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ChrisDVD

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Tout ce qui a été posté par ChrisDVD

  1. Et anyway, c'est pas Couillard qui voulait investir 15 MM $ d'additionnel sur 10 ans en infrastructure? Évidemment, c'Est 15 MM de plus sur la dette (merci à la droite qui contrôle les dépenses), mais les libéraux préfère construire des autoroutes. http://ici.radio-canada.ca/sujet/elections-quebec-2014/2014/03/19/006-couillard-infrastructures-quebec.shtml
  2. C'est sur que si on vote pour des Tremblay et des Tremblay 2.0, rien ne changera! En ce moment il y a un parti municipal qui sait gérer un budget. Mais on les snobs.
  3. Je préfère faire confiance à un gars qui a une maîtrise en urbanisme et un doc en Aménagement Régional (R. Bergeron) qu'à des politiciens comme Marcel Côté (RIP) ou Marvin Rotrand.
  4. Hugh Jackman laments having to diet while filming ‘X-Men: Days of Future Past’ in Montreal You might think Wolverine would be able to eat whatever he wants, but apparently that's not so. In a new interview with ET Canada, Hugh Jackman confessed that filming "X-Men: Days of Future Past" in Montreal was a nightmare because of the dietary restrictions he had to follow for the role. "This is the only place I can actually have this gripe," Jackman said. "No one understands what it’s like to be in what is arguably the food capital of the world and literally not eat anything. I can’t tell you how many restaurants I went to with the director, the writer and the other actors and I would literally be passing food out to them, you know, and just eating steamed chicken." Back in 2009, Jackman's personal trainer Mike Ryan revealed the meal plan he used to get the actor in shape for "X-Men Origins: Wolverine." "Always get your protein from natural, unprocessed sources where possible," Ryan told Men's Fitness. "Eat six small meals a day rather than three large ones. Drink mainly water. Avoid all processed foods, and that includes anything that says '99 per cent fat-free' or similar.’" That means Jackman had to skip the foie gras and poutine at his preferred Canadian restaurant, Au Pied de Cochon. "It’s one of my favorite restaurants," he told Canadiens Magazine earlier this year. "I actually count the dinner I had there once as the greatest dinner I’ve ever had. We started at 7 p.m. and we left at four in the morning. I guess it was a little more than a dinner." The actor also stopped by the Montreal pie shop Ta pies et supérette during filming in 2013, though something tells us he didn't eat much while he was there. During re-shoots, however, Jackman did return to Quebec with his diet lifted. And, as he told ET Canada, "Man, did I eat." https://ca.celebrity.yahoo.com/blogs/celebrity-news/hugh-jackman-laments-having-diet-while-filming-x-155821361.html
  5. Bravo à M. Dolan! Xavier Dolan, coup de coeur du 67e Festival de Cannes Cannes — Non, il n'y a pas que la Palme au palmarès. C'est un honneur important qu'a remporté Xavier Dolan avec le Prix du jury samedi soir (heure locale) pour son cinquième long métrage Mommy, qui fut l'immense coup de cœur de ce festival. Un laurier récolté ex aequo avec Godard pour Adieu au langage, l'aîné et le cadet des cinéastes en compétition logés à la même enseigne. La présidente du jury Jane Campion a dit aux médias avoir aimé beaucoup Mommy : «film merveilleux d'un brillant jeune cinéaste. Chez lui comme chez Godard, on sentait la passion et la liberté.» La cérémonie du palmarès s'est déroulée in abstentia de Godard, bien entendu. «Ce prix ne devrait pas révolutionner sa vie», a souligné, lucide, son producteur Alain Sarde, ajoutant : «Xavier Dolan 25 ans, Jean-Luc, 83, c'est magnifique!» Au moment de recevoir son laurier au grand amphithéâtre Lumière, Xavier Dolan ému, la voix brisée, a remercié Jane Campion