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ChrisDVD

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Tout ce qui a été posté par ChrisDVD

  1. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  2. En 2011, période pré-péquiste, c'était 35% et 28%. Donc même avec les libéraux c'est assez élevé.
  3. Voici l'article en Français de Radio-Canada La moitié des non-francophones songent à quitter le Québec Exclusif - La moitié des communautés anglophone et allophone du Québec a envisagé de quitter la province l'année dernière, révèle un nouveau sondage EKOS commandé par CBC/Radio-Canada. Même si seulement 10 % des répondants francophones affirment songer à quitter le Québec, les principales raisons évoquées par l'ensemble des répondants pour déménager ne sont pas fondées sur la langue. Une majorité des répondants de chaque groupe mentionnent plutôt les taxes, l'emploi, l'incertitude politique et l'économie. CBC/Radio-Canada se penchera dans les prochains jours sur ce qui pousse des Québécois à vouloir quitter la province, ce qui les retient, et les espoirs qu'ils entretiennent pour leur avenir au Québec. Les facteurs économiques Au total, 16 % des répondants ont cité l'économie comme principale raison pour déménager hors de la province. L'incertitude politique arrive ex aequo en première position. Brett House, chercheur à la Fondation Jeanne Sauvé et au Centre pour l'innovation dans la gouvernance internationale, estime que la situation économique au Québec n'est pas aussi sombre que le pensent certains, mais la province est peu performante. « Nous sommes médiocres en ce moment - nous ne sommes pas en grande forme, mais nous ne sommes pas une catastrophe non plus. Nous nous améliorons un peu, mais nous pourrions faire beaucoup mieux », souligne-t-il. « Le Québec a le potentiel d'être l'un des deux moteurs de l'économie de ce pays avec l'Ontario, et pourtant, l'économie se porte moins bien que ce qu'elle devrait », ajoute-t-il. Anxiété bilingue Suni Hope Johnston, qui a quitté l'Angleterre pour s'installer à Montréal au début des années 70, affirme avoir été attirée par la métropole québécoise pour son flair européen et son bouillonnement. « Je me souviens que mon mari et moi dansions jusqu'à 4 h du matin. Nous nous sommes beaucoup amusés, et puis ça s'est terminé », se souvient-elle. Mme Johnston a fondé une famille et son mode de vie a changé. Tout comme la ville qu'elle jugeait autrefois si attrayante. Selon elle, l'ambiance actuelle au Québec est marquée par les divisions. « Je pense que c'est un droit de naissance de tous les jeunes Québécois de parler les deux langues. Chaque enfant devrait aller à l'école pour apprendre le français et l'anglais. Pour le moment, ce genre de division me semble tragique », dit-elle. Elle envisage de déménager en Ontario, une destination populaire chez les personnes qui songent à quitter le Québec, suggèrent les résultats du sondage EKOS. En effet, 40 % des répondants francophones et non-francophones qui pensent quitter le Québec iraient s'installer en Ontario, devant les États-Unis (14 %). Marc Stamos, qui est originaire de Montréal, considère également s'installer en Ontario. Pour lui, le bilinguisme constitue une source de fierté, mais il déplore que la langue soit devenue politisée à nouveau dans la province, au point de devenir un sujet de discorde. « Pour la première fois depuis les années 1990, je sens que je dois affirmer mon "anglophonité". Vous savez, les choses étaient si calmes pendant si longtemps que mon frère, mes amis et moi étions à l'aise en français. » — Marc Stamos, originaire de Montréal Mais avec une élection imminente et la possibilité d'un gouvernement péquiste majoritaire, M. Stamos affirme que lui et ses amis se demandent s'ils veulent vivre une autre période de soubresauts. Ces changements d'humeur relevés dans le sondage ne se sont pas encore traduits concrètement dans le marché immobilier, par exemple, mais ce sont des signes susceptibles d'attirer l'attention des politiciens. À propos de l'enquête Un total de 2020 résidents du Québec ont été interrogés par téléphone entre le 10 et le 18 février 2014, dans