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  1. mtlurb

    Dette du Québec

    J'aurais accepté pour une baisse des impôts sur le revenu, ou sur des infrastructures. Mais des programmes?? sérieusement c'est jeter de l'argent par les fenêtres, combien de milliards sont mis de plus dans la santé?? et ça règle rien. Le système et inefficace et c'est pas l'argent qui va régler le problème.
  2. mtlurb

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    Ben moi je crois que la ville aurait dut respecter ce règlement et demander un permis. Il est certain que le gouvernement lui aurait donné le permis, il le dit lui même. La ville aurait pu s'exposer à une amende, je vois pas en quoi il est bien d'outre-passer un règlement pour son propre bien. Pour moi, c'est comme si tu roulais à 80 dans une zone de 50 pour arriver à l'heure pour Virginie. Pour préciser ma métaphore: C'était une démolition qui était aussi nécessaire au bon fonctionnement de la ville que l'émission Virginie l'est dans la vie d'une personne. Un règlement est fait pour être respecté. Tu peux le constester, dire qu'il est inutile ou exagéré (comme je le crois d'ailleurs, 500 pieds, c'est bien trop), mais tu le respectes, c'est tout. cprail On parle pas de l'OCPM ou d'une autre institution comme ça, on parle d'un ministère...
  3. mtlurb

