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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Moi je met un p'tit 20 sur l'une des deux tours dans Griffintown. Je suis convaincu que Rogers est l'un de leur plus grand potentiel de client.
  2. C'est chiant d'être à la campagne avec un internet trop lent pour visiter le site souvent... tu manques d'excellentes nouvelles comme celle-là! 2,2 milliards! C'est vraiment incroyable! Le double de Griffintown, que l'on trouvait déjà incroyable! 2 x 60 étages!! Je m'imaginais à peine vivre ça dans ma vie! (le 1000 et le 1250 étant déjà (ou presque) commencés à ma naissance...) En passant, selon moi, le terrain en question est le gros terrain où Devimco voulait construire leur tour de 32 étages (non mais c'est banale 32 étages en ce moment!). Il est collé à l'autoroute Bonaventure ( comme dit dans l'article) et est sur le bord de l'eau (pour la marina). Autre point, la tour ne dérogera pas le règlement sur la hauteur, je suis convaincu. Le site est beaucoup plus bas que le 1000 ou le PVM, permettant de construire un peu plus haut. La tour aura max 225 mètres, ce qui est assez pour être la plus haute de la ville!! De plus, le maire Tremblay est très attaché au règlement, il avait promis de le laissé à son entrée à la mairie. Personnellement, je suis d'accord avec ça, mais comme dit dans un autre fil je ne sais pus où (peut-être même sur SSP), je crois que l'on devrait faire comme à Vancouver et permettre à 4 ou 5 sites à Montréal de construire plus haut que la limite. Héhé! Je viens de me rendre compte que je parlait du projet au singulier, mais il y a deux tour! Mon Dieu! Pour finir: Mesdames et Messieurs, bienvenue dans le nouveau Montréal! Gare à tous, car à partir d'aujourd'hui, je frappe tous ceux qui oseront dire qu'il ne s'y passe rien, dans cette ville en changement!
  3. Le promoteur est pas cave pour son hôtel, il sait qu'il va y avoir un casino près de là, un jour ou l'autre
  4. When religion means inclusion par Catherine Leroux Voir tous les articles de Catherine Leroux Article mis en ligne le 2 novembre 2007 à 15:51 Soyez le premier à commenter cet article The Saint-Sauveur cathedral can hold 825 people. (Photo: Martin Alarie) Inaugurating the St. Sauveur Cathedral When religion means inclusion At a time when religious accommodations are being debated ferociously, a group of Greek Melkite Catholics are rejoicing over the construction of a new cathedral in the heart of Bordeaux-Cartierville. A remarkable feat, given the rate at which discarded church properties are being converted in condominiums, and one accomplished in a spirit of collaboration and inclusion that is nothing less than inspirational. The St. Sauveur Cathedral, which sits on the corner of L’Acadie Boulevard and du Liban Street was inaugurated with much pomp and circumstance last Sunday in the presence of religious and political leaders. "(There were) 70 representatives from diverse religious sects, Catholic and Orthodox alike, that have come," said Samir Cassab, vice-president of the St. Sauveur parish's council. Grégoire III Laham, patriarch of Antioch, Alexandria and Jerusalem, made the trip from Syria for the inauguration. Quebec Premier Jean Charest and federal Liberal leader -- and St. Laurent/Cartierville MP -- Stephane Dion were also on hand. An always-lively history Contrary to what the name might suggest, Melkites aren’t necessarily Greek; rather, the religion is practiced across the Middle East and the diaspora extends to all the world’s continents. In Montreal, the first Melkite parish was born in 1891. The St. Sauveur Church, located at the corner of St. Denis and Viger streets, was the longtime heart of the Montreal Melkite community. But as the community spread further and further away from downtown and towards St. Laurent and Bordeaux-Cartierville, the high cost of multiple renovations forced the parish council to sell the church and rent Notre-Dame-des-Anges church for a while. Monseigneur Coriaty, who was our priest for 35 years, always wanted to build a church and community centre in this area. He bought the land, and started by building a community centre, and then, little by little, we were able to construct the cathedral, which is attached to the community centre by a common entrance," Cassab added. Because of the community's attachment to the St. Denis Street building, they took care to