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qwerty

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Tout ce qui a été posté par qwerty

  1. Je ne doute pas qu'il y ait quelques choses de mauvais derriere ca. Ce qui faut comprendre c'est que les marches regardent le bottom line. Les "choses" politiques peuvent donner une mauvaise reputation a la compagnie, mais ce n'est pas necessairement lie a la performance financiere. Ceci dit, ils vont peut etre prendre un hit cette annee. Attendons pour voir...
  2. Ils ont pris des charges additionnelles en Q4/2011 et ont tout meme annonce un benefice pour l'annee ~$300M (vs ~$400M anticipe). SNC genere + de $7B revenus avec + de $800M EBITDA par annee. C'est pas une bonne nouvelle mais ils vont passer par dessus. On en saura plus tres bientot (deux prochains trimestres) sur le details de leur exposure financier et des paiements additionnels. Ils ne vont pas laisser trainer l'affaires. Ils ont interet a expliquer rapidement aux marches ce qui s'est passe.
  3. Malheureux pour les squeegees qui y ont elu domicile en ete. Je crois que je vais devoir m'opposer a cette demolition. Je vais aussi en parallele demarrer une fondation qui financera des logis au centre ville (bien sur) pour ces gens sans ambition qui tette notre systeme... Allons serieusement, tout un shit hole cet endroit, comment quelqu'un de sense peut il vouloir defendre sa demolition?
  4. Est ce moi ou on disait il y a peu de temps qu'un development de 50 etages etait possible sur le Centre Bell? Ca laisse place a beaucoup de possibilites.
  5. http://www.trensquebec.qc.ca/ Selon une étude récente de l'IREC, les coûts de construction du monorail entre Montréal et Québec seraient d'environ 12 M$ du kilomètre. Pour tous les autres prolongements à travers le Québec, par exemple entre Montréal et Sherbrooke, ou Québec et Rimouski, les coûts seraient moindres, à 9 M$ le kilomètre. C'est 3 à 4 fois moins cher qu'un TGV qui coûterait au bas mot 35 M$ du kilomètre, sinon beaucoup plus. Toutes ces données se trouvent --ici-- Voir chapitres 5 et 6 du rapport de l'IREC (Institut de recherche en économie contemporaine) OR, LES COÛTS PEU ÉLEVÉS DU MONORAIL S'EXPLIQUENT FACILEMENT. D’abord, parce qu’aucun changement majeur n’est requis au sol, ce qui constitue généralement plus de 50% des coûts de construction d’une voie ferrée. Des sommes faramineuses doivent être investies pour aménager les assises de la voie qui peuvent se rendre jusqu'à plusieurs mètres de profondeur pour éviter le gel au sol et assurer sa stabilité. En plus, un train rapide comme le TGV exige, dans certains cas, des ponts, des viaducs et des tunnels pour assurer sa liberté de passage, et une direction à niveau autant que possible, et en ligne droite, ce qui coupe le territoire en deux, en exigeant l'achat de terres privées. Tous ces facteurs augmentent considérablement les coûts de construction d'un TGV qui sont déjà extrêmement élevés à la base, faisant en sorte qu'un TGV ne serait jamais rentable entre Québec et Montréal. Ce serait plutôt un gouffre financier. Le monorail, par contre, évite tous ces embarras et ces coûts excessifs, d’autant plus que les pièces nécessaires à la construction de l’infrastructure peuvent être fabriquées en usine, 12 mois par année, en utilisant des procédés robotisés, permettant de contrôler les coûts. En outre, l’acier est abondant au Québec, tout comme les usines de transformation, de fabrication et d’assemblage de structures d’acier. Le Québec est déjà un important joueur dans ce domaine, ce qui garantit au TrensQuébec un coût minimal de construction. Par comparaison, une autoroute à deux voies coûte en moyenne de 6 à 20 M$ du kilomètre, et parfois beaucoup plus, en raison des échangeurs, des viaducs et autres variables. On estime qu'un nouvel autoroute entre Québec et Montréal coûterait environ deux milliards$ et demi, en plus de l'entretien l'été et le déneigement l'hiver. Le montant investi présentement par Transports Québec dans la construction et l'entretien des routes se situe autour de trois milliards$ par année. C'est donc dire que le monorail sera peu coûteux pour le Québec, et rentable à la longue, puisqu'il équivaut à la construction d'une autoroute qui durera plus de 100 ans, avec peu d'entretien, tout en réduisant le nombre de voitures et de camions sur nos routes. De plus, l'hiver, le TGV ne pourra jamais garantir son horaire, en raison des tempêtes et du déneigement des voies, alors que le monorail ne connaîtra aucun retard étant donné que les rails sont