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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201612/15/01-5051640-un-projet-de-400-millions-sur-le-site-de-lancien-childrens.php [ATTACH]29673[/ATTACH] [ATTACH]29674[/ATTACH] Les points saillants de l'ensemble du projet sont : 1 400 unités de logements locatifs, de copropriétés et de logements sociaux ; sept immeubles, dont six de 20 à 32 étages (superficie totale de 130 000 m2) incluant un immeuble patrimonial de trois étages ; des commerces de proximité au rez-de-chaussée des immeubles ; des espaces à bureaux et un hôtel d'environ 250 chambres ; la construction d'un centre communautaire, le « Centre Peter-McGill », qui abritera notamment une salle de spectacle multifonctionnelle, une bibliothèque, des salles polyvalentes pour l'organisation d'activités culturelles et physiques et une grande salle communautaire ; l'aménagement d'espaces verts et d'un parc public qui compteront pour plus de 30 % de la superficie totale du projet ; l'agrandissement et le réaménagement de la place Henri-Dunant, ce qui implique le réaménagement d'un tronçon de la rue Lambert-Closse à des fins de parcs ; la restauration et l'intégration au projet de la première résidence des infirmières ; l'ouverture d'une nouvelle vitrine sur le square Cabot. Le volet communautaire inclura la construction du centre Peter-McGill et une contribution significative à l'aménagement du parc Henri-Dunant, deux éléments dont bénéficiera la population du quartier. Ces éléments permettront de créer un grand ensemble public assurant la consolidation du square Cabot et du parc Hector Toe-Blake en tant que cœur culturel et social de ce secteur de la Ville de Montréal. Ainsi, le projet contribuera à la relance économique de la rue Sainte-Catherine Ouest.
  2. 1991 Saint-Martin Ouest - 6 étages Description de la propriété Projet conçu par l’architecte renommé, Carlos Ott, se démarquant par son architecture unique et innovatrice (Structure en bois lamellé); Immeuble d’une superficie locative de près de 115 000 pieds carrés; Bureaux et commerces de prestige visant la certification LEED Platine; Économie d’énergie de plus de 60%; Lumière naturelle et vues pour 90% des espaces de travail grâce à sa configuration en « L »; Situé à l’intersection des boul. Saint-Martin O. et Le Corbusier entre le Collège Montmorency et le Carrefour Laval, à proximité de la station de métro Montmorency; Disponible en 2017. (source : http://gidm.ca/batiment-location/1991-boulevard-saint-martin-ouest/) Le projet a également son site web, très complet : http://le1991st-martin.ca/ Voici une illustration assez haute définition trouvée sur ce même site : http://i.gyazo.com/e4fded7098fc456470bee8495da9778a.jpg --------------------- Ce bâtiment remplace le vieux truc brun coin Saint-Martin/Le Corbusier, en face de l'édifice récent de la Banque Laurentienne. Ça m'a l'air d'un projet de qualité : stationnement invisible depuis la rue, très moderne et avec une touche architecturale que j'aime beaucoup (le bois et la vitre sont très intéressants ensemble). Avec son voisin de la Banque Laurentienne, il va contribuer à améliorer cette intersection, un coin qui a grandement besoin d'être densifié avec tous ces centres d'achat à perte de vue...
  3. Habsfan, as-tu plus de détails sur la nature des travaux? Seulement le RDC?
  4. l'Union des Travailleurs et Travailleuses Industriels et de Service (UTIS) vend le 20, boulevard de Maisonneuve Ouest à Mondev. Projet de 'construction en hauteur'.
