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WestAust

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Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. Si c'est comme celles que j'ai essayees en Allemagne, tu commandes et paie a la borne et ramasse ta commande au comptoir ensuite. Sent from my iPad using Tapatalk HD
  2. Pour une entreprise avec un budget de 1.4milliards, un poste equivalent au DG aurait un package d'au moins 1million par année avec les bonus/options.
  3. WestAust

    Saputo : actualités

    Mexico's Grupo Bimbo to buy Saputo's Canadian bakery (Reuters) - Mexico's Grupo Bimbo SAB de CV (BIMBOA.MX), the world's No. 1 breadmaker, has agreed to buy the bakery division of Saputo Inc (SAP.TO) in its second Canadian purchase this year. Bimbo subsidiary Canada Bread Company Ltd will pay C$120 million ($103.38 million) for Montreal-based Saputo's bakery, subject to conditions, including the approval of Canada's Competition Bureau, Saputo said on Thursday. The business includes one manufacturing facility in the Canadian province of Quebec, where it mostly makes snack cakes. Saputo's main business is dairy. In February, Grupo Bimbo agreed to buy Canada Bread from Maple Leaf Foods (MFI.TO) for C$1.83 billion. The other dominant Canadian baker is George Weston Ltd (WN.TO), parent of the Loblaw Cos Ltd (L.TO) grocery chain. Bimbo said it expects its new acquisition to generate annual sales of more than C$130 million ($111.87 million) and that it expects to close the deal by the first quarter of 2015. The division earned C$139 million in revenue in fiscal 2014, representing less than 2 percent of Saputo's consolidated revenues. Saputo said it is the largest maker of snack cakes in Canada, and also has modest sales in the United States. Its snack cake brands include Jos Louis and Passion Flakie. Canada's Competition Bureau conducts reviews confidentially and cannot confirm whether it will examine the Saputo deal, spokeswoman Melanie Beauchesne said. The bureau generally must receive advance notice of proposed transactions when assets in Canada, or revenues of the target firm generated in Canada, exceed C$82 million, she said. Saputo shares eased 7 Canadian cents or 0.2 percent to C$32.60 in early trading in Toronto. Grupo Bimbo stock gained 2.5 percent in Mexico City. (Editing by Jeffrey Benkoe and W Simon) http://www.reuters.com/article/2014/12/18/us-saputo-grupo-bimbo-idUSKBN0JW1TF20141218
  4. Canada's Couche-Tard to buy Pantry for $861 million to expand in U.S (Reuters) - Canadian convenience store operator Alimentation Couche-Tard Inc (ATDb.TO) will buy smaller U.S. rival Pantry Inc (PTRY.O) for about $861 million to boost its presence in the southeastern and Gulf Coast regions of the United States. Pantry, which operates the Kangaroo Express chain of stores, has about 1,518 outlets across the United States. More than half of these stores are in the southeastern region. Couche-Tard had a network of about 6,300 stores in North America as of Oct. 12. The company operates most of its U.S. stores under the Circle K banner. Couche-Tard has offered $36.75 per share for Pantry, which represents a premium of 3.5 percent to the stock's Wednesday close. Including debt, the deal is valued at $1.7 billion. Pantry shares rose 2.6 percent to $36.40 in premarket trading. The stock jumped 23 percent on Wednesday after the Wall Street Journal reported that the company was nearing a deal to sell itself through an auction. Couche-Tard will fund the deal, expected to close in the first half of 2015, through cash on hand, existing credit facilities and a new term loan. Pantry's revenue fell 3.5 percent to $7.5 billion in the year ended Sept. 25, mainly due to a fall in fuel sales, which account for three-quarters of total revenue. The Cary, North Carolina-based company also runs quick service restaurants at its stores. Faegre Baker Daniels LLP was Couche-Tard's legal adviser, while Willkie Farr & Gallagher LLP and Smith Anderson advised Pantry. BofA Merrill Lynch was Pantry's financial adviser. (Reporting by Devika Krishna Kumar in Bengaluru; Editing by Kirti Pandey) http://www.reuters.com/article/2014/12/18/us-the-pantry-m-a-alimentation-c-t-idUSKBN0JW1D620141218
