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yarabundi

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Tout ce qui a été posté par yarabundi

  1. C'était l'une des propositions pour l'édifice du Chicago Tribune -un style jugé probablement trop avant-gardiste pour les années 1920.
  2. On pourrait déjà commencer par amender la constitution pour se débarasser du symbole que représente le gouverneur-général et vendre Rideau Hall ou le transformer en musée -de l'histoire de la royauté au Canada par exemple. En incluant la période française.
  3. Hum !! Ça me fait penser à un autre projet (non-réalisé) des années 1920 :
  4. Ils ne sont pas fous : ils font ce en quoi ils croient. Dieu merci ils sont là : ils nous permettent de voir l'autre côté de la médaille -bien qu'ils n'aient absolument aucun influence. La première évidence ici c'est qu'il faut absolument démolir cet échangeur au plus vite !! C'est ça ou il va nous tomber dessus. Vous le trouvez impressionnant l'échangeur Turcot ? Son effondrement n'aura d'égal que son monumentalisme. S'il s'écroule, les effets sur la circulation dans la grande région métropolitaine seront pire que pendant sa reconstruction !! Maintenant, j'ai une petite question tout à fait théorique ici : serait-il possible de mettre en tunnel une partie de cet échangeur ? J'ai bien dit que ma question est théorique : je ne souhaite pas dans vos réponses que vous preniez en considération les coûts faramineux d'un tel projet. D'un autre côté, ce serait un projet aussi ambitieux que la construction du tunnel Ville-Marie sous le centre-ville dans les années 1960 !! On parle pour parler !! Si de toute façon on doit remblayer pour reconstruire au sol, pourquoi ne pas couler des tunnels par-dessus lesquels on remblaierait ? pour faire place à ce parc qui est prévu ainsi que du résidentiel ?
  5. Mon Dieu !! L'économie de la France et de la Chine vont s'écrouler !! J'espère seulement pour ces deux pays que leurs dirigeants n'iront pas comme pour Montréal et Québec voir Ecclestone avec le pot de Vaseline en bonus !! Sérieusement : ce que je vois ici c'est que même des pays plus puissants et économiquement plus solides ne souhaitent pas continuer ce genre d'aventure risquée en temps de crise. Tiens, c'est intéressant ce point de vue !! Est-ce la motivation de nos élus dans ce dossier ? Est-ce que nous envisageons ce dossier en fonction de la satisfaction de tous ?
  6. La question est valable : en quoi le projet des rues Crescent/Bishop peut-il s'inspirer de SoHo ?
  7. yarabundi

    Canadiens de Montréal

    Petite info personnelle, juste comme ça en passant : je viens tout juste de recevoir la brique de mon fils !! C'était son cadeau d'anniversaire.
  8. Bref, si les Trois Grands sont dans la merde, ce n'est pas vraiment de leur faute ? Si ils avaient si bien répondu à la demande locale comme tu sembles vouloir nous le faire croire, les Japonais n'auraient jamais pu prendre les parts de marché qu'ils ont pris aux États-Unies -outre le fait qu'ils ont contourné les quotas en assemblant leurs véhicules là-bas (et ici). Ils ont su compétitionner avec les Trois Grands sur tous les fronts. Pendant trop longtemps les Big Three ont boudé les petites voitures et bien qu'ils en offrent aujourd'hui c'est déjà trop tard. C'était déjà trop tard il y a cinq ans. Je ne veux pas me faire l'oiseau de mauvaise augure mais cette crise ressemble en certain point à celle des années 1930 : une récession (on ne parlera de crise que lorsqu'on aura les deux pieds dedans), un chômage croissant, des faillites personnels, des centaines de milliers (des millions ?) de familles qui perdent leur maison, des banques et maintenant des fleurons de l'industrie états-unienne au bord de la faillite. Dans les années 1930, des manufacturiers d'automobile sont disparus également et les trois conglomérats qu'on connait aujourd'hui ont consolidés leurs assises. Je ne suis pas pessimiste (un peu quand même -comment ne pas l'être ?) : j'observe tout simplement.