dont La Leçon de piano l'avait jadis ébloui. Il a encouragé sa génération à croire à ses rêves. «Je pense que tout est possible à qui rêve, ose et travaille.» L'étreinte de Jane Campion à Xavier Dolan venait du fond du cœur. Plus tard, le jeune cinéaste québécois a commenté devant nous cette association avec Godard : «Je reconnais le gouffre de temps qui nous sépare. Nos recherches respectives de liberté au cinéma se sont faites à des époques différentes. En son temps, il a tenté de réinventer le cinéma. J'aime avoir l'impression que le cinéma prend un virage et que j'y participe. Le cinéma s'exprime à travers toutes les générations. Je viens du Québec. Toute mon enfance j'ai entendu : “Redescends sur terre! Pour qui tu te prends?” Je venais d'un endroit plutôt grand où les gens rêvaient petit. Les gens de ma génération ont une plus grande propension à rêver.» Il avait fantasmé sur la Palme, que tant de voix lui prédisaient. «On avait rêvé à tout. Il faut voir grand, rêver grand. Ce Prix du jury, nous dit que ses membres ont reconnu ce film, voulu le célébrer. Cette récompense me flatte de matière incompatible avec la mesure de mes rêves. On a un prix formidable que l'on ramène avec une grande fierté.» La Palme d'or à un grand film Le Turc Nuri Bilge Ceylan, plusieurs fois primé à Cannes, était un des favoris de la Palme d'or, qu'il a remporté pour son remarquable Winter Sleep — en plus du laurier de la critique internationale (Fipresci) — œuvre pleine de maturité et de maîtrise, très dialoguée, en quête de vérité profonde, son meilleur film. Il a souligné que cette année était la centième de l'histoire du cinéma turc, pays qui récolte sa première palme. Jane Campion a jugé le film brillamment tchékhovien, sophistiqué, avouant qu'elle craignait d'abord sa durée : 3 h 15, mais en aurait ensuite bien pris deux de plus. «Il durait 4 h 30 au début du montage», avouait le cinéaste aux journalistes. Nuri Bilge Ceylan déclare s'intéresser à la part sombre de son âme, donc de la nature humaine. La jeune cinéaste italienne Alice Rohrwacher, dont le film tendre, fragile et poétique Les Merveilles avait été reçu tièdement, prend sa revanche, surclassée pour ainsi dire, en recevant le Grand Prix du jury. C'est la note incongrue d'un palmarès par ailleurs équilibré. L'Américain Bennett Miller, avec un laurier de la mise en scène pour son Foxcatcher, a de quoi soupirer de soulagement. Le tournage de l'adaptation d'un fait divers tragique, en présence de plusieurs protagonistes de l'époque, avait été éprouvant et Miller avoua qu'il n'aurait jamais pu faire le film sans ses trois grands acteurs. Le Russe Andrey Zvyagintsev a récolté le prix du scénario pour le beau, tragique et ironique Leviathan, brillamment mis en scène, une satire du régime russe, de ses abus et de ses corruptions. «Plus biblique de politique», estime pour sa part Jane Campion. Certains souhaitaient une troisième palme aux belges frères Dardenne pour Deux jours, une nuit, donnant la vedette à Marion Cotillard. Pour la première fois en six sélections, les voici repartis, bredouille. Il est vrai que leur excellent cinéma social piétine. Timbuktu d'Abderrahmanse Sissako, pressenti haut au palmarès, n'a rien reçu non plus. Les prix d'interprétation étaient mérités. Julianne Moore, folle de charisme dans l'excellent Maps to the Stars du Torontois David Cronenberg, satire féroce d'Hollywood, n'était pas à Cannes pour récolter son laurier. Timothy Spall, acteur britannique d'immense talent, récolte enfin la reconnaissance internationale .Le voici primé pour son extraordinaire performance du peintre paysagiste J.M.W. Turner (Angleterre du XIXe siècle) dans le film éblouissant de Mike Leigh Mr. Turner. Confus à l'heure de remercier le jury, empêtré dans son cellulaire et son incohérence, l'émotion, lui coupait le souffle. Le truculent et vibrant Party