  5. Pas d’austérité chez Hydro-Québec Pendant que le gouvernement Couillard propose un gel salarial à ses 540 000 fonctionnaires pour les deux prochaines années, les employés d’Hydro-Québec verront leurs chèques de paie bondir de 7,2 %. Dès le 1er janvier, les salaires de 15 000 travailleurs d’Hydro-Québec seront notamment bonifiés de 4,2 %. En 2016, c’est une hausse de 3 % qui attend les employés de la société d’État. En tout, au cours des quatre prochaines années, les salaires des employés d’Hydro-Québec progresseront de 12,45 %. Ces impressionnantes hausses ont été consenties lors du renouvellement de la dernière convention collective ratifiée il y a un an, en décembre 2013, avec sept des huit syndicats de la société d’État. Pour justifier de telles hausses, Hydro-Québec dit avoir mis fin au controversé régime annuel de primes à la performance offert à ses employés depuis une dizaine d’années. Ce régime de primes était décrié parce qu’Hydro-Québec détient le monopole de la vente d’électricité au Québec et que les objectifs de ce régime étaient trop faciles à réaliser. En 2013 (pour l’année 2012), ce régime a distribué 88 millions $ aux travailleurs d’Hydro-Québec. Pour compenser la fin de ces généreux bonis, la société d’État a toutefois décidé d’ajuster les échelles salariales de ses travailleurs syndiqués à compter du 1er janvier 2015. Prime de 84 M$ Pour l’année 2014 qui se termine, Hydro-Québec dit avoir «gelé» les salaires de ses travailleurs et ne versera pas la fameuse prime au rendement. Or, les travailleurs d’Hydro-Québec ont touché en avril 2014 (pour la dernière fois) la prime dite de rémunération incitative pour la performance financière de la société d’État réalisée en 2013, a appris Le Journal. Cette prime de 84 millions $ équivaut à tout près de 4000 $ par employé ou jusqu’à 4,5 % de leur salaire annuel, soit 1,5 % lorsque les objectifs financiers sont atteints et jusqu’à 3 % en se fondant sur les indicateurs de rendement de l’entreprise. Hydro-Québec persiste à dire que ses travailleurs syndiqués subiront néanmoins un «gel de rémunération» l’an prochain. «Pour 2015, une portion de la rémunération incitative a effectivement été intégrée aux échelles salariales, d’où l’augmentation de 4,2 %», a indiqué hier un porte-parole d’Hydro-Québec, Patrice Lavoie. Les cadres aussi Les travailleurs non syndiqués d’Hydro-Québec ne sont pas en reste. Eux qui ont vu leurs salaires progresser de 1,75 % en 2014, auront droit à une hausse de 2 % en 2015. http://www.journaldemontreal.com/2014/12/17/pas-dausterite-chez-hydro-quebec
  6. Échangeur Turcot : le consortium KPH-Turcot est choisi Le consortium KPH-Turcot, formé par Construction Kiewit et Parsons du Canada, a remporté l'appel de propositions pour la reconstruction de l'échangeur Turcot, a annoncé jeudi en point de presse le ministre des Transports, Robert Poëti. Les travaux sont prévus dès le printemps et devront prendre fin en 2020. Le ministre a assuré que le budget de 3,7 milliards de dollars sera respecté, mais n'a pas voulu dévoiler le coût des travaux. Il a promis de rendre public le contrat lorsqu'il sera signé en février prochain. L'Unité permanente anticorruption (UPAC) travaillera en outre étroitement avec le ministère pour ces travaux. « Vous allez voir beaucoup de jackets de l'UPAC sur les lieux » du chantier, a indiqué le commissaire Robert Lafrenière, également présent au point de presse. Les firmes choisies Kiewit et Parsons, toutes deux canadiennes, ont également réalisé la conception et la construction du pont et de l'autoroute 25 (A25). Elles auront cette fois le mandat de reconstruire les échangeurs Turcot, de La Vérendrye, Angrignon et Montréal-Ouest, ainsi que des tronçons des autoroutes 15, 20 et Ville-Marie. Deux autres groupes, qui ont obtenu l'aval de l'Autorité des marchés financiers (AMF), se disputaient également le projet : Groupement Nouvel Échangeur Turcot : Dragados Canada inc., Groupe AECON Québec Ltée, Pomerleau inc. et Verreault Inc. ainsi que Dessau inc., Hatch Mott MacDonald Ltd et Roche Ltée, Groupe-conseil. Groupe Futur Turcot : SNC-Lavalin Construction inc. et