  9. Malek : C'eat aussi facile de dire qu'on va aider uen compagnie qui a creusé sa propre tombe depuis des années. Il n'y a personne ici (et nulle part sur cette planète) qui est surpris de ce qui arrive à GM et ses concurrents états-uniens. Ceci était annoncé depuis tellement longtemps. Bref, ce qui devait arriver est en train de leur tomber dessus. C'est le système politique états-unines qui montre ses limites : dans ce pays, un bon gouvernement est un gouvernement qui ne gouvernne qu'au minimum. En ne voulant sous aucun prétexte intervenir pour forcer les Trois Grands à revoir leurs orientations les gouvernements qui se sont succédés depuis plusieurs mandats ont provoqué la crise que connaissent aujourd'hui les fleurons de l'industrie états-unienne. Probablement que personne ne pouvait croire que ces trois immenses compagnies pouvaient un jour faire faillite - un espèce de "wishful thinking" finalement : laissons faire, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Les Nord-Américains vont se remettre à acheter nos voitures. Ils vont se lasser de la très haute qualité des voitures japonaises. Ils vont se lasser de la compététivité des manufacturiers japonais, du meileur service, de la fiabilité. Bref, je vois l'influence des manufacturiers états-uniens s'effriter depuis l'introduction de la Civic en 1974. Cela aura pris 34 ans au Japonais pour mettre les Trois Grands par terre. Il faut dire qu'ils n'ont pas offert trop de résistance. Finalement, le titre de l'article publié en première page "GM dérape vers la faillite" devrait plutôt se lire comme ceci : GM fonce tout droit vers la faillite, et ce depuis 30 ans !!" On vous aurait dit il y dix ans que les Trois Grands feraient faillite avant la fin de la première décénnie de ce siècle ? Vous n'y auriez pas cru. Et maintenant, il faudrait les aider ? Il fallait le faire quand il n'était pas trop tard. Malheureusement, je ne crois pas que GM produira un jour sa Volt -ou alors, il ne produira plus que cela : c'est sans doute sa seule planche de salut.
  10. Je crois que tout le monde au Québec en a manqué des bouts à un moment ou un autre. Les premiers ministres, les ministres de la santé -même les hauts fonctionnaires ont dû en perdre leur latin !! Je vois ça d'ici : à moins de deux semaines des élections toute la grosse gomme du Parti Libéral fera une belle conférence de presse ; levée de terre avec petits hors-d'oeuvre, etc... Deux semaines plus tard le PLQ est réélu et range les pelles !!
  11. Tu oublies que ma génération commence à vivre dans des édifices de retraités . Il y aura bien u moment où il faudra envisager de les parquer de plus en plus en hauteur. Tu imagines !! Ta première tour résidentielle de 40-50 étages risque d'être un parking pour 'ti-vieux !! :eek:
  12. Et même s'il n'y avait pas de grosses belles tours : il n'y aura plus de ces stationnements si laids qui défigurent la ville : on se débarasse de plaie en même temps qu'on réanime ce secteur de la ville. On va amener plus de résidents dans ce secteur -des jeunes assûrément qui vont vivre et dépenser dans le centre-ville. On va consolider la fonction ludique des deux rues en question - ce qui devrait renforcer le pouvoir d'attraction pour les éventuels acheteurs. Il n'y a que du bon dans ce projet.
  13. acpnc : je suis d'accord avec toi. C'est un bon projet et il ajoute tout de même de la densité. Ça devrait bien se vendre : c'est vraiment très près du centre-ville -que dis-je!! c'est collé sur le centre-ville !! Par contre, comme Habsfan, je suis tenté de dire que je le croirai quand je le verrai.
