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Expos de Montréal


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Faut pas se leurrer. La sortie des promoteurs pour le stade servait uniquement coincer les politiciens et les obliger à prendre parti pour leur projet sachant très bien que les terrains publics sont également convoités par Devimco. 

Juste une game de communication et de politique. 

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Cibole...Plante moron pas moron pis ca monte sur les grands chevaux...

 

Coderre se faisait traiter de gros pleins de soupe à tour de bras.

 

Toujours est-il qu'à après 1 an au pouvoir si je compare les deux très objectivement...l'administration Plante ne m'impressionne pas ...pantoute.

Coderre avait tout un parcours mais il a eu l,air d'un vrai pee wee avec la Formule E et il aurait dû régler le tout rapidement en jouant franc jeux en début de campagne...il a sous-estimé sa rivale sans faire campagne...et il en paie le prix.

 

Malgré que ce fût bon pour lui...il a pu régler les histoires de son fils et s'occuper de sa santé...il sera à surveiller dans 2 ans..

 

 

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Il y a 8 heures, Exposteve a dit :

Devimco playing politics already...

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201902/19/01-5215248-immobilier-ca-joue-du-coude-au-bassin-peel.php

why would they state they believe the land could be worth $150 million before they’ve even acquired it ?   Clearly trying to position themselves against the Bronfman group and any possible transfer of land.  Nice buzz words like job creation and family housing, not exactly Devimco’s priority on their prior projects.  

 

Ils disent que leur projet pourrait créer 4000 emplois dans ce secteur, mais ce n'est pas exact.  Ils localiseraient ces 4000 emplois, mais ce seraient d'autres entreprises qui devraient les créer.  Est-ce que notre économie serait capable de créer ces emplois?  Possiblement.  Mais ces emplois pourraient être localisés ailleurs que ça ne changerait rien.  Cet emplacement est stratégique pour un pôle récréo-touristique comme un stade mais juste marginalement avantageux pour un développement comme celui de Devimco.  Peut-être devraient-il essayer d'acheter les terrains un peu plus à l'est, bordant la rue des Irlandais.  C'est un peu plus petit, mais c'est juste à côté, et le pouvoir d'attraction du stade leur profiterait aussi.  Sinon, il y a des grands terrains dans le technoparc, avec vue sur le fleuve.  C'est encore un peu plus loin mais je crois que c'est toujours sur le trajet du REM.

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Le 2019-02-16 à 09:19, Rocco a dit :

Well Valérie Plante was not mayor for the past 10 years and Griffintown is loaded with ugly coops. Someone else must've loved social housing, huh?

Dude, tu parles des coops comme si t’en était un expert mais à la lumière de tes commentaires, tu ne connais strictement rien au principe coopératif. Tu sembles  en connaître encore moins sur les coopératives d’habitation et leur fonctionnement. Pourrais-tu s’il te plaît faire tes devoirs et cesser de désinformer les gens du forum à ce sujet? Merci à l’avance.

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Chronique d'Allison Hanes dans la Gazette

https://montrealgazette.com/opinion/columnists/allison-hanes-baseball-stadium-vs-smart-development-in-montreal

Allison Hanes: Baseball stadium vs. smart development

 

The dream of bringing baseball back to Montreal may have run into some competition.

Groupe Montréal, the consortium led by Stephen Bronfman, has its sights set on the Peel Basin for a new stadium to serve as home field for a reboot of the storied Expos franchise. A venue near downtown is a crucial component of their plan.

But this week La Presse reported that construction giant Devimco is also eyeing that same spot for a new smart development of office towers, housing, hotels and public spaces. It is billing its project as an “employment hub” capable of attracting 600 companies and bringing 4,000 jobs.

It looks as if two groups of Quebec business heavyweights are getting set to square off over the federally owned tract south of downtown on the banks of the St. Lawrence River that Canada Lands Company is looking to redevelop.

In one corner is Bronfman’s group, which includes Mitch Garber, the chair and a co-investor in Cirque du Soleil, Eric Boyko, president and CEO of Stingray Digital, Stéphan Crétier, who created GardaWorld, Alain Bouchard, the co-founder and chair of Couche-Tard, and Pierre Boivin, the former president of the Montreal Canadiens.

In the other is Devimco, which helped transform the skyline of Griffintown and is behind the reconstruction of the former Montreal Children’s Hospital site. The company has support from the investment arms of big unions and Ivanhoe Cambridge, the main real estate division of the Caisse de dépot et placement du Québec.

The proximity to downtown Montreal and access to public transit — with a planned stop on the route of the Caisse’s REM line — along with Canada Lands’ recently announced intention to transform the abandoned Silo 5 and Pointe-du-Moulin into a new “Harbourfront” for Montreal, arguably make the Peel Basin the hottest piece of real estate in the city. And for that reason what happens there in the coming decades is fundamentally important to all Montrealers.