  5. ESPACE MONTMORENCY Emplacement : Laval-des-Rapides, Laval Adresse : Boul. Le Corbusier, Laval, QC Superficie : 1 470 132 pi.ca. Catégorie : Usages mixtes Description : Situé à Laval, le projet Espace Montmorency est un concept audacieux dans le domaine de développement d’espaces à bureaux. Développé en collaboration avec le Fonds immobiliers de solidarité FTQ, et Claridge, Espace Montmorency est inspiré par des modèles révolutionnaires. Espace Montmorency est un projet immobilier emblématique qui se déroulera en 4 phases et regroupera une dizaine d’immeubles qui pourront atteindre 20 étages à leur point culminant, offrant plus de 1 million de pieds carrés d’aire louable. Nous proposons un modèle de conception qui favorise la multiplication des occupants. Le bâtiment sera composé de plusieurs unités de bureaux avec terrasses, cela permettra également de créer plus d'espace pour les réunions sociales. Directement relié à la station Métro Montmorency, le projet est situé à 20 minutes du centre-ville de Montréal via un accès souterrain. Avec la Place Bell au sud ; Urbania au nord ; Espace Montmorency contribuera à la création du nouveau centre-ville de Ville de Laval. Le projet vise une certification LEED Or. Source : http://groupemontoni.com/nos-projets-en-cours/campus-ftq-espace-montmorency/ Images : Sid Lee Architecture
  6. Nouveau concurrent de taille près du Centre Bell Publié le 21 janvier 2015 à 07h58 La concurrence immobilière effrénée autour du Centre Bell risque d'augmenter de plusieurs crans: le Canadien Pacifique (CP) entend exploiter un imposant terrain adjacent à l'amphithéâtre, à cheval sur les rails de la gare Lucien-L'Allier. La société ferroviaire de Calgary a annoncé hier qu'elle veut maximiser la valeur d'une série de terrains «excédentaires» à l'échelle du pays, évalués à plus de 1 milliard de dollars. La parcelle située à côté du Centre Bell mesure 3 acres (131 000 pieds carrés), ce qui inclut les droits aériens situés au-dessus des rails. Toutes les options sont envisagées: tours résidentielles de «haute densité», immeubles de bureaux et commerces. Le CP a formé une coentreprise avec le promoteur torontois Dream Unlimited Corp., qui évaluera le potentiel de cet emplacement stratégique - et de tous les autres du groupe - dans les six prochains mois. «Les propriétés ont des valeurs qui diffèrent grandement. La coentreprise sera chargée de déterminer leur valeur exacte et de la maximiser, a indiqué à La Presse Affaires Jeremy Berry, porte-parole du CP. Ça dépendra de l'usage qu'on pourra faire de chaque parcelle.» Le CP pourrait vendre le terrain, ou encore y lancer un projet avec un partenaire. Quoi qu'il en soit, le groupe albertain veut agir vite: les premiers projets seront mis en branle dès 2016, a souligné M. Berry. Frénésie Le terrain «excédentaire» du CP à Montréal se trouve à l'ouest du Centre Bell, en parallèle avec la rue de la Montagne, au nord de la rue Saint-Antoine. Ce sous-secteur du centre-ville est en proie à une véritable frénésie immobilière depuis trois ans. Juste au nord de l'amphithéâtre, quatre tours d'habitation de 38 à 50 étages - La Tour des Canadiens, L'Avenue, le Roccabella et l'Icône - sont déjà en construction. Cadillac Fairview lancera bientôt la phase 2 de la Tour des Canadiens, au sud du Centre Bell, sans compter la demi-douzaine d'autres gratte-ciel que le groupe torontois compte ériger dans ce quadrilatère dans les 15 prochaines années. Un complexe de 900 condos - le YUL - est aussi en chantier juste au nord des terrains du CP, et la Ville est à étudier une série d'autres projets d'envergure. Bref, la concurrence est féroce, alors même que les acheteurs se font plus rares. Comment le CP et son partenaire Dream pourront-ils se démarquer? Différents scénarios seront étudiés en détail dans les six prochains mois, s'est contenté de dire le porte-parole, Jeremy Berry. Les terrains du CP à Chicago, Toronto, Calgary et Edmonton subiront le même examen. Selon Hunter Harrison, président du CP, la «remarquable transformation du modèle d'affaires de l'entreprise depuis la mi-2012» a permis de générer ces importants surplus de terrains. Le titre du groupe a clôturé en hausse de 2,2% hier à la Bourse de Toronto, à 220,65$. La valeur de l'action s'est fortement appréciée depuis l'entrée en poste de la nouvelle équipe de direction. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201501/21/01-4837086-nouveau-concurrent-de-taille-pres-du-centre-bell.php
