Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'revente'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. http://www.lapresse.ca/maison/immobilier/201606/02/01-4987626-un-condo-sur-trois-vendu-a-perte.php L'immobilier, un moyen assuré de s'enrichir*? Certainement pas pour les Québécois qui ont acheté un condo au cours des trois dernières années. La firme JLR a analysé toutes les transactions impliquant des copropriétés achetées en 2012 ou 2013 et revendues avant le 31*décembre dernier. Sa conclusion*? Près du tiers des vendeurs ont dû se résoudre à accepter un prix égal ou inférieur à celui qu'ils avaient payé*! Plus de la moitié (56*%) des 7195*condos vendus depuis 2012 ont généré un gain de moins de 5*% pour leur propriétaire, révèle l'étude publiée la semaine dernière par JLR. Une fois les frais de courtage, de notaire, les droits de mutation et l'inflation pris en compte, ce gain « se transforme souvent en perte ». La plus-value médiane lors de la revente a été de 3,9*%, toutes transactions confondues, précise l'étude de JLR.  Beaucoup de pertes à Québec La situation est encore pire dans la ville de Québec, où l'orgie de construction des dernières années a entraîné une surabondance de copropriétés sur le marché. Selon l'analyse de JLR, 37*% des condos ont été vendus à un prix égal ou inférieur au coût d'achat dans la Vieille Capitale. La proportion de propriétaires « perdants » grimpe à 62*% lorsqu'on inclut les appartements revendus avec un profit inférieur à 5*%. « Ces résultats corroborent le rapport de l'évaluation du marché de l'habitation de la SCHL, qui indique que le niveau élevé de l'offre de copropriétés demeure inquiétant dans la RMR de Québec », souligne l'étude. JLR conclut qu'il est « peu probable de sortir gagnant d'une revente après un court délai de possession », à moins d'avoir investi en rénovations pour améliorer la valeur de revente de sa copropriété. De quoi faire réfléchir sur ses besoins à court et à moyen terme avant de déposer une offre sur un condo.
  2. Opus Condominiums Illustration fournie par Les Développements Dubelle >7000, rue Allard >234 appartements en copropriété, construits en trois phases >Promoteur et constructeur: Les Développements Dubelle Dorel Friedman Architecte >Prix: de 110 000$ à 325 000$ (taxes incluses) >Superficie: de 450 à 1250 pieds carrés >Le bureau des ventes ouvrira en décembre. >La construction devrait débuter au printemps. Un immeuble en forme de T, de six étages, sera construit sur le terrain encore occupé par le fabricant Greif Bros, qui quittera en janvier. La section la plus longue sera bâtie en premier et deux ailes s'ajouteront par la suite, de chaque côté. La première phase, qui comptera 114 unités, comprendra un hall d'entrée de deux étages de hauteur, quatre ascenseurs, une salle d'exercice, une salle de réception et une terrasse sur le toit. Les premiers copropriétaires emménageront au printemps 2012. Le promoteur veut encourager les locataires du secteur à accéder à la propriété. Comme au Portail du canal, dans le Sud-Ouest, il offre son propre programme de crédit d'achat, dont les conditions de financement diffèrent de celles du programme Accès Condos de la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM). Le promoteur réduit le prix de vente des unités de 10% et cette réduction est remboursable à la revente de l'appartement dans un maximum de 10 ans. Les copropriétaires doivent alors aussi verser 10% du gain de capital obtenu à la revente. Ils peuvent rembourser la réduction de 10% à l'intérieur de trois ans, sans aucune obligation future. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  3. Christie's Great Estate croit que le marché de la revente d'habitations redémarre dès ce mois-ci à Montréal, malgré la morosité et la tempête économique. Pour en lire plus...
  4. L'année 2008 s'est terminée dans la déprime dans le marché de la revente de la région de Montréal, avec en décembre une baisse de 2% du prix des condos et une chute de 29% des transactions. Pour en lire plus...
