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etienne

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Tout ce qui a été posté par etienne

  1. Ce Projet là ne se fera pas pour une simple raison: c'est encore un projet typique des années 60, planifié dans les années 60, sauf que ce qui était possible à l'époque grâce au cheap labor des québécois ne l'est plus. Un projet de boulevard, en surface, intégré aux quartiers serait nettement plus acceptable, abordable et réalisable. Ce qui est une honte, c'est que le Ministère des transport gaspille 10 millions au développement de ce projet (des fonds publiques qui vont engraisser les caisses du consortium d'ingénieurs), qu'il essaie d'imposer de façon unilatéral son projet autoroutier, et continue d'être bloqué sur une vision qui est vraiemnt dépassée. Il ferait gagner beaucoup de temps et d'argent à tout le monde s'ils abdiquaient et remettait la tache (et le budget) à la ville de Montréal.
  2. Notre-Dame: dérapage incontrôlé Bernard Descôteaux Le Devoir: édition du lundi 23 février 2009 Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. La phrase de Boileau sied bien au projet de modernisation de la rue Notre-Dame à Montréal que Québec vient de mettre entre parenthèses pour cause d'explosion des coûts passés de 750 millions à près de 1,5 milliard. Le ministère des Transports, maître d'oeuvre et principal bailleur de fonds du projet, exige qu'il soit revu à la baisse. Certains craignent, non sans raison, que, dans le présent contexte économique, il soit tout simplement reporté à plus tard. La nécessité de moderniser cette artère est d'une évidence cri-ante. Juste pour l'entretenir, on y engloutit des millions alors que les usagers, comme les riverains, doivent souffrir les embouteillages quotidiens. Il ne faut pas abandonner ce projet, quoique l'occasion soit propice d'en remettre en cause certains aspects. Il y a lieu de se demander, par exemple, s'il est nécessaire que le boulevard autoroutier projeté soit à huit voies tout le long de son parcours. Le projet, tel qu'il a été annoncé par le premier ministre Jean Charest et le maire Gérald Tremblay en 2007, est en effet un compromis entre l'autoroute souhaitée par le ministère des Transports sur le modèle de l'autoroute Décarie et le boulevard urbain avec voies réservées au transport en commun défendu par Montréal. Après moult négociations, on convint de construire un grand boulevard à huit voies, dont deux réservées au transport en commun. Un système de modulation gardera au vert les feux de circulation pendant les heures de pointe transformant le boulevard Notre-Dame en autoroute. Comme tout compromis, ce concept de boulevard autoroutier est boiteux. D'un côté, il met en place des infrastructures pour le transport en commun et, de l'autre, il facilite l'accès des voitures au centre-ville. Plusieurs experts évaluent la croissance du flot de véhicules à près de 30 %. Elle sera alimentée entre autres choses par le prolongement de l'autoroute 25 vers Laval et la couronne nord. Dans les faits, Québec a imposé à Montréal sa vision du transport qui privilégie l'automobile. Pour ramener les coûts du projet à une dimension acceptable, il faudra abandonner certains de ses éléments. À cet égard, il revient au ministère des Transports de faire un examen de conscience. Se posent des questions sur sa capacité à gérer de grands projets. Comment n'a-t-il pas vu l'inflation des coûts qui, sur tous les grands chantiers, a été de 15 à 20 % ces dernières années? Un dérapage aussi incontrôlé que celui du prolongement du métro à Laval! Il y a là une leçon de modestie qui devrait amener ce ministère à mettre de côté son obsession autoroutière et à écouter davantage Montréal lorsqu'il s'agit de définir les priorités en matière de transport sur le territoire de celle-ci.