  7. Accueil > Affaires > Économie > Immobilier > Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile EXCLUSIF Publié le 10 décembre 2014 à 06h22 | Mis à jour à 06h22 Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile La tour Deloitte, en chantier près du Centre Bell, compte... (PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE) La tour Deloitte, en chantier près du Centre Bell, compte deux locataires prestigieux, mais il reste encore 150 000 pieds carrés de bureaux à louer. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Ma Presse Ajouter à Ma Presse Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile Lolë quitte Longueuil pour le Château Viger Vision Globale: des actionnaires se plaignent d'«abus» Deux gratte-ciel de plus prévus autour du Centre Bell Un projet de condos vendu à 100%... en un après-midi MAXIME BERGERON La Presse Derrière les dizaines de grues qui constellent le centre-ville se cache une réalité moins rose pour les propriétaires d'immeubles de bureaux. Le taux d'inoccupation a bondi... et les loyers ont pris le chemin inverse. Alors que les nouveaux projets d'immeubles de bureaux se multiplient à Montréal, le marché traditionnel du centre- ville bat de l'aile. Le taux d'inoccupation a grimpé de 6,8 à 8% depuis six mois, et les loyers ont baissé de 10% dans certains cas, indique une étude obtenue par La Presse Affaires. Dans un rapport de la firme immobilière Newmark Knight Frank Devencore (NKFD) qui sera publié ce matin, on apprend que le marché s'est nettement retourné à la faveur des locataires, cette année. Qui plus est, le taux de disponibilité des bureaux - y compris ceux qui sont offerts en sous-location - dépasse aujourd'hui les 12%, un niveau jamais vu depuis plus d'une décennie. «Si on regarde le grand portrait, c'est sain pour la ville d'avoir du développement, avance Jean Laurin, président et chef de la direction de NKFD. À court terme, les propriétaires qui se retrouvent avec des taux d'inoccupation plus importants doivent porter une attention particulière pour louer ces espaces-là.» La construction de nouveaux édifices de bureaux a été à peu près nulle pendant deux décennies à Montréal, de 1992 à 2012. Fruit de cette rareté, le taux d'inoccupation des édifices de catégorie A et B a chuté à 4,9% à peine, au centre-ville, à la fin des années 2000. Les choses ont évolué rapidement depuis. De nombreux projets de transformation d'anciennes usines ont ajouté des millions de pieds carrés de bureaux dans le Mile End, le Mile-Ex et le sud-ouest de l'île. À ces reconversions s'ajoutent plusieurs immeubles flambant neufs planifiés ou en construction, comme la tour Deloitte, la tour Aimia et la Maison Manuvie. Sans surprise, toute cette activité se traduit par une hausse des taux d'inoccupation, constate Jean Laurin. «S'il n'y avait pas de construction, pas de développement, qu'est-ce qu'on dirait? On dirait qu'il n'y a pas d'expansion dans le marché, donc que ça ne va pas bien. Une phase de développement amène toujours un rééquilibrage de l'infrastructure entre la demande et l'offre, dans tout marché.» Rationalisation En parallèle, plusieurs grands locataires du centre- ville ont rationalisé leurs activités ces dernières années, pour concentrer leurs employés dans une superficie moindre. La Banque Royale a par exemple libéré 4 de ses 13 étages à la Place Ville Marie. Ce mouvement assez généralisé a contribué à faire grimper les taux de disponibilité. Comme l'offre dépasse la demande, on observe aujourd'hui des baisses de loyers allant jusqu'à 10% au centre-ville, souligne le président de NKFD en entrevue à La Presse Affaires. «Quelqu'un qui paie 100$ par année pourrait payer 90$ par année sur le même bail.» Montréal représente le deuxième marché de bureaux au Canada. On y dénombre 47 millions de pieds carrés répartis dans des immeubles de catégorie A et B, contre 63 millions à Toronto, 39 millions à Calgary et 20 millions à Vancouver. ---------------- LES COULOIRS DU CENTRE-VILLE Le centre-ville de Montréal est loin d'être un territoire homogène pour les locataires de bureaux. Les taux d'inoccupation* varient du simple au triple. Boulevard René-Lévesque Taux d'inoccupation 2012: 6,6% 2013: 11,1% 2014: 12,3% Avenue McGill College Taux d'inoccupation 2012: 9,4% 2013: 8,1% 2014: 13% Rue Sherbrooke Taux d'inoccupation 2012: 10,3% 2013: 12,1% 2014: 12% Boulevard De Maisonneuve Taux d'inoccupation 2012: 6,5% 2013: 5,3% 2014: 8,8% Quartier international Taux d'inoccupation 2012: 3,5% 2013: 4,4% 2014: 5,8% Westmount Taux d'inoccupation 2012: 12,4% 2013: 13,7% 2014: 13,2% Vieux-Montréal Taux d'inoccupation 2012: 8,4% 2013: 6,9% 2014: 6,5% Cité du multimédia Taux d'inoccupation 2012: 12% 2013: 17,6% 2014: 15% * Taux d'inoccupation compilés au deuxième trimestre de chaque année. ---------------- Des projets en série Après deux décennies de quasi-inactivité, plusieurs projets de tours de bureaux sont sur les tables à dessin ou en chantier à Montréal. Tour d'horizon. Tour Aimia Ces bureaux construits par Kevric occupent les 10 premiers étages d'une tour mixte de 35 étages érigée en face du square Victoria. Le groupe Aimia y installera son siège social, tandis que 135 000 pieds carrés demeurent disponibles. L'Avenue La tour de 50 étages du groupe Broccolini, aujourd'hui en chantier en face du Centre Bell, comptera 140 000 pieds carrés de bureaux aux étages inférieurs. Aucun locataire de taille n'a encore signé de bail. Tour Deloitte Cet immeuble LEED Platine de 26 étages érigé par Cadillac Fairview, au sud du Centre Bell, compte sur deux locataires de prestige: la firme comptable Deloitte et Rio Tinto Alcan. Quelque 150 000 pieds carrés sont encore