le cadre de cette étude EKOS commandée par CBC/Radio-Canada. La marge d'erreur pour un échantillon de 2020 est de plus ou moins 2,2 points de pourcentage, soit 19 fois sur 20. Les personnes interrogées incluent : 782 anglophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 3,5 points de pourcentage 95 % du temps); 1009 francophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 3,1 points de pourcentage 95 % du temps); 223 allophones (avec une marge d'erreur de plus ou moins 6,5 points de pourcentage 95 % de du temps). Les anglophones représentent les répondants ayant indiqué que leur langue maternelle est l'anglais, et les francophones ayant indiqué le français. Les allophones ont identifié leur langue maternelle comme étant « autre ». http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/02/25/004-sondage-anglophones-allophones-francophones-envisage-rester-quitter-quebec.shtml
  4. Effets visuels: Robocop déblaie le terrain Voici la petite histoire derrière le mandat inaugural de Framestore Montréal, première des multinationales des effets visuels à s'établir au Québec. Un mandat complexe Londres, été 2012. Framestore vient de décrocher le mandat principal des effets visuels du prochain film de RoboCop. Un mandat qui passera relativement inaperçu dans son CV aux côtés de Harry Potter et de Dark Knight, mais qui sera déterminant pour l'avenir de l'entreprise britannique. Et pour l'avenir de l'industrie des effets visuels au Québec par la même occasion. C'est que depuis plus d'un an, Framestore songe à ouvrir un troisième studio à l'étranger, après Los Angeles et New York. Seule condition: avoir un film d'envergure comme premier mandat. «Framestore voulait ouvrir un studio, mais il lui fallait un projet», dit Benoit Touchette, directeur du studio montréalais de Framestore. Ce projet, ce sera RoboCop. Et Framestore sera le premier géant européen des effets visuels à s'implanter au Québec. Suivront Technicolor/MPC et Cinesite. Ensemble, ils feront passer l'industrie québécoise des effets visuels de 645 à 1295 emplois en un an. Le contrat principal d'effets visuels de RoboCop en poche, Framestore étudie les candidatures de Vancouver et de Montréal. «Le marché de Vancouver était jugé trop saturé et trop éloigné de Londres», explique Benoit Touchette. Le décalage horaire de «seulement» cinq heures entre Londres et Montréal était d'autant plus important que les deux studios de Framestore se partageront le contrat de 557 plans d'effets visuels de RoboCop (207 plans à Montréal, 350 plans à Londres). Au total, un film comme RoboCop compte environ 800 plans d'effets visuels. Sur le plan technique, le mandat est plus complexe que prévu. Mais le principal défi est ailleurs. En plus de donner vie au robot-policier, Framestore Montréal doit bâtir un studio en quelques mois, mais aussi une culture d'entreprise. Pour ce dernier aspect, l'entreprise dépêche à Montréal Chris Lawrence, l'une des vedettes de son studio londonien - et aujourd'hui en nomination pour l'Oscar des meilleurs effets visuels pour Gravity. De janvier à mars 2013, Chris Lawrence jette les bases de RoboCop avant de passer le flambeau à un autre expatrié londonien, John Peter Li, question de se concentrer sur le deuxième mandat de Framestore Montréal (Edge of Tomorrow, avec Tom Cruise). «Chris a reproduit la méthode de travail Framestore à Montréal. On voulait que les gens qui viennent travailler ici aient l'impression de travailler pour Framestore, pas pour un satellite de l'entreprise», affirme Benoit Touchette. À partir de mars, les premiers employés de Framestore Montréal arrivent par dizaines chaque semaine au sixième étage de l'édifice industriel du Mile End, en attendant de déménager dans leurs bureaux permanents plus spacieux au neuvième étage du même édifice. «Nous avons bâti les installations en quatre mois, alors qu'il en aurait fallu entre six et huit. C'était audacieux», se souvient Benoit Touchette. Audacieux, mais Framestore Montréal n'a pas vraiment le choix. Dans cette industrie, le client ne peut pas attendre. D'autant plus que Sony Pictures redonne vie à RoboCop après une absence de 27 ans au