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Hercule

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Tout ce qui a été posté par Hercule

  1. à la place des Arts du côté est c'est toute la facade qui sera repensée et réaménagée pour qu'elle devienne plus prestigieuse...
  2. je crois qu'il y avait à une certaine époque un projet de parc juste en face un projet de parc-jardin dans le stationnement actuel du Gésu. Ce ne sait pas par contre si ce projet tient toujours.
  3. Ben c'est le prix à payer pour faire grossir et développer nos institutions culturelles. Si vous voulez que montréal soit un joueur important sur la scène culturelle, on ne peut pas se passer de l'argent du privé...
  4. Merci pour la photo des résidences depuis longtemps que je me dis que nous devrions les montrer. Elles sont à la porte d'entrée du Quartier des spectacles.
  5. On dirait bien que c'est le clan des chars contre le clan des bicycles... lol
  6. Hercule

    exposition

    http://www.creativitemontreal.com/articles/news/archive/2008/03/18/article-26008.aspx semble intéressant!
  7. Tout le monde s'emballe pour ce projet, mais ce n'est qu'une rumeur non?
  8. Pour le CHUM c'est pour le printemps 2009 les travaux si j'ai bien compris.Il commenceront par le laboratoire sur la rue Saint-Antoine et les autres phases suivront. Pour le quartier de la santé, Gilbert je suis aussi heureux que toi du projet annoncé coin Saint-Laurent et Viger, mais je ne crois pas que l'autoroute recouverte sera pour les mois à venir. Toutefois, s'il y a un momentum et de l'enthousiasme pour ce secteur les choses peuvent bouger dans les prochaines années pour les prochaines années. Je serais le plus heureux des hommes. à suivre...
  9. Bon débaras. J'espère juste qu'ils ne seront pas sélectionné pour la Salle de l'OSM.
  10. Moi aussi j'en rêve, je ne sens pas que c'est réellement une priorité surtout si la firme américaine qui a fait l'étude sur la possibilité d'une cité de la santé a dit que McGill et l'Université de Montréal devaient d'abord monter et proposer des projets commun pour avoir réellement le potentiel d'être rentable. Je crois que tout cela pourrait être long.
  11. L'aventure immobilière de l'UQAM coûtera 200 millions aux Québécois Kathleen Lévesque Édition du vendredi 14 mars 2008 Le dérapage financier de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) dans le projet de l'îlot Voyageur coûtera quelque 200 millions de dollars à l'ensemble des contribuables québécois, prévoit le gouvernement. Dans les prévisions budgétaires déposées hier, Québec a créé une réserve de 200 millions afin d'éponger une partie de la dette liée à l'aventure immobilière de l'UQAM. Jusqu'à maintenant, 269 millions ont été dépensés dans ce projet par l'émission d'obligations par l'UQAM. Selon des hypothèses conservatrices, la valeur de l'îlot Voyageur laissé en plan ne serait donc plus que de 69 millions sur le marché immobilier. La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, estime qu'il ne faut pas s'en étonner. «De toute façon, pour l'instant, ça ne vaut plus rien puisque le projet est arrêté. Mais c'est un site formidable pour un développement», a dit au Devoir la ministre. La provision de 200 millions est un ordre de grandeur puisque le dossier est loin d'être réglé. L'UQAM et le promoteur Busac, propriétaire des terrains de l'îlot Voyageur, sont toujours en négociations afin de revoir les termes du contrat les liant. Toutefois, la Société immobilière Trans-Québec (SITQ), une filiale de la Caisse de dépôt et placement, analyse depuis quelques mois la possibilité de mettre la main sur l'îlot Voyageur, comme le révélait hier Le Devoir. «Henri-Paul Rousseau [le p.