  5. Après avoir connu une année record en 2007, le marché de la revente de résidences dans la grande région de Montréal a reculé de 7% l'an dernier. Pour en lire plus...
  6. Coup dur pour la revente immobilière à Montréal 13 janvier 2009 - 09h43 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le marché de la revente a fortement ralenti à Montréal en décembre mais la Chambre immobilière du Grand Montréal préfère porter ses lunettes roses. La CIGM rapporte en effet que le volume de ventes a fondu de 28% à 456,6 M$ et le nombre de transactions a reculé de 29% à 1710. La copropriété a été la catégorie la plus pénalisée avec des transactions en baisse de 33% à 451. Le prix médian a reculé de 2% à 192 000 $. Les édifices de 2 à 5 logements, surnommés les «plex», ont tiré leur épingle du jeu avec une diminution de 23% à 269 marchés conclus. Les prix ont monté de 3% à 337 750 $. «La confiance des consommateurs, qui est un facteur clé de la vigueur du marché immobilier, a été affectée récemment en raison du bombardement constant de nouvelles sur l’instabilité de l’économie», indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la CIGM. «Toutefois, poursuit-il, les Montréalais devraient être encouragés par l’ensemble des résultats de 2008, qui arrive au second rang des années les plus actives du marché immobilier à Montréal. Le marché s’est bien comporté par rapport à 2007, l’année qui a battu tous les records.» Un coup d'œil sur l'ensemble de 2008 permettrait de dire que ça ne va pas trop mal car sur 12 mois, le nombre de transactions a reculé de seulement 7% à 40 916 alors que le volume a diminué de 4% à 10,6 G$. Les copropriétés ont été les grandes gagnantes alors que la revente a été presque identique au record de 2007 avec 11 561 transactions. Les maisons unifamiliales ont connu un autre sort, alors que les ventes ont baissé de 10% à 24 295. Toutefois, les prix médians de ces deux catégories de propriétés ont respectivement augmenté de 3% à 185 000 $ ainsi que de 6% à 227 000 $. «De plus, les prix ont continué d’augmenter en 2008, ce qui est une bonne nouvelle pour les propriétaires et pour tous ceux qui ont un intérêt particulier dans le marché immobilier à Montréal», ajoute M. Beauséjour. À son avis, quand on se compare, on se console. «Il suffit de regarder ce qui se passe ailleurs, comme à Vancouver, Calgary ou Toronto, où les prix et les ventes ont diminué de façon spectaculaire au cours de la dernière année, pour apprécier la vigueur du marché montréalais.» Les intentions d'achat se maintiennent La Chambre immobilière croit aussi que son plus récent sondage sur les intentions d'achat renferme des données encourageantes. L'enquête révèle que 5,1% des ménages montréalais estiment très ou assez probable qu'ils fassent une acquisition d'ici un an et 17,2% d'ici 5 ans. Respectivement, ces chiffres s'élevaient à 6,2% et 20,4% en 2007. «Ces sondages se sont révélés assez fiables au cours des dernières années, ce qui est une bonne nouvelle pour le marché immobilier montréalais. À titre d’exemple, en 2006, les intentions d’achat étaient de 9%, ce qui s’est traduit par une année exceptionnelle en 2007», précise M. Beauséjour. Le sondage a été réalisé par le Groupe Multi Réso du 21 octobre au 9 novembre 2008 auprès de 1500 répondants de la région métropolitaine de Montréal.
  7. Le marché de la revente a fortement ralenti en décembre mais la Chambre immobilière du Grand Montréal préfère porter ses lunettes roses. Pour en lire plus...
  8. Immobilier: Royal LePage ne prévoit pas d'effondrement 6 janvier 2009 - 09h39 Presse Canadienne
  9. La firme de courtage immobilier estime que, contrairement à ce qui s'est passé aux États-Unis, il y aura une correction et non un effondrement du marché de la revente au Canada en 2009. Pour en lire plus...
