Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'super'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

14 résultats trouvés

  1. 40 M$ pour l’Airbnb quebecoise des espaces de travail | TVA Nouvelles La Montréalaise Breather, devenue le plus important réseau d’espaces de travail et salles de réunion sur demande en quatre ans, a obtenu un financement de 40 millions $ US. Il s’agit du plus gros investissement en capital de risque à Montréal. Et avec 73 millions$ US reçus depuis les premières phases de financement, cela en fait la startup la mieux financée du secteur grandissant des espaces de travail sur demande. Cette phase de financement a été menée par Menlo Ventures, la société de capital de risque derrière Uber, Tumblr, Warby Parker et Siri. «Pour nous, c’est juste le début », dit le président et cofondateur de Breather, Julien Smith, âgé de 37 ans. «C’est un marché super, super gros. On peut être présent dans chaque ville au monde.» Ce que les investisseurs voient en Breather, c’est le Uber ou le Airbnb de son industrie, soit celui qui a le plus de chance de s’imposer comme numéro un, après quoi la compétition rame pour le rejoindre. «Il y a une compagnie qui gagne dans chaque industrie, et les investisseurs croient que ce sera Breather pour l’immobilier commercial, dit Julien Smith. Comme on dit, «winner take all», le gagnant ramasse tout...» Plein de gens essaient de bâtir un réseau comme celui de Breather. «La majorité n’a pas réussi. On n’est pas les premiers, mais on les premiers pour lesquels ça fonctionne.» Ce qu’elle fait que les autres ne font pas Breather a débuté en 2012 par quelques espaces à Montréal. Elle en opère aujourd’hui plus de 300 dans 10 marchés, incluant New York, San Francisco, Londres, Chicago, Washington, Los Angeles et Toronto. Elle n’est évidemment pas la seule dans le marché florissant des espaces de travail locatifs ou collaboratifs. Mais son modèle s’apparente davantage à Airbnb qu’au géant WeWork, par exemple. Il n’y a aucuns frais d’abonnement ou de contrat à court ou long terme, ni d’espaces communs ou collaboratifs. Breather offre une multitude de lieux, éparpillés dans les quartiers les plus denses des grandes villes. «Plutôt que d’avoir un espace super grand, dans un endroit central, dit Julien Smith, notre stratégie est d’offrir une multitude de petits espaces. Et ils ne sont pas collectifs, mais exclusifs.» L’application est similaire à celle d’Airbnb: l’abonné indique la ville, le type de lieux recherchés (pour une réunion, du travail solo, ou faire des téléphones), la date, le temps recherché (une heure, une journée, une semaine) et les options s’affichent. Les prix varient en fonction du nombre de pieds carrés, de 25$ à 150$ de l’heure. Breather verse un pourcentage des revenus générés par chaque espace au gestionnaire immobilier à qui il loue. Les immeubles sont évidemment tous différents, mais les espaces sont tous aménagés par l’équipe de cinq designers de Breather, dirigée par Caterina Rizzi, cofondatrice de l’entreprise, qui est derrière la signature visuelle des boutiques Garage. «Notre objectif est que le client soit assuré d’avoir un espace dans lequel il a confiance», dit Julien Smith. Pour Venky Ganesan, le directeur général de Menlo Ventures, «Breather a su capter un réel besoin du monde du travail. Il n’existe aucune autre compagnie de ce type à offrir des espaces locatifs privés sur demande. Breather a eu l’idée formidable de rassembler des espaces à travers le monde et de les rendre accessibles à tous.» En folle croissance La clientèle de Breather se compose d’une grande variété d’utilisateurs, allant des travailleurs autonomes aux startups, jusqu’aux grandes corporations multinationales. Parmi les clients : Apple, Google, Uber, GE, American Express, L’Oréal et IBM, qui utilisent les espaces pour des rencontres ou des réunions d’équipe. «Durant la dernière année, nous avons accueilli des centaines de nouvelles entreprises par mois», dit Julien Smith. La plus récente phase de financement viendra nourrir la croissance. Toutes les grandes villes du monde entier sont dans la ligne de mire de Breather. Un immense marché. Breather emploi 80 personnes dans ses bureaux de la rue Gaspé, dans le quartier Mile-End, à Montréal, et 70 dans les villes où l’entreprise est implantée.