-d.g. de la Caisse] savait qu'on était mal pris et la Caisse est la mieux placée pour s'intéresser à ce dossier», a ajouté Monique Jérôme-Forget. Selon les informations recueillies par Le Devoir, les travaux de la SITQ sont très avancés. La société étudie sur une base d'affaires le dossier en collaboration avec des partenaires privés pour redévelopper l'îlot Voyageur. Des discussions sont également en cours avec de «gros locataires». De source sûre, on indique que, si le montage financier du projet de l'UQAM a été mal ficelé, cela n'enlève rien au potentiel réel du site. Les avantages y sont nombreux, souligne-t-on: centre-ville, accès au réseau souterrain de métro et situé en face de la Grande Bibliothèque. D'ailleurs, entre les mains de la SITQ et de ses partenaires, il ne restera plus rien du projet initial de l'UQAM. Le projet qui est en discussion considère la construction complétée de la gare d'autobus et des stationnements souterrains mais exclut l'idée d'ériger un pavillon universitaire, une tour à bureaux et des résidences étudiantes. Dans ce dernier cas, la structure est déjà en place. Elle pourrait toutefois être transformée et avoir une nouvelle vocation. Chose certaine, l'îlot Voyageur tel qu'envisagé afin de répondre au déficit d'espace de l'UQAM est mort, assure-t-on. À l'origine, l'îlot Voyageur devait s'autofinancer grâce notamment aux stationnements et aux espaces de bureaux. Or il y a eu surévaluation des revenus et sous-évaluation des investissements. S'est ajouté à cette situation un problème de gouvernance puisque la haute direction de l'université tenait une double comptabilité du projet: les membres du conseil d'administration n'avaient pas accès aux informations qui auraient dû sonner l'alerte. L'îlot Voyageur ainsi que le Complexe des sciences ont à eux deux creusé un trou gigantesque dans les finances de l'UQAM. Le problème pourrait atteindre le demi-milliard de dollars d'ici 2012 si rien n'est fait. En septembre dernier, la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a toutefois annoncé l'intention du gouvernement de récupérer l'îlot Voyageur et ses répercussions financières. L'UQAM réclame toutefois que le gouvernement prenne également sous son aile le Complexe des sciences, ce que refuse catégoriquement Québec jusqu'à maintenant. Pour le gouvernement, l'îlot Voyageur apparaît comme le véritable noeud du problème. L'intérêt de la Caisse de dépôt et placement pour le dossier s'inscrit dans cette perspective.
  12. La Chambre de commerce du Montréal métropolitain reçoit Pierre Marc Johnson, président du conseil d'administration, Technopôle Ville-Marie/ << UN QUARTIER DE LA SANTE POUR MONTREAL >> MONTREAL, le 13 mars /CNW Telbec/ - Les représentants des médias sont conviés au Midi-chaud de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, le vendredi 14 mars 2008, au Palais des congrès de Montréal, à midi. Pierre Marc Johnson, président du conseil d'administration, Technopôle Ville-Marie, sera le conférencier invité. Me Johnson dévoilera les principales orientations du plan d'affaires du Technopôle Ville-Marie. Il discutera notamment du potentiel immobilier relié au développement économique et institutionnel du Quartier de la santé : "C'est maintenant un projet avec une vocation précise, un potentiel connu et une possibilité de démarrer les travaux d'ici la fin de l'année." << Date : Le vendredi 14 mars 2008 Lieu : Palais des congrès de Montréal 1001, place Jean-Paul Riopelle Montréal Heure : De 12 h à 14 h Allocution - 12 h 15 Point de presse - 14 h (Salle 720) La Chambre de commerce du Montréal métropolitain compte quelque 7 000 membres. Sa mission est de représenter les intérêts de la communauté des affaires de l'agglomération urbaine de Montréal et d'offrir une gamme intégrée de services spécialisés aux individus, aux commerçants et aux entreprises de toutes tailles de façon à les appuyer dans la réalisation de leur plein potentiel en matière d'innovation, de productivité et de compétitivité. La Chambre est le plus important organisme privé au Québec voué au développement économique. >> Renseignements: ou réservation: Sylvie Paquette, Coordonnatrice, Relations médias, Chambre de commerce du Montréal métropolitain, (514) 871-4000, poste 4015, sylvie.paquette@ccmm.qc.ca; Guy Versailles, ARP, Versailles communication, (514) 386-9774, versailles@versaillescom.com