  14. Pur ajouter à ce que Malek a dit : il y aussi beaucoup de terrains disponibles pour la construction dans le Vieux-Montréal et quelques édifices délâbrés. La Ville devrait convaincre les investisseurs de construire dans ce secteur tout autant que dans le centre-ville. C'est plutôt gênant de faire visiter le Vieux-Montréal aux touristes et de voir tous ces terrains vagues ou des stationnements.
  15. Y aura-t-il un de nos éternels déprimés pour venir sauter de joie devant un tel constat de succès montréalais ?
  16. Tiens !! Nous sommes d'accord sur quelque chose !! Je fais une croix dans mon agenda !!
  17. Ça c'est bien vrai : le dernier pont enjambant le fleuve a été construit dans les années 1960, non ?
  18. Pourquoi s'être arrêté en si bon chemin ? Il aurait mieux valu tout démolir jusqu'au coin de la rue Jeanne-Mance.
  19. Griffintown reporté, les promoteurs espagnols du Louis-Bohème qui connaissent des difficultés financières ; pendant ce temps-là, les organisateurs des deux plus importants "festivals à deux cennes" vont de l'avant avec le leur projet. Juste pour mettre les choses en contexte : pendant ce temps, l'Art Gallery f Ontario s'apprêtent à rouvrir le musée redessiné par Frank Ghery. Il y avait hier à CTV une émission de 30 minutes qui nous présentait ce nouvel édifice impressionnant.
  20. Oui, exactement. Juste sur le coin nord-est de l'intersection. Un belle édifice. L'epace du rez-de-chaussée sera impressionnant.
  21. Publié le 05 novembre 2008 à 08h34 | Mis à jour le 05 novembre 2008 à 08h40 Le métro de Montréal, un musée Martine Bouliane La Presse Le métro est avant tout un moyen de transport pour se rendre du point A au point B. Pourtant, avec ses 68 stations à l'architecture unique et ses nombreuses oeuvres, le métro est considéré par certains comme le 31e musée montréalais. Certains diraient même que le réseau est une vaste exposition d'art... underground! L'idée de réaliser une excursion ici, c'est de ralentir le rythme. De prendre le temps d'examiner les stations qui deviennent, dès lors, beaucoup plus intéressantes. Un lieu à revoir avec son oeil de touriste. Londres a eu le sien en 1863. Paris, en 1900. À Montréal, il aura fallu attendre jusqu'en 1966, soit une année avant la fameuse Expo 67. Le métro comptait alors 26 stations. La construction du réseau s'est ensuite effectuée par phases. La toute dernière, soit le prolongement du métro vers Laval, s'est étirée jusqu'en 2007. Le métro montréalais se distingue avant tout par sa diversité. Chaque station a une architecture qui lui est propre et la plupart abritent des oeuvres d'art. Lors de mon excursion sous terre, j'ai choisi de visiter une douzaine de stations, principalement éparpillées au centre-ville. Parcourir en entier les 68 stations aurait de quoi donner un teint verdâtre à quiconque. Et toutes ne présentent pas le même intérêt. J'ai entrepris ma visite souterraine par la station la plus à l'est de mon parcours, Pie-IX, à l'ombre du Stade olympique. Sitôt les tourniquets passés, je me suis attardée devant l'oeuvre installée à la mezzanine, intitulée Citius, Altius, Fortius - Plus loin, plus haut, plus vaillamment - la devise olympique. Au centre de la grande fresque se trouve un personnage au coeur proéminent. La construction de cette station s'est achevée en 1976, année même des Jeux. Oeuvres historiques Ensuite, hop dans un train direction Angrignon, jusqu'à la station Papineau. Dans les 26 stations d'origine, il était question d'incorporer des oeuvres d'art ayant un lien avec l'histoire. On en trouve un bon exemple ici, avec les murales en céramique sur les Rébellions de 1837 et 1838. J'avais souvent vu l'une d'elles, bien en évidence alors qu'on descend vers les quais. J'ai été surprise de remarquer deux