    Dette du Québec

    Le spectre d'un retour au déficit inquiète les économistes Mise en ligne 06/03/2008 16h23 Pour éviter tout retour au déficit, Monique Jérôme-Forget, devra se livrer à un vrai numéro de funambule le 13 mars lors du dépôt du budget 2008-2009. Dans ce contexte, la ministre des Finances a repris à son compte les mots clés de Jim Flaherty prononcés lors du dernier budget fédéral : prudence et discipline. Et pour cause. Quelques années après le retour à l'équilibre, le Québec tombera ou ne tombera pas en déficit ? « C'est comme le Canadien au début de chaque saison, on ne sait jamais s'il va faire les séries ou pas », lance Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs Mobilières Banque Laurentienne. « La force et la durée du ralentissement économique pourraient affecter les revenus significativement à la baisse et par ricochet, avoir des impacts directs sur l'équilibre budgétaire. Les risques de revoir un déficit ne sont pas improbables si jamais le repli de l'économie américaine perdurait », avertissent les économistes de Desjardins. Imagination Mais une marge de manoeuvre très réduite, 200 M$, n'est pas une excuse pour ne pas proposer de nouvelles initiatives fiscales à l'instar de la Colombie-Britannique, signale Sébastien Lavoie. Celle-ci, lors de son dernier budget, a instauré une taxe sur le carbone tout en réduisant les impôts des particuliers et des entreprises. Bien des tours de passe-passe sont possibles sans affecter in fine les revenus de l'État. « Le gouvernement doit redoubler d'imagination pour améliorer l'efficience de l'économie... alors que le Québec perd du terrain vis-à-vis de ses voisins immédiats au plan de la prospérité en général », souligne le Mouvement Desjardins dans sa dernière étude intitulée « Budget du Québec 2008: maintenir l'équilibre budgétaire avant tout ». Pour Sébastien Lavoie, le gouvernement doit s'attarder à rendre le système fiscal plus compétitif afin de doper la performance économique. « C'est le thème à vendre aux Québécois », assure l'économiste. Du même souffle, le Mouvement Desjardins avance que « le gouvernement devrait immédiatement augmenter sa taxe de vente et redistribuer les sommes récupérées par le biais de baisses d'impôts. Une élimination de la taxe sur le capital et une réduction de l'impôt sur le revenu des particuliers, financées à même une augmentation de la taxe de vente, amélioreraient sans aucun doute l'efficience du régime fiscal québécois ». Dans son budget précédent, Monique Jérôme-Forget avait annoncé l'abolition de la taxe sur le capital pour 2011 et une réduction importante de son taux d'ici là. Mais tous les experts s'accordent à dire que cette taxe doit passer à la trappe le plus rapidement possible. Desjardins suggère de la remplacer par des mesures incitatives comme des crédits d'impôt à l'investissement. Pour contrer le choc démographique qui attend le Québec, M. Lavoie souhaite que le gouvernement Charest incite les baby-boomers à rester plus longtemps sur le marché du travail via des crédits d'impôt supplémentaires pour les travailleurs âgés de 55 ans et plus. L'économiste de Valeurs mobilières Banque Laurentienne attend aussi de pied ferme la ministre des Finances à propos du nouveau compte d'épargne libre d'impôt (CELI) créé par le gouvernement Harper. Les revenus d'intérêts, de dividendes ou de gains en capital provenant du CELI seront exempts d'impôt fédéral. Selon l'économiste, de par la loi, toutes les provinces à l'exception du Québec doivent emboîter le pas à Ottawa. D'après ses calculs, en jouant le jeu, Québec se priverait d'environ 10 M$ de revenus fiscaux à partir de 2009, date de son entrée en application. Le jeu en vaut la chandelle, estime-t-il. Reste aussi pour le gouvernement Charest l'épineuse question de la dette. Au total, elle s'élèvera à 127,8 G$ à la fin de l'exercice 2008-2009, soit 41,7 % du PIB. M. Lavoie, comme les économistes de Desjardins, appelle Québec à accroître les tarifs d'électricité afin de financer l'endettement de la province. Une hausse encadrée des tarifs, assortie de mesures compensatoires pour les plus démunis permettrait de dégager des sommes considérables, assure le mouvement coopératif. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/03/20080306-162308.html