  13. Réinventer le Vieux-Montréal" - La Ville de Montréal présente son plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal MONTREAL, le 14 mars /CNW Telbec/ - M. André Lavallée, responsable de l'aménagement urbain et du transport collectif au comité exécutif de la Ville de Montréal, a présenté aujourd'hui un projet de plan de transport intégré pour le Vieux-Montréal. Ce plan propose de prioriser le transport actif, de consolider l'offre de transport collectif tout en repensant l'accessibilité des voitures pour limiter la circulation de transit de ce secteur de la métropole. "La Ville prend des mesures concrètes pour redonner le Vieux-Montréal aux Montréalais, et plus particulièrement aux résidants et commerçants qui l'animent. La Ville souhaite aussi que les visiteurs puissent se balader à pied dans ce quartier historique, découvrir son histoire et son architecture tout en profitant pleinement des attraits touristiques et de l'ambiance qui s'y dégagent", de déclarer M. Lavallée. Le Vieux-Montréal et le Vieux-Port occupent une place importante dans la vie économique, touristique et culturelle de notre métropole. Au cours des dix dernières années, la population a doublé atteignant 4 500 personnes, le nombre de chambres d'hôtel a quadruplé à près de 1 600, le nombre de travailleurs a progressé du tiers à environ 35 000 et le nombre de visiteurs oscille annuellement entre 13 à 15 millions. Piétons et véhicules se partagent avec difficulté des voies publiques qui, pour bon nombre, ont été conçues dans les années qui ont suivies la fondation de Montréal pour un achalandage nettement plus réduit et des véhicules fort différents. Conformément aux orientations du Plan de transport, soit, choisir le transport collectif comme mode privilégié de déplacement des personnes et favoriser les modes de transport actifs; la stratégie présentée aujourd'hui s'articule autour de cinq interventions : << - piétonniser progressivement la rue Saint-Paul en débutant par le tronçon entre le marché Bonsecours et le boulevard Saint-Laurent et un tronçon de la rue Notre-Dame devant la Place d'Armes et la Basilique Notre-Dame du 15 juin au 15 septembre de 11h à 6h; - mettre en place un nouveau circuit d'autobus de la STM reliant le pôle Vieux-Montréal/Vieux-Port au centre-ville via la rue Peel, le boulevard René-Lévesque et la station de métro Berri-UQAM; - inciter à l'utilisation des stationnements hors rue par l'implantation d'un système de signalisation dynamique pour guider les automobilistes vers les parcs de stationnement situés à proximité et comprenant plus de 8 000 places; - limiter la circulation des autobus touristiques dans le Vieux-Montréal en leur assignant des zones de débarcadères en périphérie et en leur offrant du stationnement hors rue; - apaiser le coeur du Vieux-Montréal, en incitant les conducteurs à utiliser les rues Viger et St-Antoine pour les déplacements entre l'ouest et l'est dans le Vieux-Montréal et en mettant à double sens la rue Saint-Laurent, entre les rues Notre-Dame et Viger. Mentionnons que la Société de Transport de Montréal, la Société du Vieux-Port, le Ministère de la Culture et des communications du Québec et Stationnement de Montréal ont été étroitement liés à l'élaboration des mesures proposées dans le Plan de transport du Vieux-Montréal. Le comité exécutif a mandaté le Bureau du patrimoine, de la toponymie et de l'expertise pour obtenir rapidement les avis de l'arrondissement Ville-Marie et des principaux partenaires que sont Tourisme Montréal, la Société de développement du Vieux-Montréal, l'Association des résidants du Vieux-Montréal et la Table de concertation du Vieux-Montréal. Monsieur Lavallée est confiant que les premières mesures pourront être mises en place d'ici le début de l'été 2008. >> Renseignements: Lucie-Anne Fabien, ARP, Service des Communications et des relations avec les citoyens, (514) 872-6063; Source: Maxime Chagnon, Cabinet du maire et du comité exécutif, (514) 872-6412