import some memories from the old place to the new home. "Most of the community was baptized or married there, and lived a lot of important moments in the old church. So, we kept the sacramental tables, and the stained-glass windows were placed in the cathedral so the past can integrate into the future," Cassab continued. A diverse architecture Adhering to the Byzantine style of church architecture, the St. Sauveur Cathedral is dominated by a large cupola and two small towers framing the entrance. "From the outside, the cupola has been covered in copper so that it fits in well with the other roves of Montreal churches. It's a small nod to the Québécois culture, to let them know we're all the same," Cassab said. Another nod to Quebec culture is the cross in the church's main window, whose four extremities are shaped as fleur-de-lys. The church's bells will serve as a method of communication and "will add a little bit of life in the community," Cassab explained. The exterior of the church and the columns were made of stone. The church's capacity is 825 , including the jube. Next to that are two rooms set up to provide children with a view of the action. The basement features an enfeu, an underground graveyard where deceased priests are buried. Remarkably, the entire building was constructed in a year. "We must thank God for that. We got to work with wonderful professionals" Cassab exhorted. Partners The project became a reality thanks to donors from the parish, who Cassab called the "builders," of the parish, and thanks to logistical help from the borough of Ahuntsic-Cartierville and College Bois-de-Boulogne. The Archbishop of Montreal and Longueuil helped in getting benches for the church. "And we must underline the inestimable work of Monseigneur Ibrahim M. Ibrahim, the parish priest, who will officiate in the cathedral," Cassab said. Mass will be held in three languages (French, English and Arab) every night at 7 p.m., and Sunday at noon. A French-only mass will be held Sunday at 10 a.m. The church's doors will be open during the day and a fixed schedule will soon be available, officials said. http://www.courrierbc.com/article-153923-When-religion-means-inclusion.html
  5. des fonctionnaires qui ne savent pas de quoi ils parlent... très surprenant de l'autre côté des promoteurs ayant fait leur recherche parceque le moteur de cette motivation est l'argent, leur bien être financier. Un doit "protèger" nos intérêts contre l'autre... pathétique. C'est tu les mêmes clowns qui ont déposer un mémoire sur la notre dame?
  6. Bombardier et Alcan: l'embarras Est-ce que le gouvernement du Québec, en particulier Claude Béchard, ex-ministre du Développement économique et son successeur Raymond Bachand, a bien géré le dossier du renouvellement des wagons du métro de Montréal et celui de la vente d'Alcan à Rio Tinto? Les rebondissements des derniers jours nous obligent à mettre en question les décisions du gouvernement du Québec dans ces dossiers. Le contrat du métro Prenons d'abord l'affaire du renouvellement des wagons du métro de Montréal. Québec a décidé, malgré toutes les mises en garde de la société française Alstom, de donner le contrat sans appel d'offres à Bombardier. C'était au printemps 2006, rappelez-vous, le ministre responsable à l'époque Claude Béchard en avait fait une annonce spectaculaire et avait été accueilli en héros à l'usine de Bombardier de La Pocatière par des employés rassurés d'avoir du travail pour plusieurs années. Pendant que le ministre Béchard lançait ses confettis dans les airs, les avocats d'Alstom se sont mis au travail dans le but de bloquer l'octroi du métro de gré à gré à Bombardier et de provoquer ainsi un appel d'offres. La société française a eu gain de cause en janvier dernier et, sans tambour ni trompette cette fois-ci, le gouvernement a dû se contraindre à annoncer mercredi que le contrat sera finalement donné en appel d'offres. « Je vais respecter le jugement de la Cour supérieure, a déclaré le ministre du Développement économique, Raymond Bachand. On pourrait en appeler. Mais on regarde vers l'avenir, on tourne la page. » Son argument aujourd'hui, c'est de dire que faire appel devant la cour serait plus long que de lancer maintenant le processus d'appel d'offres. On peut lui rétorquer que s'il avait choisi le processus d'appel d'offres en mai 2006, le gagnant serait déjà connu, les travailleurs seraient déjà