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qwerty

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Tout ce qui a été posté par qwerty

  1. C'est tellement loser comme commentaire... Surtout quand montreal est dans un boom ommobilier comme celui-ci.
  2. Le PQ a fait beaucoup pour les entreprises dans le passe. Par contre le PQ actuel n'est pas le PQ de 1994-2003... En fait il ne reste pas grand deputes de valeur dans ce parti et Pauline M. prend vraiment les gens pour des caves... A ceci s'ajoute les debats internes sur la separation qui va revenir (tout le monde se tait en attendant les elections dans le but de passer). Apres l'election on va revoir ca apparaitre et si le PQ est au pouvoir, tout le RoC pourra se foutre de nous en voyant qu'on a elu un parti separatiste qui ne sait meme pas si il veut vraiment la souverainete (ou juste la promouvoir sans aller plus loin) avec un chef qui parle meme pas anglais...
  3. Dude: Montreal is doing better and better. This is not as bad as you depict it. The cost of living is pretty low in Quebec, which acts as an offset to higher taxes. I am not saying this is the best combination but since the last 5 years things are getting better, its important to build on this.
  4. Sure. 1- I don't think we're growing slower than Ontario (only slower than RoC that is driven up by oil producing provinces). 2- Our public deficit is lower (excl. the infrasrtuctre investment) 3- Unemployement rate is about the same Not sure why you say we are less competitive... My point was that we should not hammer ourselves based on a Conference Board article, I just showed you one above from this same "Conference Board" that says the complete opposite. Have you read it?
  5. Arretez d'avoir une vue a court terme. Montreal est sur la pente ascendante, peu importe ce qu'en dit RoC. Il y aura des bumps et on ne fera pas aussi bien que l'Alberta pour la prochaine decennie, mais on devrait etre aligne a l'Ontario (sinon meilleur a mon avis). Quand on rapporte que le PIB du Quebec croit plus lentement que RoC, il faudrait avoir un chiffre "RoC excluding Alberta" pour avoir une comparaison realiste...
  6. Arretez donc de vous tirer dessus et lisez donc ceci. L'article plus bas explique plus ou moins pourquoi on est passe au travers la crise sans trop de probleme mais que l'on n'a pas le rebound observe ailleurs au Canada. Et l'article a ete publie par ce meme "Conference Board of Canada" qui a ecrit l'article de Jesseps plus haut... Conference Board: les exportations québécoises vont redécoller Propulsées par les industries minière et aérospatiale, les exportations québécoises connaîtront sous peu la reprise longtemps souhaitée, progressant de 4,2 % cette année et de 5 % en 2013. C'est du moins ce que prévoit le Conference Board du Canada. Selon une analyse publiée aujourd'hui, la forte croissance de l’industrie minière sera le principal moteur de cette reprise. La production minière devrait enregistrer des hausses annuelles d’au moins 10 % en 2012 et en 2013. Quant à l’industrie aérospatiale, l’autre grande industrie qui contribuera à accroître les exportations québécoises, l'organisme de recherche canadien mise sur la livraison des premiers avions C-Series de Bombardier vers la fin de 2013. Bombardier a reçu 138 commandes fermes pour ces avions de clients comme Lufthansa et Korean Air. Par ailleurs, l’investissement public réel chutera annuellement de plus de 6 % en 2012 et en 2013, à cause de la réduction des dépenses d’infrastructure fédérales et provinciales. Après avoir atteint un sommet en 2011, ces dépenses diminueront puisque l’impulsion donnée par le Plan d’action économique fédéral est en train de s’estomper. En ce qui concerne l’investissement du secteur privé, il sera réduit par la diminution des mises en chantier de logements en 2012 et en 2013. Selon le Conference Board toujours, les dépenses de consommation n’afficheront qu’une hausse de 1,5 % cette année. Cependant, les perspectives s’améliorent pour 2013 : les dépenses de consommation augmenteront de 2,5 %, parallèlement à une accélération de la reprise économique au Canada et à un accroissement du revenu des particuliers. Brillant avenir de l’industrie pharmaceutique Le produit intérieur brut (PIB) du Québec progressera de tout juste 1,4 % en 2012, un peu en deça de la croissance de 1,7 % enregistrée en 2011. Mais contrairement à l’ensemble du Québec, le PIB