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Les locaux commercials neufs sont très généralement loués par des chaînes car ils ont les moyens parce que les coûts sont répartie sur plusieurs locaux. C'est pour ça qu'une rue ou un quartier en santé comporte plusieurs typologies et qualités de locaux. Ces quartiers et rues peuvent acceuillir des entrepreneurs qui débutent et il y a un roulement. Même principe pour un centre-ville avec les bureaux. Les tours ne doivent pas tous être AAA. Un petit café indépendant ne peut se payer cet emplacement, les profits sur un seul local n'est pas suffisant pour faire vivre une famille (dépendament de tes besoins bien sur)

Modifié par roger
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Membres prolifiques

On s'entend-tu que le petit café indépendant n'aurait pas les moyens de payer le loyer exorbitant d'une construction neuve aussi bien située. Quand ben même qu'on rêve en couleurs, la loi du marché dicte la vie dans une société capitaliste. Trouvez un autre mode de fonctionnement des sociétés et on en reparlera...

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Mouais, je comprends bien les raisons qui mènent à l'implémentation des chaînes, mais peu importe les raisons, on peut trouver ça un peu dommage. C'est rarement l'expérience de magasinage/consommation la plus intéressante, à mon avis. Ça ne renforce pas le sentiment d'appartenance à un quartier. (exemple concret: regardez la mobilisation pour la fleuriste qui a passé au feu dans le Mile-End. On verrait pas ça pour un Starbuck)

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Mouais, je comprends bien les raisons qui mènent à l'implémentation des chaînes, mais peu importe les raisons, on peut trouver ça un peu dommage. C'est rarement l'expérience de magasinage/consommation la plus intéressante, à mon avis. Ça ne renforce pas le sentiment d'appartenance à un quartier. (exemple concret: regardez la mobilisation pour la fleuriste qui a passé au feu dans le Mile-End. On verrait pas ça pour un Starbuck)

 

Dnas le Mile-end les loyers sont abordable et il y a des business familiales, dans le centre-ville les loyer commencent a 35$ du pi carre, donc vendre du café il faut que tu ais les reins solide et prêt a être déficitaire au début... de plus tu engageras du monde au salaire minimum, et tu gageras (le proprio) sur de profits a moyens terme sur plusieurs établissements, de même dans le centre-ville, plus tu vas vers le centre les loyers grimpent a 135$ a 300$ du pi carre, donc a ce moment la les chaines qui ouvrent, soient attirent tellement de monde que c'est payant ou soit elles les considère comme des pub ou du branding pour les autres locaux moins chers qui eux rapportent.

 

un autre exemple, je travaille dans le domaine du mobilier contemporain et nous fabriquons a pointe-saint-Charles, les loyers sont encore de nature commercial/entrepôts/manufacturation légère, donc abordable, juste a 2 minutes a pieds, Griffinton, les loyers sont rendus a 35$ et plus du pi carre, nous voulions ouvrir un local dans l'ancien local d'un resto brancher mais a la place ils ont louer a une grosse chaîne intl de mobilier pas chers, tout du chinois a a bas prix, ils ont des dizaines de gros magasin partout aux USA et Canada, donc nous, petits joueurs qui a quand même de l'histoire (15 ans) nous ne pouvons même pas rêver a ce type d'emplacement, par ce que les CLIENTS eux préfèrent des meubles fait en Chine qui ne durent pas a ceux fait ici et qui durent 15 ans de plus pour pas beaucoup plus cher!!! c'est ce qui dicte le marcher, tant que les clients voudrons se faire excuser l'expression (fourer) les grandes chaines aurons et donnerons aux clients ce qu'ils veulent.

 

en gros, les gens ne veulent pas du différents, ils veulent être tous pareils et se conformer, regarder les jeunes, ils se disent différents mais ils portent tous exactement les mêmes vêtements, c'est le sentiments d'appartenance ou ils boivent tous le même koolaid!!!