à l'oeuvre et les usagers du métro de Montréal pourraient bientôt franchir les portes des nouveaux wagons. La réalité, c'est qu'en voulant favoriser Bombardier, le gouvernement du Québec aurait pu lui nuire aussi. Bombardier est une entreprise internationale qui participe à un nombre important d'appels d'offres dans le monde, dont plusieurs en France, en concurrence avec Alstom. La France aime ses trains et ne cesse de développer son réseau ferroviaire. Bombardier a tout intérêt à ne pas se brouiller avec les autorités françaises et c'est le président Sarkozy qui le lui a rappelé sèchement mardi: « Si Bombardier veut concourir dans les appels d'offres en France, il est le bienvenu, mais dans ce cas-là je demande qu'Alstom soit également le bienvenu pour concourir au Canada. La concurrence c'est la réciprocité. S'il n'y a pas de réciprocité, nous en tirerons toutes les conséquences. » La vente d'Alcan Et puis, dans le dossier d'Alcan, le gouvernement n'a pas voulu intervenir dans la vente de l'un de ses joyaux malgré les inquiétudes concernant les emplois et les investissements, et malgré aussi les incertitudes quant à de nouvelles offres d'achat d'autres groupes étrangers. Certes, il y a une entente qui lie le gouvernement du Québec à Alcan, qui prévoit notamment des investissements au Saguenay, en échange de droits hydrauliques. C'est une entente solide, nous dit-on. Cela dit, ce n'est pas pour faire de la peine aux travailleurs du Saguenay, mais les dirigeants à Londres et à Sydney ne vont certainement pas s'émouvoir de cet accord conclu pour quelques usines s'ils considèrent qu'elle n'est plus dans leur intérêt. En fait, dans cette affaire, le ministre du Développement économique doit reconnaître que Québec a cédé son pouvoir sur Alcan. Aujourd'hui, Alcan est une propriété de la société anglo-australienne Rio Tinto, qui est l'objet d'une offre d'achat de 150 milliards de dollars américains de la société anglo-australienne BHP Billiton. Même si Rio Tinto a refusé la dernière offre de BHP, il ne serait pas étonnant que le courtisan dépose une nouvelle offre. Et si BHP met la main sur Rio Tinto, on peut se demander ce qu'elle fera d'Alcan. Que fera-t-elle de l'entente entre Québec et Alcan? Va-t-elle respecter cet accord? Va-t-elle revendre Alcan aux plus offrants, en tout ou en partie, aux Américains (Alcoa) ou aux Chinois (Chinalco)? À qui d'autres? Est-ce que le gouvernement du Québec ne devrait-il pas mieux protéger ses entreprises en adoptant des règles encadrant les prises de contrôle par des sociétés étrangères? L'État de la Pennsylvanie, où est située Alcoa, l'a fait. Là-bas, la loi exige que les offres, hostiles ou amicales, respectent l'intérêt de l'État, des citoyens et des entreprises. Par exemple, la loi exige que toute personne morale qui fait l'acquisition de plus de 20 % des actions votantes de la société visée soit obligée de payer en argent la « valeur juste » de ces actions. Et puis, l'acquéreur ne peut pas acheter l'entreprise dans l'objectif de la revendre en peu de temps à profit ou en revendant ses actions à la société. Dans une étude publiée en 2005, il est dit que « les règles anti-acquisitions de la Pennsylvanie établies en 1990 sont considérées comme étant tellement draconiennes qu'elles ont entraîné une vague d'oppositions de la part des actionnaires. »* Doit-on aller jusque-là? Les règles du jeu Dans l'affaire du métro, il y a très certainement cafouillage. En imposant des règles strictes sur la fabrication des wagons au Québec, le gouvernement aurait pu lancer un appel d'offres. Bombardier l'aurait peut-être gagné de toute façon. Ou alors Alstom aurait pu tenter de l'obtenir aussi en investissant au Québec, en construisant une usine, en embauchant des Québécois. Et, dans l'affaire de la vente d'Alcan, des règles strictes et précises auraient pu éviter qu'Alcan se trouve au centre d'une partie de ping-pong entre deux groupes anglo-australiens qui se font du charme, une société américaine qui attend de recueillir la bête esseulée et les Chinois, qui surveillent patiemment le bon moment pour attaquer. ==== http://www.radio-canada.ca/nouvelles/carnets/2008/02/07/96988.shtml
  7. C'est vrai ce que tu dis Rocco. Par contre, je crois que le projet de griffintown incorpore déjà plusieurs tours allant jusqu'à 80 mètres... c'est vraiment un nouvelle concentration de tours auquel on "devrait" assister dans le future.