de Montréal augmentera à 1,7 % en 2012, comparativement à 1,5 % en 2011. En moyenne, le PIB montréalais a progressé de 2,1 % au cours des 20 dernières années. Toutefois, la croissance du PIB devrait dépasser cette moyenne en 2013 et les années subséquentes. Le secteur manufacturier de Montréal a connu une expansion pour une deuxième année consécutive en 2011, un changement bénéfique à la suite de quatre années de déclin. Une autre année de croissance est anticipée en 2012, même si elle se limitera à 2 %. Les meilleures nouvelles viennent de l’industrie aérospatiale, dont Bombardier, où des efforts importants sont déployés pour commercialiser sa gamme d'avions C-Series. Entre-temps, le fabricant de simulateurs de vols CAE a décroché trois commandes militaires depuis septembre, dont la valeur totalise 325 millions de dollars, notamment un contrat de 100 millions de dollars avec l’armée canadienne. Enfin, malgré l’annonce plus tôt cette année de fermetures par les sociétés AstraZeneca, Johnson & Johnson et Sanofi-aventis, le Conference Board insiste sur le brillant avenir de l’industrie pharmaceutique, grâce au démarrage de plus petites sociétés qui absorberont les risques liés au développement de nouveaux médicaments. Le gouvernement du Québec et le secteur privé envisageraient un financement conjoint de 40 millions de dollars pour accroître une expertise locale en « médication personnalisée».
  7. Le 1er avril, la Thaïlande va octroyer une hausse spectaculaire du salaire minimum aux travailleurs des sept provinces les plus riches du pays, dont Bangkok. Conformément à une promesse faite durant la dernière campagne électorale, le gouvernement a décrété que le salaire journalier de base grimpera de 40% pour atteindre 300 bahts, soit environ 10$ CAN. Loin d'être un cas isolé, cette décision des Thaïlandais s'inscrit dans un mouvement qui se généralise en Asie. Des planchers salariaux ont été instaurés ou le seront bientôt en Indonésie, en Malaisie et aux Philippines. D'ailleurs, les autorités de ces pays poussent ouvertement les entreprises à augmenter la rémunération globale et, du coup, le pouvoir d'achat des ouvriers. Évidemment, les employeurs visés ont sorti leur vieux boulier pour calculer l'impact sur leurs coûts de production. Et plusieurs s'arrachent les cheveux. À Kuala Lumpur, la Fédération des employeurs malaisiens soutenait, il y a quelques jours, que 200 000 PME du pays pourraient ne pas survivre à la mise en place, au printemps prochain, d'un salaire minimum mensuel variant, selon les régions, de 800 ringgits (270$CAN) à 1000 ringgits (320$CAN). N'en déplaise aux patrons, cette vague est aussi irréversible qu'un tsunami. Même la très libérale Hong Kong va implanter, à partir du mois de mai, un plancher pour les salaires. «Désormais, dans la région [asiatique], seule Singapour n'en dispose pas», note John Ritchotte, un expert de l'Organisation internationale du travail (ILO). Or, pour cet économiste qui commentait la situation récemment sur le web, cette poussée des salaires touchera l'ensemble de la population de la région. La Chine mène le bal D'où vient cette soudaine générosité envers la main- d'oeuvre asiatique, pourtant réputée malléable? De la Chine principalement, où le mouvement à la hausse des salaires est déjà bien amorcé et inspire les travailleurs du continent. Alors que le salaire moyen annuel dans l'empire du Milieu équivalait à 1050$ US, au début des années 2000, il se situait à 5500$US en 2010, selon la banque française Crédit Agricole. D'autres sources laissent croire qu'il frôlerait maintenant les 6200$US. Et ça grimpe toujours. Selon les experts, deux grands facteurs gonflent les salaires chinois. D'une part, l'offre et la demande: les employeurs chinois ont de plus en plus de problèmes à recruter du personnel, selon des rapports financiers, si bien que les travailleurs disponibles veulent plus d'argent. D'autre part, les pressions ouvrières se multiplient alors que les jeunes travailleurs, non rompus à l'idéologie maoïste de leurs parents, refusent les conditions de travail inadéquates. Les soulèvements des employés de l'équipementier électronique Foxconn et du fabricant de voitures japonaises Honda, notamment, ont été bien documentés en Occident l'an dernier. Or, la colère ne se limite pas à la Chine. Le mois dernier, le Cambodge a été ébranlé par un rassemblement d'ouvriers qui réclamaient de meilleures conditions de