  3. C'est déja des firmes privées qui font le projet! Désolé de te l'apprendre Malek, il prait qu'il y a un seul fonctionnaire attitré au projet et que le reste est fait par le Consortium formé de Dessau et SNC-Lavallin. Augmentation des coûts de la rue Notre-Dame. Vite, un troisième ministre aux Transports! QUEBEC, le 19 févr. /CNW Telbec/ - Les investissements sur le réseau routier ont quadruplé en moins de 5 ans, passant de 930 M$ à 3 700 M$. Le transfert des ponts municipaux au MTQ a fait en sorte que le nombre de ponts sous la responsabilité des ingénieurs du Ministère est passé d'environ 5 000 à près de 10 000 dont la moitié est en mauvais état. La réponse du gouvernement à ce surcroît de travail, la nomination d'un deuxième ministre aux Transports, M. Norm Macmillan. "Quasi aucun ingénieur ou technicien n'a été embauché pour faire face à la surchauffe" de mentionner le président de l'Association professionnelle des ingénieurs du gouvernement du Québec (APIGQ), l'ingénieur Michel Gagnon. La ministre Julie Boulet blâme ses fonctionnaires quant à l'augmentation du coût du projet de la modernisation de la rue Notre-Dame qui serait passé de 750 M$ ($ 2006) à 1 500 M$ ($ 2009). "Elle aurait dû dire, "son fonctionnaire". En effet, il n'y a qu'un seul ingénieur du gouvernement dédié à ce projet. Presque tout est fait par un consortium de firmes de génie-conseil" de préciser le président de l'APIGQ. L'ingénieur du gouvernement est doublement victime des politiques du gouvernement Charest. D'abord, en confiant 95 % de ses études aux firmes privées, il devient dépendant des données fournies par les firmes de génie-conseil. Ensuite, l'ingénieur du MTQ est aussi victime de la "surchauffe" créée par la politique d'investissements du gouvernement Charest qui consacre près de 40 % du budget au développement du réseau routier. En 2005-2006, l'enveloppe consacrée au développement du réseau routier était de 374 M$. Aujourd'hui elle est près de 1 400 M$. "La loi de l'offre et de la demande, ça vous dit quelque chose M. Charest?" de demander l'ingénieur Gagnon. La ministre des Transports admet qu'il lui manque 200 ingénieurs pour s'occuper des viaducs au Québec. La réponse de M. Charest a été l'embauche d'un second ministre aux Transports. "Vite, un troisième ministre aux Transports pour la rue Notre-Dame" de conclure l'ingénieur Gagnon. L'APIGQ est le syndicat qui représente tous les ingénieurs oeuvrant dans la fonction publique québécoise. Il compte 1100 membres dont la majorité travaille au MTQ, au MDDEP et à la CSST.
  4. Je pense que ça résume la pensée de plusieurs membres du Forum. Et c'est incompréhensible que Tremblay garde une cote de popularité aussi haute. Je veux juste "ploguer" en passant le nouveau thread SONDAGE pour les élections municipales que je viens de créer sur ce Forum. Ça servira de défouloir et d'alignement de nos pensées en vue d'un prochain maire. les gens ne s'en rendent pas compte, mais la politique municipale est le niveau de pouvoir qui a le plus d'incidence sur notre vie de tous les jours, et notre implication, comme groupe organisé, peut faire changer les choses. J,ai peut-être déja un peu de parti pris, mais je compte sur vous pour y participer activement, et générer le débat sur les "réalisations" de Tremblay.
