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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Désolé pour la qualité la photo, c'était loin d'être un bel avant-midi pour ça...
  2. Les Jardins d'Italie Architectes: ? Fin de la construction: décembre 2007 Utilisation: Résidence pour personnes âgées Emplacement: St-Léonard, Montréal ? mètres - 8 étages Descriptions: - 195 appartements
  3. Ils l'ont fait (fait une recherche sur le site), mais la ça niaise encore...
  4. We're saying the same thing, I meant they're taking into account the parking to come up to the 14M sqf mark?
  5. Présentement là ou était l'ancienne crémière sur ste-catherine à la place des arts... sinon elle déménagera dans un nouvel édifice coin st-catherine/st-laurent (l'affaire qui niaise à cause d'un sex shop).
  6. La superficie du centre d'achat brute est de 1.5M de pieds carrés, ils comptent le parking ??
  7. Si loin de Montréal ?? Pourtant Laval, la rive nord et les laurentides sont loins d'être vides! Les gens dans ce coin sont très aisés... les promoteurs pourraient facilement se passer de parc-ex et des crétins G.I.N.O. du plato.
  8. Comme je l'ai dit, le site à été mis a jour en octobre, donc les projets sont à jour. De plus, Dev3d fait des dessins 3d et photoshop, donc c'est quelqu'un qui les a engagé pour le dessiner, ce qui veut dire que c'est assez sérieux pour payer pour un rendu comme celui-là. EDIT Le mérite va surtout à un membre de SSP (Je ne me souviens plus de son nom). Il a posté des photos de la tour québécor qui se retrouvent sur le même site, mais je ne crois pas qu'il avait vu ce projet, car il n'en a pas parlé.
  9. Mais le projet va jusqu'à Peel! On voit mal, mais si on regarde bien, on voit que la facade nord-sud est surper longue.
  10. finir la 640, je crois pas que ça va jamais arriver:( La 440, je donne 1% de possibilité dans les prochains 10 ans.
  11. Merci martin, c'est beaucoup plus gros que je l'imaginais!!! ayoye 2 fois le west edmonton mall... ils vont enfin se taire là dessus... les edmontoniens.
  12. voici la place... quand même un gros bloc: http://maps.google.com/maps?f=q&hl=en&geocode=&time=&date=&ttype=&q=stanley,+montreal,+quebec&sll=37.0625,-95.677068&sspn=48.50801,81.738281&ie=UTF8&ll=45.499079,-73.572521&spn=0.00264,0.004989&t=h&z=18&om=1
  13. Quelque 71% des Québécois souhaitent l'interdiction des poids-lourds sur les ponts durant les heures de pointe Le 9 octobre 2007 - 10:39 | Colette Cyr [AgenceNews] Selon un sondage Léger Marketing, effectué pour le compte du Journal de Montréal, plus de 70% des personnes interrogées aimeraient que les autorités montréalaises interdisent la circulation des poids-lourds sur les ponts pendant les périodes de pointe. Les résidants de la région de Montréal-centre optent en faveur de cette alternative dans une proportion de 71% en comparaison de ceux des banlieues qui la choisissent à raison de 66%. Très majoritairement (87%), les travailleurs en ont assez de passer des heures sur les routes pour se rendre au travail et souhaitent que les autorités municipales prennent leurs responsabilités. Rappelons que plusieurs villes américaines, dont Boston, ont adopté des mesures similaires au souhait des Montréalais. Plusieurs pays d'Europe se penchent aussi le problème et envisageraient de telles restrictions à l'industrie du camionnage. Pourrait-on davantage favoriser le transport en commun et /ou le développer davantage ? Les gens (surtout les baby-boomers) sont-ils prêts à changer leurs habitudes et plus particulièrement à délaisser leur voiture au profit du transport en commun ? Le problème est de taille !