Girl de Marie Amachoukeli, Claire Burger et Samuel Theis a remporté la Caméra d'or du meilleur premier long métrage, avec l'histoire vraie d'une femme de province, kitsch, entraîneuse de cabaret, allergique à la vie ordinaire. Son fils est un des cinéastes. Party Girl avait remporté la veille le prix d'ensemble d'Un certain regard. Un autre premier long métrage, Les Conbattants du Français Thomas Cailley s'est fait remarqué : trois prix à la Quinzaine des réalisateurs en plus du laurier de la FIPRESCI hors compétition. Les astres sont bien enlignés bien pour lui aussi. Mais c'est Xavier Dolan qui aura remporté lors de ces derniers jours enfiévrés, la palme du cœur. Et l'immense vitrine internationale offerte à son Mommy en multiples porte-voix des médias du monde se traduit aussi par une distribution à l'échelle planétaire. Près de 1,5 M$ de ventes, sont déjà assurées, un chiffre énorme. Entre autres marché, l'Allemagne l'a acquis samedi en prévision d'une sortie importante. Les États-Unis en négocient les droits. Avec un tel buzz et le prix du jury, le film commence à peine sa trajectoire. http://www.ledevoir.com/culture/cinema/409164/67e-festival-de-cannes-la-palme-d-or-a-nuri-bilge-ceylan-le-prix-du-jury-a-xavier-dolan
  6. Le projet de prolongement de la ligne bleu est-elle remise en cause?
  7. Il ne faut pas oublier les années 60... période avec très peu de réglementation. Les promoteurs fessaient ce qu'ils voulaient.... et on l'a regretter. (Destruction de l'héritage, quartier non-humain, architecture non-humaine....)
  8. Ce que je trouve étrange, c'est qu'on demande au prometteur de faire un projet, ensuite on l'étudie/critique avec une consultation, et ensuite on demande de faire un nouveau projet. Pourquoi ne pas faire une consultation avant de faire un projet? Comme ça le prometteur sait à quoi s'attendre et ce qu'il doit faire pour plaire à la ville/population. C'est plus simple non?
  9. Les 100 emplois de la Caisse et State Street vont avoir besoin d'espace.... Étant donné que le 900 est un projet de la Caisse, y-a t'il des chances qu'ils s'installent dans cet immeuble?
  10. Les trésors de Napoléon à la basilique Notre-Dame Du 16 mai au 1er septembre, les curieux pourront faire une incursion dans la vie de Napoléon Bonaparte en découvrant plus de 350 objets qui lui ont appartenu. Un texte de Valerie-Micaela BainTwitterCourriel Ces pièces provenant des collections privées du Français Pierre-Jean Chalençon et du sénateur Serge Joyal sont exposées à la crypte de la basilique Notre-Dame. Bien que plusieurs de ces items aient déjà été présentés ailleurs dans le monde, l'exposition montréalaise a été créée spécialement pour le public québécois. « Le Québec c'est tellement francophile. Napoléon n'y est jamais venu, mais il y a quand même beaucoup de ses hommes qui sont venus après la chute de l'empire et il y avait un sens culturel entre la France et le Québec. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur Des objets mythiques L'exposition comprend des objets mythiques comme son chapeau de feutre et son portrait équestre intitulé Bonaparte franchissant le Grand-Saint-Bernard, mais aussi des sculptures, des dessins, des gravures, de la porcelaine, du mobilier, des vêtements et des bijoux qui caractérisent le style Empire. « L'exposition que nous avons réalisée à basilique de Montréal, c'est une exposition flamboyante et glamour », explique Pierre-Jean Chalençon. Un personnage intemporel Le sénateur Serge Joyal croit que Napoléon Bonaparte continue de marquer l'imaginaire 193 ans après sa mort. « Le personnage de Napoléon est intemporel à toute fin pratique, il traverse les frontières. C'est plus qu'un général français, c'est un général universel. Napoléon est probablement le seul personnage universel qui a autant d'impact que ce soit dans la culture d'expression française