  14. Le Taz sera reconstruit, la Ville l'a déjà annoncée.
  15. Nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan : Vers un concours d'architecture de portée internationale Montréal, le 12 mars 2008 - Madame Francine Senécal, vice-présidente du comité exécutif responsable des sports, des loisirs et des Muséums nature de la Ville de Montréal, est heureuse d'annoncer une nouvelle étape dans la réalisation du projet du nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan. Le comité exécutif vient d'autoriser le lancement d'un appel d'offre sur invitation pour la planification et la programmation d'un concours d'architecture de portée internationale. « Un concours d'architecture permettra de développer des concepts novateurs, astucieux et diversifiés pour un édifice unique à Montréal. Nous comptons aussi sur le fait qu'un concours offrira une visibilité, un prestige, ainsi qu'un rayonnement national et international », d'affirmer Mme Senécal. « De plus, ce projet s'inscrit dans la suite logique de nos engagements et de nos actions entreprises pour faire de Montréal, une métropole culturelle et une ville de design tout en participant à la vitalité de l'est de la métropole ». Par souci de transparence et de neutralité et pour répondre aux exigences de l'Ordre des architectes, la Ville a décidé d'engager un expert externe pour la mise en œuvre de ce concours. Ce conseiller professionnel apportera son soutien à l'équipe des Muséums nature de Montréal, afin de produire tous les documents nécessaires et coordonner les opérations requises en vue de la tenue d'un concours d'architecture pour le projet du nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan. De plus, ce maître d'œuvre doit établir la programmation et la réglementation du concours et assister les Muséums nature pour la composition du jury et la composition de la commission technique. Vers un concours d'architecture Des architectes de partout dans le monde, qui possèdent un permis de pratique au Québec ou qui voudront s'associer à un partenaire québécois, pourront présenter leur candidature. Au cours des prochaines semaines, il y aura donc sélection et embauche d'un conseiller professionnel qui planifiera et organisera le concours d'architecture. Il devra rédiger les plans du concours qui seront ensuite approuvés par l'Ordre des architectes du Québec. C'est au cours de l'été 2008 que sera lancé l'appel public de candidature du concours d'architecture du nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan. Les finalistes, choisis par un jury, développeront leur concept architectural pendant l'automne et le lauréat sera connu en décembre 2008. Rappelons que le nouveau Planétarium sera érigé sur le site du Parc olympique, à côté du Biodôme de Montréal. La réalisation de cet important projet de 31 millions de dollars est rendu possible grâce au partenariat financier entre la Ville de Montréal, le gouvernement du Québec, le gouvernement du Canada et Rio Tinto Alcan. Le Planétarium fait partie du réseau des Muséums nature de Montréal. Il a pour mission de rendre l'astronomie accessible à tous. Depuis son ouverture en 1966, le Planétarium a permis la diffusion d'informations scientifiques et accessibles à plus de six millions de visiteurs.