  14. Mode et vêtements Québec dévoile sa stratégie Québec a décidé de réagir à la concurrence internationale dans l'industrie du vêtement, particulièrement chinoise, qui a attiré de nombreux emplois depuis quelques années. Profitant de la semaine de la mode de Montréal, le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, annonce un investissement 82 millions de dollars d'ici 2010, dont 30 millions d'argents frais, dans l'industrie de la mode et du vêtement. « Le secteur de la mode et du vêtement constitue un moteur important de notre économie. Malgré les atouts de l'industrie et son positionnement stratégique, la concurrence internationale est vive « , a déclaré le ministre. Le Québec est le leader de la mode et du vêtement au pays avec 57 % des emplois et 60 % des livraisons manufacturières. Cette industrie embauche 28 000 personnes, dont 22 800 à Montréal seulement. Selon le ministre Bachand, des milliers d'emplois ont été perdus au Québec au profit de la Chine, mais « les entreprises qui ont survécu au cours des cinq dernières années sont très solides. (...) Il faut maintenant les aider en amont ». Québec a donc décidé d'aider l'industrie, mais aussi les créateurs. Montréal est la première ville du vêtement au pays, devant Toronto et Vancouver. C'est aussi le troisième centre de production vestimentaire nord-américaine, après Los Angeles et New York. Intervention dans cinq domaines : 15 millions pour favoriser l'adaptation des modèles d'affaires 15 millions pour encourager les étapes de précommercialisation, de commercialisation et d'exportation 40 millions pour appuyer le recours au design et aux technologies avancées 3 millions pour faire la promotion de Montréal comme ville de mode 8,7 millions pour renforcer le développement de la main-d'oeuvre et rendre l'environnement plus favorable Le ministre Bachand a par ailleurs réitéré les demandes du gouvernement du Québec « au gouvernement fédéral pour que lui aussi apporte son soutien à l'industrie de la mode et du vêtement et qu'il travaille avec le gouvernement du Québec au financement d'un programme qui viendra en aide aux travailleurs âgés ». Réaction positive Vêtement Québec, qui représente l'industrie de la mode, a réagi positivement à cette annonce en précisant que c'était « l'aboutissement de plusieurs mois de consultations et de travaux auxquels Vêtement Québec, la voix de l'industrie et qui représente la presque totalité des acteurs de ce secteur d'activité, a participé avec enthousiasme ». Semaine de la mode Enfin, Québec a accordé une aide de 110 000 $ pour appuyer l'organisme Sensation Mode, qui organise et fait la mise en marché de la 13e Semaine de la mode à Montréal. L'événement a lieu au Marché Bonsecours. Les primeurs des concepteurs québécois des collections printemps-été 2008 y sont présentées aux acheteurs, journalistes et autres professionnels du milieu de la mode.
  15. Montréal se fait belle pour la semaine de la mode Le 9 octobre 2007 - 09:53 | Colette Cyr [AgenceNews] Cette semaine, les designers sont sous les projecteurs, car ce mardi s'amorce la 13e édition de la Semaine de la mode. Ainsi, des dizaines de designers québécois en profiteront pour dévoiler leur collection respective. Rappelons que cette industrie ne fait pas de cadeaux à ses artisans de la mode qui doivent affronter un nouveau rival, la Chine. Depuis deux ans, les quotas d'exportations chinoises de textiles et de vêtements ont été complètement abolis. Une solution privilégiée par les créateurs serait de créer chez nous et de produire en Chine, à tout le moins pour les grands volumes. Dans le secteur de la fabrication, des dizaines de milliers d'emplois ont été perdus chez nous, à preuve que dans ce domaine tout ne tourne pas rond !
  16. BILLETERIE DE DERNIÈRE MINUTE Bon pour Broadway, bon pour nous David Patry Le Journal de Montréal 09-10-2007 | 10h49 Montréal inaugure demain sa billetterie de dernière minute, La Vitrine culturelle, 34 années après que le premier guichet du genre eut ouvert ses portes, à New York. Le TKTS est devenu une institution incontournable dans la Grosse Pomme, et il est difficile de croire que la métropole québécoise ait pu s'en passer. Depuis son ouverture à New York, en juin 1973, la billetterie de dernière minute TKTS jouit d'un incroyable succès. Des centaines de personnes se présentent chaque jour en plein coeur de Times Square à la recherche d'un billet de spectacle à prix d'aubaine. Les éternelles files d'attente devant la remorque du TKTS font maintenant partie du paysage new-yorkais. Et les chiffres ont de quoi faire rêver. En 34 ans, 50 millions de billets ont trouvé preneurs au TKTS, ce qui représente des recettes de plus de 1,3 milliard de dollars. Indispensable «C'est un véritable symbole des théâtres de Broadway et de New York. Sans le TKTS, il y aurait beaucoup moins de monde dans les salles, il y aurait également beaucoup moins de gens qui auraient été familiarisés aux spectacles», indique Victoria Bailey, directrice principale du Theatre Development Found, organisme sans but lucratif à l'origine du TKTS. Selon elle, la billetterie a permis à des millions de personnes de goûter à un spectacle pour la première fois et d'avoir la piqûre. «Ils n'y seraient pas allés autrement parce qu'ils n'en avaient pas les moyens», affirme-t-elle. Pour les uns, c'est une façon d'économiser. Pour les autres, c'est un lieu de rassemblement. «Les gens font la ligne tout en parlant entre eux des spectacles qu'ils ont vus, qu'ils ont aimés. C'est une véritable communauté qui crée un enthousiasme autour des spectacles», dit-elle. Situation gagnant-gagnant Visiblement passionnée, l'administratrice nous fait l'éloge au bout du fil de son établissement et de son impact sur la vie culturelle new-yorkaise. Même les producteurs tirent avantage à écouler leurs billets de 25 à 50% moins cher. «Les théâtres vendent autant de billets qu'ils le peuvent au plein prix. Ce ne sont que les billets restants qu'ils écoulent à la dernière minute en les offrant à rabais», explique Victoria Bailey. «C'est bon pour la santé des spectacles, et c'est très bon pour les spectateurs. Donc tout le monde y gagne.» Avec tous ces avantages pour le milieu culturel, difficile de croire que Montréal ne se soit pas encore doté d'une billetterie de dernière minute. De nombreuses villes dans le monde ont la leur, dont Londres, Boston et Toronto. Montréal lancera la sienne demain. «Je suis surprise que vous n'en ayez pas encore. Je pensais que ça allait arriver plus tôt!» lance Victoria Bailey, qui se dit fort heureuse que l'expérience new-yorkaise fasse un nouveau bébé. Championne mondiale incontestée, la billetterie de Times Square se refait justement une beauté en ce moment. Un projet impliquant plusieurs partenaires est en cours afin de doter le TKTS d'un tout nouvel édifice permanent. Un investissement de 14 M$ qui démontre toute l'importance que l'établissement prend dans le décor culturel new-yorkais