ou que ce soit dans la culture britannique, ou même dans la culture américaine », explique Serge Joyal qui a aussi rédigé un essai sur l'empereur. Serge Joyal souligne que l'empereur a aussi laissé sa marque sur les Canadiens français. « Ceux-ci l'ont très tôt adopté comme modèle de bravoure, de résistance, de courage, capable de faire face à ses adversaires ». Une exposition en cinq temps La visite à travers les objets d'art s'effectue en cinq temps : Joséphine et le couronnement, Marie-Louise et le roi de Rome, Napoléon et sa famille, les arts dans la cour de Napoléon et Napoléon à l'île Sainte-Hélène. « On va très simplement apprendre que Napoléon était un passionné, un self-made man, un homme qui était comme les autres, c'était quelqu'un d'une grande simplicité. » — Pierre-Jean Chalençon, collectionneur http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/arts_et_spectacles/2014/05/15/006-exposition-napoleon-bonaparte-basilique-notre-dame-collection-chalencon-joyal.shtml
  11. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    C'est évident, les Desmarais sont heureux que les Libéraux ont gagné les élections. Mais je trouve ça un peu étrange qu'ils blâment la mauvaise réputation du Québec sur la commission Charbonneau et la crise étudiante.... pourtant, c'est bien l'ancien gouvernement Charest qui est responsable de ces deux évènements! Les Desmarais optimistes quant à la situation économique de la province Le résultat de la dernière élection est la preuve que le Québec a évacué la question référendaire, selon le codirigeant de Power Corporation, André Desmarais, qui se dit maintenant optimiste quant à la situation économique de la province. «Je crois que le fait que le Québec ait répondu "non" au référendum, parce que c'était vraiment, à mon avis, une élection référendaire, ça a envoyé un signal assez fort que les gens ont peut-être décidé que c'était terminé ces discussions», a dit M. Desmarais, jeudi. En marge de l'assemblée annuelle du conglomérat, M. Desmarais - fédéraliste avoué - a laissé entendre que le signal envoyé par les électeurs le 7 avril devrait rassurer les investisseurs. «Je pense que pour la première fois le Québec est sur une avenue qui lui permettra de croître, surtout s'il reste sur la route qu'il a décidé de prendre récemment», a-t-il expliqué aux journalistes en point de presse. Le codirigeant de Power Corporation (T.POW) a néanmoins prévenu que la partie était loin d'être gagnée et que le nouveau gouvernement libéral de Philippe Couillard aura fort à faire pour redorer le blason de la province dans le reste du Canada et dans le monde. «Si le gouvernement peut prendre les bonnes décisions (...) (pour) redorer une image ternie par les carrés rouges, la charte et la Commission Charbonneau, qui ont donné une mauvaise impression, a dit M. Desmarais. Il faudra que le gouvernement attire les investissements.» M. Desmarais a également prévenu que la situation économique de la province ne changera pas du jour au lendemain, affirmant que «détruire une réputation, ça se fait rapidement, mais (que) la (re)construire (prenait) du temps». Il est également inacceptable, selon lui, que le Québec, qui représente 23,8 % de la population canadienne, ne contribue qu'à seulement quelque 20 % du produit national brut. «Il n'y a pas de raisons, quand on regarde la créativité, l'intelligence et l'éducation que nous avons (...) (qu'on ne puisse) aller vers l'avenir économique qui peut nous permettre de s'offrir les soins que l'on veut», a observé M. Desmarais. À ses côtés, son frère Paul Desmarais fils, également codirigeant de Power Corporation, a quant à lui indiqué qu'il s'attendait à une augmentation des investissements puisqu'un «voile» avait été levé sur «l'incertitude» le 7 avril dernier. À la défense de Marc Bibeau Paul Desmarais fils s'est également porté à la présence