  2. Interesting series on PBS on Wednesdays at 22:00 http://www.pbs.org/program/super-skyscrapers/ About the Program As urban space shrinks, we build higher and faster than ever before, creating a new generation of skyscrapers. Super skyscrapers are pushing the limits of engineering, technology and design to become greener, stronger, smarter and more luxurious than their predecessors. This four-part series follows the creation of four extraordinary buildings, showcasing how they will revolutionize the way we live, work and protect ourselves from potential threats. Read more about each episode below. A Closer Look at Super Skyscrapers One World Trade Center Blink Films UK 1 / 12 About the Episodes One World Trade Center (Premiered February 5, 2014) One World Trade Center, the tallest building in the western hemisphere and a famous modern landmark, is engineered to be the safest and strongest skyscraper ever built. This episode follows the final year of exterior construction, culminating with the milestone of reaching the symbolic height of 1,776 feet. For head of construction Steve Plate, as well as scientists, engineers, ironworkers and curtain wall installers, this is a construction job suffused with the history of the site and a sense of duty to rebuild from the ashes of Ground Zero. Building the Future (Premiered February 12, 2014) Commonly known as “the cheese grater,” the Leadenhall Building is the pinnacle of London’s avant-garde architecture. Designed as a tapered tower with a steel exoskeleton, it’s the tallest skyscraper in the City of London and the most innovative. The teams behind the Leadenhall project had to radically rethink every aspect of the traditional building model. This program follows the monumental challenges that come with erecting this super skyscraper: it will be constructed off-site, delivered to location, and stacked and bolted together like a giant Lego set. The Vertical City (Premiered February 19, 2014) Shanghai Tower isn’t just a skyscraper — it’s a vertical city, a collection of businesses, services and hotels all in one place, fitting a population the size of Monaco into a footprint the size of a football field. Within its walls, residents can literally work, rest, play and relax in public parks, looking up through 12 stories of clear space. Not just one, however, but eight of them, stacked on top of each other, all the way to the 120th floor. When complete, the structure will dominate Shanghai’s skyline, towering over its neighbors as a testament to China’s economic success and the ambitions of the city’s wealthy elite. The Billionaire Building (Premiered February 26, 2014) Upon completion, One57, on Manhattan’s 57th Street, will rise more than 1,000 feet, making it the tallest residential tower in the western hemisphere and boasting spectacular views of Central Park. “One57” follows the teams tasked with creating New York’s most luxurious residential skyscraper and their ambition to redefine luxury living the big city. Condominiums at One57 showcase state-of-the-art interiors — double-height ceilings, full-floor apartments, bathrooms clad in the finest Italian marble and the finest material finishes. Super Skyscrapers was produced by Blink Films. sent via Tapatalk
  3. À ceux pour qui ça pourrait intéresser, il va y avoir un documentaire sur les Super Skyscrapers ce soir à PBS à 22heures. (poste 650 sur Illico) Ca devrait être intéressant! http://video.pbs.org/video/2365169579/
  4. Carte super intéressante qui fait la répartition des votes quasiment rue par rue. En faisant un zoom, on peut presque dire que le vote était assez "gérérationnel", les secteurs comme Griffintown où il y a bcp + de jeunes professionnels ont voté pour Mélanie Joly http://nicolas.kruchten.com/mtlelection2013bysection/
  5. Je trouve intéressant depuis 2 jours dans La Presse il y a des articles sur les nouvelles tours de Montréal et l’engouement sur le fait de vouloir vivre en hauteur ! Plus on en parle mieux c'est ! C'est une super bonne nouvelle pour nous les amateurs de grattes-ciels ! =) Qu'en pensez-vous ? http://maison.lapresse.ca/habitation/immobilier/201212/20/01-4605669-condos-avec-vue.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1 http://maison.lapresse.ca/habitation/immobilier/201212/19/01-4605403-vivre-en-hauteur.php