autres murales qui adoptent la forme arrondie du tunnel à l'étage inférieur. Elles représentent, dans différentes scènes, les Patriotes reconnaissables à leurs bonnet et ceinture, et leur chef, Louis-Joseph Papineau. Prochain arrêt: Berri-UQAM. C'est le point de rencontre de trois des quatre lignes du métro. En suivant le couloir vers la ligne jaune, je revois les trois murales de Robert La Palme, premier directeur artistique du métro, récupérées et installées ici après l'Expo 67. L'événement explique d'ailleurs la construction de cette ligne, qui menait au site de l'île Sainte-Hélène. Sur les quais de la ligne verte, une grande verrière au-dessus du tunnel rend hommage aux fondateurs de la ville de Montréal. Les portraits stylisés représentent Jérôme Le Royer de La Dauversière, Jeanne Mance et Paul de Chomedey de Maisonneuve, dans des tons francs de rouge et de bleus. Luminosité et musique Deux arrêts plus loin, j'arrive à la station Place-des-Arts. Je suis aussitôt frappée par la luminosité ambiante. Les rayons du soleil ne pénètrent pas ici. L'éclairage des nombreux néons, la blancheur du plafond et des passerelles et les briques bleues et grises des murs contribuent à créer cet effet. Le tout est aéré et très classique. La très belle verrière L'histoire de la musique, de Frédéric Back, se trouve ici. Première oeuvre d'art du métro, elle montre les musiciens de la ville, des autochtones aux personnages plus contemporains tels que le compositeur de l'hymne national, Calixa Lavallée. Malheureusement, elle est éloignée des tourniquets. Pour la contempler, il faut passer de l'autre côté et payer à nouveau son passage. On trouve par ailleurs dans cette station une autre verrière très colorée, et malgré tout discrète, juste au-dessus du tunnel en direction Angrignon. La station suivante, McGill, est la plus fréquentée du réseau, avec Berri-UQAM. La large verrière aborde la vie à Montréal au XIXe siècle. Au centre se trouvent les portraits des deux premiers maires de la ville, Jacques Viger et Peter McGill. Difficiles de les manquer. Sous les regards interrogateurs des autres passagers, je m'attarde aux multiples détails de l'oeuvre, orientée sur l'architecture, la mode vestimentaire et les bateaux à vapeur, moyen de transport populaire à l'époque. Des milliers de cercles À peine 450 mètres de tunnel séparent les stations McGill et Peel, sa voisine. C'est assurément l'un de mes coups de coeur. Une multitude infinie de ronds attirent l'oeil. Des cercles colorés, créés par le célèbre artiste québécois Jean-Paul Mousseau, ornent la station. Le motif est repris dans le carrelage et sur les murs. Certaines portions des quais baignent dans une lumière bleutée. Un décor idéal pour un restaurant ou un bar rétro. Je m'arrête ensuite à la station Lionel-Groulx, créée sur deux étages en plus de la mezzanine. Les lignes verte et orange s'y croisent. Je reviendrai d'ailleurs pour passer de l'une à l'autre un peu plus tard. Ici se trouve une intéressante sculpture, à la facture assez classique, intitulée L'arbre de vie. Elle a été donnée à Montréal par l'Organisation des Nations unies en 1967. Des visages gravés dans la même pièce de bois symbolisent la souche unique d'où proviennent les humains de partout dans le monde. Je poursuis ma route jusqu'à la station Monk. Une sculpture rend hommage aux ouvriers du métro. Il s'agit de deux gigantesques travailleurs en acier qui s'affairent à la tâche. Ils font penser à des bonshommes allumettes élancés. Les couleurs terre de la station et les murs, irréguliers et stratifiés, semblent représenter le travail fait dans le roc pour construire le métro. L'arrivée au métro Angrignon a de quoi surprendre. Ici, l'éclairage du jour baigne les quais. Enfin de la lumière naturelle au bout de