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etienne

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Tout ce qui a été posté par etienne

  1. C'est clair que si la ligne Nord-Sud est saturée depuis l'ouverture du métro à Laval, la solution c'est d'étendre le métro vers l'EST! Quelqu'un peut-il m'expliquer la logique derrière ça?
  2. Des fois certaines interventions sur ce forum me laissent perplexe. Chavez... Casino... C'est évident!
  3. Ce qui m'attriste le plus, c'est que ces casseurs enlèvent de la crédibilité à un débat que l'on se doit d'avoir suite aux évènement de Montréal Nord: Non, les policiers ne devraient pas bénéficier d'une protection juridique à tout risque, mais non, le moyen d'arriver à soulever ce débat n'est pas en brisant les vitres du Hilton Garden Inn, ou de l'UQAM! Je suis d'avis que cette manifestation devrait être interdite, et qu'on devrait arrêter même les curieux qui s'y "égarent". C'est vraiment une honte. Ces jeunes zélés n'ont donc rien de mieux à faire par un dimanche après-midi ensoleillé?
  4. Il y a les lofts Red Path juste de l'autre côté de Saint-Patrick
  5. Le train rentrait à l'intérieur du building pour le chargement des bobines. Cette entreprise s'est ensuite fait connaître sous le nom de Nortel: Nortel se déclare en faillite le 14 janvier 2009 et se place sous la protection de la justice aux États-Unis, au Canada ainsi que dans certaines des filiales européennes et asiatiques. Voilà pour la petite histoire...
  6. Es-tu sérieux Gilbert? Tu préfères Michelangelo Panzini: à ce que fais Saucier Perotte : La quantité de pieds carrés avant la qualité, si je comprends bien?
  7. Des bobines de fils électriques
  8. Je suis tombé sur cette page du site Oobject qui fait un palmarès des 15 projets de tours dont la construction est mise sur la glace: http://www.oobject.com/category/15-skyscrapers-on-hold/ Vous pouvez voter sur celui que vous aimeriez voir réaliser après-tout.
  9. Le propriétaire EL AD arrête son projet de 310 millions$ 28 janvier Censé débuté la réalisation de son projet à l’automne 2008 pour la transformation du Nordelec, EL AD a suspendu son projet pour l’instant. C’est ce que nous avons appris dimanche le 25 janvier 2009, lorsque Michel Dufresne qui a piloté le dossier du Nordelec a dit que “le projet était gelé”. Par la suite le directeur de l’urbanisme dans l’arrondissement Sud-Ouest Normand Proulx a lui aussi soutenue cette opinion. Pour les citoyens et les citoyennes qui luttent contre la réalisation du projet, il s’agit d’une très bonne nouvelle à court terme. Le beurre et l’argent du beurre Ce qui semble également être une autre bonne nouvelle c’est que Michel Dufresne a affirmé que le projet de logement social n’a pas été mis sur la glace. Dans les faits les négociations se poursuivent pour la cessation du terrain. Si l’entente devait être signée, ce que nous espérons le plus tôt possible, nous aurions peut-être gagné “le beurre et l’argent du beurre” à savoir que nous aurions récupéré du logement social sans avoir les condos. Comment interpréter ce revirement Les causes de ce revirement semblent être de deux ordres. La première serait la situation précaire du marché des condos victime de la crise économique. La deuxième raison pourrait être le fait que EL AD soit en train de remplir son édifice avec de nouvelles entreprises qui s’y installent. Nous avons eu l’occasion dernièrement de circuler dans les corridors du 7 ième et 8 ième étage où nous avons remarqué que des ouvriers amnéageaient de nouveaux espaces. Sur le site internet du Nordelec, ont peut évaluer le taux d’occupation à plus de 80%, ce qui est nettement mieux que les 60-65% qui ont eu cours pendant plusieurs années. En bref, EL AD serait en train de rentabiliser ses espaces industriels. http://www.nordelec.net/actualite/nouvellesnews
  10. La Ligne Brune Pourrait être Séparée En Deux. La Partie Nord Sud Est Redondante Du Métro Et Celle Qui Suit Henri-bourassa Devrait Plutot Continuer Vers L'ouest En Empruntant Le Boulevard Gouin. Beau Travail
  11. C'est surtout parce qu'ils s'étaient habitué à être seul au milieu de leur trou... La il va y avoir du voisinage et ils vont perdre leur vue imprenable sur le centre-ville chèrement payée...