  6. Super animation créée à partir des données en real-time de la STM, STL et RTL. J'ai trouvé ça sur Fagstein.com. Chaque point est un autobus qui se déplace. http://blog.fagstein.com/2012/11/28/montreal-bus-animation/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+fagstein+%28Fagstein%29 [video=youtube_share;xMg-EcUZOZ0]
  7. Le Cirque du Soleil agira désormais à titre de consultant pour d'autres artistes sur des projets d'envergure. Son premier client? Madonna, qui a fait appel au Cirque pour la mise en scène de sa tournée MDNA qui commence cette semaine. Ce n'est pas la première fois que le Cirque du Soleil offre ses services à d'autres artistes. L'hiver dernier, l'entreprise québécoise a aidé Madonna sur son spectacle de la mi-temps du Super Bowl. L'expertise du Cirque pour la conception de costumes a aussi servi sur le plateau de tournage de plusieurs films (confidentialité oblige, le Cirque ne peut dévoiler quels films). «Notre entreprise est d'abord une entreprise de création. (...) Ce nouveau service d'affaires permet à nos équipes de création de vivre des projets différents et stimulants qui valorisent leur savoir-faire créatif», a indiqué Daniel Lamarre, président et chef de la direction du Cirque, par voie de communiqué. Le Cirque produit actuellement 21 spectacles à travers le monde. Son nouveau service de consultation amènera le Cirque à travailler avec la même «démarche créative», mais sur des projets qui ne sont pas traditionnellement identifiés au Cirque du Soleil. En clair, le Cirque pourra travailler sur un spectacle sans y intégrer des numéros d'acrobatie. «Nous avons longtemps résisté (de faire de la consultation pour d'autres artistes) car notre carnet de commandes est plus que rempli, mais l'expérience du spectacle du Super Bowl nous a fait tripper, dit Renée-Claude Ménard, directrice des communications du Cirque du Soleil. Beaucoup de gens ont pensé que notre contribution au spectacle du Super Bowl était seulement la partie des acrobates, mais nous avons imaginé l'ensemble de la mise en scène.» Le nouveau service de consultation du Cirque, réservé aux «projets d'envergure», sera sous la responsabilité de Jacques Méthé, directeur de la division des événements spéciaux du Cirque et producteur pour le Cirque du spectacle de Madonna au Super Bowl. Pour son premier mandat, le service de consultation du Cirque a dépêché Michel Laprise à la mise en scène de la tournée MDNA de Madonna. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201205/30/01-4530167-le-cirque-du-soleil-devient-consultant.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
  8. Pas super, mais au moins on transforme 1 étage en 6 étages. Bravo pour ça. Projet au coin sud-est de Décarie et la 40. Site actuel : http://maps.google.ca/maps?f=q&source=s_q&hl=fr&geocode=&q=8355+rue+labarre,+montr%C3%A9al&aq=&sll=49.891235,-97.15369&sspn=32.799964,93.076172&ie=UTF8&hq=&hnear=8355+Rue+Labarre,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H4P+1G5&ll=45.501967,-73.66061&spn=0.002169,0.005681&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.502079,-73.660651&panoid=b_UgzL4a6m0RO4UnlAO3hw&cbp=12,123.23,,0,3.06 Projet :
  9. Intéressante conversation: MF ont créé les spectacles de Madonna au Super Bowl et JZ au Carnegie Hall. Bravo! http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=123762
  10. Vendre Hydro, la SAQ et Loto-Québec? 08/03/2010 L’Ontario étudie sérieusement la possibilité de créer une super entité, d’y transporter ses principales sociétés commerciales, et d’émettre une partie des actions au public. Idée dont devrait s’inspirer le Québec? Le Toronto Star rapportait cette fin de semaine que le gouvernement ontarien pourrait bientôt créer une super société dans laquelle il transporterait Hydro One, l’Ontario Lottery & Gaming Corp, et la LCBO. Cette super entité pourrait valoir entre 50 et 60 G$. Elle serait ensuite en partie vendue à des investisseurs privés ce qui permettrait de faire rentrer entre 18 et 25 G$ dans les coffres de la province. On s’est demandé ce que l’exercice pourrait donner au Québec. La valeur d’Hydro La société d’État a dégagé l’an dernier (2008) un bénéfice avant intérêts, impôt et amortissement (BAIIA) de 8,8 G$. Gaz Métro se négocie à environ 8 fois le BAIIA, mais on va être un peu plus généreux et appliquer un multiple de 10, qui correspond au multiple moyen