  8. écoute je suis sure que les raffineries dans l'est polluent beeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen plus qu'une nouvelle autoroute...
  9. 60 étages fois 3.6 mètres c'est 216 étages!!! si le podium est plus haut que d'habitude, on parle de facilement 220 mètres.
  10. mtlurb

    La LNH à Québec?

    pourquoi privatiser ça? ça rapporte quoi de plus? une équipe de hockey ? et des millions en pertes pour l'état et une pègre.
  11. Explosion des commandes pour Bombardier en 2007 7 février 2008 - 17h11 Presse Canadienne Agrandir Un des jets d'affaires développés par Bombardier. Bombardier Aéronautique (BBD.B) a continué à profiter largement de la renaissance du secteur de l'aviation, en 2007. En additionnant les chiffres publiés pour les neuf premiers mois de l'année et les autres commandes rendues publiques jusqu'à la fin de l'exercice, le 31 janvier dernier, on découvre que le constructeur québécois a enregistré au moins 509 commandes nettes d'avions en 2007-08. De ce nombre, 203 étaient pour des avions régionaux (CRJ et Q400). C'est plus du double des 87 commandes nettes reçues pendant l'année 2006. Les jets régionaux CRJ ont connu des ventes étincelantes (136 commandes nettes en 2007 contre 49 en 2006). Les accidents fort médiatisés impliquant des biturbopropulseurs Q400 n'ont pas nui aux affaires: Bombardier a enregistré 67 commandes nettes de cet appareil économe d'essence en 2007, contre 38 en 2006. Le rival brésilien de Bombardier, Embraer, a légèrement dépassé Bombardier dans le segment des avions régionaux en vendant quelque 146 appareils en 2007, selon le magazine spécialisé Aviation Week. Il faut dire que l'exercice d'Embraer s'est terminé un mois plus tôt, le 31 décembre. Du côté des avions d'affaires, il y a aussi eu progression. Bombardier a reçu au moins 306 commandes nettes de Global Express, de Challenger et de Learjet au cours du dernier exercice, contre 274 en 2006. Le nombre officiel de commandes, qui sera annoncé à la fin du mois, sera probablement plus élevé, puisque l'existence de plusieurs commandes n'est rendue publique qu'à la publication des résultats trimestriels. Le titre de Bombardier a clôturé jeudi à 4,96 $ à la Bourse de Toronto, demeurant inchangé. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080207/ACTEST/80207185/5891/LAINFORMER01
  12. Bon qu'est ce qu'il manque, les 8 huits voies de la rue notre dame seront aussi responsables de la faim dans le monde, de la disparition des cariboux de l'ïle anticosti et finalement, mais non le moindre, la disparition de la langue française en amérique du nord...misère.
