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Le Stade Olympique ne faisait pas l'affaire ??!

 

Non. Il me semble que c'est assez évident! Nous n'avons qu'a regarder le succes fou que les Alouettes ont depuis qu'ils sont au C-V. Imagine, pour les 2-3 premières années qu'ils ont joué au Stade McGill, ça faisait dur en crisse. Cela n'a pas empecher 20,000 partisans de s'y rendre. La dernière année au Stade, les Alouette attiraient moins de 10,000 fans par match!

 

Si jamais le Baseball Majeur revient à MOntréal, ça va passer par un nouveau Stade au C-V!

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  • Créé il y a
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Membres prolifiques

Le stade est trop gros pour un club qui n'a pas de grosse foules. Mais si à l'époque les Als était aussi populaires que le CH, le stade aurait été remplis ! Mais ce n'est pas encore le cas.

 

Cependant, concernant l'emplacement, j'ai des doutes pour le centre ville. Le stade est très facile d'accès que ce soit en auto ou en métro. Le principal problème du stade c'est qu'il est fermé. Les québécois étant enfermé toute l'hiver n'ont pas le gout d'aller dans un stade froid et sombre alors qu'il fait super beau. Avec un toit rétractable et un petit peu de rénovation, je suis sur qu'il pourrais attiré plus de monde.

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Tu apportes un bon point sur le toit du stade. Peut être qu'avec un nouveau toit, ça pourrait marcher(le retour des Expos). Mais il va falloir investir des grosses sommes dans le stade, en commencant par remplacer le toit et remplacer le astroturf par du vrai gazon!

 

POur revenir à ce que je disais plus tôt, tant et aussi longtemps que Selig "le trou de cul" sera en place, Montréal n'aura pas d'équipe. Ce mangeux de marde n'aime pas notre ville!

Modifié par Habsfan
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je pense que le fieldturf est mieux que le gazon. Plus facile à entretenir, c'est modulaire, et c'est prouvé statistiquement qu'il y a moins de blessure sur ce type de surface.

 

Le monde du football préfère le Fieldturf mais le monde du soccer préfère toujours le gazon naturel.

 

The surface is composed of monofilament polyethylene blend fibers tufted into a polypropylene backing. The infill is composed of a bottom layer of silica sand, a middle layer which is a mixture of sand and cryogenic rubber and a top layer of only rubber. The fibers are meant to replicate blades of grass, while the infill acts as a cushion. This cushion improves safety when compared to earlier artificial surfaces and allows players to plant and pivot as if they were playing on a grass field.[5] Proponents of the surface also cite its low-cost maintenance and durability.

 

With regard to injuries sustained, a five-year study published in the American Journal of Sports Medicine found that injury rates were similar on natural grass and synthetic turf. There were, however, notable differences in the types of injuries. Athletes playing on synthetic turf sustained more skin injuries and muscle strains while those who played on natural grass were more susceptible to concussions and ligament tears.[9]

In 2010, another peer-reviewed study was published in the American Journal of Sports Medicine, this time on NCAA Division 1-A football, concluding that in many cases games played FieldTurf-branded products led to less injuries than those played on natural grass.

Martin O'Neill said FIFA officials should "have their heads examined" for allowing FieldTurf after Tomas Sorenson suffered a non-contact hamstring injury during a game in Toronto. According to FIFA at the time, 14% of injuries on grass were non-contact related while the figure rose to 22% on the turf.[10]

 

 

C'est une technologies qui date des années 90 contrairement à l'astroturf qui date des années 60.

 

Le gazon naturel dans le stade, je pense pas que ça soit idéal, trop difficile d'entretien et la forme du stade ne donnera pas un éclairage suffisant pour avoir un gazon de qualité. Sans parler qu'il sera difficile de faire autre chose que des sport de gazon dans ce cas.

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  • 1 mois plus tard...

All right!!! All we need is a downtown stadium project to really bring the area from hot development to Boiling Hot !!

 

logo-fr.gif

http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/July2011/08/c4373.html

 

 

LE CONFERENCE BOARD DU CANADA

 

 

MONTRÉAL A LE MARCHÉ POUR SOUTENIR UNE ÉQUIPE DE BASEBALL MAJEUR, MAIS LES CONDITIONS QUE DÉFINIT LA LIGUE SONT DÉFAVORABLES

 

OTTAWA, le 8 juill. 2011 /CNW/ - La métropole du Québec pourrait accueillir une équipe de baseball des Ligues majeures : la taille et la richesse collective de Montréal, ainsi que sa communauté d'affaires, les lui permettraient. De plus, aidée par un huard fort, une équipe locale de baseball majeur saurait mieux concurrencer celles des villes américaines, contrairement à ce qui s'observait lors du départ des Expos pour Washington, en 2004.

 

Sauf que le baseball majeur (LMB) présente les conditions les moins équitables parmi toutes les grandes ligues de sports en Amérique du Nord, de sorte qu'on doute de la réussite à long terme d'une franchise à Montréal; voilà ce que révèle L'avenir du baseball majeur au Canada, (http://www.conferenceboard.ca/reports/briefings/bigLeagues/briefing-6-FR.aspx) la plus récente note d'information de la série Jouer dans les ligues majeures du Conference Board du Canada.