  4. L’anglais toujours un accélérateur de carrière Marc-Olivier Bherer 07/03/2008 14h17 Tandis que le français recule au Québec au profit de l’anglais comme langue de travail, les Anglo-Québécois quittent la province. Que faut-il comprendre de ce phénomène? «Les Anglo-Québécois s’enfuient en masse (et en voiture familiale) de la Belle province depuis la prise du pouvoir par le Parti québécois en 1976. Mais ce n’est que récemment que l’élite québécoise a commencé à considérer cet exode comme problématique», écrivait le National Post dans un éditorial. Au même moment se tenait du 29 février au 2 mars à l’université de Montréal une conférence sur «La revitalisation de la communauté anglophone au Québec: tendances et perspectives d'avenir». Le National Post avait une réponse toute prête à adresser aux Québécois pour redynamiser cette communauté, «Arrêtez de faire des anglophones vos ennemis». Les universitaires Jean-Luc Migue et Gérard Bélanger n’écartent le rôle joué par la xénophobie pour expliquer ces départs. Mais ils ne s’y limitent pas. Ils remarquent dans un article également publié par le National Post répondant à l’éditorial cité plus haut que les anglophones québécois disposent d’un plus grand capital mobilité par rapport à leurs concitoyens. «Ils n’ont pas à franchir des barrières linguistiques et culturelles lorsqu’ils migrent. Ils possèdent de manière historique des aptitudes qui leur permettent de briguer des postes plus en demande et plus lucratifs. En un mot, ils sont plus mobiles. Tant que la province restera une province moins développée économiquement, ils seront plus aptes à partir» que les autres Québécois, tranchent-ils. À l’intérieur même de la communauté anglophone, les individus les plus mobiles sont également les plus diplômés, comme le constate Henry Aubin, du quotidien The Gazette, alarmé par «la fuite des cerveaux» qui frappe la minorité anglophone. «Parmi les adultes nés au Québec dont la langue maternelle est l’anglais, 61% des détenteurs d’un baccalauréat étaient partis vivre ailleurs au Canada, selon les données du recensement de 2001, le dernier en date. La catégorie qui est le plus susceptible de rester au Québec? Ceux qui ont abandonné leurs études au niveau secondaire», s’inquiète-t-il. Il note encore que ceux «qui partent sont généralement bilingues». Le bilinguisme est effectivement une aptitude valorisé par le marché. Le salaire moyen des Québécois bilingues, qu’ils soient anglophones et francophones, était d’environ 38 000 dollars en 2000, soit plus que ne gagnent les personnes ne parlant une seule langue, d’après une étude de l’Institut C.D. Howe. Par contre, selon la même étude, les unilingues anglophones profitaient toujours d’une prime par rapport aux unilingues francophones. Leur salaire moyen en 2000 atteignait 34 097 dollars, par rapport à 29 665 dollars. Plus inquiétant encore, les allophones ne parlant que l'anglais disposaient d’un revenu moyen de 27 216 dollars alors que ceux ne s’exprimant qu’en français gagnaient 21 233 dollars. http://www2.canoe.com/infos/international/archives/2008/03/20080307-141727.html
  5. Le Junior de Montréal, en bourgogne et blanc... Canoë 10/03/2008 11h03 - Mise à jour 10/03/2008 15h16 ©(Photo Canoë) Le Club de hockey junior de Montréal, que les amateurs nommeront «le Junior de Montréal», a choisi le bourgogne et le blanc comme couleurs officielles. Tel qu'annoncé ce matin en conférence de presse, le logo de l'équipe porte uniquement le nom de la ville, coiffé d’une rondelle. L’uniforme aux lignes simples et épurées n’est pas sans rappeler le look des équipes montréalaises vintage. Le Junior de Montréal Après une absence de cinq saisons sur l’Île de Montréal, le retour de la LHJMQ à Montréal prendra son envol à compter de la prochaine campagne de la Ligue. «Je suis un passionné du hockey et je partage la même vision que le commissaire de la LHJMQ, Gilles Courteau. Je suis très heureux d’offrir, dès l’an prochain, du hockey junior à nos partisans de la grande région de Montréal», affirme Farrel Miller, propriétaire du Club de hockey junior de Montréal. Les dirigeants de la franchise, qui évoluera à l’Auditorium de Verdun, ont conclu une entente de trois ans avec la municipalité. D’importants travaux de rénovation sont en cours à l’Auditorium pour accueillir la nouvelle équipe. Une équipe compétitive Le Club de hockey junior de Montréal mise sur un noyau de jeunes joueurs très talentueux parmi lesquels cinq d’entre eux ont été repêchés et appartiennent déjà à des formations de la LNH. «Nos dernières années au repêchage ont été fructueuses et nous sommes confiants de pouvoir miser sur un club compétitif dès l’an prochain. Nos années de développement sont derrière nous et nous visons maintenant rien de moins qu’une place en séries éliminatoires», affirme Martin Routhier, président. Ça peut fonctionner à Montréal... Avec un bassin de population de 3,6 millions de personnes, Montréal s’imposait naturellement pour y déménager la franchise. «Le hockey occupe une place de choix dans le cœur des Montréalais et nous souhaitons que le Club de hockey junior de Montréal s’y loge à son tour. Nous offrirons un calibre de jeu excitant et nous voulons que les amateurs attrapent la fièvre du hockey junior à Montréal». soutient monsieur Routhier. Selon lui, l’intérêt pour le hockey à Montréal est suffisant pour supporter la nouvelle franchise. Les billets de saison sont actuellement en vente sur le site Web au www.juniordemontreal.com. http://www2.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2008/03/20080310-110312.html