Walsh Construction Canada. Participants : André Major, architecte, CIMA+ s.e.n.c., EBC Inc., Excavation René St-Pierre inc., division Démolition, Groupe IBI/DAA inc., Janssen & Spaans Engineering inc., Louisbourg SBC s.e.c., SNC-Lavalin inc., division Routes et Ponts Montréal et T.Y. Lin International. Rappelons que le groupe Partenariat Renouvellement Turcot n'est plus dans la course depuis le retrait de ses membres Dexter Québec et FCC Canada Inc. Pour sa part, Consortium Nouvel Échangeur Turcot a été disqualifié, « parce qu'il ne répondait pas aux critères de conformité du processus d'appel de propositions ». http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/16/004-echangeur-turcot-annonce-consortium-jeudi-poeti-ministre-tranports.shtml
  7. Vu du Square Dorchester
  8. Vu d'en haut - 16 décembre
  9. Il faut le souligner quand des compagnies d'ici font des acquisitions à l'étranger, comme quoi tout ne va pas d'un seul bord! Boralex boosts France operations with proposed takeover Montreal-based renewable energy producer Boralex Inc. has sharply boosted its presence in France with a $400-million proposed takeover of wind power company Enel Green Power France. The acquisition of the Enel wind portfolio will boost the generating capacity of Boralex’s existing operations by about 25 per cent, with the addition of 12 operating wind farms generating about 186 megawatts of power. Currently, Boralex has wind farms, solar projects, hydroelectric and thermal operations in France, Canada and the United States, that have a total capacity of about 754 MW. The company said this deal will make it the biggest independent wind power producer in France. Adding a large proportion to the French porfolio is a “truly company-transforming move,” said Boralex chief executive officer Patrick Lemaire. Currently, France makes up about 37 per cent of the Boralex portfolio, but that will expand to almost half after this transaction closes in January. Mr. Lemaire said in an interview that growth in the renewable sector is “clearer” in Europe than in North America, at the moment. Changes in Ontario’s renewable energy procurement program that make it less attractive, and limits to Quebec’s plans to acquire clean energy, have made those two core Canadian markets less attractive, he said. “France still has nice objectives,” he said. Boralex is also less interested in expanding in the United States, Mr. Lemaire said, because most jurisdictions there operate with a spot market for electricity, and thus there are fewer long-term contracts that secure a power price over the long term. The wind farms being purchased in this deal have long-term contracts in place averaging about 11 years. Privately owned Enel also has a pipeline of about 310 MW of new wind projects that are not yet built, and that will add further to the Boralex total in the next few years, Mr. Lemaire said. “Our main goals are to operate what we have acquired in the past, build new projects … and add growth for the next few years.” Boralex will finance the Enel purchase through bank loans, an existing revolving credit facility, and a bridge credit facility. It will also sell about $110-million in subscription receipts through a bought-deal transaction arranged by National Bank Financial. http://www.theglobeandmail.com/report-on-business/industry-news/energy-and-resources/boralex-boosts-france-operations-with-proposed-takeover/article22095267/
  10. Il y a maintenant une grosse bannière sur l'arrière de l'édifice qui indique la vente des unités de la tour 2, donc un incitatif public pour les gens de se renseigner
  11. Suite à la décision du précédent gouvernement péquiste de ne pas permettre l'extraction d'uranium, une compagnie poursuit le gouvernement http://www.stratecoinc.com/data/pdf/Communiques2014/RSC_Requete2014-12-11.pdf
  12. J'abonde dans le sens que nous ne devons pas en faire une installation permanente pour plusieurs raisons, de 1 ce n'est pas le lieu de la tragédie, de 2, ca serait minimiser d'autres événements de ce genre (moins tragiques en nombre j'en convient) tel que Dawson ou Concordia. Par contre le faire annuellement le 6 décembre, aucun problème avec cela!