de Marc Bibeau au conseil d'administration de la Corporation Financière Power (T.PWF), même s'il est sous le radar de l'Unité permanente anticorruption (UPAC). M. Bibeau, de l'entreprise Schokbéton, a souvent été identifié comme le grand argentier du Parti libéral du Québec sous le règne de l'ex-premier ministre Jean Charest. Questionné lors de l'assemblée des actionnaires par un représentant du Mouvement d'éducation et de défense des actionnaires, le codirigeant de Power Corporation a rappelé que M. Bibeau n'était pas visé par des accusations. «C'est un monsieur qui a fait beaucoup pour la société, qui a essayé d'aider à lever des fonds pour les partis, a-t-il dit. Il l'a fait de bonne foi.» Plus tard, en point de presse, Paul Desmarais fils s'est dit «irrité» de voir qu'il y avait de plus en plus de «chasses aux sorcières», ce qu'il déplorait, ajoutant que M. Bibeau s'était déjà exprimé sur le sujet. «Je me dis: quelle personne va vouloir travailler pour quelque parti que ce soit?» a-t-il demandé. Paul Desmarais fils a rappelé que M. Bibeau avait été réélu au sein du conseil de la Corporation Financière Power avec une majorité de plus de 99 %. «Nous sommes très heureux de l'avoir», a-t-il dit. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201405/15/01-4767091-les-desmarais-optimistes-quant-a-la-situation-economique-de-la-province.php
  12. Montréal, ville des congrès par excellence en Amérique du Nord, en 2013 Montréal se classe en tête de liste des villes d'Amérique du Nord ayant accueilli le plus de congrès internationaux, en 2013. La métropole québécoise avait également remporté cet honneur en 2012. Ce classement est établi par l'International Congress and Convention Association (ICCA), qui recueille des données sur le sujet pour les grandes villes du continent, telles que Toronto, Vancouver, New York, Boston, San Francisco, Washington, San Diego et Chicago. Les congrès internationaux constituent une source de revenus appréciables pour la métropole. Ainsi, pour l'année financière 2013-2014, les 25 congrès internationaux et les 17 congrès canadiens qui ont eu lieu au Palais des congrès de Montréal ont généré près de 161 millions de dollars en retombées économiques, pour la métropole. De manière plus globale, en 2013-2014, Montréal a été l'hôte de 71 événements internationaux auxquels ont participé 37 000 personnes. Pour Raymond Larivée, président-directeur général au Palais des congrès, ces résultats sont le fruit du travail de collaboration entre son organisation et Tourisme Montréal, les hôtels et Aéroports de Montréal, entre autres partenaires. Dans le monde, les villes les plus courues pour les grands congrès sont Paris, Madrid et Vienne, toujours selon l'ICCA. L'ICCA représente les principaux spécialistes dans l'organisation, le transport et la tenue de grands événements et de rencontres majeures. L'Association compte dans ses rangs un millier de compagnies et d'organisations, implantées dans plus de 90 pays. Elle effectue son classement des villes hôtes de congrès depuis cinquante ans. Par continent, pour une période couvrant les années 2008 à 2012, c'est en Europe que l'on retrouve plus de la moitié des grands événements internationaux, chaque année. L'Asie et le Moyen Orient viennent en seconde place avec 18 % des grands congrès. Suivent l'Amérique du Nord avec 12 % et l'Amérique latine avec 10 %. Toujours durant les années 2008 à 2012, le Canada arrive au onzième rang des pays ayant été l'hôte de grands congrès. Les États-Unis arrivent en tête du classement. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/13/003-montreal-congres-amerique-nord-villes.shtml
  13. Quelques photos d'aujourd'hui. Désolé pour la qualité... je n'ai pas un iphone
  14. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Surtout que selon les estimations, il va s'en créer 200 000 naturellement!
