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  1. Montréal International a courtisé fort partout dans le monde en 2011, et ses efforts de séduction ont porté leurs fruits. L'organisation a contribué à attirer des investissements directs étrangers de 668 millions de dollars pendant l'année, une hausse de 16% par rapport à 2010. Montréal International (MI), qui a dévoilé hier soir ses résultats au cours de son assemblée annuelle, a aidé 28 entreprises étrangères à s'implanter ou grandir ici, soit exactement le même nombre qu'en 2010. Parmi les sociétés soutenues, mentionnons le fabricant de jeux vidéo Square Enix, qui a ouvert un nouveau studio à Montréal, Google, qui a doublé ses effectifs dans la métropole, et le développeur de batteries au lithium BatHium, qui a investi 176 millions à Boucherville. Fait intéressant, les trois quarts des projets soutenus sont dans des secteurs de haute technologie. Selon l'organisme, ces investissements ont permis de créer ou conserver 2351 emplois dans la région métropolitaine. L'Europe a été au coeur des efforts l'an dernier, 50% des investissements provenant du Vieux Continent. MI a aussi attiré ou retenu 1887 travailleurs qualifiés à Montréal au cours de l'année par l'entremise de ses missions de recrutement. Le président du conseil d'administration, Normand Legault, a rappelé dans le rapport annuel que le nombre d'agences de promotion qui travaillent à attirer des investissements a quintuplé au cours des 20 dernières années, créant une concurrence de plus en plus vive. «MI continuera en 2012 à faire face à des défis importants, comme l'attractivité croissante des pays émergents comme le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine», a-t-il dit, pointant aussi la force du dollar canadien qui réduit la compétitivité de Montréal par rapport aux villes américaines. L'organisme continuera de jouer les cartes de la main-d'oeuvre qualifiée et bilingue, des programmes de soutien à la recherche et au développement, et de la qualité de vie pour attirer des gens et des dollars à Montréal. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201204/20/01-4517207-montreal-international-les-investissements-etrangers-en-hausse.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  2. En attendant la ligne bleue Par Marc-André Carignan Le moins qu’on puisse dire à propos de la rue Jean-Talon Est, c’est qu’elle n’est vraiment pas l’artère commerciale la plus attrayante de Montréal. Pour y avoir travaillé dans une autre vie, je vous avoue que je ne m’ennuie pas tellement de son architecture commerciale et résidentielle disparate, de ses trottoirs ravagés par le temps et de ses arbres chétifs qu’on peut pratiquement compter sur les doigts d’une main. Et que dire de ses «mosaïques» d’asphalte et de pavé uni de trois ou quatre mètres de large, faisant grossièrement le lien entre le trottoir et les façades commerciales? Quelques restaurants y ont vu l’occasion d’aménager des terrasses, mais pour les autres, c’est un espace tristement oublié où pousse la mauvaise herbe. Cela dit, il faut reconnaître que l’artère s’en sort relativement bien sur le plan commercial, particulièrement à l’est de Viau. On y croise peu de locaux vacants, alors que les communautés culturelles (ghanéenne, arménienne, algérienne…) trouvent progressivement leur place dans cette zone longtemps dominée par la communauté italienne. La qualité de l’offre commerciale s’améliore également avec de nouveaux commerçants qui décident d’en faire leur terre d’accueil. Reste que cette artère névralgique de Saint-Léonard a mal vieilli et aurait besoin d’un peu d’amour. «Il faut ramener un sentiment de fierté sur la rue, avoue Sylvain Tardif, directeur de la Société de développement commercial (SDC) Jean-Talon Est. On a besoin de places publiques, de verdure, d’art public. On doit donner le goût aux résidants et aux commerçants de s’impliquer dans le quartier.» M. Tardif planche d’ailleurs en ce moment, en collaboration avec la ville-centre, sur un projet de revitalisation urbaine estimé à 3M$, qui s’étendrait de Viau à Langelier. Les objectifs: verdir Jean-Talon Est, favoriser la marche, voire le vélo, avec un design urbain adéquat et, surtout, attirer de nouvelles PME. «Il y a de la pauvreté dans le quartier, et la création d’emplois pour les nouveaux arrivants est une priorité, poursuit M. Tardif. Plusieurs d’entre eux sont diplômés, mais n’arrivent pas à travailler. […] On veut donc attirer de nouveaux commerces, mais aussi remplir nos bureaux avec des entreprises qui offrent des emplois de qualité.» Pour le directeur de la SDC, un milieu de vie plus attractif est incontournable à ce stade-ci pour réussir à attirer de nouveaux investisseurs. Il compte également sur l’arrivée tant espérée (mais pas encore confirmée) de la ligne bleue du métro. «Beaucoup de gens circuleront à pied pour se rendre aux stations de métro, notamment sur Jean-Talon, indique-t-il. Il faut préparer le quartier pour mieux desservir les futurs usagers. Il faut aussi penser à densifier le secteur pour y amener davantage de résidants. […] Il y a encore beaucoup de pain sur la planche.» La ville-centre et l’arrondissement Saint-Léonard organiseront des consultations publiques cet hiver afin d’inviter les résidents et les commerçants à participer au projet de revitalisation urbaine. Le début de travaux est prévu pour 2017. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/853933/en-attendant-la-ligne-bleue/