  6. Le gratteu de guitare (aussi connu comme tricoteux de paniers ou joueux de tambours) voulait gagner sa vie comme artiste mais a pas réussi (c'est dure dure la vie d'artiste). Il réclame des logements abordables tout en voulant des baisses des frais de scolarité ou la gratuité mur à mur, pour lui c'est les riches qui doivent payer la note. Les routes et les autoroutes pas besoins de ça, il fait pousser sa bouffe dans le jardin bien sûr, et il a une couple de vache et de poules dans la ruelle. Il vit sur le plato (aussi connu sous le nom de "Centre de l'univers connu") ou alentours, il croit que sa façon de vivre et LA seule et meilleure et que les autres doivent pareille sinon ils sont des facho. Il n'est jamais allé au nord de Jean-Talon et n'as jamais traversé un pont sauf Champlain pour faire une marche dans le vermont. Il passe ses fins de semaines à fumer du pot, à jouer guitare hero et se plaindre du système politique sans aller exercer son devoir de citoyen: voter. Il va de temps en temps aux démonstrations quand il n'a rien d'autres à faire (il travail 15 heures semaines) ou pour faire cool avec sa clique du plato.
  7. T'as les syndicaleux et les gratteux de guitare qui te représente, ils font la job à ta place, pas besoin de signer.
  8. À tous ceux pour ce projet d'autoroute / pont 25, joignez le groupe sur facebook ici: http://www.facebook.com/group.php?gid=9178123084
  9. The upscale new face of Old Montreal More laid-back scene smacks of sophistication Maxine MendelssohnFor Canwest News Service Sunday, March 09, 2008 First came boutique hotels and condos, then yoga studios and shops. Now it's bars, supper clubs and a vibrant nightlife: Old Montreal has become a party destination in its own right. And its more laid-back scene is attracting some of the club kids who once clambered to get into the city's hot spots. While these places still pack in the crowds, a bit of fete fatigue has set in on Montreal's two traditional party streets -- Crescent St. and St. Laurent Blvd. The lineups that don't move, some as long as 100 people, the hefty price tag on drinks; it can be a bit much. Now, chic partiers co-exist nicely with tourists in horse-drawn caleches winding their way through the cobblestone streets. New resto-bars like Santos, Wilson and Cherry are becoming popular destinations, offering their own brand of chic decor, fancy drinks and a party atmosphere. On the weekends, smaller bars in Old Montreal are often filled to capacity, but the larger ones have plenty of breathing room. "In the Old Port, if they don't let you in it's not because you're not having bottle service, it's because there's no room." Some party places on St. Laurent Blvd. have become so in demand that they only let in customers who order bottle service, which can cost upwards of $300. The 20- and 30-somethings who flock to Old Montreal want intimate dinners and drinks, not teens flaunting cash and downing rows of vodka shooters. There are occasional, small lineups and only one club has a cover charge in Old Montreal. It's definitely easier to get your foot in the door. "They make it easy and appealing to party here," said 27-year-old Maria Toumanova. "Everything is getting a facelift and people are coming down to check it out. It's a great alternative to the common party places downtown." Dimitri Antonopoulos has been betting heavily on Old Montreal for the last eight years. His company, the Antonopoulos Group, owns a number of Old Montreal hot spots including Suite 701, Mechant Boeuf and the Place d'Armes Hotel, which opened in 2000. "The W Hotel (which opened four years later) also helped bring people down here, then restaurants and nice shops started opening up, too. All these businesses attracted a savvier customer and hipper tourists," said Antonopoulos, VP of marketing. Mechant Boeuf is Antonopoulos's newest venture. There is always a place to sit, and conversations don't require yelling, something that's standard at the downtown clubs. "These are discerning partiers," Antonopoulos said. "They know the ins and outs of clubbing, but they're growing up and maybe they want something different. It's a new market in Montreal." © The Vancouver Province 2008 http://www.canada.com/components/print.aspx?id=2750276e-1761-495b-b845-d1a0490f8856
  10. Je serais vraiment déçu s'ils décidaient de faire leur projet de tour identique... C'est dépassé comme architecture. Même le 900 de maisonneuve, qui est une boîte de verre, semble plus de son temps qu'une deuxième tour snc-lavalin identique à la première.
  11. mtlurb