surélevés, recouverts d'un chapeau en métal et à l'abri de toutes les intempéries. Les véhicules Quant au prix des véhicules du TrensQuébec, chaque unité de transport pour passagers coûterait environ deux à trois million$. Par comparaison, le squelette d’un Nova Bus, sans aménagement intérieur, coûte environ 500 000$. Pour le monorail, l'habitacle sera plus aérodynamique en raison de la vitesse, quelques pieds plus large et un tiers plus long. À cela s’ajouterait les moteur-roues et le système électrique. Chaque véhicule, fait d’acier ou d’aluminium, pourrait donc durer cinquante ans et l’infrastructure plus de cent ans. Les seuls changements nécessaires aux véhicules pour passagers concernent l’aménagement intérieur. Par exemple, des unités pourraient être aménagées pour permettre à 30 fonctionnaires ou gens d’affaires de tenir une réunion autour d’une longue table pendant le voyage d'une heure entre Québec et Montréal.
  6. Guys, there is potential for new condo construction. Period. Whether this is CF or another guy, who cares? 40 stories is not bad and this could be a market test for CF. Lots a of companies have suffered in Mtl. They are slow to come back. Let it go and lets keep buying condos...
  7. Il y a encore beaucoup de potentiel au CV. Avant tu louais un appart a Mtl et ensuite tu achetais une maison en banlieu Maintenant le concept de condo / vie urbaine est vraiment en train d'emerger. En plus, le flux d'emigrants a Montreal est largement positif depuis au moins 4-5 annees. On assiste a une transformation de Montreal.
  8. Solutions: Augmentons la hauteur du Mont Royal, il reste juste a trouver un endroit ou creuser et transporter la terre sur la montagne...
  9. Come on... Certains projets ont pris beaucoup plus de temps a se vendre. Un line up durant la nuit n'est pas la norme comme dit Gilbert et ca ne veut absolument pas dire que le projet n'ira pas de l'avant. Si les gens ont le choix, les beaux projets, bien cibles, iront de l'avant alors que les autres planteront, ce qui est tres bien comme ca. Arretez donc de pensez negatif a la moindre occasion...
  10. Ca va meubler un stationnement. Ce sera plus un filler qu'un building emblamatique. Quoique ca pourrait etre pas si mal. Quelqu'un sait quand on verra des rendus?
  11. La SAQ vend un terrain derrière son siège social Hugo Joncas . les affaires.com . 02-02-2012 (modifié le 02-02-2012 à 15:24) La Société des alcools du Québec vient de vendre son grand terrain au pied du pont Jacques-Cartier, derrière son siège social, la vieille prison du Pied-du-Courant. Un groupe d'investisseurs mené par Michael Bertone et Jacques Cyr ont payé un peu plus de trois millions de dollars pour les deux lots, totalisant 87 000 pieds carrés. Les acheteurs ont donc déboursé environ 35 $ le pied carré pour ce terrain, contaminé par l'ancien entrepôt de peinture qui s'y est déjà trouvé, selon la Société des alcools (SAQ). Joint dans les bureaux de son entreprise immobilière Sicam, Michael Bertone n'a voulu donner aucuns détails sur ses intentions. «Pour l'instant, c'est juste une acquisition de terrain», dit-il. Il détenait déjà environ 80% du quadrilatère où se trouve le terrain. Son partenaire, Jacques Cyr, est lui-même associé à Salim Lakhdari. Cet homme d'affaires était à la tête d'un autre projet planifié sur ce terrain, en partenariat avec la SAQ, abandonné en 2005. Il prévoyait la construction de 1 200 logements, d'un centre commercial et d'un stationnement de 900 places, sur deux étages. Les constructeurs devaient aussi construire un immeuble de bureaux pour la société d'État, avec sa plus grande succursale au Québec au rez-de-chaussée. D'une hauteur de sept ou huit étages, l'immeuble devait coûter 34 millions à la SAQ. Michael Bertone refuse de dire s'il compte s'inspirer de cet ancien projet. À la société d'État, la porte-parole Isabelle Merizzi assure que la SAQ ne sera pas impliquée. La détention d'immeubles n'est plus dans ses plans. «Nous avons vendu le terrain parce que nous ne voulions pas être un frein au développement du quartier», dit-elle. La société d'État a procédé à la vente de gré à gré, sans appel d'offres, après avoir été approchée par l'acquéreur. Selon Isabelle Merizzi, le prix obtenu a été fixé en fonction d'une «évaluation indépendante» préalable. Elle a cependant refusé d'en dévoiler les résultats. Chez Altus, le directeur principal, services d'évaluation, précise que la contamination d'un terrain peut diminuer grandement la valeur d'un lot. «Dans certains cas, elle peut être nulle», dit Yves Godin.
