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  • Administrateur

Les PPP+P (péages) La solution préconisée par l'Institut économique de Montréal

 

Jean-Maurice Duddin

Le Journal de Montréal

11/10/2007 05h36 e-journaldemontreal.gif

pix.gifpix.gif20071011-053600-g.jpgL'Institut économique de Montréal propose de faire rénover toutes les autoroutes du Québec par le privé et d'y imposer des péages pour les financer.

 

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L'Institut économique de Montréal propose de faire rénover toutes les autoroutes du Québec, même la Métropolitaine ou l'échangeur Turcot, par le privé et d'y imposer des péages pour les financer et les maintenir en bon état.

 

pix.gifpix.gifpix.gifÀ consulter:

Les résultats du sondage Léger Marketing sur le financement du réseau routier

Notre dossier complet

Votre opinion:

Êtes-vous prêts à payer pour entrer à Montréal ou pour pouvoir emprunter certaines routes?

L'Institut présente aujourd'hui cette position à la lumière d'études conduites sur le financement des infrastructures routières au Québec. L'organisme croit que le péage permettrait de maintenir les infrastructures en meilleur état tout en améliorant la fluidité du trafic routier.

 

L'économiste Mathieu Laberge, de l'Institut, affirme que de «confier la gestion, l'exploitation et l'entretien au privé permettrait de s'assurer qu'il y a une discipline du partenaire privé de maintenir les infrastructures en bon état».

 

En appui, il rappelle que depuis les années 1980, il y a eu un sous-financement chronique des infrastructures par les politiciens, qui a mené à la détérioration du réseau.

 

Et si certains tronçons ou certaines autoroutes sont confiés au privé, ces consortiums veilleraient à les maintenir en bon état pour fidéliser leurs clientèles et... leurs revenus.

 

Selon lui, ça explique l'appui des Québécois face au retour du péage. L'Institut croit qu'il pourrait être appliqué même dans des échangeurs, comme Turcot, ou même sur une autoroute achalandée comme la Métropolitaine.

 

Seuil: 40 millions

 

Selon lui, tous les projets de plus de 40 millions pourraient se qualifier pour des ententes de partenariats public-privé.

 

Québec a signé son premier partenariat public-privé pour le pont de la 25 entre Laval et Montréal. D'autres projets sont à l'étude, dont le prolongement de la 30 sur la Rive-Sud.

L'Institut économique de Montréal est un organisme indépendant, non partisan et sans but lucratif qui prône l'intervention du privé pour solutionner des problèmes publics.

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  • Administrateur

Ottawa ouvre sa bourse pour Viaspacer.gifspacer.gifspacer.gifspacer.gifMise à jour le jeudi 11 octobre 2007, 12 h 17 .spacer.gifspacer.gif

 

051222via-rail_n.jpgLe gouvernement Harper semble décidé à combler quelque peu le manque de financement chronique qui affecte depuis des années Via Rail en entrouvrant sa bourse.

 

En effet, le ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, et son collègue des Finances, Jim Flaherty, seront présents à Toronto, cet après-midi pour annoncer l'injection de plusieurs centaines de millions de dollars dans le transporteur ferroviaire national.

 

Il n'a cependant pas été possible d'obtenir de détails quant aux montants précis qui seront déboursés par Ottawa, pas plus qu'il n'a été possible de connaître où seront affectées les dépenses.

 

Via, qui a souffert considérablement de l'annulation par le gouvernement libéral de Paul Martin d'un investissement de 700 millions de dollars promis par Jean Chrétien, doit actuellement composer avec des équipements vieillissants et une saturation de certaines de ses lignes les plus populaires.

 

Selon le président de Transport 2000, David Jeanes, plusieurs voitures et locomotives actuellement en service doivent être remises à niveau et modifiées afin de faire face à l'augmentation de la demande dans certains corridors, dont le populaire corridor Québec-Windsor.

 

Via devra aussi dépenser plus de 90 millions de dollars pour se conformer à un jugement récent de la Cour suprême lui ordonnant de modifier certains de ses véhicules pour les rendre accessibles aux voyageurs en fauteuil roulant.

 

Via Rail reçoit annuellement 170 millions de dollars du fédéral, une enveloppe qui n'a pas été modifiée depuis des années, et ce, en dépit de l'augmentation considérable du nombre de passagers.

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Je pense que c'est une bonne idée. Le Québec a trop de routes pour sa population. Et en plus, je ne vois pas pourquoi tous les contribuables devraient financer des routes, même ceux qui ne s'en servent pas.

 

Réduisons l'état à l'essentiel: Santé / Éducation / Justice. Le reste, le privé sait mieux comment s'en occuper (SAQ, routes, etc.)

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les routes sont essentielles, si on le compare au corps humain, ce sont les veines du Québec.

 

Le probleme avec les routes a péages, c'est qu'il faut qu'il existe une alternative gratuite pour amener au meme endroit. Les routes a peages comme la 407 en ontario, ou le florida turnpike sont de bons exemples, tu as le choix entre l'autoroute gratuite, souvent plus congestionnées et qui passent directement dans la ville, ou sinon tu as l'autoroute a peages, plus rapide, moins de traffic. Mais au moins tu as une alternative gratuite et une qui coute quelque chose.

 

Par exemple, la 13 ou la 40(dans le west island) a peage serait une bonne chose, car si tu veux pas payer tu as une alternative (la 15 et la 20 respectivement)

 

mais de rendre toutes les autoroutes a peage, ca serait juste une autre taxe supplementaire pour les automobilistes

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Le Journal de Montréal

11/10/2007

 

L'interdiction des camions lourds sur les ponts de Montréal aux heures de pointe sera abordée mardi prochain par le Comité interrégional du transport de marchandises (CITM).

Le maire de l'arrondissement de Rosemont- Petite-Patrie et président du CITM, André Lavallée, a indiqué que, contrairement à ce que croient la plupart des gens, plus de 80% des camions qui circulent sur l'île de Montréal ne s'y trouvent pas en transit mais bien «pour affaires».

 

M. Lavallée s'est toutefois montré ouvert à débattre, le 16 octobre, de la possibilité d'interdire la circulation de véhicules lourds «sur certaines voies et à certaines heures» et d'un réaménagement de l'horaire des aires de livraison et des camionneurs.

 

Au Comité sectoriel de main-d'oeuvre de l'industrie du transport routier, membre du CITM, le directeur général Claude Chouinard admet qu'«il y a peut-être certaines méthodes de livraison locale à revoir, peut-être des restrictions de grosseurs ou d'heures, des débarcadères de livraison à implanter».

 

Ceci dit, le problème d'engorgement se réglerait de lui-même si les deux voies de contournement - la 30 au sud et la 440 au nord- se concrétisaient enfin, estime-t-il.

 

Au ministère des Transports du Québec, le porte-parole Jean Armand rappelle que Montréal a perdu son statut de plaque tournante économique avec l'ouverture de la Voie maritime du Saint-Laurent.

 

«Faudrait peut-être y penser avant de poser des gestes qui pourraient avoir un effet similaire, conseille-t-il. Si on interdit aux camions d'entrer dans une ville, l'activité économique va se déplacer ailleurs.»

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