travail, manifestation qui a dégénéré et fait plusieurs blessés. Une usine travaillant pour le géant Puma a été touchée par les incidents. L'équipementier sportif allemand a compris le message. Il y a quelques jours, le patron de Puma, Franz Koch, s'est dit prêt à «prendre l'initiative» de discussions pour augmenter les salaires des employés de la compagnie dans toute la région asiatique. Quelque 90% de la production de Puma provient d'Asie. Ses concurrents Adidas et Nike sont tout aussi dépendants de la main-d'oeuvre asiatique. Vite les valises? Pour le moment, rien n'indique que les investisseurs et les entreprises étrangères songent à quitter massivement l'Asie dans ce contexte. Toutefois, certains commencent à revoir leur présence: le fabricant américain de sacs Coach a récemment indiqué qu'il réduira la part de sa production en Chine de 85% à moins de 50%. Des groupes transfèrent aussi des activités à faible valeur ajoutée, comme le textile et le vêtement, au Vietnam ou au Bangladesh où les salaires sont toujours inférieurs. Reste que l'infrastructure industrielle chinoise demeure imposante et peut compenser les hausses salariales par une productivité accrue, affirment des analystes. Mais on comprend mieux pourquoi le premier ministre chinois Wen Jiabao a lancé un vibrant appel, le mois dernier, en faveur d'une révision complète du modèle économique de son pays. Désormais, deux avenues s'imposent: une hausse de la consommation domestique et une montée en gamme de la production. Les travailleurs ont livré un message clair: l'Asie doit changer.
  8. This is good news. The guy is a Wall Street pro and brings very good expertise to Mtl financial sector. This fund will manage International, US & Canadian money (vs just Canadian). La Presse Publié le 24 mars 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Au cours des huit dernières années, François Trahan a été désigné cinq fois le meilleur stratège boursier de Wall Street et trois fois le second par le magazine Institutional Investor, la bible du capital. Même s'il continue de gérer sa firme newyorkaise Wolfe Trahan & Co, le stratège va lancer le 2 avril prochain son premier «hedge fund» international, le Fonds Opportunités Trahan qui sera administré par sa nouvelle firme montréalaise Gestion de Capital Trahan. Le Fonds Opportunités Trahan destiné exclusivement aux investisseurs canadiens sera dupliqué en deux fonds miroirs, le Trahan hedge Opportunitys (THO) inscrit à New York pour le marché américain et un autre THO enregistré aux Îles Caïman et destiné aux investisseurs internationaux. «On n'a pas enregistré notre fonds aux Îles Caïman dans le but de permettre aux investisseurs de profiter d'un paradis fiscal. Ça n'a rien à voir. Les caisses de retraite aux Etats-Unis peuvent profiter d'un crédit d'impôt si elles investissent aux Îles. «C'est aussi le seul moyen qu'on avait pour offrir notre fonds à nos clients du Japon, de l'Australie ou de Hong Kong», insiste François Trahan, dans ses nouveaux bureaux du centre-ville de Montréal où il a installé sa nouvelle boîte Gestion de Capital Trahan. Cela fait plusieurs années que François Trahan est sollicité par les démarcheurs du Centre financier international de Montréal pour qu'il vienne s'installer dans la ville où il a obtenu son diplôme en Finances aux HEC. Même le premier ministre Charest lui a fait du genou lors d'un coktail à New York... Mais ce n'est pas pour ces raisons que la star de Wall Street a décidé de revenir chez lui. Après 12 ans à New York, il a décidé au printemps d'installer sa famille à Montréal pour se rapprocher de son père qui était gravement malade. Une semaine sur deux, il retourne à Manhattan pour superviser avec son associé les activités de sa boîte Wolfe Trahan qui compte maintenant 50 employés. «Je voulais lancer mon propre «hedge fund» et j'ai décidé de le faire à Montréal, sans en parler à personne», m'explique le spécialiste boursier. Avec le recul, il estime qu'il aurait mieux valu utiliser ses contacts parce qu'il a trouvé très laborieuses les démarches pour s'enregistrer auprès de l'Autorité des marchés financiers (voir autre texte). Collé à l'économie Comme tous les fonds alternatifs, le Fonds Opportunités Trahan sera offert exclusivement aux investisseurs aguerris, c'est-à-dire aux particuliers qui ont au moins 1 million en actifs financiers et aux investisseurs institutionnels qui utilisent ce type de placement pour