  17. Super!!! Reste à voir si c'est une vision ou la réalité!
  18. C'est sur le site de Dev3D (http://www.dev3d.com/). Il n'y a aucun détails, juste un image qui date d'octobre 2007, donc le projet est récent, très récent. Je compte 17 étages, et elle est située sur Stanley, au coin de Cypress. C'est le dernier terrain libre sur le bord du square dorchester, derrière la tour CIBC.
  19. Les 20 ans du libre-échange 6 octobre 2007 - 08h41 La Presse Claude Picher Grossir caractèreImprimerEnvoyer Cette semaine avait lieu le 20e anniversaire de la signature du traité de libre-échange entre le Canada et les États-Unis. À l'époque, le débat avait soulevé les passions partout au Canada; les élections générales de 1988 se sont même transformées en véritable campagne référendaire sur le libre-échange. Au fil d'arrivée, le gouvernement de Brian Mulroney, architecte du projet, a été massivement reporté au pouvoir, avec 169 sièges sur 295 à la Chambre des communes. Le triomphe des conservateurs était particulièrement fort au Québec, avec 53% du vote populaire et 63 des 75 sièges. Cette semaine, à Montréal, M. Mulroney a prononcé une conférence pour célébrer ce 20e anniversaire. Il y a de quoi célébrer, en effet. En 1987, le surplus commercial du Canada à l'égard des États-Unis atteignait 17 milliards; l'an dernier, il dépassait les 96 milliards. Même en tenant compte de l'inflation, la progression est spectaculaire. Pendant ces 20 années, l'économie canadienne a créé cinq millions d'emplois, dont une majorité à plein temps. Le taux de chômage, à 5,9%, est à son plus bas niveau depuis 1974. Certes, cette remarquable amélioration du marché du travail n'est pas uniquement attribuable au libre-échange, mais on peut certainement avancer que le libre-échange a contribué à maintenir et à créer des millions d'emplois de ce côté-ci de la frontière. Ceux qui ont vécu ce débat, à l'époque, se souviennent du catalogue d'horreurs véhiculé par les adversaires du libre-échange. En feuilletant les journaux de l'époque, je suis tombé sur quelques perles qui, avec le recul du temps, apparaissent singulièrement idiotes aujourd'hui. Voici donc, selon les prophètes de malheur de 1987, quelques-unes des calamités qui attendaient le Canada avec la signature de l'accord de libre-échange: > Les armes à feu seront en vente libre partout au Canada. La criminalité atteindra des niveaux inégalés dans les villes canadiennes. La violence envers les femmes augmentera. > Les Américains achèteront les hôpitaux canadiens et les exploiteront comme des entreprises privées. Les pauvres n'auront plus les moyens de se faire soigner. Les listes d'attente s'allongeront (cette dernière prévision s'est réalisée, mais on a été capables de faire cela tout seuls). > Le Canada va être obligé de démanteler ses programmes sociaux et ses institutions publiques. Pour le Québec, notamment, cela signifie la désintégration de la Caisse de dépôt et du Fonds de la FTQ. > Les entreprises canadiennes fermeront par centaines. Des millions d'emplois seront perdus. On assistera à un déplacement massif des sièges sociaux vers les États-Unis. > Les droits de scolarité atteindront 20 000$ par année, comme dans les universités américaines. L'éducation supérieure sera réservée aux riches. > C'est Washington qui décidera de la politique monétaire du Canada. Qui disait cela, en 1987? Des lobbies de toutes sortes, bien sûr, mais aussi des politiciens, les néo-démocrates en premier lieu, sans oublier les libéraux, qui promettaient de «jeter le traité à la poubelle», rien de moins. Quatre ans plus tard, lorsqu'ils sont revenus au pouvoir, les libéraux se sont bien gardés de toucher au traité; pour une fois, on peut féliciter des politiciens d'avoir renié une promesse électorale! Et puis des dirigeants syndicaux, des évêques, même des professeurs d'université, de qui on aurait pu espérer un peu plus de clairvoyance. Dans sa conférence, M. Mulroney, qui a fait l'objet de nombreuses attaques personnelles à l'époque, n'a pas raté l'occasion de rappeler à quel point tout ce beau monde s'est trompé. Mais l'ancien premier ministre a aussi mis le doigt sur un autre problème: les