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ScarletCoral

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Tout ce qui a été posté par ScarletCoral

  1. Dans LaPresse+ ce matin : FUSION DU COMPLEXE LES AILES ET DU CENTRE EATON L’ancien grand magasin Eaton, stratégiquement situé à l’angle des rues University et Sainte-Catherine, a fait l’objet de travaux de près de 200 millions pour être transformé en centre commercial urbain au début des années 2000. Près de 15 ans plus tard, la galerie marchande de 200 000 pieds carrés bénéficiera d’une nouvelle injection de fonds dans le cadre d’une fusion avec son voisin le Centre Eaton pour former une seule entité de 480 000 pieds carrés. Le locataire principal Les Ailes de la mode affiche dans ses vitrines des soldes de fermeture depuis un certain temps déjà. Son départ est prévu « dans quelques mois », répond-on aux clients au magasin de vêtements pour hommes et femmes. Le réaménagement du magasin de 70 000 pieds carrés entraînera nécessairement des débours. « C’est une manière assez correcte d’expliquer la situation », convient M. Théberge. Parmi les scénarios plausibles, l’espace serait reloué à un détaillant américain comme Target ou Nordstrom, ou subdivisé en plusieurs locaux destinés à des détaillants exclusifs venus d’Europe ou des États-Unis. En parallèle, Ivanhoé ne ménage aucun effort pour redonner vie au restaurant du magasin Eaton du 9e étage, un lieu classé historique, qui est fermé au public depuis 14 ans. « On cherche un partenaire opérant, souligne M. Théberge. Ce sont des pièces [le restaurant et le local Les Ailes] qui ne sont pas nécessairement reliées, mais, en même temps, elles le sont parce qu’elles font partie de notre Plan Montréal. »
  2. Dans LaPresse+ ce matin : LA TOUR DU 900 DE MAISONNEUVE INVESTISSEMENT DE PLUS DE 200 MILLIONS L’autre pièce maîtresse du Plan Montréal. Standard Life et Ivanhoé ne cachent plus leur désir de conclure une entente de location au 900, boulevard De Maisonneuve, un immeuble de 475 000 pieds carrés que la Caisse cherche à ériger depuis 10 ans. Le groupe financier veut y déménager ses 1600 employés actuellement répartis dans deux immeubles. Son édifice au 2045, rue Stanley va être vendu à la Chambre des notaires du Québec, qui y déménagera ses bureaux. Quant au siège social, au 1245, rue Sherbrooke, il tarde à trouver preneur, ce qui ralentit la transaction avec la Caisse de dépôt. « Il n’est pas question qu’Ivanhoé Cambridge achète cet immeuble », soutient M. Théberge, en réaction aux rumeurs qui circulent en ce sens. La construction de la nouvelle tour pourrait être achevée d’ici la fin de 2016.
  3. Puisque la majorité des repas au resto que je prends sont durant mes heures de lunch quand je travaille, les deux seuls places où je vais qui servent de la pizza sont le Il Focolaio au Square Phillips et le Il Pranzetto sur Saint-Urbain au coin de René-Lévesque. Ça m'étonne un peu que le Il Focolaio ne soit pas dans la liste avec ses 75 sortes de pizzas. Il doit bien y en avoir une qui est épique!
  4. Un gros dossier dans LaPresse+ sur l'immobilier au centre-ville aujourd'hui! Pour ceux qui n'ont pas d'iPad voici les liens : Renouveau au centre-ville Le « plan Montréal » de la Caisse de dépôt Que pensent les acteurs du milieu Les immeubles mixtes ont la cote edit : je viens de réaliser que j'ai oublié un des articles, que voici : La stratégie des bonzes de l'immobilier et deux autres articles connexes : Des millions de projets de conversion Encore plus de résidences étudiantes
  5. Une autre liste par Eater.com 25 Epic Montreal Pizzas to Eat Before You Die J'en ai essayé aucune de ces 25
  6. via LaPresse : Publié le 18 mars 2014 à 08h48 | Mis à jour à 08h48 Faubourg contrecoeur: la Ville veut récupérer ses billes KARIM BENESSAIEH La Presse Inquiète du sort d'un grand terrain inutilisé dans le Faubourg Contrecoeur, la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) veut le récupérer. Deux poursuites ont été déposées hier en Cour supérieure pour forcer le propriétaire, Construction Frank Catania, à lui revendre quelque 670 000 pieds carrés pour la somme de 3,8 millions. Il s'agit du plus récent épisode de ce feuilleton judiciaire qui a mené, en mai 2012, à l'arrestation de huit personnes, dont l'ex-président du comité exécutif Frank Zampino et le président de Construction Frank Catania, Paolo. Ils font face à des accusations de fraude, de complot et d'abus de confiance. Cette fois, la SHDM tente d'empêcher Catania de vendre des parcelles du terrain de quatre millions de pieds carrés qu'elle lui avait cédées en 2007. Le coût de la transaction était de 19 millions, mais Catania n'avait payé que 4,4 millions en raison, notamment, des coûts de décontamination. Le projet Faubourg Contrecoeur prévoyait la construction de 1850 unités résidentielles dans la partie est de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, au nord de la rue Sherbrooke. Sept ans plus tard, environ un millier d'unités accueillant 1500 personnes étaient terminées. La phase 4, qui doit permettre la construction de 128 unités de plus, a été lancée en mai 2012. 989 chefs d'accusation En octobre dernier, Construction Frank Catania a informé la SHDM qu'elle avait reçu des offres d'achat pour trois parcelles non exploitées représentant 17% du terrain acheté en 2007. L'entreprise s'est retirée en mars 2013 du projet Faubourg Contrecoeur et liquiderait ses actifs depuis l'arrestation de Paolo Catania, selon plusieurs reportages. En outre, le président, avec des associés de son entreprise, fait face à 989 chefs d'accusation déposés par Revenu Québec en juin 2013. Selon l'acte de vente de l'époque, la SHDM dispose d'un droit de «préemption» lui permettant de racheter toute parcelle remise en vente. Après une analyse «approfondie» des offres d'achat, selon le communiqué, la SHDM a eu des «inquiétudes légitimes» quant au nouveau quartier qui serait érigé sur ces parcelles. Ces terrains, selon elle, devaient accueillir des commerces, des services communautaires et des unités d'habitation pour personnes âgées. La société paramunicipale a signifié à Catania son intention de racheter les terrains à un coût qui lui paraissait juste, soit 3,8 millions de dollars après certains rajustements. L'évaluation municipale de ces terrains est de 13,4 millions. Selon la poursuite déposée hier, Catania a refusé, le 15 janvier dernier, de permettre à la SHDM d'utiliser son droit de préemption. L'organisme s'adresse donc à la Cour supérieure pour obliger l'entreprise à signer l'acte de vente qui lui rendrait ces terrains. «Par respect du processus judiciaire en cours», aucun responsable de la SHDM n'a accordé d'entrevue sur ce dossier. Il n'a pas été possible de parler à un représentant de Construction Frank Catania.