  3. McGill prévoit se joindre à l'ÉTS pour établir un centre de recherche dans Griffintown: le Quartier d'innovation (QI) devrait au départ prendre la forme de 2 bâtiments, un pour chaque université. Les partenaires espèrent créer un effet d'entraînement et attirer les entreprises faisant de la recherche dans le quartier. http://www.quartierinnovationmontreal.com/ http://www.mcgilltribune.com/news/mcgill-reveals-more-about-future-quartier-d-innovation-1.2748613?pagereq=1#.TzVDUcgU6Jp Source: http://www.montrealitesurbaines.com/
  4. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  5. http://www.montrealgazette.com/business/Port+president+ridicules+facilities+cruise+ships+welcomes/9473457/story.html
  6. Barcelone mérite hautement sa réputation de ville exceptionnelle, qui marie joyeusement architecture, culture et loisirs de toutes sortes. C'est une ville où il fait bon vivre en dépit bien sûr du haut taux de chômage qui y sévit actuellement. C'est un endroit vibrant mais pas oppressant. Une ville moderne où les nouveaux immeubles se distinguent des boîtes génériques autant par leur forme que leurs couleurs. Et une ancienne cité toute piétonnière, très animée et fort agréable à visiter. C'est aussi la ville de Gaudi, célèbre architecte dont les oeuvres du début du siècle ont fait la réputation de Barcelone partout dans le monde, et continuent à attirer un grand nombres de visiteurs étrangers. En fait le riche héritage architectural de Gaudi vaut à lui-même le déplacement, même si Barcelone a bien d'autres raisons de nous attirer dans son décor unique.
  7. La saison estivale 2010, de mai à septembre, peut être qualifiée d'excellente pour l'ensemble de l'industrie touristique montréalaise. En effet, les dernières analyses font état d'une augmentation de plus de 13 % du nombre de chambres d'hôtel vendues durant l'été 2010, comparativement à celui de 2009. Le prix des chambres a quant à lui augmenté d'environ 6,8 % pour l'été. Plusieurs facteurs expliquent l'accroissement du nombre de visiteurs dans la métropole cette année, notamment le retour du Grand Prix de Formule 1 du Canada et la stabilisation de l'économie mondiale. Mais les efforts considérables déployés par les intervenants touristiques pour promouvoir Montréal à titre de destination dynamique et le travail des professionnels de l'industrie des congrès pour attirer des réunions d'affaires d'envergure dans la ville ont aussi porté fruit. « L'année 2009, qui avait si cruellement frappé notre industrie, est désormais chose du passé et nous ne pouvons que nous réjouir des excellents résultats de l'été 2010 », mentionne le président-directeur général de Tourisme Montréal, l'honorable Charles Lapointe. « La rapidité avec laquelle nous avons réagi pour contrer à la fois la conjoncture économique maussade de l'an dernier, l'entrée en vigueur du passeport obligatoire pour nos voisins américains désireux de séjourner au Canada et la restriction de visa pour les voyageurs mexicains, a permis à Montréal de tirer son épingle du jeu dans un contexte où la concurrence est extrêmement féroce entre les villes. Grâce, entre autres, au travail acharné et à l'expertise des équipes de Tourisme Montréal comme des artisans de l'industrie, la métropole a pu se démarquer des autres destinations et attirer un nombre record de visiteurs, qu'il s'agisse de séjours d'agrément ou de congrès, et je tiens à dire merci à tous ceux et celles qui ont contribué à ce succès », de conclure Charles Lapointe. Un des défis pour les prochaines années sera de continuer à combler les quelque 5 000 chambres d'hôtel ajoutées depuis une décennie, principalement dans le créneau de qualité supérieure. Le parc immobilier du Grand Montréal compte aujourd'hui plus de 31 000 chambres. Ces récents investissements majeurs montrent que Montréal se démarque avec une offre qui se renouvelle, ce qui entraîne des répercussions positives sur l'expérience touristique des visiteurs internationaux. Une vision et une stratégie proactives pour conserver l'élan La stratégie de développement et de commercialisation de la destination, amorcée l'an dernier, se poursuit afin de conserver les acquis de Montréal sur la scène mondiale avec notamment la mise sur pied, dans les