  12. B, et j'achète une voyelle: le Y N . . B Y . . . . . .
  13. Bon... l'avantage du PPP c'était le partage du risque. Maintenant, le privé dit au gouvernement, tu prends le risque ou on s'en va. Reste-t-il encore des avantages au PPP pour le CHUM ?
  14. Rocco a raison, c'est une lettre du courrier des lecteurs, mais que lorsque je l'ai lue représentait exactement le fond de ma pensée. Le fait qu'il n'y ait pas de PDG, donc aucun responsable me rend malade. Mais plus loin, le fait que Jean Charest aie modifié la loi en 2004 pour que la caisse se concentre sur les rendements, et qu'il refuse de donner des informations sur les pertes lors des dernières élections lorsque les deux partis d'opposition les demandais, ça c'est le boute! Il a ainsi volé les élection et détourné le mandat de la Caisse. Cet argent devait être investit pour développer le Québec. Certes il y aurait eut des pertes quand même, mais bien moindre, car le taux de change a coûté $10 milliard, et les entreprises américaines ont piqué du nez pas mal plus que les canadiennes. Sans parler des PCAA que je n'ai toujours pas compris comment ça marche, même après 1 an qu'on me l'explique.
  15. Le Responsable Devant les déboires sans précédents de la Caisse de dépôt et placement et considérant les pertes scandaleuses que les contribuables auront à rembourser, il est naturel que le gouvernement cherche à se dérober. Par contre, que les libéraux de Jean Charest aient délibérément cherché à tromper les citoyens lors de la dernière campagne électorale, alors qu'ils connaissaient parfaitement le bilan financier de la Caisse, cela est tout à fait inexcusable et le gouvernement doit reconnaître son mensonge. Quant aux gestionnaires de la Caisse, jusqu'à quel point peut-on les blâmer des déboires financiers de leur institution? Sont-ils moins bien formés, moins compétents, moins bien renseignés, ou alors moins honnêtes que leurs homologues du reste du Canada? Peut-on prétendre que ce sont des gestionnaires moins prudents que ceux du reste du pays? La seule explication logique tient au fait qu'ils ont plutôt cherché à respecter les intentions du législateur. Comme le rappelle le chroniqueur Michel C. Auger, on ne parle pas de vagues souhaits exprimés par un gouvernement, par son premier ministre ou par sa ministre des Finances; on parle d'une loi déposée par le gouvernement libéral et approuvée (sous le bâillon) par l'Assemblée nationale en 2004. Cette loi stipule clairement que la CDP doit d'abord viser le rendement financier des avoirs qui lui sont confiés. Les gestionnaires de la Caisse devaient-ils ignorer la loi et gérer leur portefeuille à leur guise en suivant seulement les règles de l'art, comme le font les autres grands gestionnaires de fonds publics ailleurs au Canada? Le gouvernement va-t-il abolir cette loi inutile et pernicieuse, ou recommander dorénavant aux gestionnaires de... l'ignorer? Il y a sans doute eu «erreur», une erreur extrêmement grave, mais c'est le gouvernement qui en est le premier responsable. Normand Asselin, Gatineau, le 26 février 2009 Le Devoir édition du mardi 03 mars 2009
  16. Je fais pas le procès de Spectra, je fais le procès de la ville qui a abdiqué de ses responsabilités. Je dis pas que l'urbanisme va sauver le monde, je dit que ça existe pour aider les villes à vivre. Une ville sans urbanisme c'est le chaos: Bombay et Calcutta ont un développement si rapide et incontrôlé que le seul moyen de faire les plans de la ville, c'est avec les photos satellites, où on découvre les nouvelles rues et les nouveaux développement. Le but de cette discipline est de planifier les quartiers, et équilibrer les activités afin de créer un ensemble qui se tient. Bientôt le centre-ville va être un ghetto commercial. La ville doit faire de quoi.
