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Tout ce qui a été posté par WestAust

  1. WestAust

    Canadiens de Montréal

    C'est quand je vois les gens se débarasser de leurs chandails avec un numéro et un nom de joueur que je suis content d'avoir gardé mon chandail "vierge" comme ca je suis correct année après années (quoique la je serais du pour un RBK edge!)
  2. WestAust

    Canadiens de Montréal

    Patrick Marleau n'est pas québécois pour 2 cents, il est né en saskatchewan, as joué son hockey junior dans l'ouest, et ne parle probablement pas français, ou a peine. Il n'as de francophone que le nom.
  3. Ca me fait rire, ils achetent une maison à coté d'une prison, et après se plaignent que les voisins ne sont pas des enfants de coeur...
  4. WestAust

    La Station (2012)

    La station est toujours la, mais fermée
  5. Ecclestone persuadé d'un retour au Canada en 2010 - Agence France-Presse Berlin 04 août 2009 | 08 h 22 Le grand ordonnateur de la Formule 1, le Britannique Bernie Ecclestone, s'est dit persuadé dans la presse allemande mardi que le Grand Prix du Canada ferait son retour au calendrier en 2010. «En 2010, on retournera au Canada, je sais que tout le monde dans le milieu de la F1 aime ce Grand Prix», a expliqué Ecclestone au magazine spécialisé Motorsport aktuell. Le GP du Canada, disputé sur le circuit Gilles-Villeneuve à Montréal, ne figurait pas au calendrier 2009, faute d'un accord financier entre Ecclestone et les organisateurs. Le grand argentier de la F1 a par ailleurs précisé que le calendrier 2010 ressemblerait à celui de la saison en cours, avec peut-être une étape en Corée du Sud, mais toujours pas de Grand Prix d'Inde. «Nous voulons que ce soit là-bas une super course et que tout soit parfait, mais il nous faut encore un peu de temps», a-t-il expliqué. En revanche, un retour aux Etats-Unis n'est pas à l'ordre du jour, en tout cas pas à Indianapolis, où la dernière édition s'est déroulée en 2007 («Nous n'irons plus jamais là-bas»), mais à Las Vegas ou New York, même si ces projets «ne sont actuellement pas réalisables».
  6. Dans l'avion en revenant à Montréal aujourd'hui, on est passé au dessus de la rive-sud et on voir clairement tout le tracé de la 30, bien hâte de la voir complétée
  7. Bernie exigeait la garantie, comme il le fait avec tout les nouveaux grand prix, ou ceux en renouvellement, principalement a cause que la compagnie qui détient la F1 (CVC Capital Partners) a sur-endetté la F1, et qu'ils grattent les fonds de tirroirs à la recherche de nouveaux revenus pour payer cette dette.
  8. Ce n'était pas une erreur, c'était la bonne chose à faire. Non seulement ils sont sur le point de signer pour moins cher, mais avec la séparation qui est presque survenue il y a 1 mois, on aurait pu se retrouver avec un GP rempli de Force India comme voiture sans mercedes, ferrari..., que d'excitation. Les arguments des gouvernements pour ne pas signer n'étaient pas seulement monétaire (le 6m que Malek aime bien brandir à chaque fois) mais le fait de devoir fournir une garantie pour les fonds, et surtout, aucune certitude sur le contenu du championnat de F1, et sur le contrôle de l'événement, qui prenait le risque s'il ne faisait pas ses frais...
  9. Vivement le vroum-vroum Patrick Lagacé Je hais la F1 comme je haïssais tout le tape-à-l'oeil, tout le safari de vedettes (Sylvester Stallone est à Montréal!) qui l'accompagnait quand le cirque de Bernie Ecclestone venait à Montréal au mois de juin. Alors quand le grand magnat de la Formule 1 a décidé de bouder Montréal en faveur de richissimes marchés asiatiques et moyen-orientaux, je me suis dit, comme bien d'autres: Good riddance, Bernie! Bon débarras! Et j'ai applaudi à deux mains quand, sous couvert de saine gestion, nos élus ont refusé de jouer le jeu des enchères avec le Britannique, qui exigeait toujours plus de dollars pour faire un arrêt à Montréal. Il y a une limite à jouer au fou. Et puis, hein, Montréal, c'est une grande ville, elle existait avant le Grand Prix de F1, elle existera après la fin de ces courses chromées qui servent à ploguer