prochains jours, d'une démarche stratégique proactive. Tourisme Montréal a remis le mandat entre les mains de l'un des conseillers en stratégie les plus respectés de Montréal, M. Marcel Côté, associé-fondateur du groupe Secor. Dès la semaine prochaine, un sondage sera réalisé auprès des membres de l'organisation et une consultation effectuée auprès de leaders de l'industrie touristique montréalaise et québécoise. Cette nouvelle démarche permettra de trouver des avenues novatrices pour Tourisme Montréal en marketing, en vente et en développement de produits. Elle s'inscrit aussi dans la mission de l'organisation d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion, d'accueil et de positionnement de la destination auprès des marchés de voyages d'affaires et d'agrément. Montréal reçoit annuellement quelque 7,5 millions de touristes, tous séjours confondus, dont les dépenses touristiques représentent 2,5 milliards de dollars. Bilan saison touristique 2010 à Montréal : http://www.octgm.com/pdf/bilan-touristique-ete-2010.pdf http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1157&lang=fr
  8. Finance: Montréal a le vent dans les voiles malgré la crise 9 octobre 2009 | 15h21 Michel Munger Argent Montréal a le vent dans les voiles alors que son secteur financier a crû avec l'arrivée de 18 centres financiers malgré la crise de 2008. Pourtant, la crise a fait réduire la taille du secteur chez les géants new-yorkais et londoniens. Jacques Girard Jacques Girard, PDG par intérim de l'organisme Centre Financier International (CFI) de Montréal, vient expliquer comment un programme gouvernemental qui existe depuis 1986 aide la ville à attirer des sociétés. Parmi les avantages offerts pour les attirer, l'on compte une exemption d'impôt sur le capital de 75% pour le capital versé provenant des activités d'un centre financier. Argent: Au quotidien, comment travaillez-vous pour attirer des entreprises ici ? Jacques Girard: «Nous avons des démarcheurs qui ont chacun un territoire et nous nous concentrons sur les endroits les plus prometteurs. John Rooke travaille à Toronto, aux États-Unis, à Boston et New York. Steve Gauthier travaille en Europe, plus précisément pour Paris et Londres. Nous élargirons peut-être le territoire dans les prochains mois.» «Nous sollicitons les sociétés financières pour les inciter à s'établir à Montréal et à bénéficier des avantages fiscaux qui découlent de la loi sur les centres financiers internationaux.» Argent: Pouvez-vous nous donner un exemple de société que vous avez attiré ici ? Jacques Girard: «Nous avons 118 centres financiers. Nous avons eu une réunion du conseil d'administration la semaine dernière, où nous avons recommandé l'accréditation de huit nouveaux centres et ça va continuer au cours de l'année. C'est une grande variété de sociétés. Plutôt que de vous donner un nom, ce qui nous rend particulièrement fier est quand la société s'installe ici et que son nombre d'emplois grossit rapidement.» Argent: Outre des mesures fiscales, quels sont les avantages de la métropole québécoise ? Jacques Girard: «Un des attraits principaux de Montréal est la qualité remarquable la main d'oeuvre, la présence de quatre universités qui ont chacune des écoles de gestion, dont plusieurs avec une réputation internationale. HEC Montréal est considérée comme l'une des 10 meilleures du monde.» «Il y a aussi une tradition mathématique excellente. Nous avons à la fois des entreprises canadiennes, québécoises, européennes et américaines établies ici. Au cours de la dernière année et demi, nous avons attiré 18 nouveaux centres, 65% provenant des États-Unis, le reste provenant de la Grande-Bretagne et de la France.» Argent: Comment ces centres contribuent-ils au développement de de la ville, qui n'est plus la première place financière au Canada ? Jacques Girard: «La niche internationale a toujours été intéressante pour Montréal. Toronto a pris une place importante au cours des 30 ou 40 dernières années mais à Montréal, environ 100 000 personnes travaillent dans le secteur. C'est autant ou plus que dans la majorité des autres grappes majeures. Il y a environ 40 000 personnes en aéronautique. Il y en a presque 100 000 dans les technologies de l'information. Pour les sciences de la vie, ça se situe autour de 30 000.» «Au cours des dernières années, le taux de croissance du secteur financier a été autour de 3,6% alors que pour l'ensemble des autres entreprises, il était autour de 2%. Deux fois par année, la City de Londres publie un palmarès des centres financiers les plus importants et Montréal se situe habituellement du 25e ou 30e rang alors que Toronto est au 12e ou 13e. Nous voulons consolider Montréal et la développer.» Argent: Que dites-vous à ceux qui croient que nous sommes très ou trop généreux avec les avantages fiscaux consentis aux centres financiers qui