    Le 2-22 - 6 étages (2013)

    yara, il est aucunement dit que le bâtiment n'aurait pas dut être démoli. Il est même dit qu'il aurait donné l'accord de toute manière parce que la bâtiment n'avait aucune valeur patrimoniale. Tout ce qu'ils disent, au gouvernement, c'est que même si il n'a aucune valeur, la ville aurait dût demander le permis pareil. C'est un simple avertissement.
  12. mtlurb

    Quartier Concordia

    Tu serais surpris, il y a pleins de gens qui se garent très rapidement pour se ramasser quelque chose pour le chemin, ok ils se garent genre 5 minutes illégalement, mais ils s'arretent quand meme. Le soir et la nuit, beaucoup de gens qui viennent des boites de nuits, arrêtent là aussi...
  13. those walls should be "textured" somehow, a bit like the metallic canvas on the main building, i wish i had a pic at hand. Something tomake those walls less boring, maybe plexiglass?? i don't know, how about a contest for local artists.
  14. Petite Italie: une autre usine transformée en lofts L'ancienne usine de meubles est de taille modeste. Son apparence massive, son revêtement de brique et sa structure d'acier sont caractéristiques de l'architecture industrielle. Photo François Roy, La Presse Le vendredi 7 mars 2008 Sophie Ouimet-Lamothe La Presse L'Imperia est un nouveau projet de reconversion d'usine en lofts dans l'ancien secteur industriel Marconi-Alexandra, à l'ouest de la Petite Italie. Promoteur : Construction Concept Imperia. Architecte : Colin Fraser de GCA Groupe Conseil Architectural. Nombre d'habitations : 27 lofts (55% sont vendus). Superficie : de 500 à 1100 pieds carrés. Prix : de 125 000$ à 295 000$ (plus taxes); stationnement souterrain optionnel, 20 000$ (plus taxes). Arrondissement : Rosemont-La Petite-Patrie. >> Visitez un loft-témoin du projet L'Imperia en photos. Description : Dans ce bâtiment construit en 1946, tout a été remis à neuf, sauf la structure, les murs extérieurs et le plafond. Les lofts ont tout de même gardé certaines caractéristiques de l'architecture industrielle : plafonds de 11 pieds, fenêtres larges, murs de brique. Certains logements sont sur deux niveaux ou équipés d'une mezzanine. Un ascenseur dessert les trois étages de l'immeuble. Tous les lofts sont climatisés. Livraison : au printemps. À cinq minutes : la station de métro De Castelneau, le marché Jean-Talon et les cafés, épiceries fines et restaurants italiens du boulevard Saint-Laurent. Clientèle cible : les premiers acheteurs, les jeunes professionnels, les couples. On aime : les qualités spatiales intéressantes héritées de l'architecture industrielle (plafonds hauts, grandes ouvertures, matériaux bruts). On aime moins : le projet aurait gagné à conserver davantage du cachet d'origine. Adresse et site internet : 6820, rue Saint-Urbain, entre Beaumont et Saint-Zotique Tél. : 514-293-9088 www.conceptimperia.com http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/7247-Petite-Italie-une-autre-usine-transformee-en-lofts.html
  15. Début des travaux dans la rivière des Prairies du côté de Laval mars 2008 Début des travaux à Laval mars 2008 Début des travaux à Montréal avril 2008 Début des travaux sur le pont principal mai 2008
  16. J'espère que la tour ne sera pas identique à la première et qu'ils profiteront du fait qu'il n'y ait pas de limite de hauteur sur ce terrain...
  17. Moi je crois que vous êtes pessimistes, beaucoup de restos et commerces chinois se sont établis sur st-cath ouest proche de concordia,... peut etre que c'est là le futur quartier chinois.
  18. Je crois que oui. Leur but est le même : Développer avec de nouveaux bâtiments tout en respectant le passé industriel du quartier. Le respect du passé industriel de ce quartier est peut-être en utilisant beaucoup de briques rouges comme revêtement, donc je m'attend à voir quelque chose de semblable dans le quartier griffintown. Je ne suis pas contre, c'est vraiment beau!
  19. Le vendredi 07 mars 2008 Projet de Radio-Canada: des zones d'ombre Sara Champagne La Presse Les zones d'ombre autour du projet de développement résidentiel du site de Radio-Canada sont tellement nombreuses que le Conseil du patrimoine demande de revenir le consulter plus tard, quand des réponses seront sur la table. L'instance patrimoniale de la Ville de Montréal ne jette pas le blâme sur Radio-Canada, même qu'elle «souscrit» au concept, mais elle s'interroge sur l'impact de la tranchée de 10 mètres de la future autoroute Notre-Dame, qui doit être construite juste à côté. Dans son avis déposé cette semaine, le Conseil écrit qu'il «est actuellement difficile d'imaginer toutes les répercussions de Notre-Dame, projet non adopté, sur le plan directeur de Radio-Canada.» Toujours au chapitre du secteur environnant, l'instance se pose des questions sur la façon dont la Ville entend refaire les infrastructures (égout, réseau d'eau, etc). Elle s'interroge aussi sur le nouvel aménagement visant à rétrécir le boulevard René-Lévesque, de même que sur l'idée de prolonger trois rues. Le Conseil se demande enfin qui va assurer l'animation et assumer les coûts des trois places publiques projetées. «L'idée d'aménager un nouveau secteur résidentiel de forte densité dans un milieu où la circulation véhiculaire est très importante soulève plusieurs inquiétudes compte tenu des impacts sur la qualité de l'air et l'environnement sonore que cette situation entraîne», ajoute le Conseil du patrimoine. Joint hier, Vianney Bélanger, président de la firme COPRIM qui a réalisé les plans d'aménagement du projet Radio-Canada, a expliqué que des questions ont été posées au bureau de maire de Montréal, mais qu'elles sont restées sans réponse jusqu'à maintenant. M. Bélanger a déjà dit que le projet de tranchée pourrait compromettre le développement de Radio-Canada. «Qui voudra vivre à côté d'un trou», se demande M. Bélanger. Comme il déroge aux règles d'urbanisme de Ville-Marie, le plan directeur de Radio-Canada devra passer par l'Office de consultation publique de Montréal, où la question risque de se retrouver au centre des discussions.
  20. D'accord pour la beauté! C'est un des rares projets qui parait beaucoup mieux en réalité que sur les rendus. Je trouve la hauteur parfaite, je ne l'aurais pas pris plus grand.
  21. yes, and they've done it before. there's a thread about this here. Most surface parkings are "grey" towards municipal bylaws.
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