  7. via Global News : March 17, 2014 2:00 pm Historic Notman House becomes Montreal’s Startup Community Victoria Lennox Co-Founder of Startup Canada, Founder of NACUE, entrepreneurship expert, evangelist, catalyst, and policy advisor Montreal is the second largest city within Canada and perhaps one of the most influential places for businesses to start and grow. It is a place where the energy is high, the people are friendly and the startup community is becoming a strong unity. Within the community, a special place known as Notman House; has been busy shifting the course of Montreal’s startup community. The Notman house was previously owned by a well-known Scottish photographer named William Notman back in the 1800′s and has now become a non-profit organization for grassroots tech initiatives now owned by the OSMO foundation, a non-profit organization aiming to make the tech community more knowledgeable and bring it closer than ever. Various people within the community are able to offer services, host events and have a collaborative working space within the house. Great things are happening,” said Noah Redler, campus director of Notman house. “However in many cases people are working on similar problems without knowing it. The Notman house aims to address this issue by offering a laid back physical space where people and startups can connect with each other and to the community. “We want the Notman house to be the place where people think of coming first – whether they’re thinking of starting a business, to get services, to meet others in the startup community or to find events, we want it to be the institution that is thought of as the first place to go to do all these things,” Noah added. Although it’s only been around for a few years, Notman House is becoming the place for Montreal entrepreneurs to go to connect with the community and get support. Montreal is one of Canada’s most advanced startup ecosystems, and a great example of how even a community with a well-established and supportive institutional presence can benefit from an entrepreneur-led initiative,” said Amanda Stratton, Startup Communities Manager for Startup Canada. “Noah and his team at Startup Montreal were able to identify a missing piece in the opportunities available to Montreal entrepreneurs, and fill it. They introduced the Montreal MashUp to address the gap they found, while also being champions for all of the terrific things already happening for entrepreneurs locally. Last year that mashup event, which occurred alongside some of their community partners, was nothing but a huge success. It was an event teaching startup founders how to manage their businesses. They were able to pitch ideas, gain feedback and some walked away with business sales. According to Noah and the Notman house, it was estimated that the startups made a total of $150,000 of sales during that event alone. Notman House has held over 550 events like this one and incubated over 100 startups in just one year. It is amazing what one historic place has done and is continuing to do to help Montreal’s startup community grow, all by creating an atmosphere for entrepreneurs to expand, collaborate and develop their ideas.
  8. via LaPresse : Publié le 18 mars 2014 à 08h14 | Mis à jour à 08h14 La STM fait valoir ses impacts économiques Après avoir fait valoir ses impacts environnementaux et sociaux, la Société de transport de Montréal (STM) a décidé de faire valoir ses impacts économiques. Elle a ainsi voulu rappeler, dans le contexte électoral actuel, l'importance du transport en commun. «Ce n'est pas un hasard si on fait ça en campagne électorale, a commenté le président du conseil d'administration de la STM, Philippe Schnobb, dans une entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. Ça vient donner des arguments à ceux qui sont en faveur du transport collectif. On peut démontrer que 10 millions investis en transport collectif créent 184 emplois au Québec, par rapport à 66 emplois dans le routier.» La STM a fait valoir qu'elle effectuait la presque totalité de ses dépenses au Québec même, soit 100% de ses dépenses en ressources humaines, construction et énergie, 93% de ses dépenses en matériel roulant et 88% de ses autres achats en biens et services. La STM a aussi noté qu'elle faisait affaire avec plus de 1800 fournisseurs dans 14 régions du Québec. Évidemment, la grande majorité de ces fournisseurs, soit 92%, se retrouvent à Montréal et les environs: en Montérégie, à Laval, dans les Laurentides et dans Lanaudière. La proportion des dépenses à l'extérieur de la région montréalaise devrait toutefois augmenter avec la construction à grande échelle des nouvelles voitures du métro de Montréal à La Pocatière, dans le Bas-Saint-Laurent. M. Schnobb a notamment mentionné que les fenêtres des nouvelles voitures seront fabriquées à Rivière-du-Loup, ce qui entraînera la création de 180 emplois. Le recouvrement d'aluminium, à Valcourt, nécessitera la création de 140 emplois. «On ne parle pas souvent du fait que la STM fait des dépenses à l'extérieur de la région, a déclaré M. Schnobb. Il y a deux semaines, on a octroyé un contrat de 1 million à une compagnie d'Alma pour des barres de guidage dans le métro.» Création d'emplois Selon des calculs effectués par la firme E&B Data, les activités de la STM génèrent plus de 16 500 emplois au Québec, soit 9000 emplois directs à la STM même, 3400 emplois indirects chez ses fournisseurs et 4100 emplois induits. Ces derniers sont soutenus par les dépenses de consommation des employés de la STM et de ses fournisseurs. Tous ces emplois auraient un impact de 1,4 milliard sur l'économie québécoise, en plus des revenus de 418 millions qu'ils rapportent aux administrations publiques. Un document préparé par la STM fait valoir que pour subvenir aux besoins du transport automobile, le Québec a importé 13,7 milliards de dollars en pétrole en 2012 et 7 milliards en automobiles. Cela représente 94% du déficit commercial du Québec. L'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) a également rendu publics hier les résultats d'un sondage sur le transport en commun, réalisé par la firme CROP en janvier 2014 auprès de 1000 répondants partout au Québec. Pas moins de 88% des répondants ont jugé important que le gouvernement du Québec investisse davantage dans le transport en commun. «Raison de plus pour que le gouvernement le fasse», a déclaré M. Schnobb, également président du conseil d'administration de l'ATUQ.