  10. Le marché canadien de la revente résidentielle a fini par subir de plein fouet les contrecoups de la tempête économique et financière. Pour en lire plus...
  11. Aux portes du Québec, la tempête économique a fini par provoquer une chute en vrille de 31% des ventes de maisons existantes dans la région de Montréal, en novembre. Pour en lire plus...
  12. La récession mondiale n'aidera pas le marché de la revente résidentielle au Canada, dont le nombre de transactions chutera de 15% en 2008 et stagnera en 2009. Pour en lire plus...
  13. Les reventes de logements anciens aux États-Unis ont été en nette baisse en octobre, chutant de 3,1% par rapport à septembre, pour s'établir à 4,98 millions à un rythme annuel. Pour en lire plus...
  14. La revente recule à Montréal 12 novembre 2008 - 10h38 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Quand on se regarde on se désole, quand on se compare on se console. Voilà ce qu’il faut retirer des dernières données du marché de la revente à Montréal dont les ventes ont reculé le mois dernier. Selon les statistiques résidentielles de la Chambre immobilière du Grand Montréal, les ventes totales ont atteint 2926 en octobre alors qu’elles pointaient à 3492 pour le même mois l’an dernier dans la grande région montréalaise. Il s’agit d’une baisse de 16%. De janvier à octobre, la situation est toutefois plus rose. Le nombre de transactions conclues dans la région métro de Montréal a légèrement diminué de 4 % depuis le début de l'année comparativement à la même période l'an dernier, s'établissant à 36 955 ventes. Calgary, Vancouver et Toronto en arrachent Ce recul est franchement moins important que celui dans d’autres régions d’importance au Canada. Par comparaison, à Calgary, le nombre de ventes enregistrées au cours des 10 premiers mois de 2008 a diminué de 27%. Mentionnons tout de même que la ville albertaine a connu un boom immobilier sans précédent lors des dernières années. Vancouver et Toronto enregistrent, quant à elles, des baisses respectives de 22 % et de 16 %. Cela fait dire à la Chambre immobilière que le marché de la revente «se porte très bien à Montréal» et prouve que «l’immobilier est toujours un bon investissement». «Il ne faut pas oublier que les ventes sont comparées à celles de 2007, l’année qui a battu tous les records», indique Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre. Le prix des propriétés unifamiliales a augmenté de 4% lors du dernier mois face à octobre 2007 et a glissé d’un point de pourcentage pour les copropriétés. Toutefois, le prix a reculé de 0,9% pour les propriétés unifamiliales et jusqu'à 1,7% pour les Plex si on compare avec le mois de septembre dernier. Laval, Rive-Nord et Vaudreuil-Soulanges Le recul de la revente s’est surtout fait sentir dans la catégorie des maisons unifamiliales qui a reculé de 18% en octobre. À Laval, les ventes totales ont glissé de 4% lors du dernier mois alors que sur la Rive-Nord, elles ont chuté lourdement de 23%. La situation est particulièrement alarmiste dans le secteur de Vaudreuil-Soulanges. Là, les ventes ont dégringolé de 32% en octobre alors que le prix descendait de 9%.
  15. Selon les statistiques résidentielles de la Chambre immobilière du Grand Montréal, les ventes totales ont atteint 2926 en octobre alors qu’elles pointaient à 3492 l'an dernier. Il s’agit d’une baisse de 16%. Pour en lire plus...
  16. Pour les neuf premiers mois de l’année, les ventes d’habitations existantes dans la région de la Métropole ne sont en baisse que de 2 % comparativement à l’année passée. Pour en lire plus...
  17. Toutefois, le prix de revente a chuté de 6,2% à 315 461 $ alors qu’il était à 336 321 $ pour le même mois l’an passé. Le prix moyen devrait continuer à descendre, selon l'Association canadienne de l'immeuble. Pour en lire plus...