les grandes marques de la consommation mondiale... C'est ce que je me suis dit quand le Grand Prix est mort. Ah, il y a aussi le fait que j'étais un peu tanné de la couverture médiatique complètement délirante qu'on donnait à cette manifestation. Non, pas vrai : je peux vivre avec le délire, avec les pages et les pages et les couvertures en direct de la rue Crescent... Non, c'est la répétition qui me tuait à petit feu chaque année, le retour des protagonistes des à-côtés de la course. Chaque année, on avait droit aux mêmes histoires de danseuses-qui-font-donc-beaucoup-d'argent, des-familles-ébahies-devant-les-Ferrari-exposées-rue-Peel, des-serveuses-qui-ont-reçu-2000 $-de-pourboire-de-l'équipe-William-dans-le-resto-Branché, du-millionnaire-californien-qui-a-acheté-LA-bouteille-à-5000 $-dans-le-restaurant-Très-Branché, du-vendeur-de-Ferrari-qui-espère-que-Ferrari-va-gagner-la-course... Bref, j'étais un peu blasé. Et mortellement ennuyé par un week-end basé sur l'étalage indécent de richesses démesurées, sur la piste et en dehors de la piste. Je ne suis pas le seul. À La Presse, où les journalistes sont plus Bixi que Jenson Button, il n'y a à peu près que Réjean Tremblay qui s'est dit catastrophé par le départ de la F1. Ça, c'était il y a un an. Que s'est-il passé, depuis? Il s'est passé, depuis un an, grosso modo, que l'immobilisme de cette ville et la sclérose de son leadership se sont pleinement révélés. Il s'est passé, dans cette ville de compteurs d'eau, de nids-de-poule en forme de cratères, de rues et de ruelles sales, une sorte de prise de conscience : Montréal ne va pas très bien. On le savait, bien sûr. Mais il s'est passé, lors de l'été 2008, un truc embarrassant, traumatique, honteux pour les Montréalais : Québec s'est mis à briller comme un sou neuf dans un été de 400e anniversaire tout à fait réussi. Évidemment, évidemment, on dira que Québec n'est pas Montréal. Régis Labeaume, maire de Québec, est le premier à dire que Montréal est une ville plus complexe à gérer que la sienne. Il a raison. N'empêche: Québec est sur une lancée, Québec a des ambitions, n'a pas de complexes, n'a pas d'histoires débiles de compteurs d'eau, n'a pas de chicanes stériles entre la ville et ces parkings à roitelets que sont les «arrondissements». Depuis un an, avez-vous remarqué que les blagues sur Québec en tant que village sont plus rares, du côté du 514 ? Ce n'est pas un hasard. C'est un peu indécent de rire d'une ville qui va bien quand on habite une ville qui traîne la patte... Or, pendant que Québec était encore sur cette lancée post-400e, Montréal a perdu son Grand Prix. Qu'est-ce qu'on réalise, un an plus tard? Que Montréal est mieux nantie avec la F1 que sans la F1. Comme elle était mieux nantie avec les Expos que sans. Amateur de course ou pas, il faut bien reconnaître qu'un Grand Prix de F1, c'est le signe d'une appartenance à un certain club sélect, des retombées bien concrètes, la marque d'une certaine pertinence dans le circuit des grandes villes. Qu'est-ce qu'on réalise, un an plus tard? Peut-être que Montréal n'est pas une si grande ville que ça, au fond. Et de se faire bouder par ce qui reste une course de chars, mais une course planétaire, nous l'a cruellement, douloureusement, étrangement rappelé.
  10. Publié le 22 juillet 2009 à 14h29 | Mis à jour à 14h33 Quartier chinois: périmètre de sécurité autour d'un immeuble Un périmètre de sécurité a été mis en place en face du 1029, boulevard Saint-Laurent, au coin de La Gauchetière et du boulevard Saint-Laurent, dans le quartier chinois, après qu'un citoyen ait appelé les pompiers parce qu'il jugeait dangereuse la façade d'un immeuble de trois étages. Les pompiers, puis un ingénieur de la Ville se sont déplacés, puis un avis de non-conformité a été envoyé par la Ville au propriétaire qui devra faire réparer le ventre de boeuf qui s'est constitué entre le deuxième et le troisième étage. Le périmètre de sécurité, qui empiète légèrement sur le boulevard Saint-Laurent, sera en place jusqu'à ce que l'immeuble soit jugé sécuritaire. L'édifice n'a cependant pas été évacué.
  11. WestAust