grand écran. Et la tâche n'est pas facile. Au contraire de Batman et Spider-Man, RoboCop est un humain dans une armure de robot. «Dans The Dark Knight, le plus complexe était de reproduire les édifices. RoboCop, lui, est mi-humain, mi-robot», dit John Peter Li, directeur du service d'infographie 3D du projet RoboCop chez Framestore Montréal. «Un robot a des volumes différents d'un homme. L'acteur est un humain, il se déplace d'une façon plus organique qu'un robot», rappelle Laurent Laban, superviseur de l'animation. Le triumvirat Ne vous méprenez pas: malgré son grand sourire, Warwick Hewett est le «préfet de discipline» de l'équipe de RoboCop chez Framestore Montréal. Son titre officiel: producteur. Traduction: celui qui s'assure que tout soit prêt à temps. «C'est comme une usine: les départements se parlent peu entre eux. Je m'assure de faire les liens pour respecter les délais», explique le Britannique de 37 ans, qui a déménagé à Montréal l'été dernier. Warwick Hewett fait partie du triumvirat montréalais du projet RoboCop, avec ses deux collègues de bureau: le Britannique John Peter Li, directeur du service d'infographie 3D, et le Québécois Carlos Monzon, superviseur de la composition d'images (la dernière étape, cruciale, de tout le processus). Chaque jour, les trois hommes envoient les scènes à Londres et discutent avec le grand patron du projet, Rob Duncan. C'est lui qui fait ensuite le lien avec le studio Sony et le réalisateur José Padilha. Au départ, les effets visuels devaient être terminés en septembre 2013, mais la date limite est repoussée de deux mois. Avec le logiciel ShotGun, Warwick Hewett suit en détail le temps consacré par chaque employé à chaque tâche qui lui est assignée. Au total, une centaine des 180 employés de Framestore Montréal ont travaillé sur RoboCop entre mars et novembre. En période de pointe, à la rentrée automnale, environ 70 employés planchent sur le projet. L'emploi du temps est chargé, les cadres doivent venir au bureau les samedis, mais les autres employés ont généralement leur week-end de congé. En novembre, seule une demi-douzaine d'employés de Framestore Montréal mettent la dernière touche aux scènes de RoboCop. Quand le film sort sur grand écran le 12 février, les membres de l'équipe RoboCop de Framestore Montréal n'ont plus la tête à RoboCop depuis plusieurs mois. Ils sont passés à d'autres projets. Le visionnement du film en groupe dans un cinéma du centre-ville offre tout de même quelques surprises. «Le son change la perception d'un film, et ce n'est pas parce que vous travaillez sur quelques scènes du film que vous en avez une idée globale, dit John Peter Li, pour qui le visionnement de RoboCop est davantage une soirée de travail qu'une sortie au cinéma. Nos employés pour qui il s'agit d'un premier film d'envergure s'amusent davantage. Quand je visionne un film sur lequel j'ai travaillé, je porte davantage attention au résultat de notre travail et je regarde aussi le travail des autres studios.» - Durant le tournage, l'acteur Joel Kinnaman, qui joue Alex Murphy/RoboCop, porte un costume métallique pour le haut du corps qui sera modifié à l'ordinateur. «On n'utilise presque pas l'armure qui a servi pour le tournage», confie Laurent Laban, superviseur de l'animation. - L'acteur ne porte pas d'armure aux jambes. Celle-ci a été conçue entièrement par des effets visuels. «Ç'aurait été impossible pour l'acteur de courir avec un costume qui allait jusqu'aux jambes», souligne John Peter Li, directeur du service d'infographie 3D du projet RoboCop chez Framestore Montréal. - Dans les scènes de course, les mouvements de jambes de l'acteur sont entièrement refaits à l'ordinateur. «L'acteur marchait avec des déhanchements, ce qui est normal pour un humain. Nous avons dû repositionner ses jambes d'une façon plus robotique», raconte John Peter Li.Robocop déblaie le terrain Deux fois plus d'emplois en un an L'industrie québécoise des effets visuels a doublé de taille depuis un an, grâce à l'arrivée de géants européens qui ouvrent des studios à Montréal, séduits à la fois par les généreux crédits d'impôt et par la main-d'oeuvre disponible au Québec. Avec l'arrivée de Framestore, Technicolor/MPC et Cinesite, le Québec passera d'environ 645 à 1295 emplois en effets visuels pour les films et la télévision. 