du secteur des utilités et des producteurs d’énergie des firmes d’investissement Cormark et Desjardins. Cela veut dire 88,8 G$. Il faut retrancher la dette de 36,4 G$. On en arrive à une valeur de 52,4 G$ pour Hydro. La valeur de Loto-Québec On a évalué le BAIIA de la dernière année à environ 1,7 G$. Bien que sa rentabilité soit actuellement sous pression, Loto-Québec a la chance d’évoluer dans un secteur où les investisseurs sont actuellement prêts à payer plus cher pour des actifs que dans d’autres secteurs. L’univers de la maison Oppenheimer se négocie autour de 14-15 fois le BAIIA. On va prendre 14 fois. Moins la dette de un peu plus de 1 G$. C’est une valeur de 22,8 G$ pour Loto-Québec. La valeur de la SAQ Un BAIIA autour de 842 M$. Une dette de 545 M$. Optons pour un multiple de 10, ce qui est à prime sur l’univers des sociétés d’épicerie de Banque Nationale Groupe financier, mais en ligne avec la fiducie Liquor Stores. Valeur : 7,8 G$. Bon pour le Québec? En additionnant la valeur de chacune des société, on en arrive à une super entité qui devrait valoir autour de 83 G$. S’il faut en croire les chiffres du Star, le gouvernement ontarien songerait à céder 35-40% de la super société. Allons-y avec 40%. C’est dire que l’on pourrait retrancher 33,2 G$ à la dette de la province (134 G$). Toute chose étant relativement égale, le service de la dette (actuellement à 6,5 G$) baisserait d’environ 1,6 G$. Il faut cependant aussi retrancher 40% du bénéfice que le gouvernement a actuellement dans ses livres, puisque l’on n’y aurait plus droit. Si l’on retranche 40% de ce que le gouvernement attend de ses sociétés d’état dans le dernier budget, on se retrouve avec un manque à gagner de 1,9 G$. Quoiqu’il rentrerait probablement autour de 600 M$ en impôt (11,9%) que les sociétés se mettraient à payer. Ca fait donc un manque à gagner de 1,3 G$. Au final On se retrouve donc avec un gain de 1,6 G $ et une perte de 1,3 G $, pour un avantage réel de 300 M$. Évidemment, il y a un peu de pommes et d’oranges dans notre calcul, avec des années fiscales qui ne courent pas toujours sur la même période, des écritures qui pourraient parfois être adaptées, des taux d’intérêt qui peuvent grimper et des multiples qui prêtent à discussion. Mais, très sommaire soit-il, l’exercice permet quand même ce constat : il n’y a pas un très fort signal pour une opération du genre. En tenant compte des coûts de transaction, on ne semble pas loin de changer quatre trente sous pour une piastre.
  11. Pour ceux qui aiment la musique House, que du House (et pas de la commerciale), je vous recommende le club Karma sur St-Laurent coin Mont-Royal. La crowd est belle et super, et la musique généralement excellente (j'y suis allé plusieurs fois maintenant). On se verra peut-être là bas <object type="application/x-shockwave-flash" width="370" height="260" data="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=c596492e6f1a5a792ed5&linkfromdisplay=true&autostart=true&usefullscreen=false"> <param name="movie" value="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&autostart=true" /> <param name="allowScriptAccess" value="sameDomain" /> <param name="allowfullscreen" value="always" /> <embed src="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1250.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=c596492e6f1a5a792ed5&linkfromdisplay=true&autostart=true" loop="false" width="640" height="520" allowScriptAccess="sameDomain" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="always" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /> </object> <object type="application/x-shockwave-flash" width="370" height="260" data="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=6075a9494772b58f9528&linkfromdisplay=true&autostart=true&usefullscreen=false"> <param name="movie" value="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&autostart=false" /> <param name="allowScriptAccess" value="sameDomain" /> <param name="allowfullscreen" value="always" /> <embed src="http://www.montreal.tv/portail/flvplayer2.swf?file=http://www.montreal.tv/portail/flvideo/1400.flv&link=http://www.montreal.tv/portail/view_video.php?viewkey=6075a9494772b58f9528&linkfromdisplay=true&autostart=false" loop="false" width="640" height="520" allowScriptAccess="sameDomain" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="always" pluginspage="http://www.macromedia.com/go/getflashplayer" /> </object>