The baseball group has already sparked Premier François Legualt’s excitement over Major League Baseball’s potential return to Montreal. But Devimco has a strong case to make that its plans have more social acceptability, given that a new stadium could have a significant footprint on surrounding neighbourhoods and could prove more financially risky — whether or not public money is involved.

Mayor Valérie Plante has called both projects “interesting” but is waiting for more information before giving her endorsement.

But maybe this doesn’t have to be a winner-takes-all decision.

The latest trends in stadium construction from around the world suggest mixed-use developments — in which new venues are coupled with hotels, office towers, housing and open public space — are the way to go. From new hockey arenas in Edmonton and Winnipeg, to the football stadiums in Los Angeles and Indianapolis, sports venues are serving as catalysts for urban revitalization.

New life is being breathed into old stadiums as well, by the addition of such amenities. Gleaming towers now stand sentinel over Ottawa’s historic Lansdowne Park in the city’s canal-side Glebe neighbourhood. Condo residents can practically watch Red Blacks games from their balconies.

Plunking down sports coliseums in open spaces with little or nothing around is old school thinking. Many of the Ottawa Senators’s woes can be traced to the long ago decision to locate the team in suburban Kanata.

Bringing people to an area even when it’s not game day is proving a key to success for sports franchises. And the other components of the development can help offset the costs, according to a 2013 KPMG report on soccer field construction in Europe.

“Stadiums alone may not be an attractive investment for private or public sponsors,” it states. “Therefore the potentially higher returns secured from commercial, residential, or other traditional land uses, whose revenues may be more predictable and secure, can assist with financing the capital cost associated with the stadium by diluting the risk of the project between the different components.”

The most promising inspiration for Montreal is perhaps Rotterdam. The need to replace obsolete De Kuip stadium has resulted in an architecturally planned neighbourhood of commercial, residential and recreational development springing up on a disused part of the Dutch city’s waterfront. It is set to open in 2023.

There are still many caveats, including Montrealers’ four-decade hangover from the Big O. And everyone has to play nice. Infighting seems to have upended plans to move the Sens back to Ottawa proper in a mixed-use development.

But the baseball consortium and the smart development’s backers may have more to gain from teaming up than competing. It may ever be a home run for Montreal, too.

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Publié le 22 février 2019 à 06h24 | Mis à jour à 06h24

https://www.lapresse.ca/sports/baseball/201902/22/01-5215710-retour-des-expos-nos-zamours-a-temps-partiel-.php

Retour des Expos: nos Z'Amours à temps partiel ?

Vincent Brousseau-Pouliot, Denis Lessard, Alexandre Pratt
La Presse

Une équipe du baseball majeur pourrait-elle jouer à la fois à Tampa Bay et à Montréal ? C'est le scénario principal évoqué par le groupe de Stephen Bronfman dans ses discussions avec les gouvernements, a appris La Presse.

Selon nos informations recueillies auprès de plusieurs sources impliquées dans ce dossier, le groupe de M. Bronfman planche en priorité sur un scénario selon lequel l'équipe de baseball jouerait une partie de sa saison à Tampa Bay et l'autre partie à Montréal.

Le scénario évoqué en privé par le groupe ferait jouer l'équipe à Montréal durant les mois chauds de l'été, ainsi qu'à Tampa Bay au printemps et à la fin de l'été. Si ce scénario se concrétisait éventuellement, l'équipe deviendrait ainsi l'une des rares équipes de sport professionnel à partager son domicile entre deux villes.

Deux éléments moins clairs pour l'instant : à quel point ce scénario pourrait-il se réaliser rapidement, et à quel point s'agirait-il d'une solution temporaire menant éventuellement au déménagement complet d'une équipe à Montréal ? À terme, le groupe de M. Bronfman souhaite une équipe à temps plein à Montréal.

Le groupe de M. Bronfman et le baseball majeur n'ont pas rappelé La Presse hier. Les Rays de Tampa Bay n'ont pas voulu commenter.

Selon le scénario évoqué, le groupe d'investisseurs québécois mené par Stephen Bronfman deviendrait actionnaire de l'équipe de baseball. L'actuel propriétaire unique des Rays, l'Américain Stuart Sternberg, un financier qui a notamment fait fortune chez Goldman Sachs, en resterait un actionnaire très important. M. Sternberg réside dans la région de New York.

Pour que ce scénario se concrétise, il faudra obtenir en temps opportun l'accord des autorités du baseball majeur. L'Association des joueurs du baseball majeur, qui n'a pas voulu commenter hier, devrait aussi donner son accord pour qu'une équipe puisse avoir deux domiciles.