réduire le risque de leur exposition aux marchés. «Notre but est de produire à chaque année un rendement positif, peu importe le comportement des marchés. Quand la bourse recule de 40% et que mon courtier me dit que je m'en tire bien avec des pertes de 30%, ce n'est pas vrai que je m'en tire bien. J'ai quand même perdu 30%», explique François Trahan. Il existe quelques fonds alternatifs gérés de Montréal mais leurs actifs sous gestion sont inférieurs à 100 millions. François Trahan anticipe que son fonds génèrera des actifs sous gestion de 1,1 milliard. «C'est le maximum que l'on peut aller chercher. À 1,1 milliard, on peut liquider nos positions en deux jours sans affecter la valeur des titres de notre portefeuille. C'est la norme qu'on a fixée. S'il y a encore de la demande on pourra lancer un fonds Opportunités 2», résume-t-il. La composition du portefeuille de ce fonds sera faite par François Trahan qui s'inspire depuis toujours de la macro-économie pour réaliser ses choix d'actifs. «Je privilégie la spécialité du portefeuille en me basant sur l'analyse quantitative. Je cherche les meilleurs actifs en tenant compte des mouvements de l'économie», explique-t-il. Deux exilés de retour Pour le lancement de sa firme montréalaise, François Trahan s'est associé à Marlyn Bilodeau, une spécialiste de l'investissement qui a longtemps oeuvré elle aussi à New York. Elle a été notamment gestionnaire de risque chez l'assureur AXA et responsable du développement de produits chez Credit Suisse Assets Management. «On a un parcours similaire. Je suis marié à une Américaine et nous avons trois enfants. Marlyn est mariée à un Américain et a trois enfants. On est revenu tous les deux à Montréal en juin dernier à une semaine d'intervalle, sans que l'on se consulte. C'est en lui envoyant un courriel durant l'été que j'ai appris qu'elle était elle aussi de retour au pays», relate avec amusement François Trahan. Marlyn Bilodeau sera président de Gestion de Capital Trahan et François Trahan, Chef des placements. «J'ai trois associés américains dans le financement de la firme mais tout le capital de départ (seed money) du Fonds Opportunités Trahan sera mon argent à moi. J'investi beaucoup d'argent dans ce nouveau fonds», souligne le stratège boursier.
  9. CBJ a raison. On est surrepresenter dans des industries mourantes. C'est aussi en partie pourquoi on a fait pire que le RoC dans la derniere decennie (industrie du bois entre autres). C'est maintenant faux de dire que la Chine a un avantage concurentiel comme avant sur les tavailleurs nord americains. J'etais a Beijing l'an dernier pour travailler sur un projet (qui n'a pas fonctionne malheureusement) et je peux vous dire qu'un ingenieur chinois gagne maintenant 40-50% de ce qu'un ingenieur quebecois / canadien peut faire et ca inclut tous les couts (salaire, fringe, related overhead). De plus la croissance des salaires en chine pour des emplois de haut niveau (ingenieur, etc.) croit entre 10-15% par an... C'est pire dans l'est du pays mais c'est aussi la que se trouve le plus gros de la base manufacturiere. Donc l'avanatge du bas cout ne tient plus vraiment. 1- D'une part la productivite quebecoise des travailleurs et des entreprises doit s'ameliorer (c'est deux choses differentes) 2- De l'autre on assiste probablement a une transformation structurelle de notre economie. 3- Enfin les syndicats vont devoir etre mis a leur place. Le cas Aveos semble etre un bon exemple ou Air Canada s'arrange pour se debarasser d'une masse d'emploi tres cher et outsourcer ces emplois ailleurs. le travail de maintenance doit etre fait, la question est a quel cout (et la Chine n'a rien a voir la dedans). Si Air Canada ne peut survivre sans diminuer ses couts de maintenance (fait par Aveos mais sous un contrat guarantissant un work flow minimum), alors le gouvernement du Canada / quebec ne pourra pas faire grand chose pour suaver les jobs de Aveos et les travailleurs vont probablement etre engager par d'autres firmes plus petites pour faire le meme job avec des conditions inferieures. Enfin je lisais hier que Babel (Video games) allait engager 200 nouveaux travailleurs d'ici l'automne a Mtl (Montreal Gazette). J'etais surtout tres surpris de voir que LaPresse, Argent ou autres medias n'en faisait meme pas mention. Je pense qu'on peut aussi mettre un bemol sur ce qu'on lit au travers nos medias locaux qui sont "legerement" sensationalistes...