  12. Une première dans l'histoire des Cards Dimanche 18 janvier 2009 ASSOCIATED PRESS GLENDALE, Arizona - Non, il ne s'agit pas d'un mirage. Les Cardinals de l'Arizona, qui sont venus de l'arrière pour vaincre les Eagles de Philadelphie 32-25 en finale de l'Association Nationale de la NFL, dimanche, prendront part à leur premier Super Bowl de leur longue, mais peu glorieuse histoire. Après avoir vu les Cards se forger une avance de 24-6 à la mi-temps - grâce aux trois passes de touché captées par le receveur Larry Fitzgerald, -, les Eagles ont inscrit 19 points sans réplique pour prendre les devants 25-24 au quatrième quart. Mais les Cards ont remporté le match sur une passe de huit verges de Kurt Warner à la recrue Tim Hightower avec 2:53 à jouer, la quatrième passe de touché du match de Warner (21 en 28, 279 verges). "Cette poussée offensive, où nous avons marqué en fin de match après avoir retranché plus de sept minutes au cadran a vraiment fait la différence", a déclaré l'entraîneur-chef des vainqueurs, Ken Whisenhunt. Donovan McNabb (28 en 47, 375 verges, trois touchés, une interception) a été formidable pour mener la charge des Eagles en deuxième demie, mais il a raté quatre passes du milieu du terrain dans les derniers moments du match. Si les Cards (12-7), première équipe classée quatrième de son association à disputer un match de championnat à domicile, étaient sensés être assomés par tout le battage entourant ce match, ils ont plutôt réagi en vétérans. Oui, ils ont bousillé cette avance de 24-6. Mais c'est alors que Warner, joueur le plus utile du Super Bowl XXXIV remporté par les Rams de St. Louis en janvier 2000, a orchestré de mains de maître une poussée de 72 verges, couronnée par sa quatrième passe de touché de la journée. Il a conclu ce retour en rejoignant Ben Patrick pour la transformation de deux points. Mais le joueur-clé de cette rencontre a sans aucun doute été Fitzgerald, qui a capté neuf passes pour des gains de 152 verges, dont deux attrapés très importants sur cette poussée décisive. Fitzgerald a d'ailleurs établi une nouvelle marque en séries en portant son total de verges par la passe à 419, surpassant le grand Jerry Rice. Et il reste toujours un match à jouer à Fitzgerald - le Super Bowl. Pouvez-vous le croire? Les Cards n'ont jamais aussi bien paru depuis qu'ils sont dans la région de Phoenix, après des arrêts à Chicago et St. Louis. "Je veux vous remercier, tous autant que vous êtes", a déclaré Warner au cours des cérémonies d'après-match, sous une pluie de confettis et au son de "We are the Champions", de Queen. "Quand personne ne croyait en nous, quand personne ne croyait en moi, vous l'avez fait et nous nous en allons au Super Bowl." Lessivée par les Eagles 48-20 lors de leur dernier affrontement, l'équipe de Whisenhunt avait une allure complètement différente à son premier match de championnat depuis 1948. "C'était très approprié qu'un paquet de joueurs différents contribuent à cette victoire. Ce fut une grande victoire d'équipe", a déclaré Whisenhunt. Avec des victoires en séries contre les Falcons d'Atlanta, les Panthers de la Caroline et les Eagles (11-7-1), les Cardinals ont maintenant disputé la meilleure saison de leur histoire. Ils ont même dépassé leur nombre total de victoires en séries depuis qu'elles existent, soit depuis 1933. "Cette équipe a connu des années difficiles en Arizona", a admis Whisenhunt. Dernière équipe de l'Association Nationale à se rendre aussi loin depuis la fusion de 1970, les Cards sont aussi devenus la première équipe à n'avoir remporté que neuf parties en saison régulière à atteindre le Super Bowl depuis les Rams de Los Angeles, en 1979. Les Rams s'étaient alors inclinés face aux Steelers. Pour les Eagles, favoris de cette rencontre, il s'agit d'une autre fin de saison en queue de poisson. L'équipe d'Andy Reid a atteint la finale d'association en cinq occasions au cours des huit dernières saisons, mais n'a signé qu'une victoire, perdant contre les Patriots de la Nouvelle-Angleterre dans le seul match du Super Bowl qu'ils ont disputé au cours de cette séquence. "Vous ne voulez jamais que ça se termine, et vous ne voyez pas venir ça, a dit McNabb. C'est difficile de voir votre saison prendre fin de cette façon, si près du Super Bowl."
