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  1. McGill prévoit se joindre à l'ÉTS pour établir un centre de recherche dans Griffintown: le Quartier d'innovation (QI) devrait au départ prendre la forme de 2 bâtiments, un pour chaque université. Les partenaires espèrent créer un effet d'entraînement et attirer les entreprises faisant de la recherche dans le quartier. http://www.quartierinnovationmontreal.com/ http://www.mcgilltribune.com/news/mcgill-reveals-more-about-future-quartier-d-innovation-1.2748613?pagereq=1#.TzVDUcgU6Jp Source: http://www.montrealitesurbaines.com/
  2. http://journalmetro.com/actualites/montreal/906723/un-nouveau-gesu-a-letude/ Un nouveau Gesu a l’étude Par Laurence Houde-Roy Métro Archives Métro Le Gesù Le comité exécutif de la Ville de Montréal devrait accorder mercredi matin un soutient financier de 78 000$ au Gesù. Cette somme aura pour but de réaliser des études de faisabilité concernant un projet de réaménagement que les responsables de l’église du Gesù aimeraient concrétiser. Le sous-sol de l’immeuble est depuis longtemps l’hôte d’activités artistiques dans un amphithéâtre qui y est aménagé, mais l’église est peu utilisée, souvent que quelques heures par semaine, peut-on lire dans des documents de la Ville. Les dirigeants souhaiteraient ainsi transformer l’église pour y accueillir des événements culturels. Aussi, la résidence jésuite, adjacente à l’église, serait transformée en espace à bureaux pour des organismes partenaires. Avec l’amphithéâtre au sous-sol, cela a pour but de «former un tout cohérent». «Le projet global, qui prend le nom de Nouveau Gesù, vise à créer un pôle de partenaires et d’organismes clés autour des axes culturels, artistiques, sociaux et spirituels au coeur du Quartier des spectacles. Certains partenaires seront des utilisateurs résidents et d’autres seront des utilisateurs non résidents», expliquent les documents de la Ville. Les études de faisabilité se pencheront sur ce projet. Des études acoustiques, d’électricité, un inventaire des composantes patrimoniales et une stratégie de conservation et de mise en valeur seront notamment fait. La contribution financière de Montréal de 78 000$ représente 49% de l’ensemble du budget de la phase d’étude et de développement qui est de 160 060$. Le Gesù déboursera également 82 060$. L’église du Gesù est actuellement un immeuble patrimonial classé. Le projet vise «la mise en valeur et la pérennité» de l’immeuble. La Compagnie de Jésus du Canada français, propriétaire du site de l’église, souhaiterait, dans le cas où le projet irait de l’avant, se retirer de l’oeuvre et organiser la passation du patrimoine. sent via Tapatalk
  3. C'est très intéressant de voir ce nouveau fonds et ca démontre bien la transformation progressive de l'économie de Montréal ainsi que la position de Montréal sur l'échiquier des technos. Publié le 16 décembre 2014 à 06h48 | Mis à jour à 06h48 L'écosystème montréalais des jeunes entreprises en technologie continue de s'étoffer avec la création, qui doit être officiellement annoncée ce matin, d'un nouveau fonds de capital de risque mis sur pied par cinq jeunes entrepreneurs. Ce nouveau fonds, Interaction Ventures, sera doté au départ d'une cagnotte de 1 million de dollars. Ses partenaires fondateurs sont cinq jeunes entrepreneurs déjà actifs dans l'écosystème. Il s'agit de LP Maurice et Frédéric Thouin, cofondateurs de Busbud, Bruno Morency, fondateur de Context.io, Raff Paquin, cofondateur de Frank&Oak, et Guillaume Racine, gestionnaire senior chez Amazon, basé à Londres. Le trésor de guerre d'Interaction Ventures n'est pas des plus imposants, mais les partenaires fondateurs souhaitent occuper un créneau où l'on ne se précipite pas, très tôt dans l'existence d'une entreprise. «Des gens comme Real Ventures, la Banque de développement du Canada (BDC) ou iNovia interviennent généralement plus tard, fait valoir M. Maurice. Il y a un espace qui se créait à l'étape des "anges".» «Real Ventures a commencé un peu comme ça, ajoute M. Morency, mais leur fonds est maintenant rendu à plusieurs millions, et ce n'est plus la même réalité.» Interaction Ventures prévoit des investissements «normalisés» de 50 000$, qu'elle souhaite combiner à ceux de partenaires dans des rondes totalisant jusqu'à 1 million de dollars. Les jeunes entreprises sélectionnées pourront aussi