  9. Ce projet est vraiment trop collé au 111 Duke (édifice à bureau). Les résidents vont avoir besoin de vraiment bons rideaux/stores, car on voit tout à partir des bureaux. On n'a pas cette impression en voyant l'espace que fait Wellington entre les deux édifices, mais j'ai toujours l'impression d'être dans le salon des gens quand je regarde par les fenêtres
  10. CTV is doing it again Here's the map of visited places : https://mapsengine.google.com/map/edit?mid=zRI1z2nOnXfE.k0bceY19GOp8 The last one was a behind the scenes view of the Casino : http://montreal.ctvnews.ca/video?clipId=308770 Next one : Sucre Lantic : http://montreal.ctvnews.ca/forbidden-montreal-the-casino-lantic-sugar-and-much-more-1.1732534
  11. C'est l'étage du Kam Fung ? Le resto où les dim sums sont servis à la cantonaise, c'est-à-dire sur chariots entre les tables.
  12. Il y a du lettrage bleu sur le cadrage. Donc, encore emballées?
  13. Dans le Devoir : Péage sur les ponts et «trou de beigne»: Monsieur le Maire, vous vous trompez! 5 mars 2014 Luc-Normand Tellier - Professeur émérite au Département d’études urbaines et touristiques de l’Université du Québec à Montréal Montréal Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir L’instauration de péages pourrait inciter les résidants de l’île de Montréal à faire leurs achats… sur l’île ! Selon le maire Denis Coderre, cité dans Le Devoir du 4 mars, « On vous le dit depuis le début : quand on en met un [péage], on va en mettre partout et nous aurons l’effet trou de beigne qui va avoir un impact économique épouvantable pour Montréal. » Monsieur le Maire, vous vous trompez ! Actuellement, il n’y a aucun péage sur les ponts reliant l’île de Montréal et la Rive-Sud, et selon Le Devoir du 1er mars dernier, « il y a sept ans, une étude réalisée sur les achats faits par les résidants du centre-ville (rue de la Commune au sud, Sherbrooke au nord, Griffintown à l’ouest, et de Bleury à l’est) a démontré que ces derniers concluaient 60 % de leurs achats sur la Rive-Sud ». Pour acheter des meubles, des électroménagers et même pour aller à une simple quincaillerie d’importance, les habitants du centre de Montréal en sont réduits à aller sur la Rive-Sud. Or, avant que les péages soient éliminés sur les ponts Victoria et Jacques-Cartier en 1962, et sur le pont Champlain en 1990, les résidants du centre de Montréal ne faisaient pratiquement aucun achat sur la Rive-Sud. Je veux bien que s’opposer au péage sur les ponts soit populaire, mais il ne faut tout de même pas nier l’évidence pour ce faire. Imposer un péage sur le seul pont Champlain sous prétexte qu’il s’agira d’un nouveau pont est tout bonnement aberrant quand on pense à l’impact que cela aurait sur la répartition des flux automobiles entre les divers ponts de la Rive-Sud. Cependant, présenter l’imposition de péages à un niveau raisonnable sur les ponts de Montréal comme une mesure susceptible d’accentuer l’effet « trou de beigne » est tout bonnement injustifiable parce que cette mesure est plutôt susceptible d’avoir précisément l’effet contraire. En effet, il y a plus de banlieusards qui travaillent sur l’île de Montréal qu’il y a de résidants de l’île qui travaillent hors de l’île, et il y a plus de résidants de l’île qui fréquentent les grands centres commerciaux de la banlieue qu’il y a de banlieusards qui fréquentent ceux de l’île de Montréal. L’imposition de péages ne devrait logiquement avoir pour effet que de convaincre : Les banlieusards travaillant sur l’île de songer à déménager sur l’île. Les résidants du centre à acheter sur l’île plutôt qu’en banlieue. Les quelques résidants de l’île travaillant en banlieue de songer à déménager plus près de leur lieu de travail, ce qui réduirait la congestion et la pollution au centre. Il est habituel pour les maires de la région de Montréal de privilégier une taxe sur l’essence plutôt que le péage sur les ponts. Or, nous savons, depuis la publication des travaux de Georges A. Tanguay et Ian Gingras (2012), qu’une taxe sur l’essence de 3 % est susceptible de n’avoir qu’un infime impact sur l’étalement urbain (elle ne ferait augmenter la population du centre-ville que de 1 % environ). Par contre, précisément parce qu’ils sont impopulaires et parce qu’ils ont un effet sur les comportements et les localisations, les péages installés autour des centres des villes ont des effets significatifs sur la limitation de l’étalement urbain, sur la réduction du trafic automobile, sur l’augmentation du recours aux transports collectifs, sur la baisse de la pollution, sur une meilleure répartition des déplacements au