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  1. LA RECHERCHE Vers une taxe sur le kilométrage Mathieu Perreault - La Presse 08 juillet 2009 | 05 h 00 Photo Ève Guillemette, Le Nouvelliste - Agrandir Les ventes de véhicules neufs restent faibles et ceux qu trouvent preneurs consomment de moins en moins à la pompe. Les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt selon le kilométrage et le poids des véhicules. Depuis que le prix de l'essence a connu un pic, l'an dernier, les ventes de véhicules restent faibles aux États-Unis et au Canada. C'est une bonne nouvelle pour l'environnement et pour le portefeuille des automobilistes. Mais les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt le kilométrage. "Nous pensons que les gens utiliseront de plus en plus des véhicules consommant moins d'essence", indique Jim Whitty, du département des Transports de l'Oregon, le seul État qui ait mis ce concept à l'essai. "C'est très bien pour le climat. Mais le financement des routes dépend des taxes sur l'essence. Si l'on vend moins d'essence, ça voudra dire moins d'argent pour les réparations et la construction. Je ne suis pas sûr que les électeurs soucieux de l'environnement veuillent nécessairement des routes moins bien entretenues." L'avantage d'une taxe sur le kilométrage est qu'elle n'a pas besoin d'être ajustée pour compenser les améliorations de la consommation d'essence du parc automobile. "Augmenter le taux de la taxe sur l'essence est un suicide politique, dit M. Whitty. C'est impossible. Mais la réalité, c'est que les voitures de l'avenir consommeront beaucoup moins d'essence, et que certaines n'en consommeront pas du tout. Déjà, on voit que la technologie hybride se répand sur beaucoup de modèles, parfois sans même avoir été publicisée." L'essai routier qu'a concocté M. Whitty incluait 300 automobiles, qui étaient suivies pendant un an grâce à une borne installée dans le véhicule. Les données de la borne pouvaient être téléchargées sans fil quand la voiture s'arrêtait dans une station de collecte de données. Un jour, ces stations de collecte de données pourraient être installées dans les postes d'essence. Le coût était de 200$US par véhicule. Mais si tous les véhicules de l'État étaient enregistrés, il baisserait à 100$, selon M. Whitty. Taxation en fonction de l'usure "L'avantage d'une taxation au kilomètre, c'est qu'on pourrait ajuster son taux en fonction de l'usure réelle causée par chaque automobiliste, dit l'ingénieur. Les véhicules plus lourds, comme les fourgonnettes et les véhicules utilitaires sport, endommagent plus les routes que les compactes. Mais en ce moment, on ne peut pas les pénaliser, parce qu'on ignore s'ils sont plus ou moins utilisés que les véhicules plus légers; un VUS utilisé seulement les fins de semaine aurait par exemple un impact similaire à celui d'une petite voiture qui servirait tous les jours. On pourrait vraiment passer à un principe d'utilisateur-payeur. Et ça favoriserait encore plus les petites voitures, qui consomment généralement moins, du moins pour les gens faisant beaucoup de kilométrage." Il s'agirait en quelque sorte d'une généralisation du principe du péage électronique. L'Oregon, qui a "inventé" la taxe sur l'essence en 1919, n'a pas décidé si la deuxième phase du projet, qui prévoit la mise au point d'un système fonctionnel, irait de l'avant. "Notre Congrès ne se réunit qu'une fois tous les deux ans, dit M. Whitty. Notre rapport a été complété à la fin de 2007, et le Congrès n'a commencé sa session qu'à la fin de janvier dernier." Il faudrait 10 millions US pour éliminer certains bogues lors de la deuxième phase, en plus des 2,9 millions déjà dépensés durant la première phase, qui était gérée par des ingénieurs de l'Université de l'Iowa. ******** Led: Ce qui est intéressant c'est que la consommation urbaine d'essence est plus grande en ville sur une plus courte distance ce qui encouragerait théoriquement les véhicules plus urbain à rester en ville tout en limitant leurs déplacements même s'ils consomment moins. Ça encourage le transport en commun, décourage l'étallement urbain (rapprochement des centres) et limite l'utilisation peu importe la consommation. La reglementation sur la consommation d'essence devrait s'appliquer au constructeurs et la reglementation sur les distances au utilisateurs... Peut-être que cela va nous aider à améliorer les routes là ou elles en ont besoin (Montréal) sans affecter necessairement les prix de transport de marchandises (réduction du prix de l'essence vs taxe sur le kilométrage). Qu'en pensez-vous?