  18. Immobilier montréalais: du soleil dans la tempête 8 octobre 2008 - 06h35 La Presse, Laurier Cloutier La revente d'habitations est en forte hausse dans la région de Montréal, un vrai rayon de soleil dans la tempête actuelle. Le nombre de transactions a grimpé de 13% (variation annuelle) dans le territoire de la Chambre immobilière du Grand Montréal (CIGM) en septembre dernier, et les prix ont même augmenté de 5%, souligne le chef de la direction, Michel Beauséjour. La valeur des transactions a ainsi monté de 18%. C'est tout un contraste par rapport à la chute de prix de 25% à 30% aux États-Unis en deux ans et à plus de deux millions de maisons saisies ou d'hypothèques non remboursées. Même ailleurs au Canada, le nombre de transactions des courtiers ralentit et des prix de revente baissent dans plusieurs villes. «Le marché canadien de l'habitation connaît une correction modérée», selon l'économiste de TD Securities, Millan Mulraine, qui prévoit des mises en chantier annuelles de 200 000 unités. Click here to find out more! La revente demeure fort active à Montréal, souligne Michel Beauséjour. Ça n'a rien à voir avec «la baisse de prix de 9,5% aux États-Unis en août dernier, sur un an. En Californie et en Floride, c'est encore pire». Au même moment, le nombre de transactions de condos dans la région de Montréal a augmenté de 25% en septembre dernier. Les propriétés plus abordables ont été populaires, parce que les premiers acheteurs (ex-locataires) ont été fort actifs, croit Michel Beauséjour. Le marché de la revente n'est pas surévalué à Montréal et presque en équilibre, contrairement à celui d'autres villes canadiennes, ajoute-t-il, ce qui explique en partie sa bonne tenue. «C'est plus difficile de se prononcer déjà pour le mois d'octobre, en pleine crise financière d'origine américaine, mais le marché semble atterrir en douceur cette année». Michel Beauséjour surveille de près l'indice de confiance des consommateurs, qui a chuté de 43% à 36% au Canada le mois dernier, mais seulement de 82% à 80% au Québec. Le chef de la direction n'écarte pas un impact en 2009, mais les économistes divergent encore d'opinions sur la nature du ralentissement économique prochain. Le Canada s'en tirerait mieux que les États-Unis et l'Europe, grâce à ses banques plus solides, croit-il. «Les banques ne sont pas nécessairement plus frileuses, mais les taux hypothécaires sur cinq ans viennent de monter à 7,2% parce que l'accès aux capitaux devient plus coûteux». Michel Beauséjour prévoit des hausses de prix de 2% à 3% en 2009.
  19. Il s’agit d’un résultat en-deçà des attentes alors que les économistes anticipaient des données s’arrêtant à 4,94 millions. Pour en lire plus...
  20. La revente a plus progressé que prévu en juillet mais les stocks ont atteint un niveau record, ce qui laisse prévoir une résorption lente de la crise immobilière. Pour en lire plus...
  21. La revente de logements a fortement baissé en juin en dépit d'une poursuite de la baisse des prix, confirmant la crise du secteur immobilier qui pèse sur l'économie. Pour en lire plus...