  13. Le jeudi 07 février 2008 Rue Notre-Dame: une porte ouverte à la criminalité Photo André Tremblay, La Presse Bruno Bisson La Presse L'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal recommande de réduire de huit à six voies le gabarit de la future rue Notre-Dame, de bonifier les services de transports en commun et de repenser tout l'aménagement urbain du projet, qui exposerait les piétons et cyclistes à la criminalité de rue dans l'est de la métropole. document.write(''); Dans un mémoire percutant de plus de 30 pages présenté hier par des responsables de la Direction de santé publique de Montréal, l'Agence estime que le projet routier de la Ville de Montréal et du ministère des Transports du Québec (MTQ) «ne constitue pas une véritable modernisation de la mobilité qui favorise la santé et le bien-être de la population montréalaise, et en particulier des résidants de l'est de l'agglomération». Ces critiques reposent sur quatre aspects du projet routier de 750 millions que les chercheurs de la DSP de Montréal estiment perfectibles: l'augmentation de la capacité de circulation automobile, qui va passer de quatre à six voies de circulation - les deux autres étant réservées aux transports en commun; la mise en oeuvre de mesures d'apaisement de la circulation dans les quartiers limitrophes à la rue actuelle; l'insuffisance des services de transport collectif proposés dans le projet; et la sécurité des aménagements urbains (piste cyclable, sentier piétonnier, parcs, passerelles, etc.), dont certains «laissent perplexe», au point de représenter un risque sur le plan de la sécurité publique, en particulier celles des femmes et des enfants. Selon la DSP, ces éléments d'aménagement, autour du projet routier comme tel, intègrent mal certains principes «de visibilité, d'éclairage, d'absence de cachettes et de couloir à déplacement prévisible, de disposition de la végétation, de proximité des lieux pouvant offrir de l'aide et d'accès facile pour les patrouilles» de police qui répondraient à des appels d'urgence. Les experts de la DSP estiment ainsi que l'idée de donner accès à des parcs cernés par des voies autoroutières à l'aide de passerelles - les parcs ne seront pas accessibles sans ces équipements - doit être abandonnée. «Ce type de structure est reconnu comme étant un couloir à déplacement prévisible dont il faut éviter l'implantation», estime la DSP. En clair, ces passerelles, au-dessus d'une autoroute, peuvent devenir des pièges impossibles à surveiller, et dont il serait impossible de s'extirper, une fois qu'on y est engagé. La DSP estime également que l'emplacement de la piste cyclable fera que plusieurs de ses segments seront «isolés» et assez «insécurisants», au point d'empêcher les usagers de les utiliser. Ultimement, toutefois, la DSP a surtout dénoncé le fait que le projet du MTQ et de la Ville représente «un biais en faveur de l'automobile», au détriment des transports en commun et du transport actif (marche et vélo). Le responsable du secteur Environnement urbain et santé à la DSP, le Dr Louis Drouin, qui présentait le mémoire, a estimé qu'il était «crucial» de réduire le gabarit du projet routier de huit à six voies - soit quatre voies de circulation automobile, et deux voies réservées en permanence pour les transports en commun. Le médecin a aussi jugé qu'il était nécessaire d'implanter des services de transport en commun «plus musclés» que ceux actuellement offerts dans le cadre du projet de la rue Notre-Dame. Les deux voies réservées aux autobus, qui permettraient de faire circuler 40 autobus durant chaque période de pointe, pourraient transporter jusqu'à 15 000 passagers. C'est fort peu, en regard des 75 000 automobiles pouvant emprunter chaque jour le même axe de transport. Enfin, la DSP estime qu'en permettant une forte augmentation de la circulation aux abords des quartiers Mercier, Hochelaga-Maisonneuve et Sainte-Marie, le projet perpétue des problèmes de santé chroniques déjà observés dans ces quartiers populaires: naissance d'un plus grand nombre de bébés de faible poids, un plus grand nombre d'hospitalisations pour des problèmes pulmonaires et un plus grand nombre d'accidents de la circulation. «Les impacts sanitaires négatifs, concluent les experts, affecteront davantage les citoyens des quartiers centraux, qui en assument déjà plus que leur juste part, aggravant ainsi les inégalités sociales de la santé.» http://www.cyberpresse.ca/article/20080207/CPACTUALITES/802070436/1019/CPACTUALITES