cours de la journée (si les tarifs sont plus élevés aux heures de pointe) et sur la fluidité du trafic. Le péage urbain présente d’immenses avantages des points de vue de l’urbanisme, du transport privé, du transport collectif, de l’environnement et même des finances publiques. Par exemple, chaque jour, 1,3 million de véhicules franchissent les ponts de l’île de Montréal ; si chaque passage coûtait 1,50 $, cela rapporterait en valeur brute 712 millions de dollars par année, ce qui est considérable et ce qui permettrait de mettre à niveau les infrastructures de transport privé et public très défaillantes de la région de Montréal. Cela dit, pour être intelligent, le péage urbain doit être planifié intelligemment. Ce n’est pas ce qui se fait actuellement. Si le péage sur le pont de la 25, sur celui de la 30 et sur le futur pont Champlain est incontournable, il faut une politique métropolitaine des péages sur les ponts entourant l’île de Montréal, politique visant à répartir intelligemment le trafic entre les ponts et entre les heures de la journée, à freiner l’étalement urbain et à augmenter radicalement la mobilité sur l’île et dans l’ensemble de la grande région de Montréal. La situation actuelle est critique. Nous avons totalement échoué dans notre tentative de contrer l’effet de trou de beigne et de freiner l’étalement urbain dans la grande région de Montréal. À titre d’exemple, soulignons que, si l’île de Montréal avait la densité de population actuelle de Vancouver, elle accueillerait 3 millions d’habitants au lieu des 1,7 million d’habitants actuels. Cela représente des coûts considérables si l’on songe qu’un véhicule venant de l’extérieur de l’île parcourt en moyenne 57 kilomètres par jour tandis qu’un véhicule provenant de l’île ne parcourt en moyenne que 19 kilomètres par jour pour les déplacements domicile-travail. Il s’agit là d’un rapport d’un à trois. Notons qu’en dix ans, de 1998 à 2008, la distance moyenne d’un déplacement dans le Grand Montréal est passée de 6,3 à 6,8 kilomètres, pour une augmentation de 8 %. On nous dit que les péages feraient fuir les banlieusards des commerces du centre-ville. Curieusement, les protestations les plus véhémentes qui ont été exprimées lorsque tous ont pris connaissance des problèmes causés par le piètre état du pont Champlain ne sont pas venues des commerçants du centre-ville. Elles sont bel et bien venues des commerçants et des maires de la Rive-Sud. Eux savent à quoi s’en tenir parce qu’ils ont été les principaux bénéficiaires de l’étalement urbain spectaculaire et dramatique qu’a connu la grande région de Montréal depuis 50 ans.
  14. via le Journal de Montréal MONTRÉAL Les acheteurs de condos sont au rendez-vous AGENCE QMI Publié le: jeudi 13 mars 2014, 13H16 | Mise à jour: jeudi 13 mars 2014, 15H01 PHOTO ARCHIVES / AGENCE QMI Le quartier de Griffintown connaît une intense transformation avec la construction de tours à condos. MONTRÉAL - Malgré l’augmentation considérable de l’offre de condos au centre-ville de Montréal, la demande demeure soutenue, selon une étude de la firme en immobilier Groupe Altus. Même si le volume des ventes a été plus timide dans les projets de copropriétés du centre-ville lors du dernier trimestre de l’année 2013, les acheteurs sont toujours au rendez-vous. D’après les données du Groupe Altus, 275 unités ont été vendues lors des trois derniers mois de 2013, comparativement à une moyenne de 400 unités par trimestre vendues dans les neuf premiers mois de l’année. Malgré tout, le niveau de vente s’est situé à 63 %, ce qui signifie que 5093 unités ont été vendues sur un total de 8083 unités offertes. Le taux de vente des unités en construction a pour sa part atteint 74 % (2763 sur 3719 unités). Ces chiffres comprennent l’ensemble des projets actuellement en cours au centre-ville, construits ou pas. Les données révèlent également que le bassin d’unités neuves disponible à Montréal demeure relativement important alors que le nombre d’unités offertes était de 8083 à la fin de décembre dernier. «L’offre volumineuse d’unités neuves a engendré un ralentissement du niveau de ventes mensuelles de certains projets en fin d’année 2013 bien que la demande globale a été au rendez-vous. En tenant compte des différents indicateurs, nous sommes d’avis que le marché du condo se porte bien au centre-ville de Montréal», a indiqué Mathieu Collette, directeur, études de marché du condo au Groupe Altus. L’étude porte sur le marché de la copropriété neuve de cinq étages ou plus dans les secteurs du centre-ville de Montréal incluant le Vieux-Montréal et Griffintown.