  2. Pierre-André Normandin La Presse L'augmentation du nombre de décès de piétons sur les routes du Québec incite Montréal à maintenir l'interdiction du virage à droite au feu rouge, a indiqué le maire Denis Coderre. <!-- .excerpt --> La Société d'assurance automobile du Québec a présenté hier le bilan routier sur les routes de la province. Si le nombre de décès a globalement diminué l'an dernier, une hausse de 40 % a été observée chez les piétons. Le maire de Montréal estime que ce bilan peu reluisant met fin au débat lancé par certains maires de l'île pour permettre le virage à droite au feu rouge, comme ailleurs dans la province. « C'est clair qu'il n'y aura pas de virage à droite à Montréal. Ça met le couvercle », a indiqué Denis Coderre ce matin. Pas question de revenir sur cette décision, a-t-il ajouté. « Montréal reste ferme sur cette question. » http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201704/05/01-5085560-le-bilan-routier-scelle-le-sort-du-virage-a-droite-a-montreal.php<strike></strike>
  3. http://www.nytimes.com/2016/10/30/travel/montreal-green-alleyways-take-visitors-backstage.html?smid=fb-share&_r=1
  4. http://auto.lapresse.ca/technologies/201507/29/01-4888911-la-route-de-demain-prefabriquee-en-plastique-recycle.php Publié le 29 juillet 2015 à 09h46 | Mis à jour à 09h46 La route de demain: préfabriquée en plastique recyclé? Denis Arcand La Presse La route de demain sera faite de plastique recyclé et l'âge d'or de l'asphalte achève, prédit la société néerlandaise VolkerWessels, qui vient de rendre publique sa technologie PlasticRoad. VolkerWessels affirme que ses routes de plastique recyclé se construiraient et s'entretiendraient bien plus rapidement que les routes d'aujourd'hui. Les travaux routiers seraient plus courts: ils se mesureraient en semaines, pas en mois. Et ils seraient moins fréquents. La clef? La préfabrication en usine de segments modulaires et leur installation sur un simple lit de sable. Les routes de plastique dureront trois fois plus longtemps que nos voies asphaltées d'aujourd'hui, et ce, avec un entretien minime, affirme la compagnie. Comme une piste Scalextrix «L'idée est de mouler les segments pour qu'ils s'imbriquent les uns dans les autres. La largeur idéale est d'environ 3,5 m, soit la largeur d'une voie routière», a indiqué à La Presse Simon Jorritsma, conseiller développements nouveaux et techniques spéciales chez InfraLinq, la filiale asphalte de VolkerWessels. «On pourrait aussi faire des pistes cyclables», ajoute-t-il. Autre avantage, le concept PlasticRoad prévoit un espace creux toujours accessible où on pourrait faire passer le câble, les fils électriques alimentant les lampadaires et les feux de circulation, l'aqueduc, les tuyaux d'égout et d'eau de pluie et, un jour, l'infrastructure électronique permettant la conduite autonome des voitures de demain. L'asphalte est un excellent revêtement routier, mais les problèmes liés au pétrole et les besoins nouveaux auxquels font face les entrepreneurs exigent de nouvelles solutions, estime Simon Jorritsma. «Le plastique est une alternative durable très supérieure et ouvre la porte à toutes sortes d'autres innovations, comme la production d'électricité, le chauffage des routes, des surfaces de roulement moins bruyantes et la construction modulaire», écrit-il. Plastique recyclé à 100% «Notre intention est d'utiliser seulement du plastique recyclé», sans adjuvant d'hydrocarbures, a indiqué à La Presse M. Jorritsma, qui fait remarquer que 55% du plastique produit dans le monde est brûlé dans des incinérateurs. «C'est du gaspillage d'incinérer le plastique si on peut le réutiliser et lui donner un usage nouveau de haute qualité [...] pour faire des routes.» Dans une région comme le Québec, avec ses températures extrêmes, une route de plastique tiendrait-elle le coup? «La structure routière PlasticRoad n'est pas affectée par la température ni la corrosion; elle résiste facilement à des températures allant de -40 à 80 degrés Celsius», écrit M. Jorritsma. Épandage de sel Pour ce qui est du sel et du gel, VolkerWessels n'a pas encore de certitude: «Nous voulons développer un prototype avec les bons partenaires et faire des expériences et des tests», a-t-il indiqué à La Presse. Il ajoute que la société travaille sur un système de tuyaux permettant de stocker la chaleur solaire absorbée par la route, et de chauffer la route assez pour éviter le gel (et le sel) aux températures modérées. La PlasticRoad a un autre argument intéressant, compte tenu des scandales récents dans la construction au Québec: ce sera «beaucoup plus facile de vérifier la qualité de la route (rigidité, écoulement des eaux, etc.)». La question de l'adhérence, surtout au froid, est un élément majeur: «Premièrement, on va voir si on peut rendre antidérapant le plastique lui-même. Si ça ne marche pas, on pourrait intégrer du sable ou du gravier dans la surface de roulement», a indiqué M. Jorritsma. Et combien coûterait la Plastic Road? «À ce stade-ci, on ne peut pas encore parler du coût par kilomètre», a répondu M. Jorritsma. La ville de Rotterdam, aux Pays-Bas, a déjà signalé son intérêt à faire un projet-pilote sur ses rues urbaines. M. Jorritsma ajoute que plusieurs villes sont intéressées à participer à des projets-pilotes, dans plusieurs pays du monde.