  13. Il y a au moins une garderie dans griffintown, la garderie bonne aventure. Pour ce qui est de l'absence de service, c'est le cas typique de l'oeuf ou la poule, qui viens en premier les residents ou les services. A part tout ce qui est gouvernemental qui pourrait etre la avant les residents, tout ce qui est commercial ne viendra pas s'etablir avant les residents et avoir des annnes de misere. Ca fait penser a la premiere batch de restaurant sur notre dame qui attendaient griffintown, plusieurs on ferme et/ou change de proprio par le temps qu'une masse critique de gens commencent a s'installer Sent from my iPad using Tapatalk HD
  14. La dette? Bof… L’important est de RÊVER le pays! RICHARD MARTINEAU - 4 DÉCEMBRE 2014 En regardant les manifestants protester contre les « politiques d’austérité » du gouvernement Couillard, l’autre jour, j’ai pensé à l’entrevue que Lucien Bouchard m’a accordée aux Francs-Tireurs en septembre 2012, au lendemain de la crise étudiante. « Ce n’est pas parce que tu marches dans la rue que tu as nécessairement raison, m’a dit l’ex-premier ministre. Ceux qui ne marchent pas ont peut-être des besoins beaucoup plus criants que les tiens. « Moi, quand je parlais en public et que des gens manifestaient, je pensais toujours aux millions de personnes qui elles, ne manifestaient pas. Je les imaginais derrière la foule qui clamait des slogans. C’est à ces gens que je parlais, c’est à eux que je pensais. « Je me disais : si tu dis oui aux manifestants, ce sont ces millions de personnes qui vont payer… » 11 MILLIARDS C’est bien beau, marcher contre l’austérité. Mais que proposez-vous pour les générations futures ? Que l’on continue de creuser la dette et de pelleter dans leur cour ? Chaque année, 11 milliards de dollars vont dans le paiement des intérêts de la dette du Québec. Pas le paiement de la dette : le paiement des INTÉRÊTS de la dette. Ce sont 11 milliards de dollars qui ne sont pas investis en santé, en éducation, en culture… Ça ne vous fait pas un pli sur la bedaine ? Ça ne vous empêche pas de dormir la nuit ? On devrait continuer de donner des cadeaux à tout le monde, de se payer des programmes sociaux chromés que même les provinces riches ne peuvent se payer ? Ben coudonc. Vous avez une drôle de conception de la solidarité. Et ce sont les gens qui veulent dégraisser l’État qui passent pour des égoïstes et des sans-cœur ? C’est le monde à l’envers… MA GANG DE MALADES Vous avez vu qui était le porte-parole de la manif anti-austérité ? Le chanteur Daniel Boucher. C’est un excellent choix. Je ne sais pas ce que vous en pensez, mais moi, quand on me parle de dette, de finances publiques et de macro-économie, ce n’est pas à l’économiste Pierre Fortin ou au fiscaliste Luc Godbout que je pense, c’est à Daniel Boucher. C’est le premier nom qui me vient en tête. Je me demande toujours : « Mais qu’est-ce que Daniel Boucher en pense ? » Tiens, en passant… Une de mes amies est recherchiste dans une émission d’affaires publiques. L’animateur voulait interviewer Daniel Boucher pour lui parler de la manif, de la politique d’austérité, etc. Mais le chanteur a refusé. Vous savez pourquoi ? « Il n’est pas à l’aise et ne connaît pas suffisamment le dossier », a répondu la responsable des communications de la FTQ à mon amie. Génial, non ? Et après ça, il fait un vidéo où il dénonce les compressions du méchant gouvernement libéral. On vit dans un cartoon, les amis. DES GENS DE PAROLE Le choix de Daniel Boucher pour être porte-parole d’une manif qui critique des politiques ÉCONOMIQUES n’est pas anodin. Au Québec, ce qui compte, c’est la culture. Les chiffres, la dette, tout ça, on s’en balance… Ce sont des concepts triviaux, abstraits, sans grande importance. L’important est de rêver le pays. http://blogues.journaldemontreal.com/martineau/franc-parler/la-dette-bof-limportant-est-de-rever-le-pays/
  15. They have an office at The Bay on Ste-Catherine (probably since they took over their credit cards) maybe another one somewhere, but can't find an address. This would seem like an expansion of their montreal operations