Les Rays cherchent un stade à Tampa

Le baseball majeur et le propriétaire des Rays aimeraient trouver une solution à long terme à Tampa Bay, ont-ils tous deux indiqué plus tôt ce mois-ci.

« Nous pensons que la région de Tampa Bay est un marché des ligues majeures. Et [le propriétaire des Rays Stuart] Sternberg continue de dépenser du temps et de l'énergie pour avoir un résultat positif pour la région », a dit Rob Manfred, commissaire du baseball majeur, à des médias américains, le 8 février dernier.

« Nous sommes toujours engagés envers la région [de Tampa Bay] et nous aimerions voir une solution. »

Les Rays cherchent à construire un nouveau stade dans la région de Tampa Bay. En juillet dernier, ils ont annoncé un projet de nouveau stade de 892 millions US qui serait prêt pour 2023. L'équipe et les autorités locales ont toutefois abandonné l'idée car elles n'ont pas pu compléter le financement avant la date butoir de décembre dernier.

Les Rays veulent trouver un autre site pour un nouveau stade à St. Petersburg, où est situé leur stade actuel, le Tropicana Field, un stade couvert inauguré en 1990 qui est l'un des moins intéressants du baseball majeur.

Le bail qui lie les Rays à la Ville de St. Petersburg est l'un des plus sévères du sport professionnel. Il est valide jusqu'en 2027 et pourrait être un problème si les Rays voulaient un jour quitter complètement la région de Tampa Bay ou partager leur temps avec Montréal.

Selon le Tampa Bay Times, les Rays détiennent 50 % des droits de développement sur l'immense site de 85 acres du Tropicana Field, des droits qui pourraient générer des centaines de millions de dollars pour l'équipe si ce développement a lieu avant la fin du bail, à condition que les Rays soient toujours à St. Petersburg.

Le maire de St. Petersburg, Rick Kriseman, souhaite développer le site du Tropicana Field, avec ou sans un nouveau stade de baseball. « Nous ne nous mettrons pas sur le chemin du progrès, nous voulons en faire partie », a dit Stuart Sternberg plus tôt ce mois-ci, à l'ouverture du camp d'entraînement des Rays.

M. Sternberg a indiqué les deux obstacles principaux dans le dossier d'un nouveau stade à Tampa Bay : boucler le financement, mais aussi trouver un site qui permettrait de générer des assistances et des revenus suffisants pour garder l'équipe à long terme à Tampa Bay.

« Je crois que la partie de l'appui [du milieu] est bien plus importante que la partie du financement, même si le financement est incroyablement important, a dit M. Sternberg au Tampa Bay Times. Si nous avons 30 000 ou 35 000 personnes à tous les matchs avec des droits d'identification et des commanditaires importants, la partie du financement est facile. Mais si nous avons 8000, 12 000 ou 15 000 personnes par match sans hausser nos commandites, on pourrait avoir tout le financement du monde et ça ne servirait à rien. »

En 2018, les Rays ont attiré en moyenne 14 258 spectateurs par match à domicile, ce qui leur confère l'avant-dernier rang du baseball majeur (la moyenne des 30 équipes est de 28 164 spectateurs par match).

Pour obtenir une équipe - ou du moins, de façon initiale, une équipe partagée avec Tampa Bay -, le groupe de M. Bronfman devrait toutefois s'engager à construire éventuellement un nouveau stade au centre-ville de Montréal.

Le stade de baseball occuperait environ 350 000 pi2 sur les 900 000 pi2 du terrain convoité au sud du bassin Peel. Le reste du terrain pourrait ainsi servir à rentabiliser le projet en construisant un quartier résidentiel et des commerces.

Le terrain convoité par le groupe de M. Bronfman appartient au gouvernement fédéral. Il est aussi dans le collimateur d'un autre promoteur immobilier, le groupe Devimco.

Une équipe, deux villes

Les Bills de Buffalo (NFL) ont disputé un match « régulier » par saison à Toronto de 2008 à 2013

Les Jaguars de Jacksonville (NFL) disputent un match « régulier » par saison à Londres, en Angleterre, depuis 2013

Les Expos de Montréal (baseball majeur) ont disputé 44 matchs sur deux saisons à Porto Rico en 2003 et 2004

Les Packers de Green Bay (NFL) ont disputé une minorité de leurs matchs locaux à Milwaukee entre 1953 et 1994

Cette saison, les Islanders de New York (LNH) ont joué la moitié de leurs 41 matchs à domicile à Brooklyn et l'autre moitié à Long Island. Les deux amphithéâtres sont situés à New York.

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