offerts. Maison Manuvie La Caisse de dépôt s'allie à Manuvie pour construire une tour de 27 étages sur un terrain de stationnement au 900, boulevard De Maisonneuve Ouest. Après huit ans de tergiversations, ce projet devrait être lancé de façon imminente. Îlot Balmoral La SHDM compte ériger un immeuble translucide de 13 étages adjacent à la place des Festivals, à l'îlot Balmoral. L'Office national du film (ONF) a signé un bail de 20 ans pour occuper 100 000 des 350 000 pieds carrés du bâtiment qui vise la certification LEED Or. Îlot Voyageur Le gouvernement du Québec élabore toujours son projet de tour de bureaux à côté de l'UQAM, sur un site à l'abandon depuis des années. L'État prévoit y loger des fonctionnaires dans des locaux d'environ 625 000 pieds carrés. sent via Tapatalk
  8. Le Saint-M et le Phénix auront un nouveau voisin! Très content de voir un projet sur ce terrain. Promoteur : Stanford Properties Architecte : Campanella et associés Génie conseil : Desjardins Expert Conseil https://goo.gl/maps/i6u7i
  9. Nouveau projet de Maitre Carré. Intégration des bâtiments au 161-175, rue de la Montagne et 1193-1201, rue Wellington. . 45 résidences . Bureaux en copropriété . Espace commercial au rdc http://maitrecarre.ca/projet/brickfields/
  10. Il semble que la deuxième phase ne sera pas la tour finalement. Mod : est-ce que vous voulez créer un nouveau fil avec mon message et changer le nom de celui-ci pour "phase 3" ou "phase future"? EDIT monctezuma : c'est fait Source : LeTravailleur, SSP
  11. Le jeudi 9 octobre 2014, en présence de la mairesse de la Ville de Longueuil, Madame Caroline St-Hilaire, de Madame France Dubé, conseillère à la Ville de Longueuil, de Monsieur Mathieu Duguay, président Société de gestion Cogir, de l’équipe de Jazz Longueuil, des cadres de Société de gestion Cogir et des résidents de Jazz Longueuil, se tenait la cérémonie de pelletée de terre protocolaire marquant le début de la construction de la tour II de la résidence privée pour aînés JAZZ Longueuil. Du même coup, la capsule temporelle contenant divers objets et souvenirs des résidents actuels de Jazz Longueuil a été scellée officiellement. Cette capsule sera installée dans la structure de béton de la tour II avec à son bord, à tout jamais, une petite partie de l'âme des résidents de la phase I. Résidence importante située au cœur de Longueuil, Jazz Longueuil s’agrandit pour accueillir une clientèle d’aînés autonomes de l’agglomération et ses environs. En plus d’offrir plus de 180 nouveaux logements au look contemporain, cette nouvelle résidence offrira des services à valeurs ajoutées à sa clientèle existante et future. Ce projet d’agrandissement, nécessitant un investissement de près de 30 millions de dollars, créera jusqu’à 26 nouveaux emplois. Située face à l’Hôpital Pierre-Boucher et à proximité de tous les services, la résidence Jazz Longueuil était louée à pleine capacité depuis quelques années. L’ajout de la tour II permettra d’offrir des opportunités de location à plusieurs aînés de la grande région qui désirent goûter à l’expérience Jazz. La construction de cette nouvelle tour sera réalisée entièrement par Société de gestion Cogir, l’un des plus importants gestionnaires d’immeubles au Québec. http://www.jazzlongueuil.ca ----
  12. Inspiré par Peekay et la superbe journée d'hier, j'ai fait un petit tour des chantiers au centre-ville. Faut aller sur youtube et mettre ça en pleine résolution (1080p) et full screen!! [video=youtube;NSr-DvPPzYQ]
  13. Il fut à un certain moment considéré par Cadillac Fairview de construire une seule tour de plus de 200m. sur le site du 750 Peel. Ce projet ne passa toutefois pas au-delà de la phase préliminaire. Le plus récent projet proposé est maintenant celui-ci : http://mtlurb.com/forums/showthread.php/22270
  14. Dans le cahier Condo Direct (édition du 11 au 24 septembre), il y a deux pages complètes consacrées à la phase 2 du projet Urbania. En résumé : - Vente dès octobre 2014, premières unités habitables en 2016 - 1200 unités au total (572 à 1608 pi², penthouses à 2000 pi²), répartis dans 6 bâtiments de 10, 12, 14, 16, 28 et 32 étages. - La phase 2 sera implantée dans le quadrilatère Jacques-Tétreault, Lucien-Paiement, Émile-Martineau et Le Corbusier (derrière le Collège Letendre, juste à côté de la phase 1 d'Urbania). - Stationnements intérieurs Aucune information n'est présentement disponible sur le site cahiermaison.com ou bien condourbania.com. J'imagine que c'est pour les prochains jours. [ATTACH=CONFIG]18698[/ATTACH] [ATTACH=CONFIG]18699[/ATTACH]
  15. Nom: AC Hotel Hauteur en étages: 34 Hauteur en mètres: Coût du projet: Promoteur: Canvar Architecte: Entrepreneur général: Emplacement: entre les rues Anderson et Jeanne-Mance Début de construction: 2015 Fin de construction: 2017 Site internet: http://www.acmarriottmontreal.com/ Lien webcam: Autres informations: L'immeuble logera un hôtel Mariott AC Rumeurs: Aperçu artistique du projet: Maquette: Autres images: Vidéo promotionnelle:
  16. Mon premier tour d'hélicoptère... malheureusement il y avait beaucoup de smog/humidité et ça rendais la prise de photo pénible... sans compter l'espace très restreint pour manœuvrer une grosse Canon 5D MK3. Certaines photos donnent l'impression d'une aquarelle à cause de la pollution. On a aussi eus une permission spéciale de faire un 360 autour du centre ville, le pilote l'as demandé puisqu'il voyait que je prenais des photos :-) Je vais sûrement refaire le tour une journée moins humide pour avoir de meilleures photos. Here's my helicopter by Malek Racho, on Flickr Montreal's suburb - pool paradise by Malek Racho, on Flickr Montreal's suburb - pool paradise by Malek Racho, on Flickr Montreal's suburb - pool paradise by Malek Racho, on Flickr Montreal's suburb - pool paradise by Malek Racho, on Flickr St-Laurence river by Malek Racho, on Flickr Hazy downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Notre-Dame boulevard and Montreal port by Malek Racho, on Flickr Montreal density by Malek Racho, on Flickr Olympic stadium by Malek Racho, on Flickr Olympic stadium by Malek Racho, on Flickr Olympic Stadium by Malek Racho, on Flickr Montreal's biodome by Malek Racho, on Flickr Olympic Stadium by Malek Racho, on Flickr Montreal's density by Malek Racho, on Flickr A green oasis in Montreal's density by Malek Racho, on Flickr University of Montreal campus by Malek Racho, on Flickr University of Montreal campus by Malek Racho, on Flickr MUHC and Turcot interchange by Malek Racho, on Flickr MUHC and Turcot interchange by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Construction frenzy around the Bell Center by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr Downtown Montreal by Malek Racho, on Flickr
  17. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
  18. La tour 1 a été terminée en 2013.
  19. Nom : YOO Montréal Hauteur en étages : 20 Hauteur en mètres : Coût du projet : Emplacement : 1130 rue Ottawa, au coin de Young Nombre d'unités : 91 Grandeur des unités : 750 à 5000 pi² Prix : de 350 000 $ (750 pi²) à 1 million (1750 pi²), environ 2 millions pour un demi-étage (3000 pi²) et environ 6 millions pour l'appartement-terrasse qui occupe un étage complet Promoteur : YOO (John Hitchcox) / Constructions Chapam (Maxime Lachance) Architecte : Phillipe Starck / YOO Studio (Marcel Wanders, Kelly Hoppen, Steve Leung, Mark Davison et Jade Jagger) Entrepreneur général : Lancement du projet : Juin 2014 Début de construction: Hiver 2015 Livraison : Fin 2016 Site internet : www.yoomontreal.com / www.yoo.com Facebook : www.facebook.com/yoomontreal
  20. La tour 1 du projet Alta, maintenant renommé quartier A avec phase 1 (Alta) a été terminée en 2013 Mes photos
  21. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">http://www.ledevoir.com/art-de-vivre/voyage/401202/tourismeurbain-le-charme-apres-la-conquete TOURISME URBAINPasser «Go» et réclamer la ville Des tours de vélo à New York, à Chicago et à Montréal. Zéro auto. Les mains sur le guidon. </header>1 mars 2014 | Émilie Folie-Boivin | Voyage <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Émilie Folie-Boivin Le DevoirLe tour Bike the Drive de Chicago se déroule dans une boucle de presque 50 kilomètres.</figcaption></figure>La meilleure manière de découvrir les plus beaux profils d’une ville ? Les deux mains sur le guidon, pendant les grands événements de vélo urbain. Petit tour de piste. Dans une grande ville, il vaut mieux se lever de bonne heure pour pédaler sans avoir à jouer du coude avec les voitures. Une fois par année, à l’occasion des tours urbains de New York (Five Boro Bike Tour), Chicago (Bike the Drive) et Montréal (La Féria, rebaptisée Go Vélo Montréal), c’est jour de fête. Pendant quelques heures, les voitures sont interdites sur les routes et les bicyclettes ont le champ libre. Pour en profiter, il faut aussi se lever à l’aube, mais l’expérience est plus sublime que bien des grasses matinées. C’est encore tout récent que les rues des grouillantes New York et Chicago célèbrent la gloire du vélo comme transport alternatif, et leurs efforts fulgurants leur ont permis de se tailler une place enviable parmi les villes nord-américaines où il fait bon rouler. Les activistes de ce mode de transport aux États-Unis s’inspirent d’ailleurs ouvertement du réseau cyclable de Montréal et de son Bixi dans leur développement urbain. Le vélo se porte bien, et ça se sent. Les tours Five Boro Bike Tour, Bike the Drive et ceux de Go Vélo Montréal sont tout sauf des courses. Qu’on roule en CCM ou en Argon, ils sont une célébration de la ville et de la bicyclette. En un avant-midi, on aboutit dans des quartiers que jamais on aurait l’occasion d’explorer autrement ; on rencontre des gens créatifs qui scotchent la bière de la victoire sur leur porte-bagages avec du duct tape gris ; on lève notre casque à ces mamans admirables qui roulent 64 kilomètres avec deux petits copilotes dans la remorque. On engloutit des bananes sur le bras dans les stations de ravitaillement (yé !), reçoit des échantillons de yogourt gratuits (re-yé !). Y a pas que l’avenir qui appartienne à ceux qui se lèvent tôt !