kilomètres de tunnels. Dernier arrêt de la ligne verte, la station se trouve pratiquement au niveau du sol. Situé dans l'un des grands parcs de Montréal, le bâtiment possède une multitude de fenêtres courbes qui rejoignent le plafond. Leur forme arrondie fait écho aux marquises du terminus d'autobus adjacent. Bonheur d'occasion De retour sur mes pas, je reviens à la station Lionel-Groulx pour bifurquer sur la ligne orange, direction Côte-Vertu. La station Place-Saint-Henri constitue un détour, puisque je compte retourner en sens inverse tout de suite après. Mais le crochet en vaut la peine pour admirer cet autre coup de coeur. Les murs de brique au niveau des quais forment un dégradé de couleurs. Ils sont de teintes bleutées, pour devenir du rouge, puis, encore plus loin, du jaune. La volée d'escaliers qui mènent à la mezzanine semble interminable. Je la monte tout de même à pied, pour me retrouver devant les mots «Bonheur d'occasion» inscrits dans la brique. Une façon de rappeler que l'histoire du classique de Gabrielle Roy est indissociable de ce quartier. En redescendant, je remarque par hasard la sculpture suspendue au-dessus des quais, autrefois mobile, qui fait penser à une construction spatiale. Je prends cette fois le métro en direction inverse, soit Montmorency, pour m'arrêter à la station Georges-Vanier. Je m'attarde aux formes géométriques bleues incrustées dans les murs qui brisent la monochromie ambiante, toute grise. Je m'étonne, après quelques minutes, de remarquer un grand arbre de béton aux nombreuses branches sur le quai opposé. Puis, je m'arrête à Square-Victoria. C'est surtout en dehors des guérites que se trouvent les éléments intéressants de la station. Principalement cette entrée extérieure au look très parisien qui annonce le «métropolitain» dans un style Art nouveau, donnée justement par le métro de Paris à Montréal. L'ensemble sinon est assez terne à l'intérieur, les murales en aluminium brun peuvent presque passer inaperçues et se démarquent peu du reste. Mon dernier arrêt est la station Place-d'Armes, qui jouxte le Palais des congrès. Je considère qu'il s'agit d'un bon endroit pour revenir sur terre puisque la station dessert le Vieux-Montréal et le Vieux-Port. Il y a de nombreuses activités à y faire et d'attraits à y voir, notamment en famille. L'un d'eux, le musée Pointe-à-Callière, possède des vitrines sur les quais. Elles contiennent des reproductions d'objets réellement découverts lors de fouilles archéologiques. Le métro peut se targuer non seulement d'être le plus vaste musée montréalais, mais aussi d'avoir les heures d'ouverture les plus longues. Et, pour seulement 2,75 $, la visite en vaut assurément le prix. Rallye dans le métro Une façon de redécouvrir le métro, notamment en famille, est de faire le court rallye qui suit. Sur la ligne orange, il se concentre dans le centre-ville. À l'ouest, il se rend jusqu'à la station Angrignon. À l'est, Pie-IX. Il faut compter entre une heure trente et deux heures pour le faire, selon la fréquence de passage des rames du métro. La réponse à chacune des questions se trouve à l'intérieur des tourniquets. Pas besoin de débourser plus que le prix d'un billet pour le réaliser. À moins, bien sûr, d'en profiter pour visiter certains attraits à proximité. Chaque station peut constituer le point de départ. 1. À la station Pie-IX, qu'est-ce qui, sur les quais, rappelle la tenue ici des Jeux olympiques de Montréal, en 1976?2. À la station Papineau, qu'est-ce que Louis-Joseph Papineau tient dans ses mains, dans la murale au niveau du quai? 3. Qu'est-ce qui orne les souliers de Jérôme Le Royer de La Dauversière, le personnage de gauche, sur la verrière de la station Berri-UQAM? 4. À la station Place-des-Arts, combien de rectangles peut-on compter dans la verrière située au-dessus du tunnel en direction Angrignon? 