  17. Le développement pour le développement c'est la clé d'une ville sans âme. Ce que personne ne semble saisir ici, c'est que si on laisse ces institutions disparaitre, il n'y aura plus rien au centre-ville après 18h. Le syndrome du trou de beigne. Bien sûr que c'est mieux de se débarrasser d'une salle qui occupe la moitié d'un îlot et rend difficile de construire et rentabiliser les 22 étages possible permis par le zonage au-dessus d'elle. Mais l'urbanisme a été créé justement pour contrôler les côtés vicieux de la spéculation et du développement, et ces systèmes d'approbation, et les comités pour les permis de démolition existent exactement pour cette raison, pour éviter ces non-sens. Je sais que je prêche dans le désert encore une fois, et que le fait d'avoir Dinu Bumbaru qui se prononce sur la question va juste contribuer à en cantonner certains plus profond dans leur positions. à propos du commentaire de Malek à la page précédente J'ai de la misère avec l'attaque de Malek sur CJB sur le fait qu'il a perdu son emploi, qui est tout-à-fait gratuite et pas rapport, et qui me met mal-à-l'aise. Malek, tu est désespérant dans ta volonté de prendre le parti du "pauvre promoteur de projet qui ne pouvait pas prédire la crise", et tu te contredit dans tes idées, un terrain vague c'est "une honte", mais tu es prêt à excuser la création d'un nouveau terrain vague au coeur du centre-ville parce que c'était de bonne foi malgré l'opposition de 15 000 citoyens à insister pour que la ville de donne pas le permis de démolition! Dans ces temps économique, d'avoir un commerce aussi petit soit-il sur une rue passante comme Saint-Catherine aurait peut-être sauvé 10 à 20 emplois sur cet ilot. Le parking qui sera probablement créé, lui créera 1 job. Un valet dans sa cabane. Et moi aussi, comme CJB, j'aime autant voir le turc travailler dans un resto de pizza à 99 cennes qu'il peut gérer lui-même à cause du petit loyer, que pour la grosse compagnie qui créera un immense parking.
  18. Si on se basait uniquement sur la loi du marché, il n'y aurait pas de vie culturelle. La ville a une responsabilité envers ses institutions culturelle, ici, elle est responsable de la fermeture du Spectrum parce qu'elle n'a pas contrôlé la spéculation qui s'est suivi de l'annonce du projet du quartier des spectacle. Je ne pense pas que ce soit un conflit d'intérêt que de demander qu'on retrouve un peu d'imputabilité chez nos élus. L'urbanisme c'est la pierre angulaire de la participation citoyenne au développement de la ville, et Montréal souffre d'avoir transformé son service d'urbanisme en service du développement économique. Quand on laisse la ville entre les mains des promoteurs, il arrive ce qu'il arrive en ce moment, et on se retrouve avec des terrains vagues immenses pour dix ans à venir, moins une salle mythique à un endroit stratégique. Je pensait que vous aimiez pas ça les terrain vagues! Peut-être changeras-tu d'idée quand il ouvreront un parking en surface à cet endroit pour compenser le $1,25 millions perdu en garantie?