45% : Crédit d'impôt du Québec pour un studio d'effets visuels Le Québec offre le même crédit d'impôt (45%) que l'Ontario, mais ses règles d'attribution sont plus souples. Il est notamment admissible aux employés non résidents. Le gouvernement Charest avait haussé le crédit d'impôt en 2009 pour égaler l'Ontario. 39% : Crédit d'impôt de la Colombie-Britannique pour un studio d'effets visuels 8,8% : Crédit d'impôt fédéral pour un studio d'effets visuels 53,8% : Crédits d'impôts totaux (fédéral et Québec) auxquels un studio d'effets visuels établi au Québec est admissible Des prêts sans intérêt Pour séduire trois géants européens des effets visuels depuis un an, le gouvernement Marois leur a offert, en plus du crédit d'impôt, des prêts sans intérêt remboursables. Framestore Annonce en janvier 2013 200 emplois d'ici 2014 Prêt sans intérêt remboursable de 900 000$ (coût de 35 000$ par année pendant 5 ans) Technicolor/MPC Annonce en septembre 2013 De 200 à 250 employés d'ici 2016 Prêt sans intérêt remboursable de 1,2 million (coût de 500 000$ sur 2 ans) Retombées fiscales estimées à 7 millions sur 5 ans Cinesite Annonce en janvier 2014 200 employés d'ici 2018 Prêt sans intérêt remboursable de 1,2 million Les 9 étapes pour créer des effets visuels Comment produit-on des effets visuels? Cours 101 en neuf étapes. Prévisualisation Avant de tourner, on fait une version du film en dessin animé 3D à basse résolution. «Le réalisateur doit ensuite déterminer ce qu'il tourne et ce qu'il fait faire en effets visuels», dit John Peter Li, directeur du service d'infographie 3D de Framestore Montréal pour le projet RoboCop Tournage Le responsable des effets visuels - Rob Duncan, de Framestore Londres, dans le cas de RoboCop - se rend parfois sur le plateau pour faire des suggestions. «Parfois, tourner une scène d'un autre point de vue permet de réduire le travail d'effets visuels de plusieurs semaines», souligne Carlos Monzon, superviseur de la composition d'images. Relevé des mouvements de caméra (tracking) On recrée les scènes tournées à l'ordinateur, afin de pouvoir les modifier ultérieurement. «On positionne des ancrages dans les scènes tournées afin de pouvoir les reproduire dans un monde virtuel», explique Benoit Touchette, directeur du studio montréalais de Framestore. Modélisation C'est l'étape où on conçoit les différentes «structures» utilisées dans les scènes. La «structure» la plus utilisée dans le film RoboCop? Le personnage principal. «Nous avons les designs du studio et nous devons bâtir les structures pour qu'elles y soient conformes», dit John Peter Li. Texture On raffine les structures conçues précédemment, notamment en ajoutant la couleur. Quel travail de texture a été réalisé sur le personnage de RoboCop? «On ajoute aussi la saleté, des égratignures, on s'assure que le métal ait l'air fini», dit Carlos Monzon. Animation On fait bouger les personnages. Pour RoboCop, cette étape est plus complexe que pour d'autres superhéros. «Un robot a des volumes différents d'un homme. L'acteur est un humain, il se déplace d'une façon plus organique qu'un robot», note Laurent Laban, superviseur de l'animation. Effets et simulations «On ajoute aussi dans les scènes la fumée, l'eau, le feu, tous les effets qu'on ne peut pas faire en tournage», dit Benoit Touchette. Éclairage On joue avec la lumière dans les scènes. «Dans les scènes de coups de feu, l'éclairage change constamment», observe Benoit Touchette. Composition d'images (compositing) L'étape finale où toutes les modifications précédentes - réalisées à l'aide de logiciels 3D - doivent être reconverties en format 2D pour le grand écran et la télé. «C'est l'image qui sera vue au cinéma», résume Benoit Touchette. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201402/21/01-4741327-effets-visuels-robocop-deblaie-le-terrain.php
  5. Sérieux les gars.... il y a une section ''Politique'' , et une section ''Discussion''. La politique devrait rester en dehors de la section ''projets'' . Merci.