bénéficier de l'expertise des cinq cofondateurs, jugés «complémentaires» par M. Maurice. «Donner des conseils, c'est quelque chose que nous faisons tous déjà. Là, avec notre fonds, c'est un autre niveau.» Ils n'entendent toutefois pas s'imposer. «Le but n'est pas de devenir cofondateurs», rappelle M. Morency. Grâce à une entente avec le fonds iNovia, les entrepreneurs de l'écurie d'Interaction Ventures auront accès à des ressources additionnelles, notamment des événements de maillage. L'un des gestionnaires d'iNovia, Chris Arsenault, servira d'ailleurs de conseiller du nouveau fonds, tout comme Dax Dasilva, fondateur de Lightspeed. La création d'un tel fonds est un gage de maturité de la scène montréalaise, estime M. Maurice. «Tranquillement, il va y en voir de plus en plus, des gens qui vont être dans cette position de pouvoir faire de petits chèques à de jeunes entrepreneurs.»
  4. Investissement Luc Poirier développe actuellement un important complexe résidentiel sur le territoire de Laval. Le projet vise la construction de plus de 2,000 unités de condos intégrées à une tour de 60 étages et à des immeubles adjacents. Le projet est élaboré avec des partenaires majeurs sous la responsabilité desquels est placée l’intégration harmonieuse de différentes composantes commerciales et récréotouristiques d’envergure. http://www.investissementlucpoirier.com/
  5. Un nouveau fonds d'investissement en technologie Publié le 27 avril 2009 à 17h46 | Mis à jour à 18h43 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec, la Caisse de dépôt et placement et le Fonds de solidarité FTQ interviennent pour contrer la pénurie de capital-risque qui se profile à l'horizon. Une bonne partie des 18 fonds privés de capital-risque qui investissent activement au Québec depuis 2004 seront à court d'argent d'ici la fin de l'année, a expliqué lundi en conférence de presse le ministre des Finances, Raymond Bachand. Les trois partenaires ont donc annoncé lundi la création de Teralys Capital, le plus important «fonds de fonds» au Canada, qui sera doté de 700 millions $: 250 millions $ provenant de la Caisse, 250 millions $ du Fonds FTQ et 200 millions $ du gouvernement, conformément aux dispositions du dernier budget québécois. «Teralys Capital sera l'un des plus importants fonds en Amérique du Nord dans le secteur du capital de risque», a déclaré le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia. Le président de Teralys, Jacques Bernier, sollicitera des partenaires privés, au premier chef des caisses de retraites d'entreprises et des investisseurs institutionnels, afin de porter à 825 millions $ la taille du fonds. Teralys investira dans des fonds privés dotés qui, à leur tour, injecteront des capitaux dans des entreprises des domaines des technologies de l'information, des sciences de la vie, des nanotechnologies et des technologies dites «propres». Les trois-quarts des capitaux seront versés «directement ou indirectement» dans des fonds québécois, tandis que le reste sera destiné à des gestionnaires de l'extérieur de la province, mais qui sont»actifs au Québec». Dans la mire: les entreprises en démarrage. On veut par ailleurs éviter le «saupoudrage»: Teralys investira dans des fonds dotés d'actifs d'au moins 150 millions $. «Il y a une corrélation importante entre la taille et le rendement dans ce domaine», a estimé M. Sabia. La Caisse et ses partenaires espèrent qu'à long terme, Teralys réalisera un rendement annualisé de 15 à 20 pour cent. L'ancien PDG de BCE a assuré que la mise sur pied de Teralys n'avait rien à voir avec la crise économique, qui a pourtant compliqué la recherche de financement pour la plupart des entreprises de technologies, qu'elles soient en démarrage ou non. Il a toutefois indiqué que l'«impact» d'un tel fonds pouvait être décuplé dans le contexte actuel. L'Association canadienne du capital de risque et d'investissement s'est réjouie de l'annonce de lundi. «Ce fonds (...) est un brillant exemple de l'impact positif que peut avoir une collaboration étroite entre le secteur public et le secteur privé», a déclaré le président du regroupement, Gregory Smith, dans un communiqué. M. Smith a rappelé que l'industrie canadienne du capital-risque souffrait d'un manque de capitaux depuis plusieurs années. En 2008, le secteur a mobilisé 1,03 milliard $, soit 41 pour cent de moins qu'en 2005.