  15. Un guide touristique de Montréal m'a déjà dit qu'il y avait bcp plus de places de stationnement intérieur qu'extérieur (incluant en bordure des rues) au centre ville.. Et ça c'était il y a quelques années. Quand je vais au centre ville en auto, je me stationne tjs à l'intérieur. la plupart des stationnements offre des tarifs réduits après 16h-17h et la fin de semaine... C'est sûr qu'avec la construction du Drummond, ça fait un peu moins de places autour du Centre Bell... Mais c'est l'enfer de sortir du secteur après un événement ... Trafic d'enfer. J'ai l'habitude d'utiliser le stationnement des tours BNC/AON. C'est un petit 10 mins de marche du Centre Bell, mais au moins il n'y a pas de temps perdu dans le trafic du centre Bell. Et ça ne coûte que 7-8$ pour avoir une auto au chaud l'hiver
  16. Via LaPresse : Publié le 14 mars 2014 à 06h47 | Mis à jour à 09h27 Condos neufs: baisse de régime au centre-ville MAXIME BERGERON La Presse Le bruit courait déjà parmi les promoteurs immobiliers du centre-ville de Montréal. L'information a été confirmée hier: les ventes de condos neufs ont été plutôt tranquilles pendant les derniers mois de 2013. Selon un nouveau rapport de la firme Altus, à peine 275 copropriétés neuves ont été vendues au quatrième trimestre dans ce secteur qui englobe le centre-ville Est, le centre-ville Ouest, le Vieux-Montréal et Griffintown. Une performance «timide», reconnaît Altus, en comparaison des 400 appartements vendus en moyenne pendant les 3 premiers trimestres de 2013. En fin d'année, on comptait 55 projets actifs au centre-ville de Montréal, contre 53 pendant le troisième trimestre. Cela «a fait diminuer légèrement le rythme des ventes mensuelles», avance la firme. Sur les 8083 appartements offerts dans le secteur au quatrième trimestre, 63% étaient vendus. Les 3719 unités déjà en construction (et non pas en prévente) affichaient par ailleurs un taux de vente de 74%. Bonne performance? Malgré la baisse de cadence marquée des ventes, Mathieu Collette, directeur des études de marché du condo chez Altus, juge cette performance satisfaisante. «L'offre volumineuse d'unités neuves a engendré un ralentissement du niveau de ventes mensuelles de certains projets en fin d'année 2013, malgré que la demande globale ait été au rendez-vous, a-t-il avancé dans l'étude. En tenant compte des différents indicateurs, nous sommes d'avis que le marché du condo se porte bien au centre-ville de Montréal.» Et qu'en est-il des prix? Altus en fait la recension chaque trimestre, mais préfère ne pas rendre cette information publique. Aucune autre firme ne publie de données sur le sujet, contrairement à Toronto, par exemple, où des statistiques détaillées existent. Il reste que les rabais qu'offrent les promoteurs sont de plus en plus nombreux: escompte de 10 000$, électroménagers gratuits, taux d'intérêt réduit. Les uns et les autres multiplient les promotions pour se démarquer de la concurrence. Moins de lancements Seuls trois projets ont été lancés au quatrième trimestre dans le centre-ville: le Drummond, près du Centre Bell, le Lowney sur ville phase 2 et le Solano phase 6. Pour l'ensemble de l'année 2013, 15 projets ont été lancés, contre 25 en 2012 et 14 l'année précédente. Avec 1501 unités vendues en 2013, le centre-ville de Montréal a retrouvé des niveaux qui se rapprochent de ceux de l'année 2011 (1277 ventes), souligne Altus. L'année 2012 est, quant à elle, jugée «exceptionnelle» en raison de «l'hyperactivité» autour du Centre Bell. Plusieurs grands projets, comme la Tour des Canadiens, ont alors fait bondir le nombre de transactions. En chiffres 8083 : Nombre de condos offerts au centre-ville de Montréal. 63% : Pourcentage d'unités vendues. 45% : Pourcentage d'unités vendues dans le centre-ville Est, la section la moins dynamique.
  17. Il me semble que c'est le stationnement qui se trouve entre Ste-Catherine et René-Lévesque Une photo via Google Maps : Selon Google Street View, l'adresse serait le 1221 Drummond
  18. Ailleurs, ce sont d'autres chiffres qui n'ont pas la cote Comme les Chinois n'aime pas le chiffre 4, il n'y a pas d'étage #4 dans les édifices en Chine 4 en mandarin et en cantonais rime avec mort On aime le chiffre 8, car ça rime avec avec un mot qui vaut dire "faire fructifier" D'ailleurs, c'était la raison pourquoi j'avais choisi mon unité à l'étage #18 du LSV... mais après redesign des plans, j'ai été "upgradé" à l'étage #19
  19. je me sens clautrophobe quand je marche sur la rue de la Concorde.. Et avec les hauteurs du Peterson et du C-Lofts, ça va être pire. Surtout comparée à la Place des festivals qui est super aérée
  20. Dans le journal Métro ce matin : 12/03/2014 Mise à jour: 13 mars 2014 | 0:09 Les heures d’ouverture de certains bars prolongées Par Daphnée Hacker-B. Métro Dans le cadre d’un projet-pilote de la Ville de Montréal, certains bars des rues Crescent et Saint-Denis prolongeront leurs heures d’ouverture jusqu’à 6h du matin, cet été. Deux responsables du développement économique à la Ville ont reçu mercredi le mandat de définir le déroulement de ce projet-pilote. «Nous sommes aux balbutiements de la réflexion, il faut notamment penser à la gestion de la sortie des bars et combien de temps ce test durera et quels bars se plieront à l’exercice», a indiqué mercredi Patrick-Jean Poirier, chargé de communications dans Ville-Marie. Le maire de Montréal, Denis Coderre, a rappelé son grand intérêt pour la tenue du projet-pilote lors du conseil d’arrondissement de Ville-Marie, mardi soir. Il a toutefois indiqué vouloir que le test soit de courte durée. «Le but n’est pas de prolonger le projet-pilote sur plusieurs mois, mais idéalement quelques semaines», a spécifié l’attachée de presse du maire, Andrée-Anne Toussaint. «Je sais que de nombreux commerçants et de jeunes entrepreneurs sont emballés par cette idée, mais il faut réfléchir à tout ce que ça implique en termes de sécurité et de dérangement des résidants.» -Denis Coderre, maire de Montréal, lorsqu’il a fait part au comité exécutif de son désir d’effectuer un projet-pilote pour prolonger les heures d’ouverture des bars, le 5 mars dernier. La vente d’alcool s’arrêtera à 3h du matin, tel qu’exigé par la Régie des alcools du Québec. «Nous faisons actuellement des vérifications, mais tout porte à croire que cette exigence sera maintenue pour le projet-pilote», a-t-elle précisé. Une fois les données du projet-pilote colligées, un mandat sera confié à l’Office de consultation publique de Montréal, pour déterminer si la population souhaite que le projet devienne permanent. Si le projet atteint cette étape, la vente d’alcool pourrait être prolongée.