  12. can't believe this will be built downtown
  13. d'accord avec toi que Mtl a ete affecte par la composition de son economie. Le vetement a fait mal mais le bois d'oeuvre aussi - Plusieurs grandes entreprises ont du se restructurer ou meme deposer leur bilan ou fusionner a cause de la chute de prix dans la derniere decenie (Abitibi, Tembec, Domtar, etc.). Les nouveaux secteurs que l'on voit emerger sont de tres bonne augure.
  14. Pas d'accord: - Le taux d'impot est assez bas pour les compagnies (competitif au Canada et mieux que dans beaucoup d'etats americains), c'est ce qui compte pour attirer des entreprises et generer des emplois et de la croissance. - Il y a des incitatifs fiscaux ou autres pour les entreprises qui sont plus qu'interessant (R&D biotech, R&D aerospatiale, IT, Jeux video, etc.) et qui positionne le Qc comme un chef de file dans des domaine de pointe. - Le Plan Nord qui est en marche et qui attire deja les investisseurs va amener de l'activite supplementaires. - Mtl est un incontournable pour ce qui est du capital de risque. - Les sieges sociaux ne se vide pas. On vit la mondialisation des marches (ici comme ailleurs) mais il n'y a pas de migration de siege sociaux pour des raisons politiques par exemple (annees 70-80). - Les talents bougent, c'est vrai ici, c'est vrai ailleurs. Il y a beaucoup de gens (eduques et avec des moyens) qui emigrent au Qc parce que les conditions y sont meilleurs que dans leur pays d'origine. Le Qc (et surtout Mtl) recoit son plein quota d'immigrant: Si Qc acceptait de lever la limite de ~50-55,000 immigrants par annee, il y en aurait probablement plus, donc il y a de la demande. Ce que tu viens de dire date des annees 90 ou avant... Tu devrais retinir que: - Le concept de la competitivite est tres large et les moyens pour le mesurer aussi sont tres larges et plus ou moins precis... - Le calcul de la dette est fait differement entre le Quebec et les provinces canadiennes, malgre que ca semble echapper aux gens qui font des commentaires la dessus. - Le niveau de vie ou ce que tu as pour ce que tu gagne est un facteur majeur a mon avis dans le desir de s'etablir a un endroit (pas necessairement le taux d'impot) et Mtl fait tres bien sur ce plan. C'est vrai qu'il y a encore des gens qui ont peur de venir a Mtl a cause du francais. On va pas changer de langue pour leur faire plaisir, c'est comme ca ici on parle d'abord francais puis anglais. Ce n'est pas une tendance aussi forte qu'avant. Et on peut tres bien vivre tout en anglais a Mtl. Je vit a Mtl. J'ai vecu a Londres (1 an), Toronto (>1 an) et Beijing (>6 mois). Je ne vivrais pas ailleurs qu'ici base sur mes experiences.
  15. C'est clair, rien de nouveau. Mais a ce rythme la (1M pi2 / annee) il semble y avoir une demande solide qui supporte le marche des edifice a bureaux. Ceci augure bien pour le futur (disons les 5 prochaines annees). Ca prend un locateur pour declencher une premiere construction mais a 6.6% on y arrive bientot c'est inevitable.
