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  1. N'eût été de la hausse des coûts de l'alimentation, le taux annuel de l'inflation aurait été pratiquement à 0% en janvier au Canada. Pour en lire plus...
  2. L'assureur ING Canada a affirmé lundi qu'il ne supprimerait pas d'emplois malgré l'annonce de l'élimination de 7000 postes par sa société mère. Pour en lire plus...
  3. Le taux annuel d'inflation a baissé de façon importante en décembre au Canada. Il était estimé à 1,2% par Statistique Canada, comparativement à 2% en novembre. Pour en lire plus...
  4. Le crédit à la consommation aux États-Unis a reculé en novembre de 3,7% en rythme annuel, enregistrant ainsi sa plus forte baisse depuis janvier 1998. Pour en lire plus...
  5. L'indice des prix à la consommation a atteint 2 % en novembre, mais en excluant l'essence la hausse a été de 2,8 % par rapport à l'an dernier. Pour en lire plus...
  6. Les ventes de logements neufs aux États-Unis sont tombées en octobre au plus bas depuis janvier 1991, chutant de 5,3% par rapport à septembre, pour s'établir à 433 000 unités à un rythme annuel. Pour en lire plus...
  7. L'économie a reculé de 0,5% au troisième trimestre (à un rythme annuel), selon la nouvelle estimation publiée mardi par le département du Commerce. Pour en lire plus...
  8. Les reventes de logements anciens aux États-Unis ont été en nette baisse en octobre, chutant de 3,1% par rapport à septembre, pour s'établir à 4,98 millions à un rythme annuel. Pour en lire plus...
  9. Le taux annuel d'inflation au Canada a chuté de 3,4 à 2,6% en octobre, selon Statistique Canada qui impute la diminution marquée des prix à la consommation à la forte baisse des prix de l'essence. Pour en lire plus...
  10. Toyota a l'intention de réduire encore sa production en Amérique du Nord et Nissan annonce que ses profits chuteront à «zéro» au cours de la deuxième moitié de l'année au moment où la récession fait chuter les ventes de véhicules aux États-Unis à leur plus bas total annuel en 15 ans. Pour en lire plus...
  11. Le groupe allemand a confirmé jeudi ses objectifs pour son exercice annuel 2008-09, tout en reconnaissant qu'ils étaient devenus «plus ambitieux». Pour en lire plus...
  12. En pleine crise économique internationale, la Chine a annoncé un nouvel excédent commercial record en octobre de 35,24 G$ US, soit une hausse de 29,9% en glissement annuel. Pour en lire plus...
  13. La productivité dans le secteur non-agricole aux États-Unis a fortement ralenti au troisième trimestre, progressant de 1,1% à un rythme annuel par rapport au trimestre précédent. Pour en lire plus...
  14. Le taux annuel d'inflation a légèrement diminué en septembre au Canada, passant à 3,4%. Pour en lire plus...
  15. Celle-ci a été revue en baisse de 0,5 point, à 2,8% en rythme annuel, selon les chiffres définitifs du ministère du Commerce américain. Pour en lire plus...
  16. Le mois dernier, les prix de l'essence se sont accrus de 26,3% comparativement au même mois l'année précédente. Pour en lire plus...