  21. Oui, MartinMtl les a postées ici : http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/20481-Drummond-phase-1-27-%C3%A9tages?p=192989#post192989
  22. Des images de LaPresse+ QUARTIER POINTE-NORD AU TOUR D’EVOLO « S » DE CONQUÉRIR LES COEURS Quartier Pointe-Nord devient de plus en plus une référence en habitation. Les concepts de copropriétés mis de l’avant par son promoteur, Corporation Proment, remportent un vif succès, reconnus autant par la clientèle que par l’industrie. L’entreprise vient tout juste de remporter un prix Domus pour EVOLO. Suite à l’immense succès d’EVOLO 1 et 2, c’est au tour d’EVOLO S de commencer à se matérialiser. « S » pour style, spa et site, mais certains lui apposent déjà l’étiquette « spécial », car tout en reprenant ce qui a fait le grand succès des premières tours, EVOLO S offrira des caractéristiques propres. Ainsi, cette tour n’aura que 24 étages au lieu de 30, créant un contraste architectural intéressant. De plus, elle sera située sur le site de Pointe-Nord le plus près du centre-ville avec des vues qui ne seront jamais obstruées. C’est sous le thème de spa urbain avec une ambiance particulière que se développeront ses aires communes au rez-de-chaussée avec bain à remous, sauna, bain froid, bain vapeur, salle de repos reliée à la salle de yoga, gym et salle de réception, le tout près de la piscine extérieure. Une salle sociale et une suite d’invités complètent les aires communes. EVOLO S offrira à la fois de plus petits condos, comme des studios, et aussi de plus grands avec trois chambres en accord avec les commentaires formulés jusqu’ici par la clientèle. Proment se fait fort d’optimiser chaque pied carré de surface habitable. Il est même question d’y offrir des éléments encastrés (built-in) dans cette recherche incessante d’efficacité. À 235 000 $, le prix de départ devient encore plus accessible, surtout qu’il comprend un stationnement intérieur ainsi que les taxes. La mise en vente d’EVOLO S est prévue pour cet été, mais les personnes intéressées peuvent déjà s’inscrire sur la liste VIP disponible à l’adresse Internet « evolos.ca » où la priorité d’inscription est précieusement respectée. Les gens inscrits pourront profiter des meilleurs emplacements et des prix de prévente. Un quartier riverain au pied du centre-ville « Je ne pensais pas que c’était si près du centre-ville et si facile d’accès ! » ne cessent de dire les premiers arrivants à Quartier Pointe-Nord, le nouveau quartier de L’Île-des-Soeurs. Que ce soit en voiture,en transport en commun ou à vélo, quelques minutes suffisent pour être au coeur de la ville pour affaires, pour magasiner, pour assister à un spectacle ou à un match de hockey. Avec sa notoriété grandissante, l’augmentation de sa population et l’ajout de nouveaux commerces, Quartier Pointe-Nord vit de plus en plus au rythme d’un quartier avec une rue principale dont l’ambiance peut se comparer à la rue Bernard, à Outremont, ou à l’avenue Greene, à Westmount. Le restaurant Les Enfants Terribles, la boulangerie-pâtisserie Mamie Clafoutis, la succursale bancaire BMO ont maintenant une clientèle fidèle. Il ne suffit que de quelques pas pour aller chercher sa baguette française toute chaude. Le souci du détail propre à la Corporation Proment se perçoit partout, que ce soit dans le mobilier urbain, dans la configuration même des trottoirs ou dans la disposition des différents édifices pour une volumétrie créative qui rend plus discrète la présence des tours. La rue principale avec ses commerces de proximité débouche naturellement sur la plaza piétonnière qui se termine sur l’esplanade surplombant le fleuve Saint-Laurent. Ces lieux publics participent à l’animation du quartier. L’été des concerts variés se tiennent tous les mercredis sur la plaza. L’hiver, l’esplanade sert de patinoire au grand plaisir des jeunes et moins jeunes. Quartier Pointe-Nord harmonise maisons de ville, espaces verts, édifices de hauteur intermédiaire, tours et commerces, ce qui lui procure une signature unique. Les bâtiments ont été soigneusement positionnés pour toujours dégager des panoramas intéressants pour leurs résidents, mais aussi pour les promeneurs, que ce soit des vues sur le fleuve, sur le centre-ville de Montréal ou sur le mont Royal. Un seul et unique promoteur Une autre des forces de Pointe-Nord est que ce quartier constitue l’œuvre achevé d’un seul et unique promoteur, Corporation Proment. Tout est prévu et planifié. Pas de surprise. Les 35 années de réalisations de ce promoteur à L’Île-des-Soeurs constituent sa carte de visite et lui confèrent une crédibilité prouvée. Proment a construit la première tour résidentielle à être certifiée LEED Or au Québec, tout comme Quartier Pointe-Nord fut l’un des premiers quartiers à obtenir la certification LEED Or ND (Neighborhood Development) pour son ensemble. De dire Ilan Gerwurz, vice-président principal de Proment, « la planification méticuleuse de ce site privilégié sur le bord du fleuve constitue en soi une rareté qui comme investissement ne peut que s’apprécier avec le temps ». EVOLO Projet résidentiel de l’année EVOLO a été reconnu comme « projet résidentiel multifamilial de l’année » par l’Association provinciale des constructeurs d’habitations du Québec. L’APCHQ a ainsi remis à la Corporation Proment un prix DOMUS qui récompense chaque année les meilleures réalisations dans le domaine de la construction et de la rénovation résidentielles de la grande région de