  16. De la part des mêmes groupes qui se veulent anti-austérité mais pro environnement, ils ont brulé a peu près la pire affaire pour l'environnement, des pneus jeudi dernier devant l'UQAM! Belle contradiction dans ce geste stupide! Perturbations contre l'austérité Pneus brûlés au centre-ville Des pneus ont été brûlés sur la rue Saint-Denis, à Montréal, près de l'angle Ste-Catherine vers 16h jeudi. Une action d'éclat commise par un petit groupe d'individus. Jeudi a été déclaré journée de grève à l'UQAM pour manifester contre l'austérité. Une courte démonstration à l'extérieur du bâtioment Judith-Jasmin a eu lieu, et à 16h30, le calme était revenu. Sur la page Facebook de l'événement, l'appel était lancé pour prendre des actions directes et de perturbation pour attirer l'attention du gouvernement. Le Service de Police de Montréal confirme qu'il n'y a eu aucune arrestation. http://tvanouvelles.ca/lcn/montopo/video/archives/2014/11/20141127-162505.html
  17. Nouveau plan d’affaires pour le Cirque du Soleil Les temps ont déjà été plus reluisants pour le Cirque du Soleil. Dans le but d’assurer la pérennité de l’entreprise, le fondateur Guy Laliberté entrevoit diversifier ses activités et vendre plusieurs de ses parts à d’autres investisseurs. En entrevue au Wall Street Journal, Guy Laliberté a lâché le morceau. Depuis quelques jours, il s’affaire à chercher des investisseurs pour acheter une portion significative du Cirque du Soleil. Lui qui possède 90% des parts de l’entreprise, Laliberté souhaiterait vendre de 20 à 30% de sa compagnie à des investisseurs extérieurs. Ce n’est pas la première fois que le fondateur du Cirque souhaite se départir d’une partie de son entreprise. En 2008, il avait vendu 20% de la compagnie, pour 540 millions, à des investisseurs de Dubai. L’opération n’avait toutefois pas été concluante et cinq ans plus tard, Laliberté avait racheté une portion des parts de Dubai. Valeur à la baisse Avec cette récente transaction, le WSJ a observé que la valeur du Cirque avait diminué de 20%, en cinq ans, passant de 2,7 milliards à 2,2 milliards. Les revenus de la compagnie ont été d’un milliard en 2012. L’an dernier, ils s’élevaient à 850 millions. Pour contrer la dégringolade, Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, a mentionné au WSJ que l’entreprise allait davantage diversifier ses activités, mettant moins l’emphase sur les revenus générés par les spectacles. Actuellement, 85% des revenus engendrés par le Cirque proviennent de l’un de ses 19 spectacles actifs. D’ici cinq à dix ans, l’entreprise espère plutôt diminuer le tout à 60%. Marché saturé À force de créer autant de productions, le Cirque a atteint un point de saturation dans le marché, qui ne l’aide pas auprès du public. «Le problème, c’est que la population ne comprenait pas la différence entre les différents spectacles du Cirque, écrit la journaliste Alexandra Berzon. Plusieurs personnes manquaient l’occasion d’aller voir, par exemple, le spectacle Totem, pensant qu’elles avaient déjà vu quelque chose de semblable avec Varekai.» L’effet de rareté, qui était présent lors des premières années du Cirque du Soleil, n’est plus là aujourd’hui. Voilà pourquoi l’entreprise, qui a récemment fêté son 30e anniversaire, se tourne vers de nouveaux horizons, pour les prochaines années. Parmi les nouveautés, on retrouve un nouveau bureau de production installé à New York, ainsi qu’une boîte spécialisée en événementiel, 45 Degrés. Le WSJ indique que l’activité financière qui génère la plus grande croissance actuelle pour le Cirque n’est pas un spectacle, mais plutôt une entente de service de billetterie avec la compagnie AEG. Nouveau poumon Rencontré par Le Journal de Montréal, au Mexique, à l’occasion de la première de Joyà, Daniel Lamarre s’est montré très optimiste par rapport à ce nouveau concept de souper-spectacle dans le Sud. «Je peux m’imaginer en avoir cinq à dix comme ça à travers le monde, c’est très réaliste.» Même constat à propos du parc thématique qui ouvrira en 2018 à Nuevo Vallarta. «Si j’en ai trois ou quatre dans le monde, l’entreprise qui s’appelle le Cirque du Soleil vient de changer, dit Daniel Lamarre. Je viens de me donner un nouveau poumon pour amener de l’oxygène à l’organisation.» http://www.journaldemontreal.com/2014/12/02/nouveau-plan-daffaires-pour-le-cirque-du-soleil