  16. La Caisse de dépôt s'intéresse à l'îlot Voyageur Kathleen Lévesque Édition du jeudi 13 mars 2008 La Caisse de dépôt et placement du Québec s'intéresse de près au projet immobilier de l'îlot Voyageur, qui a contribué au dérapage financier de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), a appris Le Devoir. Depuis quelques mois déjà, une des filiales immobilières de la Caisse, la SITQ, examine avec soin le potentiel économique de l'îlot Voyageur, laissé en plan par l'UQAM. Aucune transaction formelle n'a été faite, mais la SITQ a décidé de poursuivre ses travaux préliminaires. Des discussions ont été engagées notamment avec le propriétaire des terrains, la firme privée Busac, qui a agi à titre de promoteur et de partenaire de l'UQAM. «La SITQ examine ce projet parce qu'il pourrait être d'intérêt pour elle. C'est une étude qui se fait uniquement sur des bases d'affaires. Pour la SITQ, il est clair qu'il y a toujours des objectifs très précis de rentabilité économique», a expliqué Gilbert Desroberts, porte-parole de la Caisse de dépôt et placement. M. Desroberts a précisé que la SITQ ne répond à aucune commande politique et que c'est en toute indépendance qu'elle a décidé d'étudier ce projet sur le marché montréalais. Il reste que la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, avait annoncé en septembre dernier que le gouvernement récupérait l'îlot Voyageur et le gouffre financier que celui-ci a entraîné pour l'UQAM. L'autre projet immobilier déficitaire, le Complexe des sciences, demeure entre les mains de l'UQAM. «Comme l'université n'a certainement pas démontré sa capacité de gérer un projet immobilier de cette ampleur, nous allons la dégager de cet impact financier et nous allons, en collaboration, trouver un promoteur», avait alors déclaré la ministre Courchesne. Aucun commentaire n'a été émis hier au cabinet ministériel à propos de la possibilité que la SITQ prenne part active au dossier. Le porte-parole de l'UQAM n'a pas pu être joint. Jusqu'à maintenant, les modalités de l'opération n'ont pas été révélées. Le transfert ne s'annonce pas facile compte tenu du fait que l'UQAM est liée par contrat à Busac. Des négociations ont été enclenchées pour modifier les termes contractuels. L'ancien premier ministre Lucien Bouchard représente l'UQAM dans ce dossier. En vertu de ce contrat, l'UQAM assume seule tous les risques de l'îlot Voyageur. Ainsi, le financement du projet s'est fait grâce à l'émission d'obligations totalisant 269 millions de dollars. Or le ministère des Finances a immédiatement acheté ces obligations qui risquaient de perturber les marchés financiers et surtout d'entacher la cote de crédit de l'UQAM et, par ricochet, celle du gouvernement du Québec. Si la SITQ venait à conclure que l'îlot Voyageur offre un certain potentiel économique, elle hériterait d'un vaste chantier qui a des allures de plaie ouverte dans ce secteur de l'est du centre-ville de Montréal. Pour l'instant, il existe des stationnements souterrains, un édifice complété, le squelette d'un autre et deux autres bâtiments sous forme de plans d'architecte. Les stationnements sont complétés mais n'ont pas de guérite. La gare d'autobus est terminée mais n'est pas utilisée: les administrateurs du terminus actuel ne voient guère d'intérêt à y déménager puisque le lien direct avec le réseau souterrain du métro n'est prévu que si l'îlot Voyageur est complété. Les résidences étudiantes se limitent à la structure de base. Quant au pavillon universitaire et à la tour de bureaux, l'UQAM n'en veut plus, bien qu'elle manque de locaux. En contrepartie de l'intervention gouvernementale, l'UQAM devait présenter un énième plan de redressement qui visait à rétablir l'équilibre budgétaire dans les plus brefs délais. Mais voilà que la semaine dernière, l'UQAM a présenté un plan de redressement qui ne remplit pas la commande de Québec avec un déficit annuel de 24,4 millions en 2011-12. La firme PricewaterhouseCoopers, mandatée par l'UQAM pour venir à bout du problème, a conclu qu'il était impossible de redresser l'université sans une aide supplémentaire du gouvernement. Selon l'analyse du Vérificateur général du Québec, si rien n'est fait, le marasme financier de l'UQAM atteindra le demi-milliard de dollars d'ici cinq ans. À la Caisse de dépôt et placement du Québec, on a souligné hier n'avoir aucun échéancier dans le dossier de l'îlot Voyageur.
  17. Quelqu'un sait si les terrains à l'est ont été vendus récemment? En effet sur le site Web on parle d'une troisième et 3 ème phase.
  18. Où seront les Phases 2 et 3, je ne suis pas certain de comprendre? Qui est l'architecte? Je suis un peu déçu... Merci Gilbert pour la trouvaille...
  19. Je crois que l'édifice de la patrie a été achetée par l'église de scientologie.
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