondée en 2003 par Elon Musk ouvrira son premier véritable magasin au Québec sur la rue Ferrier, a appris La Presse Affaires. Le bâtiment d'environ 45 000 pieds carrés se situe dans le voisinage de l'Orange Julep, à l'ouest de l'autoroute Décarie, dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Il deviendrait, nous dit-on, l'un des plus importants points de service de Tesla en Amérique du Nord. Toujours selon nos informations, Tesla dépensera plus d'un million de dollars pour aménager les lieux à son goût. Avec des travaux de cette envergure à l'agenda, l'ouverture ne pourra se faire avant les derniers mois de 2014 ou le début de 2015. Un courriel adressé au service de presse de Tesla en Californie est resté sans suite. Dans un article paru le 31 mars 2014, La Presse Affaires, qui s'était rendue au siège social de Tesla à Palo Alto, écrivait qu'un point de vente ouvrirait à Montréal cette année. Mais le secret devait être maintenu jusqu'à la dernière minute, et rien ne serait annoncé avant la signature d'un bail en bonne et due forme. Association naturelle Que Tesla s'installe avec faste au Québec tombe sous le sens. La province est branchée, comme on le sait, sur de vastes ressources hydroélectriques qui font sa fierté. Le gouvernement provincial mène d'ailleurs une ambitieuse politique d'électrification des transports. Tesla est le fabricant automobile de l'heure. Son modèle S, qui va de 0 à 100 km/h en 4 secondes, fait fureur auprès des vedettes d'Hollywood. Le magazine Consumer Reports a qualifié la voiture de «presque parfaite» et lui a accordé la note de 99 %. Inscrite en Bourse, l'action du constructeur (TSLA,) se vend à 78 fois les profits de 2015. On dénombre au 31 juillet environ 250 véhicules Tesla immatriculés au Québec. Le prix de départ du modèle S - plus de 70 000 $ - limite pour l'instant les ventes dans la province, mais celles-ci sont susceptibles de prendre leur envol quand le modèle de «troisième génération», qui devrait coûter de 30 000 à 40 000 $, fera son apparition, autour de 2017. À Montréal, le bâtiment choisi a hébergé dans le passé un concessionnaire Chrysler et, auparavant, une concession Infiniti. Le garage compte une dizaine de postes de travail, communément appelés baies de services, et dispose d'un garage intérieur pour loger les véhicules en stock. La salle d'exposition servira à exposer ses nouveaux véhicules, comme le modèle X, à quatre roues motrices. Lors de notre visite des lieux jeudi, des employés de la compagnie National Démolition s'affairaient à dégarnir l'intérieur du garage. Depuis décembre dernier, les plus importantes installations canadiennes de Tesla se trouvent au 1325, avenue Lawrence Est, à Toronto, un ancien concessionnaire Lamborghini de 17 000 pieds carrés. Une entreprise exceptionnelle Entreprise révolutionnaire avec ses stations superchargeurs capables de recharger 50 % de la batterie en 20 minutes réparties bientôt aux quatre coins de l'Amérique, Tesla a un modèle d'affaires distinct. Ses ventes se font principalement par internet et non par l'entremise de concessionnaires. Ses magasins servent surtout à mettre ses modèles en vitrine et à inviter les clients à un essai routier. Ses points de vente ressemblent d'ailleurs plus à une boutique Apple qu'à un concessionnaire Ford. Tesla s'installe volontiers dans des centres commerciaux de haut de gamme. Dans la Ville-reine, le fabricant automobile s'est installé dans le mail Yorkdale, dans un local de 2500 pieds carrés faisant face aux boutiques Apple et Microsoft. Il a aussi pignon sur la très recherchée rue Robson à Vancouver. À Montréal, la société a choisi de se rapprocher des quartiers cossus de Mont-Royal, Hampstead, Côte-Saint-Luc, Outremont, Notre-Dame-de-Grâce et Westmount. Tesla n'est d'ailleurs pas le seul vendeur d'autos de luxe du quartier. De bord et d'autre de l'autoroute Décarie à cette hauteur, l'automobiliste en moyen peut choisir entre Mercedes, Jaguar et Rolls-Royce. Depuis la fin de 2012, Tesla exploite temporairement un modeste centre de services sur le boulevard des Laurentides, à Laval, où il est possible d'effectuer des essais routiers sur rendez-vous. Nous n'avons pas pu parler directement au représentant Tesla, Renaud-Pierre Bérubé. Son adjointe a confirmé que les clients qui passaient une commande devaient attendre trois mois avant de prendre livraison de l'objet de leurs désirs. Elle a dit que le magasin montréalais n'ouvrira pas ses portes avant 2015. http://affaires.lapresse.ca/economie/automobile/201408/15/01-4791912-tesla-frappe-un-grand-coup-a-montreal.php
×
×
  • Créer...