entraves au commerce interprovincial. Assez curieusement, le Canada, bien qu'il ait signé un accord de libre-échange avec son voisin du Sud, conserve à l'intérieur de ses propres frontières des entraves protectionnistes. Évidemment, à l'intérieur du pays, aucune province ne peut ériger de barrières tarifaires. En revanche, les provinces peuvent mettre en place une foule d'entraves, et elles ne s'en privent pas: réglementation, notamment dans le secteur des transports, de l'hygiène publique, de la protection du consommateur; mesures vexatoires (formulaires, bureaucratie, permis, délais); politiques d'embauche dans certains secteurs comme la construction ou les soins de santé, politiques d'achat des ministères, agences et sociétés d'État. Certes, en 1994, les 10 provinces ont signé un accord sur le commerce intérieur, mais celui-ci n'a jamais été mis en application. Encore aujourd'hui, en 2007, il est plus facile pour certaines entreprises québécoises d'exporter aux États-Unis plutôt qu'en Ontario, et le contraire est aussi vrai. En avril 2007, deux provinces canadiennes, l'Alberta et la Colombie-Britannique, se sont entendues pour créer leur propre marché commun, le TILMA (Trade, Investment and Labor Mobility Agreement); les deux provinces aboliront toutes leurs entraves et harmoniseront leurs lois et règlements d'ici deux ans. Un enseignant ou une infirmière de Colombie-Britannique pourra librement travailler en Alberta et vice-versa. Les entreprises et les investisseurs seront régis par une réglementation unique, et auront un libre accès aux deux marchés; une entreprise enregistrée en Alberta sera automatiquement considérée comme étant aussi enregistrée en Colombie-Britannique, et vice-versa. C'est clairement la voie de l'avenir.
  20. Le Coloniale: là où la ville ne dort jamais Taille du texteImprimerEnvoyer Agrandir L'une des façades du complexe Le Coloniale donne sur la rue Prince-Arthur. Le promoteur promet de ne pas louer à un bar ou à un restaurant le local commercial donnant sur la rue piétonnière. Photo Bernard Brault, La Presse Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Le complexe immobilier Le Coloniale se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. >> Visitez le Le Coloniale en photos. Projet: Le Coloniale, un complexe d'habitation situé au coin des rues Prince-Arthur et Coloniale Promoteur: Projet Le Coloniale Nombre d'habitations: 12 condos. Deux autres unités avec accès direct sur la rue Coloniale peuvent être occupées comme bureau ou appartement, selon les désirs de l'acheteur. Il reste encore quatre logements à vendre. Superficie: de 643 à 1400 pieds carrés. Prix: de 195 000$ à 410 000$ (taxes incluses) Arrondissement: Plateau Mont-Royal Description: Si vous désirez habiter dans un coin super tranquille, Le Coloniale n'est pas pour vous. Ce complexe immobilier se trouve au coeur d'un des endroits les plus chauds en ville, au coin de la rue Prince-Arthur et Coloniale, à un jet de pierre du boulevard Saint-Laurent. Les fins de semaine, ça grouille de monde jusqu'aux petites heures du matin et en été, les terrasses débordent de touristes. Les résidants profitent à la fois du caractère résidentiel de la rue Coloniale et du côté commercial de Prince-Arthur, la seule rue piétonnière à Montréal. Trois appartements possèdent une terrasse privée et l'ensemble des résidants ont accès à une terrasse commune sur le toit. Le bâtiment, qui possède une structure en acier et béton, est équipé d'un ascenseur et d'un système de gicleur. La bâtisse est classée incombustible, ce qui réduit les frais d'assurance. À 5 cinq minutes: cinéma Ex-Centris, carré Saint-Louis, métro Sherbrooke, bars et restaurants à profusion Clientèle cible: les acheteurs sont essentiellement de jeunes professionnels urbains, dont certains étrangers, dit-on. On aime: vivre à proximité de tout On n'aime moins: le bruit de la rue Prince-Arthur Adresse et site internet: 3558, rue Coloniale (coin Prince Arthur), www.lecoloniale.com
  21. ça se pourrait que la tour soit rendu à une 15aine d'étages??? on la voit de la 15 ... qqun pourrait confirmer?
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