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  1. Des Jeux «in English»? Pierre Jury Le Droit À Vancouver, le concept des deux langues officielles, l'anglais et le français, n'est trop souvent que cela: un concept, une idée désincarnée du quotidien, un voeu pieux que plusieurs croient avoir été imposé au reste du pays par des Québécois militants et adopté par des politiciens mal avisés. Il est bien évident qu'avec à peine 24000 francophones sur 2,1 millions d'habitants dans la région, le français passe loin derrière plusieurs autres langues comme le cantonais (125000 locuteurs), le chinois (120000), le punjabi (116000) et plusieurs autres. Mais en devenant ville olympique, Vancouver doit réconcilier sa géographie avec son pays officiellement bilingue... qui a obtenu un mandat d'une Comité international olympique, bilingue lui aussi. Cette tâche est difficile, a évalué Graham Fraser, le commissaire aux langues officielles, qui témoignait mardi devant le comité parlementaire sur les langues officielles. Il a estimé la place du français comme «minimale». Les lacunes sont cruciales au plan de «la traduction, de l'affichage, des services d'interprétation simultanée et de la télédiffusion». De façon plus importante, le commissaire a rappelé que le bilinguisme n'était pas qu'un «symbole». «C'est un service à la population. Il y aura des francophones unilingues qui seront là pour encourager leurs enfants dans les stades.» Le Canada est leur pays aussi, et ils se sentiront comme des citoyens de seconde zone. Air connu pour les Franco-Ontariens et tous ceux qui vivent en situation minoritaire, mais il n'empêche que ce n'est pas normal. C'est pourquoi Graham Fraser a livré ce rappel important, moins d'un an avant Jeux olympiques. Il est encore temps de sauver les meubles. Encore là, il est frustrant de parler de sauver les meubles dans un pays officiellement bilingue depuis 1867, et de façon encore plus affirmée depuis la promulgation de la Loi sur les langues officielles, en 1969. Comme l'a rappelé un militant franco-ontarien récemment, la lutte pour le respect du français restera avec nous encore longtemps. De la même manière que les femmes luttent encore pour leur égalité. Bref, les francophones ne sont pas les seuls minoritaires à se battre pour leurs droits. Le message du commissaire Fraser sera entendu haut et fort, faut-il espérer. Mais il ne doit pas être le seul à réclamer un traitement équitable pour le français. D'autres individus ou organisations ont des attentes face au Comité organisateur des Jeux de Vancouver (COVAN). Dans le lot, il y a au premier chef le Comité olympique canadien et son nouveau président, Marcel Aubut, premier francophone à ce poste. Sans le ministère du Patrimoine canadien et sa division Sport Canada, la Fédération des communautés francophones et acadienne, la Fédération des francophones de la Colombie-Britannique, les télédiffuseurs de langue française TQS et RDS, le gouvernement du Québec,etc. Le COVAN réalise, un peu tardivement cependant, l'ampleur de la tâche et vient de créer un comité conseil sur les langues officielles où siège entre autres l'ex-premier ministre de la France, Jean-Pierre Raffarin. Ce comité tiendra sa première réunion demain. Cela n'évitera pas des accrocs. Il y en aura. D'abord parce que l'on part de loin, parce que la démographie joue contre la réalité francophone et des raisons historiques: le Comité olympique canadien, par exemple, travaille fort pour éviter de trébucher mais la culture interne reprend le dessus à un moment ou un autre. Ça fait un petit scandale dans les médias de langue française, puis la vie poursuit son cours... dans la langue de Shakespeare. M.Aubut pourra y voir. Des sources rapportent que dans ses plus hautes sphères, le COVAN est ouvert à ses responsabilités dans le domaine des langues officielles. Ça se complique lorsque le message filtre au sein des dizaines de comités, divisions et équipes sur le plancher qui sont peuplés d'anglophones, démographie oblige. À 295 jours de la cérémonie d'ouverture, le message sera-t-il compris par tous?