  5. Rue Notre-Dame: la ministre Boulet se contredit Publié le 20 février 2009 à 06h55 | Mis à jour à 07h03 Tommy Chouinard La Presse (Québec) La ministre des Transports, Julie Boulet, se contredit au sujet des coûts estimés du projet de modernisation de la rue Notre-Dame qui ont explosé depuis l'annonce du projet en novembre 2007. Mercredi, alors que La Presse révélait que les coûts prévus de construction sont passés de 750 millions à 1,5 milliard de dollars, Mme Boulet a déploré que l'estimation des coûts fournie par ses fonctionnaires à l'automne 2007 ne prévoyait pas de «contigences», aucun coussin en cas d'imprévu. Or, lors de l'annonce en grande pompe du projet le 20 novembre 2007, la ministre tenait un tout autre discours. Elle se disait confiante d'éviter les dépassements de coûts puisque l'estimation comprenait une «marge de manoeuvre» afin de couvrir des dépenses inattendues. «Dans le budget de 750 millions, il y a de 20 à 25% de contingence qui est budgété, donc on a une marge de manoeuvre, mais il y a toujours des imprévus dans ce style de projet», avait-elle affirmé en conférence de presse. Bref, selon ses dires, entre 150 et 187,5 millions avaient été prévus pour couvrir d'éventuels dépassements de coûts. De son côté, lors de la même conférence de presse, le ministre du Développement économique et parrain de la métropole, Raymond Bachand, assurait que «malgré le scepticisme, c'est un projet bien attaché». Mercredi dernier, en des termes à peine voilés, Julie Boulet a jeté le blâme en bonne partie sur ses fonctionnaires pour les dépassements de coûts. «Dorénavant, quand on va annoncer des grands chantiers, il faudra prévoir des contingences qui répondent à l'état d'avancement des dossiers», a-t-elle affirmé. Hier, son attaché de presse, Sylvain Lévesque, a affirmé «après vérifications» que l'estimation des coûts de 750 millions ne prévoyait aucun coussin pour les imprévus. «Il n'y avait pas de contingence dans le projet de la rue Notre-Dame», a-t-il dit. Informé des déclarations de la ministre de novembre 2007, M. Lévesque a répondu que «s'il y a une correction à faire, on va la faire». De son côté, le ministère des Transports confirme qu'une marge de manoeuvre avait été prévue, mais il refuse de la chiffrer. Certains avancent que 13% des 750 millions étaient destinés à couvrir d'éventuels dépassements de coûts. Quoi qu'il en soit, la facture projetée s'élève maintenant à 1,5 milliard de dollars. Et le projet de la rue Notre-Dame retourne encore une fois sur la planche à dessin. Le projet n'était pas aussi «bien attaché» que le prétendait le ministre Raymond Bachand. Son budget a été annoncé avant même la tenue des consultations publiques de la Ville de Montréal. Au terme des audiences, la ministre Julie Boulet et le vice-président du comité exécutif de la métropole, André Lavallée, ont annoncé une série de «bonifications» au projet. Le budget, lui, n'a pas été revu à la hausse. Le communiqué diffusé le 8 mai 2008, qui décrit les bonifications, se contente de rappeler que l'investissement est de 750 millions de dollars. Ce n'est pas tout. Contrairement à la pratique habituelle, le gouvernement Charest a fixé le budget d'un grand chantier avant même d'avoir obtenu les résultats d'études importantes sur le sol. Ces études - des forages qui ont été achevés l'automne dernier - ont réservé de «grosses surprises». Les responsables du projet ont dû modifier les plans. Ils ont dû prévoir la construction de murs de soutènement plus imposants et l'installation de pieux, notamment dans le secteur du boulevard Pie-IX, afin d'assurer la solidité de l'ouvrage. Une évaluation sans indexation De l'aveu même du ministère des Transports, le budget d'un projet n'est habituellement fixé qu'après les études sur le sol. L'estimation de 750 millions avait été faite en 2006, au moins un an avant l'annonce du projet. Le gouvernement Charest le savait au moment de faire la conférence de presse en novembre 2007. L'évaluation ne prévoyait pas les coûts d'indexation, alors que la fin des travaux étaient prévus en 2014. L'inflation dans le secteur de la construction a atteint 10% au cours des deux dernières années, notamment en raison de la hausse du prix de l'acier d'armature et du béton bitumineux. Les honoraires professionnels versés aux firmes impliquées dans le projet sont quant à eux calculés en fonction du coût global du projet. Si ce dernier augmente de 10% par exemple, les honoraires grimpent aussi de 10%, selon les explications du ministère des Transports. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200902/20/01-829327-rue-notre-dame-la-ministre-boulet-se-contredit.php