  15. Je crois que la façade du CHUM va être un peu plus ''douce'' que celle du CRCHUM. Ça va adoucir le tout.
  16. Ca dépend..... il y a quand même beaucoup de variété et de fini... Voici un exemple de la compagnie Steni. Tour des Sans-Mariés
  17. Le train de l'Est sifflera début décembre Le nouveau train de banlieue qui reliera le centre-ville de Montréal à Mascouche accueillera ses premiers passagers le 1er décembre prochain. Les travaux sont exécutés à 85 % et les premiers essais ferroviaires se sont déroulés le mois dernier. Deux des dix nouvelles gares ne seront cependant prêtes qu'au printemps 2015. Il s'agit de celle de Sauvé, à côté de la station de métro du même nom, et de la gare de Pointe-aux-Trembles, dans l'est de Montréal. Le coût total du projet passe de 671 millions de dollars à 692 millions, soit 21 millions de plus, puisés dans le budget de réserve. Lors de l'annonce initiale du projet de train de l'Est en 2006, le gouvernement libéral de Jean Charest avait estimé les coûts à 300 millions de dollars. La population de l'est de Montréal et de la couronne nord-est de l'île rêve depuis des décennies d'un train de banlieue, en raison d'une offre insuffisante en transport collectif. La promesse de la mise en place d'une ligne de train entre Mascouche et le centre-ville de Montréal remonte aux années 1980. La ligne devait entrer en service en 2009. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/09/005-train-banlieu-est-mascouche-debut-fonctionnement-decembre.shtml
  18. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Ça pris seulement deux semaines au PQ pour détruire la province non? (bon, j'arrête...)
  19. C'est vrai que ça peut être un peu inquiétant, mais il y a un petit effet réfléchissant.... donc ça semble être un béton préfab poli.
  20. Les fontaines de la place des Festivals à Montréal fuient Exclusif - Les fontaines de la place des Festivals à Montrréal fuient à plusieurs endroits, si bien que la Ville envisage de faire des travaux qui pourraient avoir un impact sur la programmation l'an prochain, a appris Radio-Canada. Le maire Denis Coderre serait furieux. Un texte de François CormierTwitterCourriel Ces fontaines, dont l'installation a été terminée en 2012, auraient commencé à fuir dès 2013. Selon un rapport consulté par Radio-Canada, le problème reste à être identifié mais « la nature de ces fissures laisse croire à un problème de conception ». Il y en aurait des dizaines sur certains axes. La Ville de Montréal a mis en demeure les cinq firmes responsables du projet. Elles doivent s'engager à réparer le problème avant le 15 mai et à procéder aux travaux avant la fin de l'année 2015. Pour l'instant, rien n'indique que la programmation de l'été 2014 sera affectée par des travaux puisqu'ils ne commenceraient qu'à l'automne. En consultant le document, il semble toutefois assez clair que les experts appréhendent les conséquences négatives. « Si des travaux importants de réfection de la fontaine et de la surface de la place sont requis, il est peu probable que nous puissions réaliser ces derniers sans affecter la programmation de la place des Festivals » http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/08/008-fuites-fontaines-coderre-place-des-festivals-montreal.shtml
  21. Donc ce n'est pas vraiment un p'tit cadeau de la part du Fédéral.... Québec savait qu'il devait contribuer au pont Champlain, dit Harper Stephen Harper n'en démord pas : Montréal et le Québec doivent contribuer au financement du futur pont Champlain. En conférence de presse à Montréal jeudi pour une annonce en santé, le premier ministre a indiqué que les conditions du soutien financier d'Ottawa à la construction du pont sont claires et qu'elles ont été acceptées dès le départ par les paliers gouvernementaux provincial et municipal. « Ce n'est pas un pont international, ce n'est pas un pont interprovincial. Et ce sont de tels ponts qui sont notamment de juridiction fédérale », a-t-il lancé. « C'est essentiel d'avoir une partie de financement local pour ça, nous le disons depuis le début. » Il a rappelé que le pont Champlain est le seul pont intérieur à une province qui reçoit un soutien aussi important d'Ottawa. Mercredi, le maire de Montréal, Denis Coderre, avait estimé que les élections fédérales de 2015 feront pencher la balance, peu importe ce que prétend maintenant le premier ministre Harper. « Moi, j'ai bon espoir. Il va y avoir une élection entre-temps. Il y a une obligation de résultats. Si on met 376 millions dans les prochaines années en termes d'entretien, y a un problème avec ce pont-là », a-t-il dit. M. Coderre promet de maintenir la pression sur le gouvernement fédéral afin de le faire revenir sur sa décision d'imposer un péage. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/05/01/005-champlain-harper-province-ville.shtml