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/1377/accros-au-pmad-regardez-cette-vido-de-1967/ Si vous vous intéressez au PMAD (Plan métropolitain d’aménagement et de développement), qui doit être adopté aujourd’hui, vous devez absolument regarder cette vidéo de 1967. Elle a été mise en ligne récemment par les Archives de la Ville de Montréal. Vous verrez qu’on n’a rien inventé en 2011. Ça s’appelle Horizon 2000. On y parle de l’ancêtre du PMAD. À l’époque on appelait ça le Plan d’aménagement régional. Vous verrez que ceux (élus et urbanistes) qui se pètent actuellement les bretelles en prétendant avoir réinventé la roue avec le PMAD, ne font que remettre au goût du jour des vieilles recettes des années 1960, qui n’ont pour beaucoup jamais été complètement mises en application. En 1967, on disait déjà qu’il fallait développer le transport en commun (on prévoyait 160 km de métro) et éviter de construire trop d’autoroutes. On disait déjà qu’il fallait regrouper habitations, commerces, institutions et industries autour d’axes de transport (12’27 de la première vidéo). Alors, on se rend compte que ceux qui aujourd’hui se la jouent visionnaires avec leurs TOD (Transit Oriented Development – Développement axé sur le transport) n’ont rien inventé. En 1967, on prévoyait déjà que le développement anarchique des banlieues et la spéculation causeraient des problèmes. Et aussi qu’il fallait développer économiquement les banlieues pour éviter que tout le monde ne s’agglutine sur les routes et les métros pour aller travailler au centre-ville de Montréal. Est-ce qu’on y est arrivé? Là où les fonctionnaires de 1967 du service d’urbanisme de la Ville de Montréal se sont par contre royalement trompés, c’est qu’ils prévoyaient 7 millions d’habitants dans la métropole en l’an 2000. Ils se sont juste trompés de 3,5 millions… Oups! On n’ose même pas imaginer ce que ça donnerait sur les routes et dans les hôpitaux si on était effectivement sept millions aujourd’hui! Bon PMAD, on se reparle des résultats en 2055?!
  6. that's an interesting line and i agree that both of these areas could use better access to rapid transit. that said, you've probably already seen my take on it, as seen here in it's latest revision (!!!!) : the white line forking off of the green routes north of frontenac serves to irrigate the eastern end of the plateau area, connecting the nord-east of montreal-north & rdp through pie-ix. oh and wouldn't you know it, there is a subway+tram station just east of d'Iberville of course this doesn't do much for the western end of the plateau / mile-end district, but i do believe that both the parc avenue & st-joseph blvd tram routes proposed on my plan would more than bridge the gap between the different subway routes surrounding the area (and you can count 5 of them, which isn't bad at all). they'd also promote short distance commuting within those neighborhoods. rosey12387, got more routes? i'm always curious to see the works of others
  7. Des ponts. Des routes. Des écoles. Des hôpitaux. On le sait, la construction d'infrastructures sera au coeur du plan de relance économique du président Obama Pour en lire plus...
  8. Le commissaire aux Transports de l'Union européenne annonce la conclusion d'une entente qui lèvera les restrictions en vigueur sur les routes, les prix et le nombre de vols hebdomadaires entre le Canada et l'UE. Pour en lire plus...
  9. Le nombre de véhicules importés au Canada en provenance des États-Unis au cours du premier semestre de 2008 a plus que doublé par rapport à la période correspondante de 2007, pour s'établir à 151 169. Pour en lire plus...
  10. Genivar acquiert une société de conception et ingénierie, en Ontario Il y a 8 heures MONTREAL - Le société montréalaise de génie et de conseil Genivar a annoncé, mardi, qu'elle achète l'ontarienne Transenco, qui fait de la conception d'infrastructure, notamment pour les routes, les autoroutes, ponts et systèmes de transports publics. Genivar, qui est constituée en fonds de revenu, précise que Transenco a été fondée en 1994 et compte une vingtaine d'employés dans ses bureaux situés dans trois localités de l'Ontario; elle compte parmi ses clients le ministère provincial des Transports, des municipalités et des promoteurs. La direction de Genivar souligne que les besoins en infrastructures au Canada "sont très importants" car les gouvernements investissent beaucoup pour réhabiliter les routes et autres infrastructures. http://canadianpress.google.com/article/ALeqM5hrMraUFaGxvTw8PpbiwNLcpc4Nrw
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