  18. LA DIÈTE ANDRÉ PRATTE LA PRESSE Samedi, des dizaines de milliers de personnes ont manifesté pour dénoncer les politiques d’« austérité » mises en place par le gouvernement Couillard. Si l’on en croit les opposants à l’approche du gouvernement, les libéraux sont à « détruire l’État social au Québec » (Jacques Létourneau, président de la CSN). Christian Nadeau, professeur de philosophie à l’Université de Montréal, dénonce « l’abandon des plus démunis, les hiérarchies artificielles, la destruction de la culture et de l’éducation, le machisme institutionnel, la mise sous tutelle de la démocratie et la corruption ». On peut être pour ou contre le choix du gouvernement d’effacer le déficit budgétaire dès l’an prochain. Chaque camp est en mesure d’avancer des arguments valables. Cependant, il serait préférable que tous se basent sur les faits, pas sur des caricatures apocalyptiques. Le gouvernement Couillard ne prévoit pas réduire les dépenses de l’État ; il souhaite en freiner l’augmentation pour une période de deux ans. Ce n’est pas de l’austérité, mais de la sobriété. Les deux plus gros postes budgétaires du gouvernement du Québec, la santé (+ 3 %) et l’éducation (+ 1,2 %), poursuivent leur croissance cette année. C’est également le cas du budget du ministère de la Famille (+ 3 %). Il est vrai que les « coûts de système » augmentent davantage ; il faudra donc faire des choix douloureux. Lorsque Jean Charest était devenu premier ministre, en 2003, on avait aussi sonné le glas de l’État providence. Or, que reste-t-il de l’État québécois après une décennie de « réingénierie » ? Entre 2002-2003 et 2013-2014, les dépenses de programmes du gouvernement ont augmenté de 54 %, deux fois plus que l’inflation. Aujourd’hui, Québec dépense 7911 $ par habitant, 2289 $ de plus qu’il y a 10 ans. Les effectifs de la fonction publique ont diminué, mais on est loin de l’hécatombe : de 66 913, on est passé à 65 329 fonctionnaires, une baisse de 2,4 %*. Par contre, les effectifs des réseaux de la santé et de l’éducation sont plus importants qu’ils ne l’étaient. Par exemple, le Québec compte 800 médecins omnipraticiens et 1400 spécialistes de plus qu’en 2003. Les commissions scolaires et les cégeps emploient 8600 personnes* de plus qu’il y a 10 ans. Autrement dit, malgré les efforts de contrôle des dépenses et des effectifs faits par le gouvernement du Québec, le secteur public occupe une place aussi importante aujourd’hui qu’hier. Faut-il rétablir d’urgence l’équilibre entre les revenus et les dépenses, comme le pensent les libéraux ? Si Québec enregistre un déficit année après année, sa dette va continuer de s’alourdir. Est-ce grave ? Tenons le débat. Toutefois, la discussion serait plus sereine si on cessait de prétendre que la survie même du modèle québécois est en jeu. Rappelons que selon le plan budgétaire présenté en juin dernier, au cours des quatre prochaines années, les dépenses du gouvernement du Québec augmenteront de 6 milliards. Comme quoi se serrer la ceinture, ce n’est pas du tout la même chose que mourir de faim. *En équivalents temps complet. http://plus.lapresse.ca/screens/f6bfeb86-5136-43ce-b4af-db4b4b534339%7C_0.html