  22. What Other Provinces Can Learn From Alberta's Liquor Store Privatization Twenty years ago the Alberta government swiftly and boldly threw open Alberta's markets in beer, wine and spirits. The result has been a success story of intense competition, added convenience and thousands of new jobs. Other provincial governments have never imitated the Alberta accomplishment. But that has much to do with local politics and myth-making from vested interests, not facts. In early September 1993, Alberta announced it would privatize its government liquor stores. It did so with remarkable speed. The province owned 202 government liquor stores on the day privatization was announced; the first store was shut just two days later. By Christmas, two-thirds of the government shops were closed or sold (in some cases, to government employees). The last Alberta government liquor store was out of business by early March 1994, just six months after the initial announcement. The results speak for themselves. Pre-privatization, in addition to the 200-plus government liquor stores, the private sector operated 65 full-product outlets while 530 hotels offered up a limited product selection for sale. In the 20 years since the Alberta government exited the retail business, private sector retail outlets have grown to 1,982 in total. Product selection has expanded, from 2,200 in 1993 to over 19,000 varieties of beer, wine and spirits now. Employment in retail liquor stores (including the government numbers at the time of privatization) jumped from 1,300 employees to 4,000. Alberta's privatization model has its critics. The self-labelled Consumers Association once claimed Alberta's prices were mostly higher than British Columbia. One university think tank claimed the Alberta government lost $1.5 billion in revenue since privatization. Both claims are incorrect. The Consumers' study used median prices (not the lowest prices available in Alberta) and surveyed just 53 products. Also, the group ignored one of the cheapest sources of beer wine and spirits in Alberta: the Real Canadian Liquorstore chain (a division of the Superstore/Loblaws group). In contrast, eleven years ago, I conducted a more comprehensive review of prices between British Columbia and Alberta using pre-tax and pre mark-up prices. I made both "deep" and "wide" comparisons and looked for the lowest available price, not some "median" measurement. On the deep comparison, I contrasted 1,845 products available at BC government stores with two chain stores in Alberta; 83 per cent of beer, wine and spirits were cheaper in Alberta, even including much of the wine produced in British Columbia (something I still find true in personal shopping). On the "wide" comparison, I compared 166 products available at both BC government stores and 100 Alberta stores; 90 per cent were cheaper in Alberta. On a pre-and post-privatization contrast, a 2003 study by economist Douglas West based on 100 Alberta stores found retail prices rose by four per cent in the immediate years after privatization but dropped in the last half of the 1990s, in part due to increased competition. As for the claim of lost revenue, this is a red herring often advanced by privatization opponents, including for example government employees' unions in Ontario whose members work in government liquor stores. In 1993, the Alberta government changed how it marked up beer, wine and spirits but continued to collect their pound of flesh. That mark-up, set by provincial governments, is what will affect revenues, not privatization. The data shows Alberta hasn't exactly starved itself of booze revenues. Including the first fully privatized budget year (1993/94), and to the end of the last year, the Alberta government reaped $11-billion in mark-ups from beer, wine and spirits. That includes $729 million in the past year alone. Regardless, it should be remembered that such "mark-ups" are a tax and thus help gouge consumers. Social ills that could supposedly result from liquor store privatization are often brought up by privatization opponents. But as a 2009 Frontier Centre study found, Saskatchewan, a province with a plethora of government-run liquor stores and comparatively low overall sales and alcohol consumption rates, still showed the "highest, second-highest or third-highest rates of alcohol-related harm with respect to friendships, marriage, work, studies, employment, finances, legal problems and physical violence." Twenty years after Alberta began to dismantle and sell off government liquor stores, no other provincial governments has exited the retail side of the liquor business. The reason for that is not economic or social, but merely political: too many government employees' union have a vested interest in the status quo. The reality, not only in Alberta in stand-alone private liquor stores--or Europe, where grabbing beer or wine off the grocery store shelf is considered a normal part of shopping, is that private retailing of beer, wine and spirits is unremarkable where it occurs. http://www.huffingtonpost.ca/mark-milke/alberta-privatized-liquor-stores_b_3984754.html
  23. Quel surprise. Les libéraux se foute des Montréalais, du Transport en Commun et de l'environnement. Une des meilleurs (et seuls?) choses que le PQ a fait était justement ce changement de priorité en faveur du TEC. Dommage, on retourne en arrière....
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