  17. Voici un excellent article sur la mentalitée Québecoise vis à vis l'Argent! http://www.cyberpresse.ca/article/20080915/CPACTUALITES/809150875/6730/CPACTUALITES Le lundi 15 septembre 2008 Le tabou de la richesse Émilie Côté La Presse Pas facile d'interviewer quelqu'un au sujet de sa réussite financière. Jonathan Brunet a accepté à la condition qu'on ne révèle pas son vrai nom. Il craignait que ses clients aient des pensées du genre: «Toi, t'as de l'argent, pas moi.» Quand il est arrivé à un tournoi de golf au volant de sa première voiture de luxe, Jonathan Brunet a compris: lorsqu'il est question d'argent, mieux vaut rester discret. C'était il y a 13 ans. Le jeune professionnel venait de remplacer sa vieille Honda Civic par une BMW flambant neuve. «Lors du cocktail, ma nouvelle auto est devenue un sujet de conversation, raconte-t-il. J'ai compris qu'il y a des choses qu'on est mieux de garder pour soi.» Ce fut aussi le conseil de son patron de l'époque. «Si t'es beige, les clients aiment ça.» Âgé de 42 ans, Jonathan Brunet travaille dans le domaine des finances. Il est père de deux enfants. Il habite dans un quartier cossu de Montréal. Il possède aussi un chalet pour s'évader de la ville avec sa femme et ses enfants. Le sujet de l'argent est tabou. Surtout au Québec, déplore le professionnel, qui vient d'un milieu modeste. «Dans la communauté francophone, et c'est peut-être un legs religieux, célébrer le succès et le succès financier est presque tabou, dit Isabelle Hudon, présidente de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. Mais je dirais que nous sommes passés du tabou à la timidité. Les gens ne se sentent pas coupables, mais ils sont gênés d'en parler et de le démontrer.» Parlez-en à Julie Bourque, mère de famille de 32 ans. Son mari a acheté une entreprise à la fin de sa vingtaine. Depuis, les revenus du couple ont beaucoup augmenté. «On a un petit complexe que ça aille trop bien, confie-t-elle. Nous sommes un peu mal à l'aise avec ça.» Quand elle reçoit à Noël, Mme Bourque marche sur des oeufs. Depuis que des membres de sa famille ont dit tout bas qu'elle en faisait «trop», elle ralentit ses ardeurs quand vient le temps de décorer sa maison et de cuisiner des plats. Cette attitude de sa famille l'attriste. «J'aimerais que tout le monde soit bien, chez nous», dit-elle. «Avec le temps, tu gagnes des connaissances et tu en perds, poursuit Jonathan Brunet. J'ai des amis d'enfance qui n'ont pas eu la même réussite financière que moi mais qui ont réussi dans leur domaine. Il n'y a aucune jalousie, car nous avons vécu des trips qui vont au-delà de tout ça.» Le matin de notre entrevue avec M. Brunet, l'ex-ministre de la Santé, Philippe Couillard, se faisait vilipender dans les médias parce qu'il venait de s'associer à un fonds d'investissement privé en santé. M. Brunet a déploré le traitement réservé à M. Couillard. Selon lui, ce n'est pas l'apparence de conflit d'intérêts qui a dérangé l'opinion publique, mais le fait que le médecin se lie au secteur privé. «Ça ne motive personne, dit-il. Les politiciens ont beau vouloir parler de la création d'une certaine richesse, dans le concret, la culture nivelle par le bas.» Un legs historique L'affaire du «palace» de Pauline Marois a aussi fait couler beaucoup d'encre. La chef du Parti québécois a dû justifier les transactions immobilières qui l'ont menée, avec son mari, Claude Blanchet, à acquérir des terres publiques. Mais dans les tribunes téléphoniques, les gens discutaient davantage de la valeur totale de leur domaine, évalué à 3 millions. L'économiste Pierre Fortin rappelle que la génération des 55-60 ans a été élevée alors que les francophones gagnaient en moyenne les deux tiers du salaire des anglophones. «Il y avait les bons Canadiens français syndiqués et les riches anglophones. Il y avait une habitude de rejeter la richesse.» «Au Québec, nous avons toujours eu une culture très égalitaire, explique-t-il. Nous avons voulu adopter une société où il n'y a pas d'inégalités.» Si beaucoup de leaders d'opinion plus âgés considèrent que «la richesse, c'est méchant», M. Fortin croit que c'est différent pour les générations plus jeunes. Isabelle Hudon comprend que le public sursaute quand un