Y a la route aussi. Five Boro Bike Tour - Le charme après la conquête Avec leurs cris de joie sur la ligne de départ, les cyclistes en liesse enterraient le dernier tube de Beyoncé. L’humeur générale était aussi radieuse que la météo au point de départ, près du complexe du World Trade Center à Manhattan. En mai de chaque année, ils sont plus de 30 000 à pédaler les 64 kilomètres du Five Boro Bike Tour (5BBT), l’un des circuits urbains à vélo les plus courus en Amérique du Nord. Les dossards s’envolent presque aussi vite que les billets d’un spectacle d’Arcade Fire. New York a fait du chemin depuis la première édition de l’événement en 1977, auquel ont pris part 250 motivés : en moins de cinq ans, grâce à l’ancienne administration Bloomberg et à la détermination de la chef des transports, Janette Sadik-Khan, la mégalopole s’est métamorphosée. Celle-ci voulait une ville animée aux trottoirs bondés de gens et de mobilier élégant, des places publiques où flâner et des pistes cyclables sur lesquelles les enfants se sentiraient en sécurité. «C’est ce qui définit la qualité de vie dans une ville», disait-elle en entrevue au magazine New York. Mais ce matin-là, ensoleillé, le réseau cyclable était bien le dernier endroit où les participants voulaient rouler. Jusqu’à ce que les voitures reprennent leur dû, les montures auront cinq ponts à se mettre sous le pneumatique, des rues commerciales et résidentielles et des autoroutes (dont la fameuse Brooklyn-Queens Expressway, un interminable quatre-voies dont le seul charme réside dans cette troublante impression que si la fin du monde arrivait et que tout le monde essayait de décamper à vélo, ça ressemblerait à ça). Il y a peu d’occasions de visiter autant d’arrondissements en un week-end à New York. Et dans une journée comme celle-là, avec les résidants qui envoient la main aux cyclistes, on se sent comme de la visite attendue. Après avoir passé un Lower Manhattan saharaesque et bouleversé le jogging dominical dans Central Park, Harlem nous accueillait les bras ouverts avec une chorale gospel. Le genre de spectacles semés un peu partout sur le parcours pour motiver les troupes. À moins de faire un pèlerinage en l’honneur d’Un prince à New York ou d’avoir de la famille dans le coin, peu de visiteurs se rendent dans Queens, mais les cyclistes auront enfin une raison de rencontrer les habitants du coin, suivant un saut de puce dans le Bronx. Après avoir pédalé derrière les entrepôts sur la rue Kent à Brooklyn, le tour débouche sur une rue commerciale. Fait étonnant : au lieu de bouder contre la commotion causée par la fermeture des rues, les commerçants embrassent la parade et en profitent pour faire une vente-trottoir pendant que des cyclistes s’arrêtent pour prendre une bière. Le circuit du 5BBT reste le même chaque année. Et comme chaque fois, la hantise des habitués se dresse dans les tout derniers miles de l’épreuve, à la porte de Staten Island. Avec ses interminables quatre-kilomètres inclinés et venteux, le pont Verrazano-Narrows donne envie de balancer son vélo dans la baie de New York et de rentrer en autostop sans demander son reste. Les participants font presque du surplace à cause des bourrasques. Un père poussant son fils handicapé persiste ; c’est triomphant et le visage écarlate qu’il franchit la ligne d’arrivée à Fort Hamilton, tout de suite à la sortie du pont. «Ça y est… Nous en sommes venus à bout!», dit-il en faisant un clin d’oeil fatigué à fiston. Pas de remise de médailles, pas de temps au chrono. Nous avons vaincu la bête, mais 64 kilomètres plus tard, c’est plutôt elle qui nous a conquis. Le Five Boro Bike Tour, c'est 64 kilomètres à travers cinq arrondissements : Manhattan, Bronx, Queens, Brooklyn, Staten Island. Quand: le premier dimanche de mai, soit le 4 mai 2014. Le circuit, plutôt plat et accessible, s’adresse aux gens de tous les âges en bonne forme physique. Il y a plusieurs stations de ravitaillement en chemin, l’organisation est impeccable et les responsables de la sécurité sont nombreux, autant au bord de la route que sur deux roues. Les billets à prix régulier se sont rapidement envolés en janvier, mais il reste des places VIP (à 325 $ par tête) pour le tour