  19. L’AUSTÉRITÉ, D’HYPERBOLE EN HYSTÉRIE On est loin, au Québec, des mesures imposées à la Grèce et à l’Espagne par la Banque européenne MARC SIMARD ENSEIGNANT, CÉGEP GARNEAU, QUÉBEC Un observateur qui a suivi l’actualité politique au Québec depuis les quelque 90 derniers jours pourrait en arriver à des conclusions inquiétantes. Par exemple : le taux de natalité va s’effondrer parce que les femmes vont désormais refuser de faire des enfants à cause de la hausse des tarifs dans les garderies, et les avancées de plus d’un siècle de féminisme seront jetées bas ; les écoles seront privées de transport scolaire et de services pédagogiques, particulièrement dans les régions, parce que les commissions scolaires seront fusionnées, et l’ignorance redeviendra le lot de la majorité. De plus, les retraités des municipalités seront réduits à la misère parce qu’on leur aura imposé de contribuer au renflouement de leurs caisses de retraite ; l’agriculture s’effondrera et la sécurité alimentaire des Québécois sera compromise parce qu’on aura forcé les agriculteurs à payer pour leur assurance-récolte ; les aînés mourront dans leurs résidences parce qu’ils n’auront pas les moyens de défrayer le coût du transport par ambulance ; et la fonction publique se délitera parce qu’on aura sabré sauvagement ses effectifs. Le lexique des adversaires de la soi-disant « austérité » ne fait pas dans la dentelle : « saccage », « massacre à la tronçonneuse », « destruction massive », « pillage », « carnage », « démantèlement », « démolition », « sabordage », « vandalisme », « trahison » et « dévastation » ne sont que quelques échantillons de cette prose exaltée. Non seulement ce concert d’opposants est-il outrancier, mais il sonne faux, car les faits ne permettent tout simplement pas ces interprétations hyperboliques. Ainsi, la nouvelle tarification dans les garderies épargne 30 % des ménages, tandis que 60 % continueront de payer moins de 9 $ par jour et que le maximum journalier est fixé à 20 $. Les commissions scolaires ne seront pas abolies, mais fusionnées, ce qui est peut-être un mauvais calcul, mais pas un sabordage. Les agriculteurs seront simplement forcés de faire comme les autres membres et groupes de la société. Les aînés bénéficiaires du supplément de revenu garanti continueront de ne pas payer pour les transports ambulanciers. Et la fonction publique ne sera amputée que de 2 % de ses effectifs, soit moins d’un fonctionnaire sur 50. En montant absolu, le budget Leitao (2014-2015) prévoit des compressions globales de 2,7 milliards sur des dépenses de 74 milliards, ce qui équivaut à 3,6 % de coupes. Parler de saccage est outrancier. UN MÉNAGE NÉCESSAIRE La gauche et ses alliés circonstanciels se mobilisent pour combattre l’« austérité ». Pourtant, nulle mission fondamentale de l’État n’a été remise en question et aucun groupe social n’a été sacrifié sur son autel. Rarement aura-t-on vu austérité aussi amène. On est loin des mesures imposées à la Grèce et à l’Espagne par la Banque européenne ou à certains pays du Tiers Monde par le FMI, ce qui nous arrivera fatalement si on ne procède pas à un ménage raisonné dès maintenant. On reproche au gouvernement sa mauvaise stratégie de communication. Peut-être cela est-il vrai. Il n’en reste pas moins que dès qu’un ministre ouvre la bouche, il est enterré par les hurlements d’une meute d’apparatchiks relayés dans les médias et par le crépitement des claviers qui déversent du fiel sur les réseaux sociaux. En fait, les adversaires de l’« austérité » souffrent d’une myopie débilitante : ils dénoncent avec emphase les effets estimés des coupures, mais refusent de voir les conséquences encore plus graves du statu quo qu’ils préconisent. Leur discours relève d’un égoïsme social et générationnel inqualifiable maquillé en progressisme. Pire, ils n’ont aucun plan de rechange autre que d’aller à nouveau piger dans les poches des contribuables. Leurs « 10 milliards $ de solutions » ne sont qu’une chimère. Comme le disait une pub célèbre : « Si ça existait, on l’aurait ! » http://plus.lapresse.ca/screens/61b765fc-68a1-4870-ac33-b7c42f1257e6%7C_0.html
  20. Ils ont tellement dépassé les budgets, que pour donner une impression de controle des dépenses, ils ont sabré dans la construction de stationnements incitatifs pour sauver quelques millions.
  21. La brique jaune je comprend pas, la rouge c'est pas si mal, quand on arrive par Bonaventure, cet immeuble est pas si pire, brique rouge et grise, aucune vue du jaune affreux! Ils auraient du faire tout en rouge et gris!
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