  22. Le marché des maisons neuves tombe dans le négatif 12 juin 2008 - 06h50 La Presse Laurier Cloutier Malgré un marché encore en ébullition, dans l'Ouest canadien et les Maritimes, le prix des maisons neuves a commencé à plafonner ou même à baisser au Canada, dès avril dernier. Selon l'étude d'hier de Statistique Canada, le prix moyen des propriétés neuves a stagné (0%) au pays, de mars à avril 2008, et a même baissé de 0,1% si l'on exclut la valeur du terrain. On note des baisses dans plusieurs villes, de mars à avril dernier, dont 0,1% à Montréal, 0,3% à Victoria, 0,6% à Edmonton et 0,8% à Calgary. Comparativement à avril 2007, par contre, le prix des logements neufs a encore monté de 5,2% au Canada, grâce à Saskatoon (+43,7%), Regina (+34%), Winnipeg (+14,8%), St. John's (+16,3%) et Halifax (+11,3%). Par contre, le prix moyen à Montréal (+4,3%) se retrouve en bas de la moyenne canadienne, tout comme celui de Québec (+5%) et de Gatineau (+3,2%). «Le marché redescend du sommet. C'est assez significatif, déclare Neil Killips, économiste de StatCan. Le sommet a été atteint en 2006, avec une hausse de prix de 12,1%. Après tous les bonds de prix des dernières années, la tendance négative se poursuit, sans surprise.» Selon Statistique Canada et le Groupe Investors, le prix des maisons a bondi de 49,3% au pays entre 2001 et 2006. L'économiste Neil Killips ne fait pas de prévisions. Depuis avril dernier toutefois, les pressions sur les prix se sont sans doute accentuées «à cause de facteurs comme le prix de l'essence». En outre, après avoir attiré de nombreux travailleurs du pays, «l'Ouest canadien voit sa demande d'habitations comblée, ajoute Neil Killips. Après Calgary, plusieurs Terre-Neuviens retournent chez eux pour travailler». Revente en baisse Sur le marché de la revente, le nombre de transactions a baissé de 9% en mai dernier à la Chambre immobilière du Grand Montréal et même de 15% dans le cas des maisons unifamiliales, par rapport à l'an dernier. Seuls les condos ont tiré leur épingle du jeu, avec une hausse de 5% des transactions, puisque celles des plex ont baissé de 10%. La couronne Nord y goûte, avec une baisse de 16% des transactions. Par contre, le prix des maisons est encore en hausse de 5%. «Il y a moins d'acheteurs, mais les vendeurs ne veulent pas sacrifier leur prix», explique Michel Beauséjour, chef de la direction de la chambre. La création d'emplois va bien, mais la Banque du Canada n'a pas abaissé son taux d'intérêt directeur, hier, et la confiance des consommateurs a chuté dramatiquement depuis mars dernier, de 50% à 38%, ajoute M. Beauséjour. «C'est une année d'incertitude. Le coût de l'énergie gruge le budget des ménages.» Le chef de la direction prévoit «une année en dents de scie, au fil des mois, selon les prix à la pompe». «Si les prix de revente chutaient, là ce serait inquiétant." Michel Beauséjour prévoit plutôt "une hausse de 4% des prix». Dans le cas de l'habitation neuve, «le marché est en train de changer. Le neuf est toujours touché avant la revente. Les constructeurs n'ont pas encore subi l'impact principal des bonds du coût de l'énergie, dit-il. À cause de l'essence, des familles vont peut-être tenter de se rapprocher de leur travail». Le nombre d'agents immobiliers atteint près de 10 000, «c'est toujours en croissance, mais au ralenti, reconnaît Michel Beauséjour. Si la stabilité se confirme en 2008, des agents laisseront tomber leur permis que dans un an et demi ou deux ans». «Il n'y a toujours rien d'alarmant du côté des saisies de maisons, contrairement aux États-Unis où c'est épouvantable, dit-il. L'économie du Québec va bien, mais les gens dépensent moins, parce qu'ils sont incertains de l'avenir.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080612/LAINFORMER/806121100/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  23. La revente de maisons ralentit, mais que les propriétaires se rassurent: le marché est encore largement favorable aux vendeurs. Partout, les prix continuent de monter, en particulier dans l'Ouest-de-l'Île de Montréal pour les maisons unifamiliales et dans les quartiers centraux pour les «plex». C'est ce qui ressort de l'analyse du marché de la revente de la région de Montréal, publié mardi par la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Pour en lire plus...