de 2014. *** Bike the Drive - Le pouls de l'artère Drive, comme dans Lake Shore Drive, l’autoroute devant le bord de mer de la ville de Chicago. Cette artère est le terrain de jeu sur lequel 20 000 cyclistes ont la chance de s’amuser cette unique fois chaque année. Dans le rayon des tours urbains, le Bike the Drive de Chicago se distingue par son circuit en « 8 » d’environ 50 kilomètres (deux boucles de 24 kilomètres au sud et au nord de Grant Park). Les huit voies rapides sont ouvertes dès 5 h 30 pour un avant-midi de balade à vélo. Puisqu’il n’y a pas de coup d’envoi comme à Montréal et à New York, on embarque dans le flot de vélos en sachant qu’on a jusqu’à 10 h 15 pour terminer le parcours. Comme le circuit est balisé et que la chaussée de cette route achalandée est plutôt en bon état, ce tour comporte une note plus sportive et c’est à coeur joie que les cyclistes peuvent mettre à l’épreuve leur monture de course dans les corridors. Ils s’y prennent à l’aube, avant que les promeneurs joignent le mouvement ; ils sont nombreux à se déplacer en groupe et à rouler avec leur bichon maltais ou leur chihuahua attaché dans le panier à bagage. Rencontré dans l’une des deux stations de ravitaillement, Paul est venu du Michigan voisin avec sa fille de 12 ans. «Nous l’essayons pour une deuxième fois. L’an dernier, nous n’avons fait que la boucle nord, mais là, nous nous lançons pour le grand tour avec le sud. Le panorama est complètement différent!», dit le natif de Vancouver, en croquant dans un biscuit au beurre d’arachide. Bike The Drive montre en effet deux profils très distincts de Chicago. La portion sud, allant jusqu’à l’avenue Bryn Mawr, est plus campagnarde et nous donne vite l’impression d’être catapulté dans une banlieue tranquille préservée de l’agitation de la métropole. La boucle nord, elle, met à jour les gratte-ciel et la prestance de cette ville qui a le vent en poupe. C’est là aussi que la vue est des plus splendides et que, derrière le muret de béton de l’autoroute, se distingue le bord de l’eau, la plage et les grands parcs. Ça sent le béton réchauffé par le soleil printanier, et quand on ne roule pas au bruit des changements de vitesse, on a le bonheur — ou le malheur, quand il est impossible de les semer — de rouler dans la bulle d’enthousiastes participants équipés de puissantes radios crachant du Foreigner et du vieux Daft Punk. La virée culmine par un grand festival au Grant Park, en guise de remerciement aux participants pour avoir contribué à l’amélioration du réseau cyclable dans la ville des vents. Le financement de ses installations est d’ailleurs la raison d’être de ce tour lancé en 2002. L’initiative a porté ses fruits : Chicago a tissé une belle amitié avec les cyclistes. Pour le voir, il faut sortir du Lake Shore Drive et plonger dans la ville. Le maire Rahm Emanuel s’est mis au défi de faire en sorte que les Chicagoans résident à moins de 0,5 kilomètre d’une piste cyclable ; pour l’instant, le réseau compte plus de 300 kilomètres. Ses nouveaux Divvy, inspirés du Bixi montréalais, sont en fonction depuis l’été dernier et remportent un vif succès. De passage à Chicago, les visiteurs peuvent en tout temps goûter au paysage qu’offre le Bike the Drive puisqu’une grande piste cyclable de près de 30 kilomètres, le Lakefront Trail, longe le lac Michigan. Par contre, seul l’événement procure l’effet grisant de se laisser porter par l’euphorie d’une masse critique. Le Bike the Drive, c’est près de 50 kilomètres en deux boucles sur l’autoroute Lake Shore Drive, fermée aux automobiles entre 5 h 30 et 10 h 15. Quand: le dernier dimanche de mai, soit le 25 mai 2014. Parfait pour les cyclistes plus sportifs puisque les voies sont larges et bien entretenues. Les familles et les cyclistes contemplatifs y trouveront leur compte puisque le parcours, qu’on peut faire à moitié, est relativement plat. Billets: à partir de 46 $ (41 $ jusqu’au 2 mars). *** Go vélo Montréal - La métropole a un je-ne-sais-quoi...On avait beau être trempé jusqu’à la moelle avant même le signal de départ du Tour de l’île de Montréal, l’été dernier, l’averse n’a pas réussi à enlever une once du charme de l’expérience. Faut le faire. Le festival