 

« Montréal a une longue et fière tradition de baseball, indique Mario Lefebvre, Directeur du Centre des études municipales, soulignant ensuite que c'est là que Jackie Robinson a abattu la barrière raciale qui s'érigeait dans le baseball majeur, que ce fut la première ville hors des États-Unis à obtenir une équipe de baseball majeur, en 1969, puis que c'est là qu'évoluait la première équipe canadienne à participer aux éliminatoires, en 1981 ».

 

« Mais en 1994, la LMB a porté un dur coup aux amateurs montréalais en mettant fin à la saison précisément au moment où les Expos tenaient le haut du pavé dans baseball majeur. Depuis, la LMB n'a que peu changé son modèle d'affaires pour que davantage d'équipes demeurent concurrentielles de façon prolongée. Tant que les conditions ne seront pas plus équitables, les casquettes tricolores des Expos demeureront plus visibles dans les vitrines de collectionneurs que sur le terrain ».

 

Dans une publication antérieure, Defining the Market Conditions for Success, le Conference Board a mis en lumière les quatre éléments fondamentaux dont ont besoin les franchises sportives pour réussir. Le marché montréalais réunit la plupart de ces conditions :

 

* Le niveau et la croissance démographiques du marché — Le Conference Board estime qu'une équipe de la LMB a besoin d'un bassin d'amateurs de presque 2 500 000 personnes; or, la région métropolitaine de recensement de Montréal en compte plus de 3 800 000. Malgré la présence à Montréal d'équipes professionnelles de hockey, de football et de soccer visant toutes le même marché, la population est suffisante pour soutenir une équipe de baseball.

* Le niveau des revenus — Le revenu disponible par habitant est moindre que dans d'autres grands centres urbains du pays (8e au Canada), mais l'appétit des Montréalais pour les spectacles et événements est grand et ils ont la capacité financière de s'offrir une soirée au stade.

* Une solide présence des entreprises — Montréal compte parmi les villes canadiennes abritant le plus de sièges sociaux : c'est là qu'étaient basées 98 des 800 plus grandes entreprises canadiennes en 2009. Seules Toronto et Calgary en avaient plus.

* L'égalité des conditions - Deux considérations sont déterminantes : le taux de change et le désir d'équité manifesté par la ligue visée. Or, ces deux facteurs ont fait obstacle à la viabilité des Expos. Aujourd'hui, si l'un des deux est devenu favorable, l'autre n'a pas changé.

 

Le coût d'exploitation des équipes, notamment les salaires des joueurs, a vivement grimpé dans la LMB à la fin des années 70 et 80, comme dans la plupart des autres sports professionnels d'ailleurs. Sauf que le bond des salaires a été bien plus prononcé pour les Expos parce que le dollar canadien ne cessait de reculer, d'abord tard dans les années 70 puis encore dans les années 90. En 2003 et 2004, le huard s'est mis à remonter (il s'inscrit maintenant à égalité avec le dollar américain), mais déjà à cette époque, l'équipe appartenait à la LMB et s'apprêtait à passer de Montréal à Washington, la capital américaine.

 

Le cadre concurrentiel de la ligue a toutefois peu évolué depuis la disparition des Expos. D'autres publications incluses dans la même série du Conference Board, La compétitivité dans les ligues de sports professionnels et Pro League Competitive Conditions and How the NHL Stacks Up, ont démontré que c'est dans la LMB que les conditions sont le moins équitables entre les franchises quand on compare les quatre grands circuits de sports professionnels en Amérique du Nord. L'absence d'un plafond salarial rigoureux et les très grands écarts de revenus (ventes de billets, droits de diffusion, ventes de marchandise et revenus d'autres sources) entre les franchises font que quelques équipes fortunées, à peine, peuvent se maintenir parmi les gagnants de façon durable.

 

À Montréal, une équipe de la LMB ne figurerait pas parmi celles jouissant des revenus les plus élevés, ce qui freine l'engouement d'investisseurs potentiels pour y ramener une franchise. En outre, il faudrait y construire un stade, à moins qu'un nouveau propriétaire accepte les diverses lacunes que présente le Stade olympique du point de vue du baseball.

 

Notre étude confirme par ailleurs que les Blue Jays de Toronto représentent une franchise stable dans la Ville Reine, en dépit de l'iniquité inhérente à la LMB qui met les Jays en concurrence avec des franchises telles que les Yankees de New York et les Red Sox de Boston. La solidité du marché et la stabilité des exploitants, vu leur appartenance au monde de la diffusion, comme la qualité des installations, contribuent à la viabilité financière des Blue Jays.

 

C'est la sixième Publication de Jouer dans les ligues majeures : Qu'est-ce qui fait le succès des équipes de sports professionnels au Canada ?, qui continuera de paraître tout au long de 2011.

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En effet, le marché du Baseball ressemble à une loi de la jungle. Très simpliste et primaire. Au plus fort la poche. À la longue, c'est toujoutrs les mêmes qui peuvent se payer les bons joueurs. Si ça continue, le sport au complet va en payer le prix.

 

Ceci dit, il est permis de rêver à un retour et à un stade au cv. À l'ombre des gratte-ciels, ce serait fantastique.

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