  2. Bonjour à tous, je me permets de mettre quelque photos de Sydney ou j'ai habité l'année passée pendant 4mois. Bondi Beach Jardin Botanique City Pendant une manifestation contre l'église de Scientologie Tour d'habitation Stade Olympique
  3. Fièvre olympique à la Bourse Publié le 07 mars 2009 à 11h45 | Mis à jour le 07 mars 2009 à 11h58 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Dans un an, le monde entier aura les yeux tournés vers Vancouver, qui accueillera les Jeux olympiques d'hiver. La communauté financière, elle, est déjà en mode olympique. En décembre dernier, le Dow Jones a mis à jour son indice boursier olympique en prévision des Jeux de Vancouver. Créé en décembre 2006 en prévision des Jeux de Pékin, l'indice boursier olympique Dow Jones est le véhicule d'investissement fait sur mesure pour ceux qui veulent bénéficier de la manne olympique. Il regroupe les sociétés inscrites en Bourse associées à l'organisation des Jeux. «Notre raisonnement, c'est que les entreprises qui ont des liens avec les Jeux olympiques tendent à faire de meilleures affaires durant leur cycle olympique, dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Les profits de ces entreprises ont tendance à être plus élevés. Leur rendement boursier aussi.» L'indice est composé essentiellement de trois sortes de titres?: les multinationales qui commanditent le mouvement olympique d'année en année (ex?: Coca-Cola, McDonald's, VISA, Samsung), les commanditaires canadiens des Jeux de Vancouver (ex?: RONA, la Banque Royale, GM, Bombardier, le Canadien Pacifique) et les fournisseurs officiels de Vancouver 2010 (ex?: 3 M, George Weston, Saputo, TransCanada Corp). L'indice regroupe actuellement 32 titres provenant de sept pays. Pays hôte des Jeux de 2010, le Canada compte le plus de titres au sein de l'indice (15), devant les États-Unis (12), le Japon (2), la Corée du Sud (1), la Suisse (1), la France (1) et le Royaume-Uni (1). Chaque titre ne peut toutefois constituer plus de 10% de la valeur de l'indice. C'est ainsi que les grandes sociétés américaines Coca-Cola et McDonald's, qui occupent les deux premiers rangs de l'indice, voient leur participation maximisée à 10%. «C'est notamment pour augmenter le rendement de l'indice, dit John Prestbo. L'impact des Jeux olympiques sur l'ensemble de leurs activités est moins important en raison de leur statut de multinationale. Les entreprises de construction canadiennes, par exemple, seront davantage touchées par les Jeux de Vancouver qu'une entreprise comme McDonald's.» Rendement supérieur à la moyenne Depuis sa création en décembre 2006, l'indice olympique Dow Jones a perdu 30% de sa valeur. Malgré tout, il a battu presque tous les indices de référence nord-américains et mondiaux. Durant la même période, l'indice américain S?&?P 500 a perdu 53?%, la Bourse de Toronto 41?% et l'indice mondial Morgan Stanley 53%. Seul l'indice de la Bourse de Shanghai a fait mieux que l'indice olympique Dow Jones, perdant 17% de sa valeur depuis décembre 2006. «L'indice olympique n'est pas immunisé contre les tendances générales du marché, dit John Prestbo. Quand ça va mal en Bourse, le facteur olympique n'est pas nécessairement une protection (contre des pertes).» Les investisseurs qui ont misé sur l'indice olympique Dow Jones à un an des Jeux de Pékin ont toutefois gagné leur pari. Entre août 2007 et août 2008, l'indice olympique a gagné 5,4% alors que la Bourse de Shanghai encaissait des pertes de 38?%. Retirer ses billets à la veille des Jeux permet-il de maximiser son investissement dans l'indice olympique?? Après une seule olympiade, il est trop tôt pour tirer des conclusions définitives, mais l'inventeur de l'indice est optimiste. «Comme l'indice a obtenu d'excellents résultats avant les Jeux, c'est toutefois une hypothèse valide», dit John Prestbo. Points d'interrogation Même si l'indice olympique Dow Jones a battu la plupart des indices de référence, l'analyste boursier Jean-René Ouellet met les investisseurs en garde contre certaines de ses particularités. «La dynamique de l'indice olympique Dow Jones est intéressante, mais l'indice est très mal diversifié», dit l'analyste du groupe conseil en portefeuilles de Valeurs mobilières Desjardins. Jean-René Ouellet s'inquiète de la surpondération de l'indice olympique Dow Jones dans plusieurs secteurs, notamment la consommation discrétionnaire (21% contre 5% au TSX et 8% au S?&?P 500), la consommation durable (19% contre 4% au TSX et 14% au S?&?P 500) et le secteur industriel (23% contre 6% au TSX et 10?% au S?