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On ‎2019‎-‎11‎-‎15 at 3:24 PM, andre md said:

Si au debut des années 1900 on a construit les premiers systeme de metro sous terrain avec des moyens tres limités de l'époque il doit y avoir de tres bonne raisons d'y aller en sous terrain. 

On oublie mais la construction en exterieur en hiver c est couteux et ca progresse moins vite.En sous terrain on peut continuer a travailler meme si il fait -30 celcius a l exterieur. 

 

Si on parle des premiers systèmes de métro comme New York et Chicago, c'était en aérien (avec des tronçons en sous-terrain)...  Les coûts en sous-terrain étaient prohibitifs même dans ce temps-là. 

Pour la construction l'hiver, une approche par voussoir minimise les troubles de construction, contrairement à la portion rive-sud du REM, en plus de nécessité de moins bien d'employés pour la construction et moins d'enjeux de ventilation en tunnel, de même que le temps bien plus long de construire le tunnel lui même...

On ‎2019‎-‎11‎-‎15 at 4:15 PM, Enalung said:

Londre, 1863, électrifié en 1890. Déjà, à cette époque, Londre était extrêmement congestionné. Il n'y avait pas de train qui traversait le cœur de Londre ce qui forçait les gens à s'arrêter à une gare en périphérie. Le Tube se veut donc en premier un moyen de permettre aux trains à vapeur de l'époque de se rendre au cœur de la ville. Ce n'est que plus tard qu'il se transformera pour prendre la forme qu'on connait aujourd'hui. Même aujourd'hui, le métro de Londre comporte plusieurs sections en tranchée ouverte cachée derrière des bâtiments, héritage de ses débuts en tant que train à vapeur. Ce train deviendra populaire très rapidement et tout aussi congestionné que les rues de Londre. Cet engouement pour ce nouveau service génère d'autres investissements. Une part importante du système de Londre a été construit grace à des investissements privé.

J'aimerais ici ouvrir une parenthèse rapide sur un sujet qui a été largement débattue sur ce forum. Pour tout ceux qui argumentent que le REM est un métro, comme le souligne l'historique de la genèse du système de métro, il faut comprendre que le métro est un système qui a premièrement été imaginé en tant que prolongement du réseau de trains de l'époque. Dire que le REM est un train est donc techniquement correct.

Au fait là dessus je vais être puriste, ce sont des rames automotrices pour le REM et non pas un train, ça m'irrite quand des gens appelle les rames de métro un train.

Train : La locomotive et l'ensemble des voitures (wagons) qu'elle entraîne.

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Le 2019-11-19 à 07:29, p_xavier a dit :

Si on parle des premiers systèmes de métro comme New York et Chicago, c'était en aérien (avec des tronçons en sous-terrain)...  Les coûts en sous-terrain étaient prohibitifs même dans ce temps-là. 

 

Londres, Paris, Berlin, Madrid , Buenos Aires on des metros anciens en grande majorité sous terrains. L exception serait Chicago qui est en aerien en grande partie. 

Il y a des raisons qui fait que l on a construit en sous terrains. Meme si ca coute plus chers. Je crois que avec la technologie du tunnelier  on a un moyen de reduire les couts. 

J ose pas imaginer Montreal avec un metro aerien en plein quartier urbain.

 

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Il y a 6 heures, p_xavier a dit :

On risque de le voir très bientôt!  Ce n'est vraiment pas intrusif à Vancouver, ça fait même plus urbain même si certains trouvent le contraire.

Creuser un tunnel ne coûte pas cher en soi, c'est le reste dont les expropriations, les stations, les sorties mi-tunnel, les sous-stations, la ventilation., . Juste à regarder le REM qui a minimisé les expropriations.  Je ne sais pas comment l'Espagne gère les coûts de d'expropriation.

L'idée serait de réserver des axes pour du futur transport collectif lourd pour construire en surface lors du développement des villes. Montréal a la chance d'avoir des axes de libre, par exemple sur Notre-Dame.