PDG change de poste et qu'on dévoile son salaire annuel. Elle entend souvent: «500 000$, quelle honte!» Mais la présidente de la chambre de commerce du Montréal métropolitain rappelle que le Québec évolue dans un monde compétitif et non «en vase clos». «Il y a un risque afférent aux grandes ambitions, souligne-t-elle. Autant le succès ne me rend pas timide, autant l'échec ne me fait pas peur.» Selon Mme Hudon, c'est une question de culture. «Chez les anglophones, on ne renie pas le succès financier. Mais à ceux qui réussissent, on dit: partagez avec la communauté.» Quand on compare les dons que reçoivent l'Université McGill et l'Université de Montréal, par exemple, on constate que les Québécois francophones donnent moins aux organismes de bienfaisance que les anglophones. Selon l'Enquête canadienne sur le don, le bénévolat et la participation (ECDBP) de 2004, le donateur québécois figure même au dernier rang au pays pour la valeur des dons annuels qu'il verse à des organismes (176$, contre 488$ en Ontario). Quand on se compare... C'est aussi une question de comparaison et de milieu, ajoute Pierre Fortin. Qu'on soit à une réunion d'actionnaires ou à un souper de retrouvailles du secondaire, l'attitude des gens change. «Il y a des gens qui méprisent la richesse et qui sont riches, précise le professeur en économie. Ça dépend avec qui tu te tiens.» «J'ai des amis millionnaires et je ne jalouse pas leur maison, dit pour sa part Julie Bourque. En même temps, c'est peut-être parce que j'ai un certain niveau de vie.» Mais quand la femme de 32 ans lit dans la revue de Martha Stewart que la reine de la maison est «découragée» de devoir refaire la décoration de ses six chambres d'invités, elle se demande pourquoi elle a peur d'en «faire trop» quand elle reçoit sa famille à Noël. Sur ces mots, Pierre Fortin conclut: «La richesse est toujours relative.» Quelques statistiques > 2,7% des familles au Québec ont un revenu annuel total de 150 000$ et plus > 0,008 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 225 000$ et plus (environ 8 familles sur 1000) > 0,002 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 300 000$ et plus (entre 1,8 et 2,1 familles sur 1000) > 0,0008 des familles du Québec ont un revenu annuel total de 350 000$ et plus (entre 7 et 8 familles sur 10 000) > La proportion de familles canadiennes ayant un avoir net d'un million de dollars et plus est passée de 5% en 1999 à 9% en 2005. Selon Statistique Canada, le cercle des millionnaires canadiens comptait alors 1,1 million de ménages. > À Montréal, les ventes de propriétés de 900 000$ et plus ont grimpé de 14% l'an dernier, selon le rapport annuel des services immobiliers Royal LePage sur les maisons de prestige. > Selon un sondage Ipsos Reid mené auprès de Canadiens bien nantis, près de la moitié d'entre eux citent le travail assidu comme principale raison de leur accession à la richesse, alors que seulement 4% mentionnent le facteur familial. > Un sondage Harris/Décima réalisé auprès de 1000 Canadiens pour le compte de BMO Groupe financier révèle que 46% des répondants considèrent que l'argent est le sujet de conversation le plus délicat à aborder. Source: Institut de la statistique du Québec. Enquête sur la dynamique du travail et du revenu, 2005.
  18. Les gains de productivité ont été révisés en nette hausse pour le deuxième trimestre aux États-Unis, à 4,3% à un rythme annuel, au lieu de 2,2% annoncé initialement. Pour en lire plus...
  19. Après s'être contracté de 0,8% au premier trimestre, le produit intérieur brut a augmenté à un rythme annuel de 0,3% au deuxième trimestre. Pour en lire plus...
  20. La baisse des prix des immobiliers britanniques s'est encore amplifiée en août, atteignant 10,5% sur un an, le plus fort repli annuel enregistré depuis 1990. Pour en lire plus...
  21. Faisant un bond de 3,4% à un rythme annuel en juillet, la hausse des prix à la consommation trouve sa source dans l'essence chère. Les prix payés pour les aliments ont aussi crû de façon importante. Pour en lire plus...
  22. Au moins 450 millions sont attribuables à la crise particulière du PCAA, constate-t-on dans le rapport annuel tout juste publié par Investissements PSP. Pour en lire plus...