  6. La cicatrice de l’autoroute Ville-Marie rétrécit Le maire de Montréal, Denis Coderre, annonce que la Ville ira de l'avant avec le projet de recouvrement de l'autoroute Ville-Marie, à l'est du centre-ville. Il confie par ailleurs le projet au chef l'opposition Richard Bergeron, l'un des principaux idéateurs de ce projet. Richard Bergeron, qui est à la tête du parti Projet Montréal, avait d'ailleurs fait du recouvrement de cette voie rapide l'une de ses priorités lors de la campagne électorale. Par ce vaste projet, la Ville projette de rétablir un espace terrestre fonctionnel et accueillant qui reliera harmonieusement le Vieux-Montréal, le centre-ville et le quartier du nouveau CHUM en recouvrant la tranchée de l'autoroute Ville-Marie qui coupe actuellement le secteur en deux. Cet important projet sera réalisé dans le cadre des legs associés à la célébration du 375e anniversaire de la ville de Montréal en 2017. Cette infrastructure routière étant sous la juridiction du ministère des Transports, Denis Coderre compte sur la collaboration du gouvernement du Québec pour la réalisation du projet. Quant au choix de Richard Bergeron pour conduire cet important projet, le maire affirme qu'il était le mieux placé pour le faire. « Si je confie ce mandat à M. Bergeron, ce n'est pas à titre de chef de l'opposition officielle, mais plutôt comme conseiller de l'arrondissement de Ville-Marie, pour ses compétences approfondies en urbanisme, et parce que son amour de Montréal ne fait aucun doute. Avec la ténacité qu'on lui connaît, j'ai la conviction qu'il saura mener ce projet à bon port. » — Denis Coderre, maire de Montréal Des rues Hôtel-de-Ville à Sanguinet Selon la Ville de Montréal, la première phase du projet consistera à recouvrir l'autoroute Ville-Marie entre les rues Hôtel-de-Ville et Sanguinet. Pour ce faire, la bretelle autoroutière de la rue Sanguinet sera déménagée plus à l'est. Le réaménagement des rues Sanguinet et Gosford assurera le confort et la sécurité des piétons qui circuleront dans le secteur. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/02/21/004-annonce-bergeron-coderre-projet-montreal.shtml
  7. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    J'ai bien hâte de voir! Annonce importante de Québec Le gouvernement du Québec doit faire une annonce importante en matière économique, jeudi après-midi à Montréal, et plusieurs indices laissent croire qu'elle portera sur le secteur pétrolier... http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/13/006-annonce-quebec-economie-secteur-petrolier.shtml
  8. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Y'en a qui sont chanceux! http://www.ctvnews.ca/business/ottawa-commits-631-million-for-new-windsor-bridge-to-u-s-1.1681327
  9. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Ouai.... même moi pendant les olympiques j'ai une petite flamme pour le maple leaf... Two more weeks...
  10. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Oui, Parizeau a bien que le Québec était en panne. Il a aussi dit que le Québec doit se séparer pour des raisons économiques... Mais ça, tu t'en fou.... tu choisis ce que tu veux entendre. I don't blame Canada for all our evils.... I just believe that once the responsibility of Québec is entirely in our hands, we will then have only ourselves to blame... Mark..... va dont lire l'Article du Fraser Institute.... c'est pas long!