Montréal. Le jury a particulièrement apprécié le design novateur de l’édifice et son intégration dans la trame du quartier. « En octroyant le prix à EVOLO, l’industrie encourage également la construction d’édifices verts et nous croyons que les constructeurs devraient davantage adhérer aux principes du développement durable », estime Louis-Joseph Papineau, vice-président développement et construction. Proment vise la certification LEED Or pour ce projet. « L’obtention de ce prix s’avère une excellente nouvelle pour nos acheteurs, car cela confirme qu’ils ont fait un choix judicieux en optant pour EVOLO et que leur investissement s’appréciera avec le temps », indique pour sa part Ilan Gewurz, premier vice-président de Proment. « Nous donnons vraiment beaucoup de valeur ajoutée à nos projets, rappelle pour sa part Samuel Gewurz, président de Proment. Il se peut que nos acheteurs ne se rendent pas compte aujourd’hui de la plus-value d’un édifice LEED, d’un édifice vert dans un quartier vert, mais soyez assurés qu’ils le réaliseront à long terme et seront très heureux d’avoir cru en notre vision. » Evolo S Nombre d’unités : 188 (tour de 24 étages) Disponibilité : fin 2016, début 2017 Superficie : 580 à 2250 pc (studio, 1, 2 et 3 cc) Prix : à partir de 235 000 $ (taxes et stationnement intérieur inclus) Caractéristiques : abondante fenestration, aires communes sous le thème spa urbain (piscine extérieure, bain à remous, sauna, bain froid, bain vapeur, gym, salle de repos, salle de yoga) suite d’invités, salle de réception Emplacement : Quartier Pointe-Nord de L’Île-des-Sœurs, au bord du fleuve, à proximité des parcs, sentiers pédestres et pistes cyclables, à 5 minutes du centre-ville de Montréal Bureau des ventes : EVOLO S – s’inscrire sur la liste VIP à « evolos.ca » EVOLO 2 – 199, rue de la Rotonde, 9e étage, L’Île-des-Soeurs lundi au vendredi, de 11 h à 19 h samedi et dimanche de 11 h à 17 h 514 819.1585 2 condos témoins à visiter sur rendez-vous EVOLO 2 : une quarantaine de condos disponibles pour occupation ce printemps ; informations aux mêmes coordonnées qu’EVOLO S
  23. Voici des images de l'intérieur via LaPresse+ LE CENTRE-VILLE ACCESSIBLE À TOUS POINTS DE VUE À l’heure où les tours à condos de luxe se multiplient dans le voisinage du Centre Bell, l’amphithéâtre le plus achalandé en Amérique du Nord, le Drummond, sur la rue du même nom, apparaît comme le meilleur rapport qualité/prix au centre-ville de Montréal, dans un secteur où le flux des véhicules et des piétons ne pose pas problème. Haut de 25 étages, le Drummond offrira quelque 230 condos d’une à deux chambres à des prix accessibles au coeur de la ville, entre le boulevard René-Lévesque et la rue Sainte-Catherine, permettant à ses résidents de jouir de tous les avantages que procure une grande ville. Boutiques, restaurants, lieux de divertissement, transports en commun foisonnent dans le secteur. Le Drummond étant entouré de bâtiments de faible hauteur, les vues y seront intéressantes dès les étages inférieurs. Ses résidents pourront aussi jouir du sommet de l’édifice avec sa spectaculaire piscine extérieure entourée d’une grande terrasse avec coin de détente et zone barbecue, tout en bénéficiant d’une vue panoramique. Bien équipés Les condos du Drummond se caractérisent aussi par des éléments de confort indiscutable. Chaque condo vient avec six appareils électroménagers, la climatisation, l’eau chaude par distribution centrale, des comptoirs en quartz, un balcon ou une terrasse, des plafonds à au moins 9 pieds de hauteur, une cuisine d’inspiration européenne, etc. Le stationnement intérieur constitue une option intéressante, quatre étages souterrains y sont consacrés, comprenant aussi des rangements et un stationnement pour vélos. Le pavillon des ventes, rue Stanley, présente la réplique grandeur nature de deux condos, le premier d’une chambre, et le second de deux chambres. Un gym spectaculaire Une section en forme de cube de quatre étages reliera les deux phases du Drummond. Ses deux étages supérieurs accueilleront un superbe gymnase tout vitré, un lieu parfait pour garder la forme. Des bureaux occuperont les deux premiers étages de cette section, tout comme au rez-de-chaussée du Drummond. Le Drummond (phase I) Nombre d’unités : 230 sur 25 étages Disponibilité : décembre 2016 Superficie : 550 à 1040 pc (1 et 2 cc) (possibilité de condos 3 chambres) Prix : à partir de 227 200 $ (taxes en sus) Caractéristiques : balcon ou terrasse, climatisation, stationnement intérieur optionnel, 6 électroménagers, comptoirs en quartz, plafonds à 9 pieds et plus, piscine sur le toit avec terrasse, coin détente et zone barbecue, gym sur 2 étages, etc. Emplacement : rue Drummond, entre le boulevard René-Lévesque et la rue Sainte-Catherine, près du Centre Bell Pavillon des ventes : 1210, rue Stanley, Montréal 514 397.0098 (cell. 514 983.8880) lundi au vendredi, de midi à 19 h samedi et dimanche, de midi à 17 h ou sur rendez-vous deux condos témoins à visiter