 

Contrairement a montreal. Les stations de metro a madrid et barcelona et buenos aires n'ont pas d edicule. Ce ne sont que des escaliers a meme le trottoir qui appartient a la municipalité.  On a rajouté a meme le trottoir des ascenceurs pour acceder a de vieille stations de metro.

Alors questions expropriations ce n est pas un probleme.  J'aj vu a certains endroits des ventilation de metro a meme la rue avec des grillages a Madrid. C'est la meme chose a new york

Pour ce qui est du sous-sols meme,  je ne sais pas si il existe un droit de propriété.  

Faut quand meme souligné que des villes comme Bilbao (345 000)  et Palma de mallorca (405 000) ont aussi des metros sousterrains et ce ne sont pas des villes tres populeuse non plus.  

 

 

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  • 2 semaines plus tard...

Je ne sais pas si c'est juste moi, mais je trouve qu'une pétition de près de 1000 noms (en moins d'une semaine) n'est pas très "menaçant" pour le gouvernement du Québec et peu représentatif du bassin de la population qui pourrait être desservi par cette ligne... 🤔

Mais j'avoue que les gens ont (probablement) commencé à déchanter sur la possibilité que cette ligne, annoncée en 2017 par Projet Montréal, puisse voir le jour tel quel et au coût de 6 G$. :greedy:

Journal Métro  |  Montréal  |  03:30  |  11 décembre 2019  |  Par:  Henri Ouellette Vézina, Métro

Une nouvelle offensive citoyenne pour la ligne rose à Montréal

iStock-1087916094-e1576000760471.jpg?w=8Photo: Archives Métro  |  À Montréal, la mairesse Valérie Plante demande davantage d’investissements dans la mobilité depuis son entrée en pouvoir.

Une nouvelle offensive citoyenne est lancée en faveur de la ligne rose. Une pétition déposée à l’Assemblée nationale la semaine dernière somme le gouvernement Legault de financer «l’entièreté du tracé» demandé par l’administration Plante, soit 29 stations de métro entre Montréal-Nord et Lachine.

Près d’un millier de personnes ont signé la pétition en question en six jours seulement. La députée solidaire dans Mercier, Ruba Ghazal, parraine la démarche.

«Oui, il y a déjà un engagement pour le tronçon ouest de la ligne rose, mais ce n’est pas assez, explique-t-elle à Métro. Avec la ligne orange qui est déjà à pleine capacité et le prolongement de la ligne bleue qui amènera encore plus de pression, il suffit d’une panne pour que ça devienne terrible. La classe sardine, ce n’est pas juste une image. C’est une réalité.»

Elle condamne le retard important que le Québec a pris en matière de transport collectif. «On ne peut plus faire un projet aux 20 ans. Il va falloir accélérer le rythme. C’est ce que veulent les citoyens», insiste-t-elle.

Mme Ghazal dénonce par ailleurs que le Plan québécois des infrastructures (PQI) ne fasse étonnamment peu de place à la mobilité. «L’argent, on essaie clairement de le mettre ailleurs, dit Ruba Ghazal. Si on regroupe les investissements dans les routes et le transport collectif, on voit que la CAQ investit 70% dans le premier, et seulement 30% dans le second. Il faut inverser cela», tonne-t-elle.

«Ce qu’il faut changer, c’est dans le cerveau du gouvernement. Il faut réfléchir différemment, moderniser nos vieux paradigmes, bref sortir des années 80 et 90.» -Ruba Ghazal, députée de Mercier

Une ligne rose pour l’urgence climatique

Fin septembre, Québec solidaire faisait adopter à l’unanimité une déclaration de l’urgence climatique à l’Assemblée nationale, obligeant en théorie le gouvernement à «harmoniser l’ensemble de ses choix politiques avec cette situation de crise».

«Il faut réduire l’usage des autos solo. Plusieurs automobilistes ne veulent pas nécessairement utiliser leurs voitures. Ils veulent le mode de déplacement le plus efficace, sauf qu’en ce moment, notre transport en commun ne répond pas à leurs attentes», martèle Mme Ghazal.

L’ancienne femme d’affaires illustre son point en pointant vers les usagers de la ligne Deux-Montagnes, qui sont nombreux «à devoir prendre leur voiture» devant le manque de fiabilité dans les services.