  19. Rue Notre-Dame: le comité de suivi se réunira Julie Charette, le 24H Photo: Jean-Louis Fortin Le comité mis sur pied par Québec pour faire le suivi du dossier de la rue Notre Dame sera consulté «dès que possible», même si le gouvernement ne l’a pas fait au moment de mettre le projet sur la glace la semaine dernière. Voilà la promesse faite par la ministre des Transports Julie Boulet même si elle a refusé mardi de préciser le calendrier des rencontres du comité de suivi du projet de réfection de la rue Notre-Dame. Elle confirme toutefois que ce comité sera chargé «de suivre l’évolution des travaux» et d’informer les résidents de leur déroulement. «J’ai tout avantage à recevoir des recommandations provenant du comité de suivi», mentionne la ministre Boulet en marge d’une conférence de presse sur les photos radar. Un comité de suivi réclamé par tous Contactée à ce sujet, la Ville de Montréal s’en lave les mains et renvoie la balle au ministère des Transports. «C’est à Québec de contacter les partenaires et on pensait que cela allait se faire avant Noël», signale Darren Becker, attaché de presse au comité exécutif. Maintenant que le projet de la rue Notre-Dame est soumis à une réévaluation, le comité de suivi est encore plus d’actualité, estime Gaëtan Legault, porte-parole de la Coalition pour humaniser la rue Notre-Dame et membre du Collectif en environnement de Mercier-Est qui doit faire partie du comité de suivi. «Le ministère des Transports et la Ville de Montréal ont la chance de faire montre de leur bonne foi. Il ne faut pas que les consultations se fassent en secret. Les informations doivent circuler», indique-t-il. M. Legault croit aussi que la ministre Boulet aurait tout avantage à inviter des citoyens à siéger sur le comité de suivi. «À l’heure actuelle, il n’y a sur le comité de suivi aucun résident de Hochelaga-Maisonneuve ou du Centre-Sud où auront lieu la majorité des travaux. Pour le moment, ce sont presque tous des gens d’affaires qui veulent développer des occasions d’affaires», fait-il valoir. Pour la directrice générale de la Corporation de développement de l’Est, Thérèse Sainte-Marie, qui doit aussi siéger sur le comité de suivi, Québec tente de noyer le poisson. «Je pense que le ministère des Transports n’est pas pressé de rencontrer un comité de suivi qui pourrait remettre en question un certain nombre de ses décisions», mentionne-t-elle. Les derniers rebondissements relatifs au projet de la rue Notre-Dame inquiète un conseiller de l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve qui doit siéger sur le comité de suivi. Laurent Blanchard craint d’ailleurs que le projet de modernisation de la rue Notre-Dame ne devienne un «nouveau jeu de pouvoir entre Montréal et Québec». Le projet de la rue Notre-Dame vise un tronçon de neuf kilomètres, soit de la rue Amherst à l’autoroute 25.
  20. Qui voudrait avoir une vue sur le fleuve?
  21. Non, c'était une garantie d'engagement monétaire, il ont eut le permis de démolition avec un dépôt de $1,2 millions, avance sur les taxes à payer les premières années.
  22. Il y aura plus d'informations demain. Mais c'est dommage que la ville n'aie pas pris ses responsabilités. On aurait pût avoir une salle de spectacle près de la place du quartier des spectacle! Mesure de mon cynisme envers notre administration municipale: très élevé.