  11. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    C'est vraiment insultant Mark! Pour qui tu te prend! Études en carré rouges? Voyons donc! Sérieux, si il faut avoir un PhD en économie pour en discuter, bien on va laisser les Jean-Martin Aussant et les Parizeau nous dire ce qui a de mieux pour le Québec, mais non, leurs études en Angleterre, ça compte pour rien pour toi... parce qu'ils sont des maudits séparatistes...! Un petit rappel... Charest et Couillard ne sont pas des économistes...
  12. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    En fait, Gérald Fillion en a parlé ce dimanche à Tout le Monde en Parle.... c'était quand même bien intéressant... La difference entre la vision économique du PQ et et du PLQ c'est que le PQ intervient dans l'économie, tandis que PLQ préfère laisser les entreprises intervenir dans l'économie. Rappelons nous que c'est bien le PQ qui à créé Hydro-Québec et La Caisse.... deux moteurs économiques puissants pour le Québec...
  13. ^^ c'est drôle, hier j'attendais une amie à la station Champs-de-Mars, et j'ai vu Philip Schnobb avec d'autres fonctionnaires passés.... Dans la nouvelle section de la station...Une dame à pointé vers l'autoroute et a dit ''La structure va être là, et on va voir le parc d'ici.... on lance le concours la...'' (Quelque chose du genre... pas certain à 100%)... Donc reste à voir...! Et tu as complètement raison... Aussi qu'il y a une petite mauvaise statistique... C'est la faute du PQ... on prend même pas le temps de faire une analyse objective... Mais bon, il y a rien de nouveau...
  14. 2013: Une bonne année pour le tourisme Les touristes ont été nombreux à déambuler dans la métropole en 2013. La preuve: le taux d'occupation dans les hôtels de Montréal ainsi que le trafic aux frontières terrestres et à l'aéroport Montréal Trudeau ont connu une hausse par rapport à 2012. La bonne performance du tourisme d'affaires avec la tenue de 17 congrès expliquerait en partie ces augmentations. Le nombre de touristes s'est établi à 8 430 000 en 2013 contre 8 320 000 en 2012. Les hôteliers ont donc eu de quoi se réjouir. Le taux d'occupation moyen a été de 67,92%, soit 2,05% de plus que l'a dernier, révèlent les données compilées par l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM). Le tarif moyen des chambres a lui aussi augmenté, passant de 137,06$ en 2012 à 141,48$ en 2013. Le nombre de voyageurs atterrissant en terre montréalaise a pour sa part connu une hausse de 1,9%. Il y a également eu plus de trafic aux frontières terrestres du Québec avec une augmentation de 1,1% de touristes internationaux. «Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal, par voie de communiqué. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal.» http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201402/07/01-4736649-2013-une-bonne-annee-pour-le-tourisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  15. ChrisDVD

    L'Économie du Québec

    Allstream ouvre un centre de soutien technique à Montréal http://affaires.lapresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201402/04/01-4735633-allstream-ouvre-un-centre-de-soutien-technique-a-montreal.php
  16. Bien oui.... la dernière chose que le Fédéral veut c'est d'avoir plus de Français au Québec..... Ils sont beaucoup plus ouvert à la souveraineté que d'autres groupes d'immigrants!