  6. Rue Notre-Dame: Québec stoppe le projet (Québec) Le gouvernement Charest stoppe la modernisation de la rue Notre-Dame. La ministre des Transports, Julie Boulet, renvoie ses fonctionnaires à la planche à dessin pour qu'ils revoient «l'ensemble du projet» à la suite de l'explosion des coûts estimés de construction. Le nouveau concept ne sera connu qu'à la fin de l'été. La décision de Québec a provoqué un «branle-bas de combat» à la Ville de Montréal, pour reprendre les termes du vice-président du comité exécutif, André Lavallée. «Très déçue», l'administration Tremblay craint que l'échéance de 2014 pour la fin des travaux ne soit repoussée. Comme La Presse l'a révélé hier, les coûts prévus de construction ont doublé, passant de 750 millions à environ 1,5 milliard de dollars depuis l'annonce du projet, en novembre 2007. En des termes à peine voilés, Julie Boulet a jeté le blâme sur ses fonctionnaires et ceux de la Ville de Montréal. Selon elle, l'estimation des coûts présentée par les fonctionnaires ne tenait pas compte de l'inflation et ne prévoyait pas de «contingences». La ministre est demeurée évasive sur les raisons expliquant l'explosion des coûts projetés. Elle a évoqué «l'inflation», des «bonifications» apportées au fil du temps, des «considérations techniques» et des «honoraires professionnels». «On va revoir l'ensemble du projet parce qu'il a pris une telle ampleur qu'aujourd'hui, on se retrouve avec des coûts qui ont doublé. On retourne les gens au travail parce qu'on trouve que ce n'est pas justifié», a-t-elle déclaré à l'entrée de la réunion hebdomadaire du Conseil des ministres, hier. «Le gouvernement, comme la Ville de Montréal, veut poursuivre dans le sens du réaménagement de la rue Notre-Dame. Mais on ne le fera pas à n'importe quel prix. Par souci de saine gestion des fonds publics, on va revoir les récentes estimations, on va optimiser le projet et le ramener à des coûts plus acceptables et raisonnables.» Les coûts pourraient toutefois dépasser les 750 millions prévus au départ malgré la «réévaluation» des fonctionnaires. «On va leur laisser faire leur travail, et on verra quels seront les coûts qui nous seront présentés», a-t-elle dit. Selon elle, l'estimation de 750 millions avait été faite en 2006 sans tenir compte de l'inflation et des risques de dépenses imprévues. La ministre a donné des directives à son ministère pour que ce cafouillage ne se reproduise pas. «Dorénavant, quand on va annoncer des grands chantiers, il faudra prévoir des contingences qui répondent à l'état d'avancement des dossiers, calculer l'indexation, calculer également l'actualisation des coûts», a-t-elle affirmé. «Souvent, on annonce des projets qui vont être terminés dans cinq ans, dans huit ans. On n'estime pas la valeur de ces coûts-là dans les cinq ou six prochaines années. Dorénavant, quand il y aura des annonces de grands projets, on va tenir compte de ces nouveaux éléments-là pour avoir des coûts raisonnables.» Julie Boulet donne six mois à ses fonctionnaires pour présenter un projet moins coûteux. Le respect de l'objectif de 2014 pour la fin des travaux n'est pas assuré. La ministre s'est contentée de dire que son but est de «minimiser les impacts sur les échéanciers», d'agir «le plus rapidement possible». Chose certaine, «on ne va pas démarrer un projet qui a doublé de coût en si peu de temps». Les travaux de construction avaient débuté en décembre dernier mais seulement dans le secteur Souligny. Branle-bas à Montréal La décision de Québec a fait bondir l'administration Tremblay. «C'est le branle-bas de combat! On ne reportera pas un projet de plus dans l'Est», a lancé le responsable du Transport, André Lavallée, quelques heures après une réunion du comité exécutif. «Des gens étaient déçus, d'autres fâchés», a-t-il noté. La Ville de Montréal entend participer à l'«exercice d'optimisation» du projet, mais il n'est «pas question de retarder l'échéancier» de 2014. Six mois pour définir un concept moins coûteux, comme le prévoit le gouvernement, «je trouve ça long. Il faut faire ça dans les prochaines semaines», a dit M. Lavallée. La Ville tient mordicus au