  23. Le projet de SIDEV est retardé, voire peut-être annulé. On a démoli le Spectrum pour rien.
  24. Rue Notre-Dame: Québec crée un comité de suivi... sans le réunir Tommy Chouinard La Presse, Publié le 24 février 2009 à 06h54 (Québec) Québec a créé l'automne dernier un «comité de suivi» du projet de modernisation de la rue Notre-Dame à Montréal. Mais il n'a jamais convoqué de réunion et a tenu dans l'ignorance ses membres sur l'évolution du projet et les dépassements de coûts estimés. Les membres du comité de suivi sont furieux. Ils ont appris la semaine dernière, dans La Presse, que les coûts estimés de construction sont passés de 750 millions à 1,5 milliard de dollars et que le projet retournait sur la planche à dessin. «Ça donne quoi de former un comité de suivi si on ne le réunit pas et on ne l'informe pas?» a affirmé à La Presse Jimmy Vigneux, directeur général de la Société de développement commercial Sainte-Catherine Est. «On ne trouve pas ça normal. Ça fait longtemps qu'on tape sur le clou et qu'on demande au Ministère que le comité se réunisse pour qu'on regarde l'état du projet. On nous répond toujours: plus tard, peut-être, ça s'en vient. L'impression que ça laisse, c'est qu'on veut nous donner le moins d'informations possible.» Le comité de suivi a été formé en novembre 2008. En plus d'un représentant du ministère des Transports et d'un autre de la Ville de Montréal, il compte une dizaine de membres, dont la Corporation de développement de l'Est, le CSSS Lucille-Teasdale, le Port de Montréal, le Conseil pour le développement social et communautaire d'Hochelaga-Maisonneuve. La ministre des Transports, Julie Boulet, avait promis de créer un tel comité à la suite des consultations publiques sur le projet qui se sont tenues à la fin de 2007 et au début de 2008. Dans un communiqué de presse daté du 8 mai, elle soulignait que ce geste «facilitera les échanges» et «permettra d'appliquer les mesures nécessaires pour atténuer les impacts pour les résidants et les entreprises durant la période des travaux.» Doutes sur la volonté politique Ce n'est que six mois plus tard, en novembre, que le ministère des Transports a entériné la composition du comité. Dans une lettre datée du 28 novembre et adressée à la mairesse de l'arrondissement Lyn Thériault, le vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, André Lavallée, précise que «le mandat du comité de suivi sera de recevoir des informations des responsables des travaux et d'émettre des commentaires et des suggestions tout au long des travaux». Une première rencontre «pourrait avoir lieu d'ici Noël ou au début de 2009», ajoute-t-il. Les travaux dans le secteur Souligny ont débuté au début de décembre. Or, aucune réunion n'a été convoquée jusqu'ici par le ministère des Transports. «Les fonctionnaires n'avaient pas le feu vert pour convoquer le comité. S'il y avait une volonté du côté politique, on l'aurait convoqué. Je déplore la façon dont ça fonctionne à l'heure actuelle», a affirmé la directrice générale de la Corporation de développement de l'Est, Thérèse Sainte-Marie. Elle reproche au gouvernement de tenir encore à l'écart le comité au moment où le projet est en cours de révision. Elle le soupçonne d'avoir créé le comité uniquement pour répondre à la «pression» populaire et de tenter aujourd'hui de le «mettre dans la glacière espérant qu'il ne se passe pas grand-chose». «On ne comprend pas. Cela aurait été normal d'être informé de l'évolution du projet», a dit de son côté le coordonnateur de Solidarité Mercier-Est, Marc-Antoine Pouliot. Les membres du comité exigeront «plus de transparence» de la part du gouvernement. «La logique voudrait que les partenaires soient invités à discuter, à prendre connaissance des choses, des dépassements de coûts», a affirmé Michel Roy, coordonnateur du Conseil pour le développement local et communautaire d'Hochelaga-Maisonneuve. Un membre du comité ignorait Les membres du comité de suivi insistent pour avoir leur mot à dire sur le nouveau concept du projet que les fonctionnaires sont en train de préparer afin de réduire les coûts. Ils veulent trouver des solutions aux dépassements de coûts. Chose surprenante, Francine Lebel ignorait que l'organisme qu'elle dirige, la Chambre de commerce et d'industrie de l'Est de Montréal, fait partie du comité. C'est La Presse qui le lui a appris. «Tout à fait incroyable!» a-t-elle lancé, se demandant pourquoi Québec ne l'avait pas informée. «On se pose beaucoup de questions sur le projet. On trouve ça aberrant de voir que les coûts ont doublé comme ça. On n'acceptera pas que le projet soit mis sur les tablettes car il est essentiel pour le développement de l'Est», a indiqué Mme Lebel. De son côté, la Commission scolaire de Montréal a répondu à La Presse qu'elle ne siège pas au comité. Elle fait pourtant partie de la liste des membres entérinée par le ministère des Transports, ce qui ajoute encore à la confusion qui règne dans le dossier. Pour joindre notre journaliste: tommy.chouinard@lapresse.ca lien
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