s'établissent ici ? Jacques Girard: «Il y a un autre programme de centres financiers à Vancouver, avec des exemptions aussi généreuses qu'à Montréal. Nous nous tentons de nous adapter à la situation et de revoir la loi. Vous savez, c'est un jeu mondial. Si nous n'avons pas de programmes pour attirer les gens et l'investissement étranger, nous ne les attirons pas. La concurrence, déjà vive, devient encore plus vive avec les marchés émergents. Nous n'avons d'autre choix que d'offrir des exemptions fiscales.» «Nous avons fait faire une étude afin de savoir combien ça coûtait au gouvernement du Québec. En utilisant des paramètres très conservateurs, les exemptions fiscales sont largement compensées par les investissements, les impôts payés par les sociétés, les maisons achetées et les dépenses faites dans les restaurants et hôtels.» Comment avez-vous vécu la crise financière, qui a fait réduire la taille du secteur à beaucoup d'endroits ? Jacques Girard: «La crise touche moins le Canada et le Québec que d'autres parties du monde. Ce qui attire les CFI est la stabilité de nos banques et la qualité de la main d'oeuvre. Le Québec et Montréal sont aussi vus comme des endroits plus sûrs qu'ailleurs.» «Il y a des niches spécifiques avec les fonds de retraite, avec la Caisse de dépôt et placement, avec l'agence fédérale qui est à Montréal, avec d'autres gros fonds comme celui du Canadien National. C'est une expertise qui attire des entreprises intéressées à faire affaire avec ces institutions.» Quelle est la taille du secteur à Montréal ? Il s'agit de 100 000 emplois avec 3000 entreprises. Quels sont les avantages offerts ? - Une exemption d'impôt du Québec de 75% sur le revenu provenant des transactions admissibles; - Une exemption d'impôt sur le capital de 75% pour le capital versé provenant des activités du CFI; - Une exemption de 75% sur les cotisations au Fonds des services de santé du Québec sur la masse salariale liée à l'exploitation du CFI. Quelles transactions sont admissibles ? Celles qui sont transfrontalières, même pour des dépôts d'argent. Quelles entreprises se qualifient au programme ? Par exemple, la banque française Société Générale en fait partie.
  9. 700 000 emplois disponibles d’ici 3 ans Agence QMI Julie Charette 08/06/2009 12h08 En vue de combler les 700 000 emplois qui seront disponibles au Québec d’ici 2011, le gouvernement de Jean Charest compte sur les travailleurs spécialisés étrangers. Devant une centaine de gens d’affaires réunis ce matin lors de la première journée des travaux du 5e Forum économique international des Amériques, la ministre de l’Immigration et des Communautés culturelles, Yolande James, a soutenu que l’immigration était une partie de la réponse aux besoins en main-d’œuvre du Québec. «La diminution de la population active pourrait entraîner un ralentissement de l’activité économique», affirme Mme James en rappelant qu’en 2050 un Québécois sur trois aura 65 ans et plus. L’immigration: «une valeur ajoutée pour le Québec» Confronté au vieillissement de sa population, le Québec doit donc développer des «mesures audacieuses» pour recruter et retenir les travailleurs immigrants. «À l’heure actuelle, plusieurs pays se font concurrence pour attirer les travailleurs», signale la ministre James. Afin de tirer son épingle du jeu, le Québec a mis en place diverses mesures: priorisation du traitement des demandes des travailleurs qualifiés et accélération de leur arrivée au Québec, accompagnement spécialisé, renforcement de la francisation et signature d’une trentaine d’ententes avec des ordres professionnels pour faciliter l’accès des immigrants aux professions réglementées. Le gouvernement Charest souhaite attirer près 50 000 immigrants annuellement. Pour ce faire, il devra accueillir plus de 9000 immigrants supplémentaires au Québec au cours des prochaines années.
  10. Avec la situation économique qui force les concessionnaires de voitures à en faire plus pour attirer les consommateurs, les promotions de financement à taux d'intérêt bas ou à zéro se multiplient. Pour en lire plus...
  11. Des pharmacies du Downtown Eastside offrent de 5$ à 10$ par ordonnance pour attirer les toxicomanes dans leur établissement. Pour en lire plus...
  12. McKesson Corporation, géant nord-américain des grossistes dans le domaine pharmaceutique, serait intéressé à attirer Uniprix dans son giron. Pour en lire plus...
  13. L'industrie touristique du Nouveau-Brunswick peine à attirer les touristes en raison du mauvais temps et de la hausse du prix du carburant. Pour en lire plus...
  14. Mega Brands s'en remet au magnétisme pour attirer de nouveau les investisseurs. En lançant cet été sa gamme de jouets de construction aimantés Magnext, Mega Brands veut faire oublier sa gamme précédente Magnetix. Pour en lire plus...
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