    La LNH à Québec?

    Un groupe prêt à acheter un club Retour de la LNH à Québec? Les acheteurs potentiels d'un club de la LNH se bousculent aux portes de la vieille capitale. Le Journal a appris que deux autres groupes (excluant Quebecor) sont dans la course, dont une entreprise «qui a des intérêts à Québec». L'entreprise la plus sérieuse, dont l'identité pourrait être dévoilée sous peu, annoncera qu'elle est prête à investir ce qu'il faudra pour attirer une équipe. Celle-ci veut carrément devenir propriétaire d'un club et souhaite obtenir le contrôle exclusif d'une formation de la Ligue Nationale qui évoluerait à Québec. Pas question de participation minoritaire. «Ils nous ont clairement dit qu'ils étaient intéressés à acheter au complet une équipe, qu'ils étaient prêts à faire les démarches, à faire les vérifications comptables et à faire le modèle d'affaires», a révélé le directeur général de J'ai ma place, Patrick Bragoli. Ce groupe, qualifié de «solide» et «crédible», s'est manifesté il y a environ un mois, en contactant la troupe de Mario Bédard. Le maire Labeaume, actuellement en vacances, a été mis au courant. «On a été approchés par ce groupe qui est prêt à s'annoncer très bientôt et qui est prêt à investir le montant que ça prend pour une franchise à Québec. Ils sont au courant de ce que ça vaut une équipe de hockey et sont prêts à fournir les preuves qu'ils ont les fonds nécessaires. C'est une entreprise sérieuse mais ils nous ont fait signer une entente de confidentialité donc on ne peut rien dévoiler pour l'instant», a précisé M. Bragoli. Compétition Comme à Montréal, le grand patron de Quebecor, Pierre Karl Péladeau, aura donc de la compétition s'il veut acheter une franchise de la LNH pour la transférer à Québec. «Compétiteurs, oui et non... Peut-être qu'il y a moyen de marier les deux, on ne sait pas», a ajouté le d. g. de J'ai ma place, qui compte maintenant plus de 1600 sièges vendus et près de 8 M$ dans les coffres. L'organisation n'a pas encore rencontré M. Péladeau. «Que ce soit M. Péladeau ou un autre groupe, j'imagine qu'il y en a un qui va vraiment prendre le lead et qui va faire les démarches auprès de la Ligue Nationale. Avec Monsieur Péladeau qui s'annonce publiquement, c'est sûr que pour nous, ça va aider à faire avancer le projet donc ce sont de bonnes nouvelles», a poursuivi Patrick Bragoli. «Il y a un autre groupe qui est prêt à investir aussi pour l'achat d'une équipe. Donc, la journée qu'on va être prêts, moi, je ne pense pas qu'on va avoir de la misère à trouver des propriétaires.» Mario Bédard, qui se concentre d'abord sur la vente de sièges et la construction d'un amphithéâtre, admet qu'il est dépassé par les événements. «Pour l'instant, je mets la pédale douce là-dessus. Mais la journée où on va être capables d'annoncer qu'il va y avoir une construction d'un Colisée à Québec, il va probablement y avoir plusieurs acheteurs d'un club de hockey sur la liste. D'après moi, il y en aura au moins trois ou quatre, ce que je n'aurais jamais pu imaginer il y a trois mois.» Si l'intérêt pour un club de la LNH à Québec ne cesse de grandir, même en pleine période estivale, il en va de même pour le nom d'un futur amphithéâtre qui est de plus en plus convoité. «Il y a 6 mois, il n'y a personne qui voulait acheter le nom de l'amphithéâtre... Il n'y a personne qui voulait acheter les sections VIP et là, tout le monde veut les acheter», a confié l'instigateur du projet, Mario Bédard. Celui-ci confirme que quelques entreprises veulent associer leur nom à un éventuel Colisée neuf. «Il y a deux groupes assurément. Il y en a d'autres qui nous par-lent de façon plus vague. Je suis à l'étape où je rencontre les gens, je les écoute et j'essaie de voir quel est l'intérêt et ce que ça vaut.» Sachant que Bell a payé 100 M$ pour 20 ans pour associer son nom au domicile du Canadien à Montréal, Mario Bédard estime que cette forme de publicité vaut aussi son pesant d'or dans la capitale. «D'après moi à Québec, ça vaut au moins 3 M$ par année pour associer son nom à l'amphithéâtre. Peut-être plus... On n'est pas rendus là.» Mario Bédard n'est pas surpris de l'intérêt de Pierre-Karl Péladeau, qui a vainement tenté d'acheter le CH. «On voit que le projet prend forme, que le monde y croit de plus en plus. Tout le monde retourne nos appels et veut se coller au projet, donc c'est super le fun. On a beaucoup de monde qui s'intéressent au proje, je pense que l'automne va être chaud!»
  12. Un immeuble de trois étages menace actuellement de s’effondrer en plein centre-ville de Montréal. Ce sont les pompiers qui ont fait la découverte du danger représenté par cette stucture située au 1029 du Boul. St-Laurent, à l’entrée du quartier Chinois. Ils ont été appelés à se rendre sur place à 9h20 ce matin après avoir reçu un appel d’un citoyen signalant le fait que des briques s’étaient détachées de la cheminée de l’édifice. Une fois sur place, les sapeurs ont procédé à une inspection plus poussée du bâtiment et ont fait la découverte que la façade de l’édifice se détachait progressivement de sa structure. Un ordre d’évacuation a donc été donné. Entre temps, le propriétaire de l’édifice ainsi que les responsables de l’arrondissement ont été appelés à se rendre sur place afin de décider du type d’intervention. L’immeuble en question abrite au premier étage l’entreprise Dragon Siu Enr, un magasin de variété et des appartements aux étages supérieurs.
  13. Nom: M9, phase 4 Hauteur: 18 étages + Sky Lounge Coût du projet: Promoteur: DevMcGill Architecte: Sid Lee architecture Emplacement: Duke/Wellington Début de construction: Fin de construction: Site internet: http://www.devmcgill.com/
  14. WestAust