concept de boulevard urbain. Selon M. Lavallée, le gouvernement Charest, le maître d'oeuvre du projet, n'a pas transmis à la Ville le détail des coûts estimés de construction. «On nous parlait de 300 millions» de dépassements, a-t-il dit. La Ville refuse de porter le blâme. «On laisse entendre que ce qui est en cause, ce sont les bonifications au projet (apportées par la Ville). Mais nos propositions, au contraire, ont permis des économies», a affirmé M. Lavallée. Un boulevard urbain est moins coûteux qu'une autoroute en tranchées, a-t-il plaidé. La Coalition satisfaite La décision de Québec de revoir le projet sourit à la Coalition pour humaniser la rue Notre-Dame. Elle y voit l'occasion de relancer son combat. «On va demander au gouvernement de renoncer à ce projet-là qui revient à faire une autoroute en pleine ville. On va intensifier nos efforts», a affirmé le cofondateur de la coalition, Gaétan Legault. Le critique du Parti québécois en matière de Transports, Stéphane Bergeron, accuse le gouvernement «d'amateurisme» dans la gestion des grands projets. Il trouve «étonnant» et «inquiétant» que Québec n'ait pas tenu compte de l'inflation dans l'estimation des coûts. «Si on doit revenir à la planche à dessin, je pense qu'on devrait tenter de faire un projet davantage rassembleur», «écouter les réserves légitimes qui ont été exprimées», a-t-il ajouté, soulignant que la modernisation de la rue Notre-Dame est nécessaire. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200902/19/01-828890-rue-notre-dame-quebec-stoppe-le-projet.php
  7. Si c'est pour coûter effectivement plus cher, pourquoi donc alourdir les mécanisme d'octroi de projet de la sorte? Si Mme Jérome-Forget quitte la vie politique, je ne donne pas cher de l'avenir de ce type de projet au Québec. Personne semble y gagner, sauf peut-être les firmes conseils, les avocats et les firmes comptables.
  8. Et voilà, un coup d'état de la banlieue avec son rapport de force sur le gouvernement Québécois. C'est ça la solution. La santé économique de la ville passe certainement pas par la tutelle de la ville par les Libéraux. Oublie-ça. Ils ont réussit quoi les Libéraux depuis qu'ils sont là? le CHUM? le Mont-Orford? L'expansion de l'UQAM? Une bonne gestion de la Caisse de Dépot? À ce compte, Montréal serait mieux gérée Mario Dumont. Un gros village mérite au moins une gestion digne d'un village: avec UN seul maire, pas une vingtaine.
  9. Je vais te répondre avec une citation de Barack Obama: "The days where we're just building sprawl forever, those days are over" said the President. "I think that Republicans, Democrats, everybody recognizes that that's not a smart way to design communities." Barack Obama, February 10, 2009 at Ft. Myers, Florida Je n'ai rien contre ceux qui ont choisit la banlieue. Mais je suis outré que les ordres de gouvernement, y compris l'administration de la ville de Montréal, ne prennent pas leur responsabilités et mettent la table pour qu'on poursuive le même modèle, qui nuit à ceux qui choisissent de rester en ville, et qui en paie le prix de leur santé. Un gouvernement a une responsabilité sociale civique essentielle, il doit imposer un contrôle sur le développement et au minimum permettre qu'un famille qui désire rester en ville, y élever ses enfants et devenir propriétaire puisse le faire. C'est de moins en moins le cas. Et la banlieue, avec l'aller-retour quotidien en auto devient un mal nécessaire, mais la seule option valable. C'est pas normal. Je te parle pas de contraindre personne à habiter où il veut pas. Je te parle de mesures incitatives où on puisse au moins choisir de rester en ville et d'utiliser le transport en commun si on en a envie. Il manque des grands appartements pour les grosses familles, des logement abordables pour les jeunes, et un service de transport en commun fiable à Montréal. Le maire de Laval peut faire l'apologie des autoroutes s'il le veut, c'est une des conditions de son développement. Le maire de Montréal, non! Il a à répondre au Montréalais, et pas à se faire dire quoi faire par le gouvernement du Québec (qui eux sont élus par les banlieues). Et si tu n'habites pas Montréal, tu n'as pas à nous dire ce que devrait faire notre maire. Il est supposé être le représentant des Montréalais, pas de la banlieue. Et là c'est pas du tout le cas, et Tremblay vas tuer Montréal en étouffant la ville dans le smog.