  24. Immobilier: la revente s’essouffle à Montréal 3 avril 2008 - 11h03 LaPresseAffaires.com Jean-François Cloutier Après une année 2007 marquée par une croissance dans les deux chiffres, le marché de la revente dans le Grand Montréal a ralenti au cours des trois premiers mois de l’année. Avec 12 138 propriétés vendues au premier trimestre, le recul est de l’ordre de 4%, une baisse que le directeur de la Chambre immobilière du Grand Montréal, Michel Beauséjour, met tout de même en contexte dans le cadre d’un bilan général jugé positif. «La région métropolitaine tire son épingle du jeu, considérant la performance des autres grandes villes canadiennes, comme Calgary et Toronto, qui ont enregistré de plus fortes baisses d’activités depuis le début de l’année», affirme-t-il. Le déséquilibre est prononcé dans les ventes selon le type de résidences. Les condos ont continué d’avoir la cote avec une hausse de 7% du nombre d’unités vendues, pendant que le nombre de maisons unifamiliales chutait inversement de 7%. La vigueur du marché a aussi varié selon la géographie. Dans le secteur Vaudreuil-Soulanges, les ventes sont demeurées stables, alors qu’on enregistrait sur la Rive-Sud et l’île de Montréal des baisses de 2 et 3%. La banlieue nord a fermé la marche avec de plus fortes baisses de 6% pour Laval et de 8% pour la Rive-Nord. Encore un marché de vendeur Au même moment, le prix médian des propriétés a continué de grimper, preuve que Montréal reste encore un marché de vendeur. La hausse est de l’ordre de 8%, à 220 000$, pour les maisons unifamiliales, de 6%, à 330 000$, pour les «plex» (2 à 5 logements) et de 4%, à 177 9000$, pour les condos. À noter que la chute du nombre de ventes a été particulièrement prononcée en mars, où elle a été de 7% par rapport à mars 2007. Malgré ce dernier mois difficile et la crise bancaire qui a assombri les perspectives économiques au cours du trimestre, Michel Beauséjour demeure cependant optimiste pour le reste de l’année. «La baisse des taux d’intérêt et le marché de l’emploi solide devraient avoir une incidence positive sur les résultats au cours des prochains mois», prédit-il. source: http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080403/LAINFORMER/80403219/5891/LAINFORMER01
  25. Immobilier: la revente à Montréal croît de 12 % 15:03 | Presse Canadienne, Le marché immobilier de la revente dans la grande région de Montréal a poursuivi sa lancée pour un huitième mois consécutif en août avec une croissance d'une année à l'autre de 12 % du nombre de transactions résidentielles. Selon les données publiées par la Chambre immobilière du Grand Montréal issues de son système MLS, au total, 3752 transactions ont été enregistrées en août, ce qui porte à 40 465 le nombre de ventes de propriétés conclues depuis le début de l'année, représentant une croissance de 14 %. Le marché de la revente de copropriétés a encore une fois donné le ton avec 842 transactions enregistrées sur le système MLS, soit 23 % de plus qu'en août 2006. Le prix moyen des copropriétés a progressé de 3 % en août 2007, par rapport à la même période l'année dernière. La revente de maisons unifamiliales a quant à elle enregistré une croissance de 8 pour cent, avec 2367 transactions compilées, comparativement à 2182 en août 2006. Le prix de vente moyen a atteint 230 000 $, en hausse aussi de 9 %, comparativement à 212 000 $ au cours du même mois l'année dernière. Un autre signe que le marché de la revente demeure vigoureux, selon la CIGM, est que le nombre de propriétés à vendre a connu une baisse de 2 %. En août dernier, le volume des ventes enregistrées par le système MLS de la CIGM a atteint près de 900 millions $, soit 18 % de plus que pour la même période l'année dernière. Le territoire couvert par la CIGM comprend les régions de Montréal, de Laval, de la Montérégie, des Laurentides et de Lanaudière.
×
×
  • Créer...