  14. La gare Windsor devient un «édifice significatif» Photo Robert Mailloux, La Presse Sara Champagne La Presse L'emblématique gare Windsor vient d'hériter du titre "d'édifice significatif". Inquiets de la vente imminente de l'immeuble par le Canadien Pacifique (CP), les élus de Ville-Marie ont modifié leur règlement d'urbanisme, mardi soir, afin de la protéger du pic des promoteurs. Du même coup, tout le quadrilatère qui borde l'ancienne gare, y compris le Centre Bell, se retrouve sous l'égide de cette reconnaissance patrimoniale. La nouvelle désignation, qui fera l'objet d'une assemblée publique d'information, n'a cependant pas force de loi. Mais toute modification à "l'enveloppe extérieure" de l'édifice devra être approuvée par le Comité consultatif d'urbanisme (CCU), de Ville-Marie. Protégée... pas pour longtemps La gare, plus que centenaire, est actuellement protégée en vertu d'une loi fédérale sur les gares ferroviaires. Le problème, c'est qu'une fois vendu par le CP, fort probablement à des intérêts privés -le nom de George Gillett, propriétaire du club du Canadien de Montréal, circule depuis des semaines-, l'édifice sera dépourvu de toute protection gouvernementale. À la direction des communications de la société ferroviaire, le porte-parole, Michel Spénard, n'était pas en mesure de confirmer la transaction. Il a cependant expliqué que le CP "est conscient du caractère patrimonial" de la gare, dont la dernière évaluation foncière établit sa valeur à 42 millions de dollars, terrain compris. "Des négociations sont en cours présentement avec un acheteur, a dit M. Spénard, du Canadien Pacifique. Les étapes réglementaires sont en marche. Et on tient compte du caractère de l'édifice." Le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, précise pour sa part que le nouveau règlement municipal ne s'applique qu'à l'architecture extérieure de l'édifice, et qu'il n'encadre pas des travaux intérieurs. L'arrondissement n'écarte pas la possibilité de demander à la Ville de Montréal de la citer immeuble patrimonial, ou de demander au gouvernement provincial de la classer "monument historique", selon les règles de la Loi sur les biens culturels. Rencontre au sommet Par ailleurs, une rencontre est prévue, demain, entre la direction de l'organisme de protection du patrimoine architectural, Héritage Montréal, et des représentants du gouvernement fédéral. "L'initiative de l'arrondissement est un geste intéressant, mais il faut une action plus complète de désignation, estime Dinu Bumbaru, directeur au sein de l'organisme. Le gouvernement fédéral pourrait par exemple établir une sorte de succession de préservation de l'immeuble." M. Bumbaru fait remarquer que la gare a déjà été sauvée in extremis de la démolition, dans les années 60, à la suite "d'une révolte" du peuple. "On voulait y construire un immeuble de bureaux", se remémore-t-il. "Le cardinal Léger, les joueurs du Canadien et les immigrés ont foulé Montréal en passant par la gare. Elle est en quelque sorte un symbole d'affirmation de Montréal en tant que grande métropole canadienne", ajoute Dinu Bumbaru. LA GARE EN QUELQUES MOTSLa gare Windsor a été construite en 1887, mais elle n'a été achevée qu'en 1913, après deux phases d'agrandissement. C'est la seule gare des 30 plus importantes d'Amérique du Nord encore intacte. Aujourd'hui, plus aucun train n'arrive à cette gare. Nom de l'architecte d'origine : Bruce Price, qui a choisi une inspiration romane médiévale. http://www.cyberpresse.ca/article/2008027/CPACTUALITES/802070439/5155/CPACTUALITES youppi vive les réglements!
  15. Désolé, mais je crois que tu es aveugle malheureusement. Une salle avait été ouverte à l'automne pour informer la population, on en avait même parlé sur le forum et l'«exposition» avait été annoncée sur les lampadaires du quartier international. Pourquoi vous chialez sur Tremblay? Désolé, mais je crois qu'il est le maire ayant le plus de vision pour sa ville depuis bien longtemps. Dites moi de bonnes raisons de ne pas l'aimer, je vais peut-être changer d'idée, mais sortez moi pas qu'il n'a pas de vision, c'est ridicule.
  16. Il me semble que ça fait déjà un bout de temps que le projet est commencé. Même l'article en parle sur cette page...
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