  10. Qu'est ce qui est communiste? - Un projet ou le gouvernement est l'unique investisseur et prend 1,5 milliard de fond publique parce qu'il a décidé de façon unilatérale qu'un autoroute devait passer à cet endroit - Un projet ou la ville investit dans les infrastructure publique pour permettre le développement des terrains à valoriser le long du fleuve par des investissement privé. C'est pas irréaliste, c'est un traitement choc pour réveiller les montréalais et qu'ils se rendent compte que l'administration Tremblay n'as tout simplement pas de vision pour Montréal.
  11. Écoute, c'est pas ce que je considère un victoire. Si je passes autant de temps à venir sur ce forum c'est pour essayer de convaincre les montréalais qu'on peut faire mieux avec nos rives, et que ce projet là est digne des années 60. Dans les années 60 c'était le cheap labor qui permettait des monstres de la sorte, aujourd'hui on a plus les moyens, et ce n'est plus justifié. Il y a pour $ 5 milliard de projet autoroutier pour l'île de Montréal dans les cartons du MTQ, et je fais le pari qu'on serait vraiment mieux servi si on misait cela sur le transport en commun et des logements abordable en ville plutôt que sur le transport individuel de ceux qui choisissent la banlieue. Je vais pas faire le PARTY, je vais continuer à essayer de raisonner un maximum de gens sur le gros bon sens. J'ai produit assez de documentation pour faire la preuve qu'il y a un potentiel urbain qu'on gâche si ce projet là se réalise.
  12. Rue Notre-Dame: les fonctionnaires retournés à la planche à dessin Publié le 18 février 2009 à 11h09 | Mis à jour à 11h14 Tommy Chouinard La Presse (Québec) La ministre des Transports, Julie Boulet, retourne ses fonctionnaires à la planche à dessin pour revoir «l'ensemble du projet» de modernisation de la rue Notre-Dame à la suite de l'explosion des coûts projetés. Comme La Presse l'a révélé aujourd'hui, ces coûts sont passés de 750 millions à 1,5 milliard de dollars depuis l'annonce du projet en novembre 2007.En termes à peines voilés, Mme Boulet a jeté le blâme sur ses fonctionnaires et ceux de la Ville de Montréal pour ce dédoublement des coûts. Selon elle, l'estimation des coûts présentée par les fonctionnaires ne tenait pas compte de l'inflation et ne prévoyait pas de «contingences». «On retourne les gens au travail parce qu'on trouve que ce n'est pas justifié que cela ait doublé en si peu de temps», a-t-elle affirmé ce matin à l'entrée du conseil des ministres. «Le gouvernement, comme la Ville de Montréal, veut poursuivre dan le sens du réaménagement de la rue Notre-Dame. Mais on ne le fera pas à n'importe quel prix. Par souci de saine gestion des fonds publics, on va revoir les récents estimés, on va optimiser le projet, le ramener à des coûts plus acceptables et raisonnables.» Julie Boulet donne six mois à ses fonctionnaires pour mener à bien cette opération. Le maintien de l'objectif de 2014 pour la fin des travaux n'est pas assuré. La ministre s'est contentée de dire que son but est de «minimiser les impacts sur les échéanciers». «On ne va pas démarrer un projet qui a doublé de coût en si peu de temps». Les coûts pourraient dépasser les 750 millions prévus au départ malgré la «réévaluation» des fonctionnaires. «On va leur laisser faire leur travail, et on verra quels seront les coûts qui nous seront présentés», a-t-elle dit. «C'est une évaluation qui date de 2006. C'est ce que j'ai demandé au ministère : dorénavant il va falloir prévoir des contingences qui vont s'arrimer avec l'état d'avancement du dossier. Il faut prévoir des contingences, calculer l'indexation, l'actualisation des coûts. Souvent on annonce des projets qui vont être terminés dans cinq ans. On n'évalue pas le coût de ces projets dans les cinq ou six prochaines années.» http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200902/18/01-828621-rue-notre-dame-les-fonctionnaires-retournes-a-la-planche-a-dessin.php