«Oui, on part de loin, car il y a un rattrapage à faire, mais c’est d’abord et avant tout de la volonté politique», conclut-elle.

Les libéraux à bord?

Lors de la dernière campagne électorale, les libéraux de Justin Trudeau se sont engagés à investir 3 G$ supplémentaires, chaque année, dans les projets de transport collectif dans le Grand Montréal. Cela inclut évidemment le Réseau express métropolitain (REM), le prolongement de la ligne bleue, mais aussi la ligne rose.

«C’est la première fois en cinquante ans qu’il y a autant d’argent sur la table en transport en commun», avait entre autres lâché la ministre Mélanie Joly.

«La ligne rose va pouvoir décongestionner la ligne orange, mais il y a d’autres projets qu’on veut soutenir. Notamment, le prolongement de la ligne orange au nord, vers la gare Bois-Franc», avait constaté celle qui est aujourd’hui ministre du Développement économique.

D’après les estimations de Projet Montréal, en campagne électorale, le projet de ligne rose coûterait environ 6 G$ dans son ensemble. Un montant qui est toutefois remis en question par plusieurs, dont la Commission de transport de Toronto (CTT).

https://journalmetro.com/actualites/montreal/2405433/une-nouvelle-offensive-citoyenne-pour-la-ligne-rose-a-montreal/

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  • 4 semaines plus tard...

Aucune annonce prévue à court (voire moyen...) terme, mais le fédéral ne ferme pas la porte à un potentiel financement.

On ne verra probablement pas la couleur de cette nouvelle ligne de sitôt.  Oups, c'est vrai... elle sera "Rose". :rotfl:

 

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https://montrealgazette.com/news/local-news/ottawa-montreal-on-same-wavelength-on-infrastructure

Ottawa open to considering Pink Line, McKenna tells Plante

The federal Infrastructure met privately with Mayor Valérie Plante on Thursday to discuss Montreal's infrastructure needs

MARIAN SCOTT, MONTREAL GAZETTE 
Updated: January 9, 2020

 

The friendly hug Mayor Valérie Plante and federal Infrastructure Minister Catherine McKenna shared after their joint press conference at city hall on Thursday said it all.

Although McKenna made no firm commitments on future projects like Plante’s proposed Pink Line, it was clear the mayor and the minister were of one mind on the need for massive investment in public transportation and other climate-friendly initiatives.

“We’re absolutely committed to public transportation and we recognize that the métro is critically important,” McKenna said to reporters after meeting privately with Plante to discuss Montreal’s infrastructure needs.

The former Environment minister said her new portfolio was an opportunity to apply lessons learned on sustainability to much needed investments in transit, housing and other urban needs, noting, “we’re building the future economy, we’re building the future cities, we’re building the future communities.”

McKenna said she would be open to considering the proposed Pink Line as soon as Montreal was ready to submit a detailed proposal.

“We’re happy to consider any project. We don’t have a business case for this project, but we’re committed to working with the partners,” she said, noting that negotiations would include both the city and the Quebec government.

The minister said the first thing she learned in the meeting was that no new métro stops have been built on the island of Montreal in 20 years.

She said she has seen the lineups at Berri-UQÀM for the northbound Orange Line first-hand.

“I know how much pressure there is on the métro,” she said.

Plante lauded McKenna for getting the need to entice more Montrealers to use transit instead of private cars by extending and improving service.

“What I’m happy with is that I know that I have a minister and a government that understand. They are sensitive to the reality of Montrealers,” she said.

Plante said she talked to McKenna about the Pink Line, offering to change its name as long as it provides relief from overcrowding on the Orange Line between Berri-UQÀM and Laval.

“I said to the minister that for me, the colour of the line isn’t important. What I care about the most is to find solutions to take the pressure off the spine of the métro,” she said.

They also discussed future purchases of electric buses, the upcoming Blue Line extension, the possibility of extending the western branch of the Orange Line northward, the REM and the future east-end tramway, as well as housing and the Grand Parc de l’Ouest, she said.

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  • 3 semaines plus tard...