  16. (Montréal) Hausse des loyers, baisse du taux d'inoccupation, locataires à la recherche de nouveaux locaux: la tendance actuelle laisse entrevoir le lancement de projets d'immeubles de bureaux à Montréal en 2012. > Suivez Maxime Bergeron sur Twitter «Ce n'est pas trop optimiste de dire qu'il y aura une ou deux tours lancées en 2012», fait valoir Brett Miller, vice-président de la firme immobilière CB Richard Ellis pour l'est du Canada. PricewaterhouseCoopers entrevoit aussi une activité accrue cette année. Dans son plus récent rapport, la firme estime que «deux à trois» projets mixtes - comprenant des bureaux, des résidences et des commerces - pourraient démarrer cette année dans la métropole. Kevric a mis fin en 2011 à une décennie sans aucune construction privée au centre-ville de Montréal. Le promoteur a lancé l'Altoria, une tour mixte de 35 étages qui comprendra 230 000 pieds carrés de bureaux, située juste en face du square Victoria. Plusieurs autres groupes ont des projets prêts à démarrer aux quatre coins du centre-ville. Ils attendent simplement de louer de grands blocs d'espace avant de démarrer les travaux. Or, SNC-Lavalin, Rio Tinto, Deloitte et VIA Rail sont tous à la recherche de vastes locaux, «ce qui laisse présager un début d'année occupé», indique CBRE dans son plus récent rapport. Une année solide L'année 2011 a été très favorable pour les propriétaires d'immeubles de bureaux montréalais. Le taux d'inoccupation a chuté de 8,1% à 6,6% au centre-ville et de 9,6% à 8,3% dans l'ensemble de la métropole, selon les données de CBRE. «On a eu de l'absorption positive de 1 million de pieds carrés, ce qui en fait une des meilleures années qu'on n'a jamais connues», note Brett Miller. M. Miller s'attend à des hausses de loyer de 1$ à 2$ le pied carré en 2012 dans la métropole. Cette augmentation réduira l'écart entre le coût de location dans une construction neuve et le coût dans un gratte-ciel existant, militant d'autant plus pour le lancement de nouveaux projets, observe-t-il.
  17. Are we sure this is the design proposed? So why botter about the old design... One thing I would like is to have 1 common base with 2 towers, not 2 towers with their base. Also this was supposed to be a private clinic as far as I remember. Is it still the case or we're now looking at condo / condo-hotel?
  18. Il est assez riche et il a plusieurs entreprises (il vaut plus que le $9M de profit qu'il a fait avec ses terrains), je sais pas s'il planifie faire une partie de la mise de fond, mais de toute facon ca prendra des institutions et beaucoup de dette a long terme. Il doit bien se marrer a voir toute les commentaires que ses projets generent ici...
  19. Yep. Huge deception for this one... However let's look at projects one by one. If the reason why they are building so low is because they don't want to share the building, there is noting to do with demand here so that should not have an impact on other projects generally speaking.
  20. L'offre a ete annoncee il y aquelques semaines. Par contre je n'avais pas realiser que Cominar mettait la main sur la Gare centrale... Cominar émet pour 125 millions de dollars de nouvelles unités. Le plus grand fonds de placement immobilier du Québec et plus grand propriétaire commercial de la province met 5 734 000 nouvelles parts en circulation. Le produit de l'émission d'unités servira à réduire sa dette issue du crédit courant et à «financer le programme d'acquisition et de développement continu de Cominar», selon le communiqué émis par le fonds de placement immobilier (FPI). La société de Québec a lancé le 2 décembre une offre d'achat non sollicitée du FPI montréalais Canmarc, l'ancien FPI Homburg. Au comptant, Cominar propose 838,2 millions de dollars pour Canmarc, notamment propriétaire de la Gare centrale, à Montréal, soit 15,30 $ par unité au moment de la proposition. Cominar offre aussi d'échanger 0,7054 unité de son titre contre une unité de Canmarc, jusqu'à concurrence de 16 millions d'unités de Cominar échangées. Quelques jours avant, le 28 novembre, Cominar avait déjà augmenté ses parts dans Canmarc à 15,1 %, en achetant 3,1 millions d'unités. Le FPI de Québec est ainsi devenu le deuxième plus grand actionnaire de Canmarc.
  21. Il lance Grinffintown. Il a encaisse la valeur de son terrain a Boucherville. Il a deja reussit a faire de l'argent avec quelques autres business (dont l'immobilier). Son "hit rate" est pas si mal... Son projet de tunnel semble stretch, mais s'il en vient a construire en hauteur, peut etre pas 60 etages mais plus de 20 comme on on voit presentement, vous allez tous lui lancer des fleurs. Again, never say never...
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