5. À la station McGill, quel bâtiment construit en 1844 et toujours présent dans le Vieux-Montréal est représenté? 6. Combien de pastilles colorées peut-on compter sans sortir des tourniquets à la station Peel? 7. Combien de visages trouve-t-on sur l'Arbre de vie à la station Lionel-Groulx? 8. Quels outils utilisent les constructeurs du métro de la station Monk? 9. Quelle est la couleur des structures qui soutiennent les nombreuses fenêtres de la station Angrignon? 10. Combien de marches doit-on monter pour atteindre la mezzanine - et l'oeuvre Bonheur d'occasion - à la station Place-Saint-Henri? 11. Quel est le «fruit» de l'arbre de la station Georges-Vanier? 12. Quel est le plus vieil objet représenté dans les vitrines de Pointe-à-Callière? Réponses: 1. Les anneaux olympiques; 2. La déclaration de 1837; 3. Des boucles (ou des rubans); 4. 96; 5. Le marché Bonsecours; 6. 8; 7. Cinq visages; 8. Un pic et une pelle; 9. Orangé; 10. 78 marches; 11. Des lumières (ou ampoules); 12. Des pointes de flèches. Pour plus de renseignements sur le métro: Montréal en métro, Guides de voyage Ulysse, 2007, Montréal, 237 pages. Le métro de Montréal, 35 ans déjà, Benoit Clairoux, éditions Hurtubise HMH, Montréal, 2001, 159 pages. http://www.stm.info http://www.metrodemontreal.com (site non officiel, instructif et très bien fait par un amoureux du métro!)
  22. C'est une excellente idée les douches dans les bureaux !! En plus, ça encouragerait les rapprochements entre collègues de travail !! Sérieusement : ne soyez pas surpris que ça devienne une tendance dans les années qui viennent. Il y aura de plus en plus de travailleurs qui prendront leur vélo pour se déplacer vers le travail. Plus il y en aura, plus il deviendra nécéssaire d'installer des douches dnas les édifices à bureaux !! Farfelus ? Cela étant dit, j'ai repwnser à mes interventions et je me suis dit que je n'avais pas fait beaucoup preuve d'empathie pour ces pauvres banlieusards qui se traînent dans les bouchons. Alors, pour apaiser votre exaspération, je dois tout de même reconnaître qu'une grande partie de ces problèmes est symbolique du manque de concertations entre différents intervenants. On l'a vu avec le dossier du boulevard Saint-Laurent et ça se répète ici à l'échelle de la grande agglomération. Cela étant dit, je dois vous dire que je le vis et le subit dans mon travail puisque les rues de Montréal sont mon lieu de travail. Ce que j'arrivais à faire découvrir à des touristes en deux heures il y a de cela quelques années m'en prend aujourd'hui trois !! Sérieusement !! Les visites à pied dans le Vieux-Montréal d'autre part sont souvent un parcours de combattant : entre les échafaudages des édifices en rénovations (ce qui est prévisible dans un quartier ancien et historique) le long de trottoir où souvent deux personnes en parallèle ne peuvent se croiser et les différents chantiers de construction (il y avait des trottoirs en réfection pratiquement partout dans le Vieux cet été). Montréal est une vieille ville dans laquelle pratiquement aucune somme d'argent n'a été investit en entretien des infrastructures pendant quoi ? quinze ans ? Maintenant, on doit mettre les bouchées doubles !! que dis-je ? triples !! Et tout doit être réparé !! Tout !! Tout de suite !! Je ne sais pas pour vous mais j'ai peur quand je roule sur l'échangeur Turcot. Je crains pour ma vie. Cette structure aurait dû être démolie depuis déjà plusieurs années selon moi. Je suis conscient que je n'apporte rien de constructif à ce sujet -personne d'ailleur ici n'apporte quoi que ce soit. On en est tous à soit chiâler, soit faire la promotion d'une ville plus verte.
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