&?P 500). L'indice olympique ne contient aussi aucun titre dans le secteur de la santé et des télécommunications. «?En temps de récession, les gens réduisent considérablement leur consommation discrétionnaire, un secteur où l'indice olympique est très surpondéré, dit-il. Les gens changent leur comportement durant une récession. Ils ne commenceront pas à rénover leur maison parce que Rona remet des médailles olympiques.?» L'analyste boursier note aussi quelques titres en difficulté au sein de l'indice olympique?: GM, Samsung, CanWest Global Communications et Teck Cominco, pour ne nommer que ceux-là. Bref, s'il trouve l'exercice olympique de Dow Jones intéressant, Jean-René Ouellet demeure sceptique. «Intuitivement, ça semble bon, mais il y a quelques points d'interrogation quand on gratte un peu, dit-il. Et il ne faut pas oublier que créer des indices, c'est une industrie pour Dow Jones.» Le créateur de l'indice olympique Dow Jones, John Prestbo, incite aussi à la prudence les investisseurs canadiens atteints de fièvre olympique. Aussi amusant soit-il, son indice n'a pas été conçu afin d'y faire fructifier tout son portefeuille boursier. «Ça demeure un véhicule d'investissement secondaire, dit-il. C'est une bonne façon d'avoir un peu plaisir en investissant tout en bénéficiant d'un phénomène économique réel, dit-il. On peut investir dans l'indice olympique pour essayer de majorer ses rendements, mais on ne doit pas y investir tout son argent.» * * * Pas disponible au Canada Les Canadiens s'apprêtent à accueillir les prochains Jeux olympiques, mais l'indice olympique Dow Jones n'est pas disponible au pays, faute d'intérêt de la part des institutions financières. Pour l'instant, l'indice olympique n'est offert que dans certaines institutions financières de Londres, la ville hôtesse des Jeux d'été en 2012. «Nous discutons actuellement avec des institutions financières canadiennes pour rendre l'indice olympique disponible au Canada», dit John Prestbo, directeur exécutif des indices boursiers Dow Jones. Le Mouvement Desjardins, qui ne connaissait pas l'existence de l'indice olympique Dow Jones avant le coup de fil de La Presse Affaires, n'a pas l'intention de l'offrir à ses clients d'ici le début des Jeux olympiques de Vancouver le 12 février 2010. «Ce n'est pas sur notre radar», dit le porte-parole André Chapleau. Même son de cloche du côté de la Banque Royale, pourtant commanditaire de Vancouver 2010. «Ça ne fait pas partie de nos projets en 2009», précise le porte-parole Raymond Chouinard. John Prestbo suggère tout de même aux investisseurs canadiens de jeter un coup d'oeil à son indice olympique. «L'indice donne une idée des entreprises qui pourraient mieux faire cette année en raison des Jeux olympiques de Vancouver en 2010, dit-il. Les investisseurs peuvent sélectionner quelques titres sans nécessairement acheter l'indice au complet, ce qui est impossible de toute façon à l'heure actuelle au Canada.»
  4. Les députés de la Colombie-Britannique adoptent une loi permettant à la ville de Vancouver d'emprunter un montant illimité afin de terminer la construction du village olympique. Pour en lire plus...
  5. JO-2012 à Londres : le fond d’urgence est entamé mercredi 10.12.2008, 21:38 Le Comité international olympique (CIO) a confirmé que le fonds d’urgence constitué par le comité d’organisation des Jeux de Londres-2012 avait été entamé afin de financer le village des athlètes et que certains sites étaient menacés de délocalisation (cyclisme, basket, gymnastique, badminton). « Le financement du Village olympique est problématique. Les investisseurs ont réduit les constructions immobilières prévues. Les partenaires privés font défaut. Nous avons donc donné notre accord pour qu’une partie du fond d’urgence créé par Londres-2012 (environ 100 millions de livres) soit utilisée » a déclaré Gilbert Felli à l’issue de la commission exécutive du CIO à Lausanne.
  6. La secrétaire d'État aux JO de Londres affirme que s'ils avaient anticipé la crise financière, il y a de fortes chances que le Royaume Uni aurait laissé tomber l'organisation des Olympiques. Choc dans la capitale. Pour en lire plus...
  7. Voici des photos pêle-mêle de ma petite promenade petite sur les Iles Charon (Définitivement la plus belle vue sur Montréal) et sur le Mont St-Bruno. Je voulais juste les partager Iles Charon, vues sur la ville. Ma favorite : Macro : Beubite du diable !! Jolie sauterelle Ville de Ste-Julie Village Olympique [/img] Surprise sur la montagne Détail important a remarquer avant d'entrer sur le site ... Et c'est ça qui arrive !! haha 400 Sherbrooke ouest
  8. La Chine a déjà remporté la plupart des «médailles» des «Olympiades financières» parce qu'elle a évité les investissements dans les titres de dette désastreux. Pour en lire plus...
  9. Élogia Architectes: DCYSM Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidence pour personne âgées Emplacement: Mercier, Montréal ? mètres - 13 étages Descriptions: - La tour sera en face du Village Olympique, et à 10 minutes de marche du Parc Olympique.
  10. Stade Saputo Architectes: Stade Saputo Fin de la construction:2008 Utilisation: Stade de soccer pour L'Impact de Montréal Emplacement: Parc Olympique (Mercier), Montréal Descriptions: - Le stade devait être construit, au départ, au technoparc. - C'est l'abandon du projet de Casino du Bassin Peel et du projet du Havre, par le fait même, qui amena le déménagement du projet au Parc Olympique. - Le stade contiendra 13 000 places. - Il sera construit sur la piste de course du parc, au coin de Sherbrooke et Viau.