  24. Voici l'article en question : http://plus.lapresse.ca/screens/4d2b-ab20-530760d0-9363-65f1ac1c606a%7C_0.html LUXE ET CONFORT À LA BONNE ADRESSE Élégante, racée, en harmonie avec la signature patrimoniale du quartier, la tour Le Victoire se distingue à plusieurs titres comme un immeuble de prestige sur un site de choix, sans équivalent, tout juste devant le Square Victoria. Avec seulement 54 résidences en copropriété dans une tour de 25 étages, intimité et discrétion assurées. Les acheteurs avertis ont vite compris le potentiel du Victoire. La vente de 87 % des condos s’est faite en un temps record. Il ne reste que 7 unités et la construction de ce futur joyau du Vieux-Montréal est bien enclenchée pour une livraison prévue en décembre 2015. Différentes contraintes physiques et règlementaires ont forcé les promoteurs Bryan McNicholl et Raffaele Freddi, de RedFoxCo, à faire preuve de grande créativité pour redonner vie à un site délaissé depuis de nombreuses années. Angle des rues Saint-Jacques et Gauvin s’élevait depuis 1905 le siège d’une compagnie d’assurance, un immeuble de trois étages avec de gigantesques plafonds. Le Victoire intègre harmonieusement, tout en les rénovant, les magnifiques façades du vieil édifice, ce qui donne au rez-de-chaussée un plafond à 18 pieds et aux 2e et 3e étages des plafonds à 15 pieds. Le ton était donné pour le reste du Victoire avec des plafonds à 11 pieds, justifiant des portes intérieures à âme pleine de 9 pieds comme on le constate au bureau des ventes où une réplique de la cuisine type a été construite grandeur nature. De grands espaces Le Victoire se distingue notamment par la superficie de ses résidences, ce qui donne de grands espaces de séjour abondamment fenestrés. Pour les 7 condos disponibles, cette superficie varie de 716 à 4440 pieds carrés. Quelques unités occupent tout un étage et la porte de l’ascenseur s’ouvre directement dans l’espace de vie ; d’autres copropriétés comprennent 2 étages, dont certaines avec des plafonds à 23 pieds de hauteur. Les terrasses sont nombreuses et certaines immenses. Voici un aperçu de cette diversité. 9e étage, 716 pc, 1 cc, vue à l’ouest 15e étage, 1239 pc, 2 cc, 2 terrasses, unité transversale. 11e étage, 1381 pc, 2 cc, 3e cc optionnelle. 4e étage, 1894 pc sur 2 étages, 3 cc, immense terrasse en L de 680 pc. 20e étage, 2285 pc avec mezzanine, 3 cc, 2 terrasses. 22e étage, 3124 pc sur tout l’étage, 3 cc, 2 terrasses, ascenseur direct. 17e étage, 4440 pc sur tout l’étage avec mezzanine, 3 cc, ascenseur direct, 3 terrasses. Plusieurs acheteurs n’ont pas hésité à personnaliser leur future résidence pour qu’elle corresponde exactement à ce qu’ils désirent, les promoteurs offrant une grande souplesse à cet égard. Valet virtuel La domotique, véritable valet virtuel, constitue aussi un autre trait du Victoire, l’inscrivant dans une totale modernité. Éclairage, chauffage, climatisation, musique, porte d’entrée, accès à l’ascenseur pourront être commandés à distance par tablette numérique et téléphone intelligent. Les éléments de luxe et de confort abondent au Victoire avec des comptoirs en quartz Caesarstone, des salles de bain privées pour la plupart des chambres, des murs fenêtres optimisant la lumière naturelle, des planchers de chêne avec lattes de 5 pouces, un banc de bain se prolongeant dans la douche vitrée, les électroménagers Bosch fournis (Miele en option) et ainsi de suite. Bistro maison Un élégant bistro européen aux influences portugaises occupera le rez-de-chaussée et créera une ambiance chaleureuse tout en offrant un service du matin au soir. Il fait partie de la famille du Helena, rue McGill, du Portus Calle, boulevard Saint-Laurent, et des 400 Coups, rue Notre-Dame. Un résident du Victoire pourra sans problème y commander et se faire livrer un repas à domicile. Le Victoire occupe un terrain de 6300 pieds carrés. Pour la première fois à Montréal la technique du forage de pieux (Secant Pile Wall) a été utilisée ; la fondation est ainsi faite d’une série de colonnes de béton soigneusement intercalées, s’appuyant sur le roc. Résultats : un chantier moins bruyant, sans vibration et un sous-sol étanche. Le stationnement intérieur occupe 5 étages et un ascenseur à véhicules le dessert pour en faciliter et en simplifier l’accès. Une autre caractéristique du Victoire. Piscine à nage stationnaire, salle d’entrainement et de Pilates, studio de yoga sont à la disposition des résidents, de même qu’un espace pour faciliter le lavage de son chien. Cette véritable station tout équipée assure une tenue impeccable des lieux malgré la température montréalaise. Le nouvel immeuble de prestige a des voisins tout aussi prestigieux comme la Tour de la Bourse, les sièges sociaux de Québécor et de Power Corporation. Il se trouve à la fois dans le Vieux-Montréal et dans le Quartier International. Le parc et la station de métro du Square Victoria se trouvent juste en face. Le Victoire (87 % vendu) Nombre d’unités restantes : 7 condos à différents étages Disponibilité : décembre 2015 Superficie : 1, 2 et 3 cc, de 716 à 4440 pc Prix : à partir de 449 900 $ (taxes et stationnement intérieur exclus) Caractéristiques : structure de béton, insonorisation optimale, murs fenêtres, plafonds à 11 pieds, comptoirs en quartz, électroménagers Bosch, climatisation, nombreuses salles de bain, au moins une terrasse, cuisine avec armoires en hauteur, plancher de chêne en lattes de 5 pouces, stationnement intérieur optionnel, piscine communautaire pour nage stationnaire, salle d’entrainement, studio de yoga, etc. Emplacement : angle des rues Saint-Jacques et Gauvin, en face de la Tour de la Bourse et du Square Victoria Bureau des ventes : 124, rue McGill-2e étage, Montréal – 514 335.5553
  25. Viens de recevoir ce courriel des promoteurs : « Construction a déjà commencé » ... démolition je n'appelle pas cela construction ...
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