    La LNH à Québec?

    QUEBEC - L'homme d'affaires Pierre-Karl Péladeau croit que la ville de Québec a le potentiel pour construire un amphithéâtre pouvant accueillir une équipe de la Ligue nationale de hockey (LNH) et il entend s'impliquer sérieusement dans les efforts menés en ce sens. En entrevue au 'Journal de Québec', le PDG de Quebecor explique que Québec est une ville de hockey, bien plus que certaines villes américaines qui possèdent pourtant une équipe de la LNH présentement. M.Péladeau signale toutefois que le projet de ramener une équipe à Québec demandera du temps. La ville a perdu les Nordiques qui ont déménagé à Denver en 1995. A l'époque, le propriétaire des Nordiques, Marcel Aubut, avait expliqué le départ de l'équipe par la petitesse du marché de Québec et par la hausse des salaires des joueurs. Il voulait que les pouvoirs publics financent la construction d'un nouveau Colisée mais le gouvernement du Québec avait écarté cette éventualité. Par ailleurs, Pierre-Karl Péladeau répète qu'il est déçu de n'avoir pu se porter acquéreur du Canadien de Montréal, il y a quelques semaines. http://www.rds.ca/hockey/chroniques/278761.html
  15. La qualité est pas superbe, j'ai juste un petit point n shoot avec pas vraiment de zoom, mais ca donne un appercu de que à quoi Westmount ressemble vu d'en bas de la côte
  16. Il doit arriver parfois que des fenêtres ou panneau se brisent ou s'endommagent durant le transport, et ne peuvent être installés, il faut donc en fabriquer de nouveau et attendre.
  17. WestAust