  10. Dans le cadre du Forum sur le nouveau pont Champlain, l’Association de l’aluminium du Candaa a fait venir un expert mondial pour convaincre les gouvernements et le public qu’ils devraient considérer le métal blanc pour la nouvelle structure. Federico Mazzolani, professeur à l’Université Naples et responsable du comité européen normalisant les structures d’aluminium, et Alexandre de la Chevrotière, président de la firme québécoise MAADI Group, spécialisée en ingénierie de l’aluminium, ont répondu à nos questions. Les Affaires : Quels sont les avantages de l’aluminium? Federico Mazzolani : Il est plus léger, avec un poids représentant seulement le tiers de celui de l’acier. Ça le rend plus facile à transporter et à installer. Ça diminue aussi les coûts liés aux fondations puisqu’elles n’ont pas besoin d’être aussi imposantes. La résistance à la corrosion réduit aussi beaucoup les dépenses d’entretien. On n’a pas, par exemple, à le repeinturer. L’aluminium offre aussi plus de possibilités quant aux formes utilisées puisqu’il est extrudé. Ça donne beaucoup de liberté pour le design. Par comparaison l’acier est laminé, donc rigide. Malheureusement, les ingénieurs ne connaissent pas tous ces propriétés. L.A. : Mais est-il aussi solide? On a l’impression que l’aluminium est un métal mou. F.M. : Les aliages d’aluminium peuvent donner une résistance équivalente à celle de l’acier. Il n’y a pas de problème de résistance. D’ailleurs, l’aluminium est utilisé dans nombre de structures en Europe, que ce soit des portiques de signalisation près des autoroute, des antennes paraboliques et d’éclairage, ou des ponts sur rivières. L.A. : Quelles parties du pont Champlain souhaitez-vous voir construite en aluminium? F.M. : Le tablier, soit la partie où circulent les voitures, pourrait sûrement être en aluminium.Alexandre de la Chevrotière : D’autres parties aussi pourraient être faites en aluminium. Tous les systèmes de garde-fou, les portiques de signalisation, les tours d’éclairage et les passerelles (piétonnes ou cyclables). L.A. : Est-ce que les piliers pourraient être en aluminium? F.M. Non. Les piliers demandent des matériaux de plus grande dimension, donc plus rigides. L.A. : On craint déjà le coût de construction du Pont Champlain. L’aluminium est plus cher que l’acier, non? A.C. : Nous avons récemment réalisé une étude avec Deloitte où les coûts d’un pont piétonnier en acier étaient comparés à ceux d’un point piétonnier en aluminium. Au moment de la construction, l’aluminium coûte 15 à 20 % plus cher. Par contre, l’aluminium est moins cher à transporter et à installer puisque qu’il nécessite des grues moins fortes. Il nécessite aussi des fondations moins coûteuses et demande moins d’entretien. Donc, quand on regarde l’ensemble du cycle de vie, le choix de l’aluminium se compare très bien à celui de l’acier. L’aluminium peut même être moins cher sur 50 ans. L.A. : Il n’y a qu’un pont routier au Québec, celui d’Arvida (au Saguenay). La province dispose-t-elle de l’expertise nécessaire? A.C. : Oui, il y a la capacité au Québec de réaliser un ouvrage de génie civil en aluminium. Avec 139 entreprises certifiées en soudage de l’aluminium, nous sommes la deuxième province en terme de transformation de l’aluminium, après l’Ontario. En plus, le nouveau code des ponts routiers au Canada compte un nouveau chapitre sur les modules en aluminium, ce qui ouvre beaucoup de portes.
  11. Est ce qu'il y a un ou deux projets sur ce site? Sur le coin De la montagne RL, il semble y avoir ce projet et sur le site de la queue de chavel, il semble y avoir une tour de 37 etages... est ce le meme projet?
  12. Ceci dit, tout le monde a le droit a son opinion. La seule chose est qu'il faut aussi etre capable de l'assumer dans la realite de tous les jours. Le pouvons nous? Dans l'incertitude, la meilleure solution est de garder le silence et d'y reflechir.