  17. Une société espagnole obtient d'importants avantages pour s'implanter au Québec Publié le 22 janvier 2014 à 13h31 Comblée par de l'électricité au rabais et un congé fiscal de dix ans, la société espagnole FerroAtlàntica va s'implanter au Québec. À l'occasion du Forum économique mondial de Davos, le premier producteur mondial de silicium métal a annoncé mercredi un investissement de 375 millions de dollars au Québec et la création de plus de 300 emplois. Le site de la future usine n'est pas encore choisi, mais la construction est prévue «dans les prochains mois» et le début des activités est fixé à la fin de l'année 2016. Le silicium métallurgique est une composante d'alliage destinée entre autres à l'industrie automobile, à la production de silicone, de béton haute performance et de panneaux solaires. Avec le quartz, des résidus forestiers pourront être utilisés pour la transformation des matières premières en silicium métal. L'entreprise espagnole est la première société à profiter des mesures incitatives que comporte la politique économique «Priorité emploi» présentée l'automne dernier par la première ministre Pauline Marois et le ministre des Finances Nicolas Marceau. FerroAtlàntica aura donc droit à un congé de taxes d'une durée de dix ans et à un rabais d'un cent du tarif L d'électricité consenti aux grandes entreprises (4,4 cents le kilowattheure). Investissement Québec souhaite prendre une participation de cinq à dix pour cent dans le projet, ce qui représente un montant oscillant entre 20 millions et 30 millions de dollars. Des conditions «très favorables», a convenu le directeur général de FerroAtlàntica, Pedro Larrea, en point de presse. «L'avenir de FerroAtlàntica aujourd'hui se trouve au Québec, a lancé M. Larrea. Nous avons trouvé de la compréhension pour nos problèmes et des solutions à nos problèmes, des solutions pour l'électricité (et) des solutions financières.» La création de 300 emplois est un baume pour Mme Marois qui a été rattrapée à Davos par les difficultés de Bombardier. Le géant de l'aéronautique a annoncé mardi le licenciement de 1700 employés, dont 1100 au Canada, notamment aux installations de Montréal et Mirabel. La première ministre a dit être «très désolée» pour les travailleurs mis à pied, mais s'est montrée optimiste pour l'avenir. «Je suis confiante pour la suite des choses. Bombardier est une très grande entreprise. Ils ont eu dans le passé certaines difficultés, ils ont toujours respecté leurs engagements», a-t-elle souligné. Conséquence du contexte économique, Bombardier accuse une diminution de son carnet de commandes pour les avions d'affaires. En outre, l'entrée en service de ses appareils CSeries a été reportée à la deuxième moitié de 2015. Un tel ralentissement n'est pas inédit dans l'industrie de l'aéronautique, a fait valoir Mme Marois, rappelant que les constructeurs Embraer et Airbus avaient aussi été confrontés à des délais dans la mise en service de nouveaux appareils. Quant aux travailleurs licenciés, le gouvernement du Québec fera tout ce qu'il peut avec les programmes existants pour les accompagner «s'il y a lieu», a indiqué Mme Marois. http://affaires.lapresse.ca/dossiers/forum-economique-de-davos/201401/22/01-4731350-une-societe-espagnole-obtient-dimportants-avantages-pour-simplanter-au-quebec.php
  18. Le projet de la Plage de l'Est commence à prendre forme Mise à jour le lundi 20 janvier 2014 à 16 h 29 HNE Le projet de plage dans l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles vient de franchir une autre étape. La mairesse de l'arrondissement et responsable des infrastructures de l'eau au comité exécutif, Chantal Rouleau, a annoncé que la firme d'architectes Ruccolo et Faubert remportait le concours de design. Le projet comprend une promenade et un bâtiment de services, des terrains de volleyball de plage l'été et une patinoire l'hiver. La mairesse Rouleau affirme que les citoyens ont déjà commencé à se réapproprier le site de l'ancienne marina Beaudoin : « On a placé des bancs de parc et immédiatement on a vu une affluence des gens qui venaient se réapproprier ce lieu. Alors on va poursuivre là dedans, à travers les travaux qui vont se faire. Il y aura un accès potentiel et évidemment pour les Canoës-Kayaks ça demeure, ce sera simple ». Des travaux de décontamination et d'aménagement du site sont prévus cet été et doivent s'échelonner jusqu'en 2016. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2014/01/20/007-plage-est-riviere-des-prairies-pointe-aux-trembles.shtml Projet Lauréat: http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Concours-de-design-Plage-de-lEst