  11. Tournée de photos dans la tour Olympique ! Enjoy 1- Tour et biodome 2- Tour Olympique 175.0 Mètres 3- Biodome 4- Rue Sherbrooke et skyline 5- Pont Jacques Cartier 6- Montréal et Longueuil 7- Oratoire St-Joseph et Mont-Royal 8- Skyline + Mont-Royal 9- Hochelaga 10- Mont St-Hilaire 11- Port de Montréal + crotte dans le millieu 12- Village Olympique 13- Vers Laval 14- Skyline 15- Skyline zoom extrême dans le smog 16- Toit du stade et Skyline :tup: 17- Intérieur 18- Est de la ville 19- A vol d'oiseau 20- Bye Bye la tour Osti !!!!! Dites-moi ... savez-vous qu'est-ce qui me bouffe la qualité de mes photos comme ça ??? Flickr, Corel ??
  12. Le gout de faire des photos m'a repris de plus belle ! Petite promenade autour de chez-nous cet après midi, enjoy Intersection Hochelaga / Hogan Église sur Hochelaga Vieux divans Suzuki Esteem serré pour l'hiver ... Tour Olympique sur Sherbrooke Cabanes a oiseaux ... Nice skyline Longueuil Encore ! Railroad and church Tchou tchou tchou !! Skyline Samething Pont Jacques Cartier Merci
  13. Voici quelques photos que j'ai pris avant mon atterissage a Montreal - Pierre Eliott Trudeau l'autre jour Aéroport de Mirabel La Rive-Nord/Laval La vue vers l'est de l'ile, on appercoit les reservoirs au loin Vue vers le Stade Olympique Le Mont-Royal et le centre ville Ville Mont-Royal, Décarie et l'orange Julep Désolé pour la qualité, je n'avais que mon cellulaire pour prendre les photos
  14. 16 juillet 2007 La fête du soccer s'est terminée à Montréal, dimanche, après le quart de finale du Mondial U-20 remporté par le Chili 4-0 sur le Nigeria. Le tournoi se poursuivra maintenant à Edmonton et à Toronto en vue des demi-finales et des finales, une décision difficile à avaler compte tenu du succès de l'événement dans la métropole québécoise. Grâce au travail de promotion effectué auprès des clubs de soccer de la province et des communautés culturelles, plus de 240 000 spectateurs ont passé les tourniquets du stade olympique. C'est une moyenne d'à peu près 40 000 spectateurs pour chacun des 6 jours de compétition. Francis Millien, président du comité organisateur de Montréal, était évidemment extatique. « Au départ, notre objectif était de remplir le stade lors de la première journée, puis d'avoir une moyenne de plus de 20 000 spectateurs par programme par la suite. On est donc bien au-delà de nos espérances. » Millien a tenu à remercier la ferveur des communautés culturelles pour le succès de l'événement. Il estime aussi que la popularité des matchs montréalais aura des retombées positives pour le soccer québécois, en plus d'attirer d'autres événements internationaux d'envergure dans la métropole. « On a fait la preuve que lorsqu'il y a un stade à remplir, on peut le faire, a affirmé Millien. C'est un stade qui mériterait beaucoup plus en terme de renommée. Nous avons des installations qui permettent de grandes choses. » Laissé pour compte? C'est à Montréal que le Mondial U-20 a connu son meilleur succès au chapitre des assistances. La ville du maire Tremblay a attiré plus de monde qu'Edmonton, qui a pourtant un aussi grand stade. Alors, pourquoi le tournoi refuse-t-il d'y tenir une demi-finale ou la finale? Millien refuse de jeter la pierre à l'Association canadienne de soccer. « Ce n'est pas une question qu'ils nous aiment ou pas, c'est juste qu'à l'époque, nous n'étions pas candidats. Sauf que ça prouve que la prochaine fois, nous devrons être considérés. » Millien faisait allusion à la décision de Joey Saputo, président de l'Impact, de bâtir le stade Saputo au Parc olympique plutôt qu'au Technoparc. Le comité organisateur montréalais s'était alors retrouvé dans l'incertitude en ce qui concerne l'endroit où seraient disputés les matchs. « De ce que j'ai vu jusqu'ici, on n'aurait eu aucune difficulté à tenir la finale à Montréal, a pourtant déclaré Mustapha Fahmy, chef de délégation de la FIFA. De tous les sites que j'ai visités au fil des années, Montréal a été l'un des endroits où l'organisation a été quasi parfaite. » Un honneur qui rejaillira sur toute la Ville, qui en avait pris un coup après le fiasco évité des mondiaux FINA, sauvés in extremis, et l'échec des Outgames.
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