Go Vélo Montréal, qui regroupe tous les circuits du Tour de l’île et qui célèbre ses 30 ans en 2014, a ce je-ne-sais-quoi de très spécial. Il est sans conteste le plus enivrant des tours urbains abordés ici, et ce n’est pas parce qu’il se passe dans notre cour ; très sincèrement, il rassemble ce que le Québec a de mieux. Contrairement aux parcours toujours identiques du Bike the Drive et du Five Boro Bike Tour, Vélo Québec se fait un devoir de modifier les siens tous les ans. Combinée à l’enthousiasme des bénévoles et à la générosité des spectateurs, l’expérience en terre québécoise est animée, humaine, vivante. Sorte de fièvre du vendredi soir, les 20 kilomètres du Tour la nuit rassemblent les familles, les gangs d’amis, les amoureux et les geeks qui parent leur monture de lumières de Noël branchées sur dynamo et les libèrent dans les quartiers résidentiels autant que dans les carrières éclairées. Cette fête du vélo et de l’activité physique devient une fête des voisins : les spectateurs veillent sur le perron pour encourager les participants et certains dépoussièrent accordéon et crécelle. «Le Tour la nuit, c’est la Montréal nightlife à son meilleur, décrivait Joëlle Sévigny, la directrice générale de Vélo Québec, quelques jours avant l’activité. S’il y avait un événement à nommer pour témoigner de la solidarité d’une ville, je dirais que le Tour de l’île en est une belle incarnation.» Pour les visiteurs du Québec et de l’étranger, l’expérience du Tour de l’île le dimanche est une occasion unique de constater que Montréal est plus qu’un immense et égocentrique centre-ville. La vie (et la vue) des riverains de LaSalle a conquis les Rosemontois pur jus avec qui j’ai roulé les 50 kilomètres, en juin dernier. C’est un peu le beau risque des tours urbains. En explorant de nouveaux territoires dans ces rues exemptes de toute circulation automobile, on réalise à quel point elle peut être belle, la ville. Le Festival Go Vélo Montréal, c’est une semaine de festivités et un vaste programme pour tous les goûts. Au total, 11 circuits sont proposés pour le Tour la nuit, le Défi métropolitain et le Tour de l’île réunis, s’adressant aux cyclistes contemplatifs autant qu’aux sportifs, afin de permettre à un maximum de personnes de prendre part à la fête. Pour le 30e anniversaire, les cyclistes auront une chance unique d’entreprendre le « vrai » Tour de l’île de 130 kilomètres. Quand: du 25 mai au 1er juin 2014. Gratuit pour les enfants de moins de 12 ans. *** Aux tours de Vélos Québec Voyages Il y a plusieurs façons de prendre part aux tours urbains de New York et Chicago. Vélo Québec Voyages propose chaque année de longs week-ends pour profiter de la ville lors de ces célébrations du vélo. Le séjour comprend le transport, et l’hô- tel est toujours très bien situé au cœur du centre-ville. L’an dernier, ils étaient 137 Québécois à partir en autobus pour le Five Boro Bike Tour, munis de leur vélo transporté quant à lui dans un camion de marchandise. Le jour J, les accompagnateurs outillés s’occupent de tout. Ils font toutes les mises au point des montures avant le départ et l’autobus attend les participants à Staten Island. Un beau luxe, très, très bien organisé. Pour voir s’il reste des dossards et pour réserver sa place à bord. Notre journaliste s’est rendue à Chicago et à New York à l’invitation de Vélo Québec Voyages.
  22. La seule image que j'ai trouvé, c'est un printscreen de La Presse+ :
  23. À la lumière de ce document daté de novembre 2013 et déposé à l'OCPM, la petite tour (à construire ?) sur la portion bureaux du Centre Bell serait toujours dans les plans de CF : http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P72/3b.pdf 14 étages, 140 unités résidentielles
  24. Premier épisode d’une série de quatre courts métrages documentaires sur les gratte-ciel, Terre retrace les origines de la tour d’habitation, depuis la tour de Babel de la Bible jusqu’aux immeubles locatifs de piètre qualité de la ville de New York. Narré par la chanteuse Feist, ce film a été réalisé par Katerina Cizek à partir des archives du New York Times. http://www.onf.ca/film/la_vie_a_la_verticale_partie1
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