  6. Ni la chute des prix de l'énergie ni la crise financière ne mettent en danger le projet de terminal de gaz naturel liquéfié que Gaz Métro et ses partenaires veulent construire à Lévis. Pour en lire plus...
  7. Le président du conseil d'administration de BCE a annoncé son départ, hier, une semaine après l'échec du rachat de l'entreprise montréalaise par Teachers' et ses partenaires. Pour en lire plus...
  8. BCE poursuit le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario (Teachers) et ses partenaires pour réclamer au consortium une indemnité de rupture de 1,2 milliard $. Pour en lire plus...
  9. L'échec du rachat de BCE par Teachers' et ses partenaires ne signifie pas la fin de ce feuilleton qui s'étire depuis plus de 17 mois. Loin de là. Pour en lire plus...
  10. La transaction qui devait permettre à Teachers et ses partenaires d'acheter BCE est nulle et non avenue. La firme montréalaise n'a pas réussi à démontrer sa solvabilité. Pour en lire plus...
  11. Les actionnaires déçus de l'échec pressenti de la riche transaction avec le fonds Teachers' et ses partenaires américains devraient ranger leur espoir d'une nouvelle offre à prix révisé. Pour en lire plus...
  12. Pierre Karl Péladeau a fait valoir que ses journaux pourraient livrer un important contenu à d'éventuels partenaires dans le secteur des communications sans fil. Pour en lire plus...
  13. Les deux partenaires signent un contrat de 1,7 G$ visant l'impression du journal jusqu'en 2028 dans la plupart de ses principaux marchés au Canada. Pour en lire plus...
  14. Le Fonds de revenus CI Financial a confirmé être impliqué dans des discussions avec divers partenaires concernant un éventuel regroupement stratégique. Pour en lire plus...
  15. Guy Laliberté jongle même avec les chiffres. Il a annoncé hier la vente du cinquième des parts de l'entreprise dans le but de lui donner un nouvel essor... et de consolider sa fortune personnelle. Pour en lire plus...
  16. CGI et ses partenaires déposeront une offre dans le cadre d'un contrat pouvant rapporter 5,3 G$ US par année aux fournisseurs de l'armée de mer. Pour en lire plus...
  17. Les principaux partenaires de l'industrie porcine parviennent à une entente qui comprend une réorganisation complète du système de mise en marché. Pour en lire plus...
  18. Les principaux partenaires de l'industrie porcine parviennent à une entente qui comprend une réorganisation complète du système de mise en marché. Pour en lire plus...