    Expos de Montréal

    Le premier projet de stade comportait 64 loges + 2 au niveau du terrain + 257 sieges premium à coté des dugouts 64 * 2000$ * 81 = 10 368 000$ 2 * 3500* 81 = 567 000$ 257 * 80 * 81 = 1 665 360 $ total = 12 600 000$ Juste avec ces spectateurs premium on obtient 12m$ en revenus ajouté au calcul de GDS de 76m$ + les naming rights (labatt au début payait 5m$ par année pour les naming rights) on est au dessus de 93m$ en revenus, ajoute la tv, les autres commanditaires, revenue sharing, il y avait des revenus de 100m$ de disponible, et ca c'est suremetn conservateur
  18. WestAust

    Expos de Montréal

    Avec un nouveau stade, et un bon management, on aurait probablement une masse salariale qui ne serait pas la plus basse, probablement autour de 65-70m$
  19. WestAust

    Expos de Montréal

    Real Money to pay for a team comes from Corporate Boxes, in places like Chicago were people live and breathe baseball, they won't mind leaving the office at 5-6 take the train/car for 30 min to go to a baseball game, cause they love it. In Montreal, it's another thing, baseball is not our main sport attraction, hence the need to be close to downtown, corporate people would not want to drive 30 min, or take the metro after work for something that does not interest them that much, this is what was happening at the big O. A stadium downtown would have helped sell and fill those highly profitable corporate boxes, and as for the grandstands, die hard fans would have come wherever the stadium is, and casual fans who work downtown would have been more appealed by going. The Chicago situation would probably apply to the Montreal Canadiens, if the Bell Center was located in Verdun or Outremont, people and corporate boxes clients would still go, cause they like it
  20. A voir comment les residents de montreal chialent toujours contre tout, je préfère voir des bureaux, au moins la tour est vide et personne pour chialer quand le monde sors des bars à 3h du matin. Une tour résidentielle, a court terme ca ne changerais rien, mais a moyen terme, les résidents vont faire imposer des couvre feux, niveau de son maximum... et au bout du compte tuer le quartier
  21. Mille Milliards de Mille Sabords! tout un boulot a faire pour remonter la pente
  22. WestAust

    MÙV - 4 à 11 étages

    J'espere qu'ils construiront pas des condos avec des murs en carton!
  23. Toute la partie résidentielle c'est du locatif, haut de gamme dans le cas des penthouse, mais locatif
  24. Quebecor (videotron) est commanditaire principal de Juste pour Rire, donc ils étaient hors de la couse pour le FIJM. De plus, c'est bien simple de dire que telle compagnie aie juste à commanditer un festival, encore faut-elle qu'elle trouve qqc à gagner. PowerCorp est tres rentable, mais la majeure partie de ses revenus, c'est pas les médias, c'est des investissements dans des compagnies qui ne sont même pas présentes au Québec/Canada ou qui ne font aucunement affaire avec le public.(A la place ils s'impliquent et font vivre l'OSM mais ca c'est autre chose) Même chose avec Bombardier, ils ne vendent pas au public, ils ont zéro a gagner à s'afficher au festival de jazz. Ils le font pareil via des plus petites commandites, cela par but civique, mais les grosses commandites, c'est plus souvent qu'autrement des compagnies "consumers oriented"
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