  19. Desjardins et le Crédit Mutuel achètent State Farm au Canada Publié le 15 janvier 2014 à 12h37 | Mis à jour à 12h50 Le Mouvement Desjardins effectuera un important bond de croissance dans le marché de l'assurance au Canada en acquérant avec l'appui de son vis-à-vis français Crédit Mutuel les activités canadiennes de State Farm, la plus grosse mutuelle d'assurances aux États-Unis. Avec cette transaction annoncée ce midi, Desjardins deviendra le deuxième plus important assureur de dommages au Canada avec un volume de primes annuelles qui doublera presque, passant de 2 milliards à près de 3,9 milliards de dollars. Selon Desjardins, cette transaction devrait également renforcer sa quatrième position dans le marché de l'assurance de personnes au Canada. Une fois la transaction conclue, d'ici un an prévoit-on, Desjardins accueillera les 1700 employés canadiens de State Farm et le réseau canadien de plus de 500 agents qui desservent quelque 1,2 million de clients de l'entreprise en Ontario, en Alberta et au Nouveau-Brunswick. Par ailleurs, pour financer cette transaction qui mobilisera quelque 1,6 milliard en capitaux, Desjardins conserve State Farm comme partenaire au capital de sa filiale d'assurance-dommages. Il y ajoutera le Credit Mutuel de France, déjà un important vis-à-vis dans le secteur des plus grandes coopératives financières du monde. Desjardins se portera acquéreur des activités canadiennes d'assurance de dommages et d'assurance vie de State Farm, ainsi que de ses entreprises de fonds communs, de prêts et d'assurance de prestations du vivant (assurance santé). Desjardins pourra exploiter les affaires canadiennes de State Farm sous la bannière de cette dernière, et ce, pendant une période convenue entre les parties. Selon la présidente et chef de la direction du Mouvement Desjardins, Monique Leroux, «cette transaction entre State Farm et Desjardins avec l'appui de son partenaire français de longue date, le Crédit Mutuel, réunit trois groupes financiers coopératifs et mutuel pour créer un chef de file dans le secteur de l'assurance au Canada.» Selon Edward B. Rust Jr., président du conseil et chef de la direction de State Farm, «l'investissement de State Farm dans la compagnie d'assurance de dommages qui résultera de cette transaction avec Desjardins et la poursuite de l'exploitation de la marque de State Farm reflètent notre confiance en l'avenir de l'entreprise. » Pour sa part, le président du Crédit Mutuel, Michel Lucas, a indiqué que «cet engagement du Crédit Mutuel s'inscrit dans le cadre de notre politique de diversification, en France comme à l'étranger. Il témoigne aussi de notre volonté de contribuer activement à la mise sur pied et à la croissance du deuxième assureur de dommages au Canada. » http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201401/15/01-4728972-desjardins-et-le-credit-mutuel-achetent-state-farm-au-canada.php
  20. Québec avance 1,2 million au studio Cinesite Publié le 15 janvier 2014 à 11h07 | Mis à jour à 11h07 Québec prête 1,2 million de dollars à la société de Grande-Bretagne Cinesite pour qu'elle implante un studio de production d'effets visuels et d'animation à Montréal. Le prêt est octroyé par le bras investisseur du gouvernement provincial, la société Investissement Québec. La venue du studio qui créera autour de 200 emplois a été rendue publique par La Presse ce matin. La nouvelle devrait être confirmée lors du passage de la première ministre Pauline Marois à Londres la semaine prochaine. On doit à Cinesite les effets spéciaux de la série de films Harry Potter. Il s'agit du second studio britannique à choisir Montréal en un an. À peu près à la même date l'an dernier, Framestore avait annoncé l'ouverture de nouvelles installations à Montréal. L'entreprise avait pu bénéficier d'un prêt sans intérêt de 900 000$ étalé sur 5 ans, ce qui coûte environ 35 000$ par année au gouvernement. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201401/15/01-4728925-quebec-avance-12-million-au-studio-cinesite.php
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