  13. D'accord. Mais faut comprendre qu'il y a en marre de ces gens qui s'imagine que notre gouvernement a des moyens illimites. Le gouvernement n'a aucun moyen. Les fonds qu'il obtient sont payes par des gens qui paie de l'impot, surtout des particuliers. Combien de gens au Quebec font dans les 6 chiffres, pas tant que ca. C'est pourtant eux qui paie une bonne part des recettes de ce gouvernement qui ensuite repaie a tous des services. On est tous d'accord avec ce choix de societe. Ce sont eux l;es vrais contributeurs a ce style de vie que l'on appelle des choix de societe. Ce sont aussi des gens tres mobiles qui peuvent aller vivre n'importe ou dans le monde... Surtout quand trop c'est trop. Je suis pres financer les etudes d'autres gens si j'ai les moyens. Par contre il y a une limite a tout ca. Et quand la limite est franchit qu'est ce qui se passe? Ben tu demenage aux US ou ROC, a contre coeur mais quand meme. Une fois que c'est fait il reste qui pour payer des impots et donner des services??? Une gang de $%#@!!! qui se disent en coeur: hey bien fait pour eux qu'il s'en aille ailleurs on n'a pas besoin d'eux... et la dette grimpe et grimpe et grimpe et tout va toujours bien selon nos politiciens, syndicats etc. C'est juste d'avoir un peu de bon sens et de voir comme les choses telle qu'elles le sont, avant foncer dans le mur...
  14. Ben sincerement ca ne me fais pas grand chose. Si tu comprends pas comment ca finance ce genre d'infrastructure c'est toi qui vit dans une bulle. Les ponts et routes payants sont le seul moyen de diminuer les couts d'infrastructures dans le budget de la province. Evidement en tant qu'etudiant tu dois te dire que le gouvernement a un budget illimite et qu'il n'est qu'un sale exploiteur. Ca a l'air tellement cool quand tu dis ca autour d'une table avec trois pichets de biere a moitie vide, pis que tu tappes fort sur la table quand tu parles (ca a presque l'air mechant). Comme je te disais dans l'autre tread, fini ton diplome et interesse toi donc un peu plus a l'economie en general et au finance publique. J'imagine que ca pourrait eclairer ton opinion.
  15. Ben non, "Faire du sens" est une expression francisee. Et il y a tout plein de gens qui l'utilise comme moi. Donc je voudrais profiter de l'occasion pour integrer officiellement cette expression a la langue franciase. J'ai envoye un courriel a Petit Larousse et ils vont la publier dans la prochaine version du dictionnaire, surveilles bien la parution, tu verras... Pour le batiment, c'est vrai qu'il y a d'autres espaces autour mais garder ca debout n'amene rien de special. Il y a des gens qui se sont cree des jobs a declarer des immeubles patrimoniaux et a les proteger... moi je trouve que c'est rien d'incroyable dsl.
  16. Qu'est ce que tu veux faire avec cette cochonnerie la. Qu'est ce qu'il y a de particulier avec ce batiment? C'est une location super, tu lever des condos / bureaux, c'est ce qui fait le plus de sens.
  17. Bof. Si c'est la seule facon de faire un pont, faisons le... Ca va vraiment inciter les gens a prendre le transport en commun.
  18. qwerty

    Bell : actualités

    C'est tres ambigue. Mais ce mouvement entre Mtl et TO prevaut depuis 30-40 ans. A l'epoque de Jean Monty (il y a dix ans), BCE etait beaucoup plus Montrealais. M. Sabia a contribue a l'exode vers TO a ma connaissance. M. Cope est tres bien a TO aussi. Esperons que le prochain CEO sera Montrealais / francophone...
  19. qwerty

    Bell : actualités

    Oui ca peut faire peur pour les sieges sociaux. Par contre si Astral continue d'etre gere comme une filiale, le siege demeurera a Mtl et les activites reliees aussi. Faut comprendre que c'est un processus auquel on n'echappe pas.
  20. qwerty

    Griffix - 20 étages (2013)

    Est ce que le rendu ci haut est final ou on peut s'attendre a des modifications?
  21. Nortel a implose parce que les revenue etaient surevalue et ca les a rattrapes. En d'autres mots, c'est la compagnie au complet qui etait pourrie. SNC a des projets partout dans le monde et ceux relie a la Lybie sont probablement une infime partie de leur backlog. Je crois qu'on s'emporte un peu.
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