  19. le 8 novembre 2007 Le Comité pour la Protection du Patrimoine Île-des-Sœurs (CPP-IDS) s’associe à une quarantaine d’organismes de la grande région montréalaise pour demander la protection des derniers milieux naturels du domaine bioclimatique de l’érablière à caryer. Le but de cette démarche collective est de créer un nouveau parc national, le Parc écologique de l’Archipel de Montréal. Les partenaires de ce regroupement veulent préserver les derniers espaces naturels dans le sud-ouest du Québec. Ils invitent tous les paliers de gouvernement à appuyer le projet de parc afin d’assurer qu’un minimum de 12% de ce domaine écologique soit protégé à perpétuité. Les organismes demandent qu’une action politique soit rapidement entreprise pour protéger concrètement ce «patrimoine naturel menacé de disparition, alors qu’il recèle la plus grande biodiversité au Québec». Depuis des années, des citoyens et des organismes travaillent pour qu’un tel parc voie le jour. Les milieux naturels feront partie d’un nouveau concept unique visant à protéger et à mettre en valeur une mosaïque de forêts, de milieux humides, de corridors verts et d’îles reliés entre eux par les grands cours d’eau qui sillonnent le Québec méridional afin de créer le Parc Écologique de l’Archipel de Montréal . À ce jour, plus de 100 sites d’importance ont déjà été identifiés dans la zone de conservation ciblée qui se situe dans un rayon d’une cinquantaine de kilomètres à partir du centre de l’Île de Montréal. Un grave retard Les partenaires affirment que Montréal est classée bonne dernière parmi quatorze autres villes canadiennes pour la superficie d’espaces verts per capita. Seulement un peu plus de 3% du territoire naturel montréalais serait actuellement protégé, 0,73% du territoire de Laval et 3,69% pour la Montérégie. Quant aux régions du Suroît et Mirabel-Blainville, les pressions sur leur territoire sont énormes avec l’augmentation de plus de 30% de leur population au cours des cinq dernières années. En comparaison, Toronto possède déjà, depuis 1954, un programme pour la protection du bassin versant de la région métropolitaine. Ainsi, en 2005, l’Ontario s’est dotée d’une immense ceinture verte (environ 720 000 hectares) dans la région. Quant à la Colombie-Britannique, il y a trente ans, cinq millions d’hectares ont été mis de côté pour protéger les terres agricoles et les milieux naturels autour des centres urbains. La ceinture verte à l’intérieur et autour de Vancouver est reconnue comme un modèle de réussite à travers l’Amérique du Nord. Les organismes partenaires et tous les citoyens qu’ils représentent s’inquiètent de voir disparaître rapidement les milieux naturels qui les entourent, comme ils s’inquiètent des changements climatiques. Ils demandent donc que les gouvernements fédéral et provincial remplissent leurs engagements concernant la Convention des Nations Unies sur la biodiversité, signée en 1992, alors que Jean Charest occupait le poste de ministre de l’Environnement au gouvernement fédéral. Cette convention a par ailleurs été appuyée par l’Assemblée nationale du Québec. Ces engagements doivent conduire ultimement à mieux protéger la biodiversité sur l’ensemble du territoire. Les organismes partenaires sont convaincus que la création du Parc Écologique de l’Archipel de Montréal permettrait de remplir ces engagements. Le regroupement de partenaires invite tous les organismes intéressés par ce projet à se joindre à eux pour le mener à bien. Ce lancement n’est évidemment que le début des démarches collectives visant la protection et la mise en valeur réelle des milieux naturels de la région.
  20. 20/04/2007 La restauration de l'Église St-James United, au centre-ville de Montréal, semble tourner au cauchemar pour plusieurs petits entrepreneurs embauchés par le maître d'oeuvre, L.M. Sauvé. Les sous-traitants tentent de récupérer 1,7M$ de ce projet subventionné à hauteur de 4M$. Une vingtaine d'entre eux ont enregistré des hypothèques légales sur les immeubles commerciaux sur lesquels ils ont travaillé. Le projet, estimé à 6,1M$, a finalement coûté 8,3M$, soit 2,2M$ de plus. Vendredi, L.M. Sauvé a fait appel à ses partenaires dans ce projet et propose un partage équitable des frais supplémentaires encourus. «Nous voulons nous assurer que chacun de nos créanciers se montre satisfait de notre proposition. Nous comprenons très bien les inquiétudes que ceux-ci peuvent avoir présentement, tout comme nous sommes convaincus qu'ils comprennent les circonstances particulières dans lesquelles se trouvent actuellement L.M. Sauvé», a déclaré le président de l'entreprise, M. Paul Sauvé.
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