 

Le terme «ligne rose» a disparu

L’organisme qui planifie les transports dans le grand Montréal a retiré ces mots de son vocabulaire

Le parti de la mairesse Valérie Plante, Projet Montréal, a lancé l’idée d’une ligne de métro reliant Montréal-Nord et Lachine, en 2017.

La ligne rose de métro souhaitée par la mairesse de Montréal, Valérie Plante, a-t-elle été reléguée aux oubliettes ? Le terme « ligne rose » a été retiré des documents officiels de planification, a constaté notre Bureau d’enquête. 

Les acteurs concernés assurent que ce changement de vocabulaire ne signifie pas la mise au rancart du projet. 

Le programme des immobilisations (PDI) 2020-2029 de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) n’a pas encore été rendu public, mais nous avons pu en consulter une version qui a été approuvée par les élus de la région en décembre. 

Dans ce document, l’étude « Pour un mode structurant dans l’axe de la ligne rose » a été remplacée par une étude « Pour un projet de décongestion de la ligne orange et de la station Berri-UQAM et de la progression de l’offre ». 

Notons que les mots « mode structurant », qui sont synonymes d’un système de transport en commun lourd comme une ligne de métro, de train ou de tramway, ont disparu. 

Un projet qui évolue 

La ligne rose a surtout été mise de l’avant par Valérie Plante en campagne électorale, en 2017. Elle consistait à l’époque en une ligne de métro reliant Montréal-Nord et Lachine en passant par le centre-ville. 

Depuis, le gouvernement du Québec a décidé d’étudier un projet de tramway entre Lachine et le centre-ville. 

Ce faisant, le projet de métro a évolué vers une ligne reliant le nord-est de l’île et le centre-ville. 

L’ARTM, via son porte-parole Simon Charbonneau, assure que ce tronçon de métro est toujours évalué, bien que les changements de vocabulaire laissent entrevoir un projet moins ambitieux. 

« Les études en cours sur la décongestion de la ligne orange servent justement à documenter les solutions possibles, incluant un mode de transport structurant dans l’axe de la ligne rose », indique-t-il. 

Même son de cloche du côté du cabinet de la mairesse Plante. 

« Nous n’avons aucun indice que la ligne rose a cessé d’être étudiée », affirme le porte-parole Youssef Amane. 

Changement de gouvernement 

Ces changements de vocabulaire concordent avec l’arrivée d’un nouveau gouvernement à Québec. 

C’est le Parti libéral du Québec de Philippe Couillard qui avait annoncé le lancement d’une étude « dans l’axe de la ligne rose », en juillet 2018. 

Depuis, la Coalition avenir Québec (CAQ) a pris le pouvoir, et a exprimé de nombreuses réserves sur ce projet. 

« La ligne rose de métro, tel que ç’a été présenté initialement, nous ne sommes pas en faveur », a notamment déclaré la ministre déléguée aux Transports et responsable de la Métropole, Chantal Rouleau. 

Le discours politique s’est depuis axé sur le désengorgement de la ligne orange.  

En mai, le ministre des Transports, François Bonnardel, indiquait que la ligne rose serait étudiée si l’Autorité régionale de transport métropolitain la jugeait nécessaire pour désengorger la ligne orange. 

C’est quelques jours plus tard que la nouvelle étude a été annoncée. 

Il y a deux semaines, la mairesse Plante a mentionné aux côtés de la ministre fédérale des Infrastructures, Catherine McKenna, que « ce qui compte, c’est de trouver une solution pour enlever de la pression sur la ligne orange ». 

LE TRAMWAY À L’ÉTUDE 

Le projet de tramway reliant Lachine au centre-ville, présenté par Valérie Plante comme le « premier tronçon de la ligne rose », est maintenant étudié par l’Autorité régionale de transport métropolitain. Québec a décidé d’inscrire ce projet dans son budget quand l’administration Plante a accepté de transférer une enveloppe fédérale de 800 M$ à la Ville de Québec pour financer le projet de tramway dans la Vieille Capitale

 

 

https://www.journaldemontreal.com/2020/01/29/le-terme-ligne-rose-a-disparu

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