 

Ont a le même problème avec tous les projets et architectes designers avec qui ont fait affaire, ils vont tous se pâmer pour des produits fait en Chine et vont a contre-courant proposer nos produits a leur clients même si par le passer ils ont été surpris par la qualité et le design de nos produits, a chaque nouveaux projets c'est a recommencer, on a fait le mobilier du musée des beaux-arts, de la grandes majorités des restaurants brancher et de grands chefs, des hôtels boutiques, des bureaux de pub, de hall d’entrée des immeuble a condo ins, mais chaque fois il faut se battre et on nous considère juste parce qu'ils sont coince et ils ont perdu trop de temps a se brancher, alors ils nous demande de les sortir du pétrin, mais pas parce que nous étions leur premier choix, même si le résultat final est excellent et moins cher que ce qu'ils auraient payer pour les meubles qu'ils avaient sélectionner au départ, regardez ce qui va se passer suite au incident du Bangladesh, les gens vont s'offusquer pour une semaine et ensuite ils vont acheter les mêmes vêtements qu'ils savent sont vendus trop cher mais ils ont des logos qui disent qu'ils viennent des designers qui les mette en valeur, alors le snobisme et la vanité prend le dessus, si c'est fait ICI au Quebec c'est pas bon pour 99,99% des gens.... même si nous achetons les tissus en Italie, en Espagne et que c'est les mêmes que les grande marque Italiennes a trois fois le prix et que nos clients qui ont oser acheter ne jurent que par nous depuis 15 ans.

 

je sais que je me défoule en ce moment, mais c'est quand même un triste constat que l’originalité et la qualité a bon prix ne fait pas vendre. Nul n'est prophète en son pays semble être la norme.

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  • 2 semaines plus tard...

http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201305/10/01-4649440-un-nouveau-concept-depicerie-urbaine-chez-iga.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS4

 

(Montréal) La concurrence dans le secteur de l'alimentation grimpera d'un cran au centre-ville de Montréal. Pendant que l'épicier Adonis (Metro) et Target s'apprêtent à s'y installer, IGA a racheté l'épicerie de la Place Alexis-Nihon pour en faire un concept urbain inédit, a appris La Presse Affaires.

 

«IGA est à la croisée des chemins, étant donné qu'Adonis s'installe à proximité [environ 200 mètres]», affirme Guy Charron, vice-président directeur, exploitation - commerce de détail, chez Cominar, propriétaire de la Place Alexis-Nihon. La transformation sera «majeure», affirme le dirigeant qui a vu les plans et se réjouit d'accueillir «un concept unique».

 

Une porte donnant accès à la rue sera ajoutée, les allées changeront de direction, et l'espace sera agrandi de 5000 pieds carrés, ce qui explique la fermeture du magasin Garage adjacent. L'inauguration est prévue pour le début de l'hiver prochain.

 

Sobeys Québec (propriétaire d'IGA) a racheté le magasin de son marchand Jacques Lefebvre afin d'avoir toute la liberté voulue pour le transformer. Un projet de 8 millions de dollars.

 

«C'est un gros montant. Règle générale, les rénovations coûtent 5 ou 6 millions. C'est rare que ça monte à 8 ou 10 millions», indique la porte-parole de l'épicier, Anne-Hélène Lavoie, tout en niant que le projet est une riposte à l'arrivée imminente de deux nouveaux concurrents. «C'était prévu depuis longtemps.»

 

Parmi les 276 IGA du Québec, 15 n'appartiennent pas à des marchands. Ces supermarchés «corporatifs» servent à effectuer des tests et à former des employés. Toutefois, la future épicerie «au décor contemporain» n'est pas un projet-pilote. Et elle sera éventuellement vendue à un nouveau propriétaire, précise Anne-Hélène Lavoie.

 

À Toronto, les épiceries urbaines de Sobeys ont été baptisées Sobeys Urban Fresh. Ces petites surfaces (de 4000 à 8000 pieds carrés) sont situées dans des immeubles de bureaux et de condos.

 

Grâce à des allées étroites et à des tablettes plus hautes qu'à l'habitude, la sélection de produits est assez vaste. On y trouve généralement un comptoir à sandwiches, un comptoir à salades et des repas cuisinés chauds à emporter.

 

Peut-on s'attendre à un concept similaire à Montréal?

 

IGA refuse de répondre, mais précise que son épicerie portera simplement le nom d'IGA.

 

La chaîne Adonis ouvrira son premier point de vente au centre-ville à la mi-juillet. L'épicerie de 30 000 pieds carrés sera située dans l'immeuble à condos Le Séville, à deux pas de l'ancien Forum, rue Sainte-Catherine Ouest. Target ouvrira pour sa part au-dessous du IGA en novembre.

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