  23. Recul du PIB du Québec au premier trimestre 28 juin 2008 - 10h27 La Presse Jacques Benoit Annualisée, la hausse des dépenses de consommation s’est élevée à 2,4% au premier trimestre, comparativement à une progression beaucoup plus substantielle (+ 6%) au quatrième trimestre 2007. Le produit intérieur brut du Québec a fléchi de 0,8% en rythme annuel au premier trimestre 2008, comparativement à une diminution de 0,3% dans l'ensemble du Canada. Ce recul, tout à fait inattendu, survient «après des croissances anémiques au cours des deux trimestres précédents» signalent les Comptes économiques du Québec, 1er trimestre 2008, qu'a publiés hier l'Institut de la Statistique du Québec (ISQ). Pour les deux derniers trimestres 2007, le taux de croissance annualisé n'a atteint que 0,2%. «On pensait que le Québec était beaucoup plus à l'abri d'une récession que l'ensemble du pays, mais ces données avivent les inquiétudes», notait hier Hélène Bégin, économiste principale au Mouvement Desjardins. Click here to find out more! On juge qu'il y a récession, rappelons-le, après un fléchissement du PIB au cours de deux trimestres consécutifs. Deux grands moteurs de la croissance - les dépenses de consommation et l'état des stocks des entreprises et du secteur public - ont tous deux ralenti au premier trimestre. Annualisée, la hausse des dépenses de consommation s'est ainsi élevée à 2,4% au premier trimestre, comparativement à une progression beaucoup plus substantielle (+ 6%) au quatrième trimestre 2007. Or, comme on sait, les dépenses de consommation comptent pour environ les deux tiers du PIB. Retournement majeur en ce qui regarde les stocks qui avaient augmenté de plus de trois milliards de dollars au dernier trimestre de 2007, et qui au cours des trois premiers mois de 2008 ont au contraire diminué de 114 millions, indique l'économiste du Mouvement Desjardins. C'est, entre autres, ce «qui a mis du plomb dans l'aile à l'activité économique», dit-elle. ISQ et Desjardins Alors que l'ISQ s'en tient aux données qui concernent le trimestre uniquement, le Mouvement Desjardins les présente en rythme annuel, «ce qui permet de mieux voir la situation», note Hélène Bégin. Autre différence: l'ISQ inclut dans les investissements des entreprises la part allouée à la construction résidentielle, tout cela faisant qu'on a vu ainsi fléchir leurs investissements de 0,9% (3,6% en rythme annuel) au premier trimestre. Vue par la lorgnette du Mouvement Desjardins, la situation est différente, avec une hausse annualisée de 4,5% des investissements des entreprises - en excluant ce qui s'est passé dans le secteur de la construction résidentielle. Ceci, notamment, parce que les dépenses faites pour leurs équipements (machines et matériel) ont progressé d'un peu plus de 7% (toujours en rythme annuel). En ce qui concerne la construction résidentielle, la situation n'est guère rose, notent en substance l'ISQ et Desjardins, puisque les investissements dans ce secteur ont diminué de 3%, soit de 11,3% en rythme annuel, précise Mme Bégin. Tout au contraire, et alors que les dépenses en immobilisations du gouvernement et des administrations publiques ont fléchi (-0,5%), elles ont augmenté globalement (+3,7%), c'est-à-dire en ajoutant aux immobilisations les dépenses courantes, dont les salaires, les loyers, etc. Une surprise «La contraction du PIB réel (NDLR: exclusion faite de l'inflation) constitue une surprise puisqu'une légère hausse était anticipée», notait hier Hélène Bégin dans son analyse. Tout cela, juge-t-elle, ravive «les craintes d'une récession» à laquelle jusqu'ici le Québec semblait devoir échapper. Par ailleurs, l'indice de l'habitation Desjardins (IHD), qui donne une bonne idée de ce que seront les dépenses faites dans le domaine résidentiel au cours des trois à six mois suivants, a grimpé de 3% en mai. Autrement dit, alors que l'activité (construction et reventes) a tendance à diminuer au Québec depuis 2005, on a assisté en mai à un brusque sursaut, à la suite de la baisse à ce moment-là des taux hypothécaires. On s'attend toutefois à ce que cela reste un sursaut et donc que la tendance à la baisse se maintienne, à cause de la décision de la Banque du Canada le 10 juin de maintenir son taux directeur à 3%. Car, dans la foulée, les prêteurs ont haussé leurs taux hypothécaires, l'hypothèque de cinq ans étant désormais au taux de 7,10% comparativement à 6,65% en mai.
  24. Les gains de productivité ont été révisés en hausse au premier trimestre aux États-Unis à 2,6% à un rythme annuel au lieu de 2,2% annoncé précédemment. Pour en lire plus...
  25. Le taux annuel d'inflation au Canada est passé de 1,4% en mars à 1,7% en avril, selon Statistique Canada. Pour en lire plus...
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