  13. As the Economy Worsens, Is There Money for Play? The economy was a factor in a recent merger involving Dale Earnhardt’s team, left. General Motors often runs Super Bowl commercials, center, and sponsors events like the baseball All-Star Game. By KATIE THOMAS Published: November 15, 2008 From the “Buick” emblazoned on Tiger Woods’s golf bag to the Chevrolet Camaro that Cole Hamels drove home last month for being named the most valuable player of the World Series, it is hard to be a sports fan without stumbling across some type of advertisement for General Motors. The company consistently ranks first among advertisers of televised sporting events, outspending other automakers by more than two to one. Billy Casper, left, received a car for winning the inaugural Buick Open in 1958. The tournament has been a PGA Tour staple. But as G.M. faces a financial crisis that has executives pleading with Congress for a federal bailout, many are wondering how far the company’s troubles will extend into the sports industry, which is already struggling to attract advertisers and sponsors in a weakened economy. “It’s one of those trickle-down effects that people don’t look at,” said David E. Cole, the chairman of the Center for Automotive Research, a nonprofit research organization. “It has already hit hard.” G.M. has been scaling back its sports presence for at least a year. Cadillac, a G.M. brand, withdrew its sponsorship of the Masters golf tournament in January, and this summer, G.M. ended its relationships with two Nascar racetracks: Bristol Motor Speedway in Tennessee and New Hampshire Motor Speedway. The company is not renewing its longstanding partnership with the United States Olympic Committee when their contract expires at the end of this year. In one of the most dramatic examples of the company’s diminishing sports profile, G.M. said recently that it would not buy television commercials in this season’s Super Bowl broadcast. As G.M. argues its case before Congress, some firms whose contracts with the company are up for renewal are anxiously monitoring developments. “We’re actually in negotiations as we speak,” said Mitch Huberman, the senior vice president of Fox Sports Enterprises, which owns Pac-10 Properties and handles marketing for the Pacific-10 conference. Its contract with Pontiac, also produced by G.M., ends this year. “There are a lot of question marks in terms of where budgets are going,” Huberman said. “It’s kind of wait and see.” G.M., hit hard by plummeting consumer spending and tight credit markets, has reported that it is running out of cash and faces bankruptcy if it does not receive emergency federal assistance. In its third-quarter report, released earlier this month, the company said it planned to trim advertising by 20 percent and promotional spending by 25 percent. “We’re looking at literally everything,” said Peter Ternes, G.M.’s director of communications for sales, service and marketing. He said the cuts would be applied evenly but did not provide details about proposed changes to the company’s sports budget. Still, he said G.M. would not withdraw from sports entirely. “I think we’ll still be there,” he said. “It may not be at the volume that people have seen before, but we’ll still be a presence.” G.M.’s troubles come at a time when sports organizations are struggling to attract sponsors in a weak economy. The Nascar teams Chip Ganassi Racing and Dale Earnhardt Inc., citing a difficult economic climate, announced a merger last week. On Friday, the Tour de Georgia, one of the nation’s premier cycling events, said it was canceling its 2009 race because it could not find a sponsor. Also on Friday, Nascar said it was suspending all testing at its tracks next season as a cost-cutting measure. Like beer and razors, automobiles have long been a staple of commercials during major sporting events, and for good reason, marketing experts said. At a time when digital video recorders and an array of cable channels have splintered television audiences, sporting events attract a large and passionate audience who often watch events as they happen. G.M. has historically taken advantage of this audience by investing heavily in television advertising. The company has been the top TV sports advertiser for at least the last five years, vastly outspending its nearest competitors. For example, in 2007, G.M. spent close to $578 million on TV sports advertising. The No. 2 advertiser, Toyota, spent less than half that, or nearly $287 million, according to Nielsen Media Research. Earlier this year, General Motors aired 11 advertisements during the Super Bowl, according to TNS Media Intelligence, a research firm. The decision not to buy a Super Bowl ad in 2009 may have more to do with public perception than with the company’s cash-strapped predicament. This year’s spots are each selling for $3 million, a fraction of G.M.’s total sports spending. However, if the company were to receive a federal bailout, airing a Super Bowl commercial could anger taxpayers who see the purchase as extravagant, said Kenneth L. Shropshire, the director of the Wharton Sports Business Initiative at the University of Pennsylvania. “Then people are saying, was that the right use of money for a one-day sporting event?” he said. Although executives for several television outlets would not speak publicly, several