  13. 100% en désaccord: en un mot "outdated" Et comme une image vaut mille mots, voici le Waldorf Astoria de Chicago
  14. Mise à jour : 17/02/2009 22:33 Rue Notre-Dame Les coûts de réfection explosent La réfection du la rue Notre-Dame à Montréal va coûter beaucoup plus cher que prévu. TVA a appris que les coûts vont doubler. Initialement prévus à 750 millions, les coûts auraient explosé à 1 milliard et demi. Le maire de Montréal et la ministre Julie Boulet se sont rencontrés au cours des dernières semaines pour évaluer le tout. Ils espèrent tous deux trouver des solutions pour freiner les dépenses. L'échéancier de 2014 est quand même maintenu. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/02/20090217-223303.html Le maire Tremblay et Mme Boulet du MTQ se rencontrent pour discuter: - Tien tien, où est-ce qu'on pourrait bien couper dans ce projet? - Mais c'est évident, la dalle parc Morgan-Champêtre et les mesures d'atténuations du bruit et d'apaisement de la circulation. - OK Julie, enlève les mes ostis de feux de circulation - Tsé mon Gérald, c'est pas de ta faute si on traverse une crise...
  15. etienne

    Canadiens de Montréal

    Il manque plus que Brian Bellows, Mike Keane et Lyle Odelein pour relancer cette équipe vers la coupe Stanley. Ah oui, j'oubliais aussi, Stéphane Lebeau.
  16. Plus d'information sur la Millenium line de Budapest
  17. Je pense que la ligne Duparc est nécessaire. Un métro grande profondeur, peut-être pas, mais une petite ligne en sous-terrain sous la chaussée, peut-être. Un exemple intéressant c'est le métro sous l'avenue Andrassy à Budapest: C'est pas aussi gros que celui de New York, mais c'est le même principe.
  18. etienne

    Le Montmarte - 8 étages

    Je trouve ça un peu gris. Vivement le printemps pour y jeter un peu de couleur.
  19. <object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=m1m_k2dCj0M&color1=0xb1b1b1&color2=0xcfcfcf&hl=en&feature=player_embedded&fs=1"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=m1m_k2dCj0M&color1=0xb1b1b1&color2=0xcfcfcf&hl=en&feature=player_embedded&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>
  20. Il n'y aura pas de courbe, la rue maisonneuve est retracée dans le cadre du projet du quartier des spectacles. Elle filera strait sur la place des arts et terminera à Saint-Urbain.
  21. Pour une fois, je vais prendre la défense du groupe privé qui tient à faire survivre le football à Montréal et qui attend depuis trop longtemps que ce dossier se règle. Pour avoir étudié des montages semblables, il est vrai qu'avec les salaires des joueurs, entraineurs, les marchandises commerciales à l"effigie de l'équipe etc etc etc... toutes les taxes qui seront récupérées par l'état en font un investissement qui s'autofinance. 6 ans c'est peut-être vite, mais sur 10 certainement. Et on parle d'un équipement sportif qui pourra aussi servir pour des shows extérieurs, grands rassemblement montréalais et autres. (à défaut de pouvoir utiliser le Stade ...) Si les gens de Québec se réveillent, ils vont cogner à la porte des gouvernements bientôt eux aussi...
  22. J'hallucine ou c'est la même tour et la même fontaine que les terrasses Windsor?
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