said their sales representatives had detected a shift in G.M.’s ad purchases — what some called a “flight to quality” — toward programs that have proved successful in the past. And although G.M. recently scaled back its presence on networks in prime time, one network television executive said sports remained a “stable destination.” There are signs that G.M. is continuing to invest in some sports. About a year ago, Chevrolet extended its sponsorship of Major League Baseball through the 2010 season. Ternes, the G.M. spokesman, pointed to plans by the company to invest heavily in next year’s N.C.A.A. men’s Final Four in Detroit, the nation’s automobile capital. On the surface, organizations with existing agreements with G.M. may consider a bailout a preferable outcome, because under a bankruptcy, the company could ask a court to void contracts. But because a federal bailout would also very likely lead to significant restructuring, some said G.M. could be compelled to try to renegotiate active contracts anyway. “With the bailout probably comes strings attached, and what those strings are, who knows?” said Greg Brown, the president of Learfield Sports, which handles marketing for 50 university athletic programs. Rather than seek to cancel existing contracts, several sports executives said G.M. and other companies were more likely to scale back promotions and focus on initiatives that led directly to a sale. “If you’re on the verge of bankruptcy, then you want to find out how to get the money now, rather than how do I get the 15-year-old to start thinking about the car they want to buy in the future?” Shropshire said. Sponsors may focus on promotions that draw fans to dealerships, like T-shirt giveaways or ticket sweepstakes, said Jim Andrews, the editorial director of IEG Sponsorship Report, a trade publication. Sponsorships, he added, can also create a “warm, fuzzy” perception that a company is supporting a customer’s favorite team. “That’s why you’re not seeing any of the automakers, even though they are in dire straits, saying we’ve got to pull out wholesale,” Andrews said. “Because I think they know there is a return on investment.” In some cases, foreign automakers have stepped in when American companies have pulled out. Chevrolet, for example, decided not to renew its sponsorship of the United States Ski Team last year, but Audi took its place. Honda recently replaced Dodge as the official automobile of the N.H.L. Although the troubles in Detroit played a role in that outcome, Honda fit better within the N.H.L.’s goal of becoming a more international brand, according to Keith Wachtel, the league’s senior vice president for corporate sales and marketing. But for now, marketers at a variety of sports organizations say they are in for some tough times. “In this environment, autos are going to be off across the board,” said Tim Finchem, the commissioner of the PGA Tour. Two of its tournaments are sponsored by Buick through 2010, and others are sponsored by Chrysler, BMW, Honda and Mercedes. “They’re doing, in varying degrees, terrible,” he said. “The U.S. automakers are really struggling. Now, who knows?” Finchem, however, said he was confident the companies would remain in business, which meant “they’re still going to be selling cars and, again, we have a good platform from which they can promote.”
  14. 18 juin 2007 Les super poubelles, ce n'est pas le nom d'une nouvelle bande de super héros, mais bien celui de cinq nouvelles poubelles à grande capacité qui ont été installées au cours de la semaine dernière à divers endroits de Saint-Léonard. Robert L. Zambito, conseiller d'arrondissement, et Marcel Tremblay, membre du comité exécutif responsable de la propreté, ont d'ailleurs procédé au dévoilement de ces nouvelles installations le 14 juin dernier. Elles ont huit pieds de profondeur, elles sont robustes, faites à 50 % de matières recyclées et sont également protégées contre la rouille et à l'épreuve du feu. Achetées au coût de 1272 $ l'unité, ces poubelles ont été acquises grâce aux fonds supplémentaires d'Opération Montréal.Net. Selon Robert L. Zambito, elles permettront à l'arrondissement de réaliser des économies en temps et en argent, puisqu'elles seront vidées beaucoup moins souvent. « Elles sont tellement profondes qu'on ne devrait pas avoir à les vider plus d'une fois tous les deux ou trois mois. Elles sont ancrées à cinq pieds dans le sol et les déchets s'y entassent facilement et sans débordement. En plus, aucune odeur ne s'en échappe grâce à un couvercle muni d'une petite ouverture », mentionne-t-il. Une première L'installation de super poubelles dans Saint-Léonard est le premier projet de ce genre sur l'île de Montréal et Marcel Tremblay espère qu'il fera des petits dans les arrondissements voisins, voire même sur toute « notre grande île »! « J'espère que ce sera un argument de poids afin de convaincre les autres d'en installer aussi sur leur territoire », souligne-t-il. Pour le moment, tous les Léonardois sont invités à utiliser les nouvelles poubelles dont deux se trouvent près du centre Leonardo da Vinci, une près de l'école Laurier-Macdonald, une dans le parc Grandbois et la dernière, près de l'aréna Martin Brodeur.Les cinqs poubelles à grande capacité, installées au cours de la semaine dernière, sont une première sur l'île de Montréal.
×
×
  • Créer...