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  1. Publié le 12 janvier 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Péréquation: le portrait a changé Joël-Denis Bellavance La Presse (Ottawa) Longtemps considéré comme la locomotive économique du pays, l'Ontario souffre plus que jamais. À un point tel que la province recevra un paiement de péréquation trois fois plus élevé en 2010-2011, un signe qu'elle a maintenant besoin de l'aide financière des autres régions du pays pour pouvoir se payer des services publics comparables. L'Ontario a empoché des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire en 2009-2010, soit 347 millions de dollars. En 2010-2011, ces paiements auront presque triplé pour atteindre 972 millions de dollars, a appris La Presse lundi. Le ministre des Finances, Jim Flaherty, a confirmé à ses homologues des provinces les sommes qu'Ottawa compte leur verser au cours du prochain exercice financier lors de la conférence des ministres des Finances qui a eu lieu à Whitehorse à la mi-décembre, a indiqué lundi Jack Aubry, porte-parole du ministère des Finances. En tout, les paiements de péréquation atteindront 14,4 milliards de dollars en 2010-2011. Comme c'est le cas depuis plusieurs années, le Québec obtiendra la part du lion de cette somme, soit 8,5 milliards de dollars - environ 200 millions de dollars de plus que lors du dernier exercice financier. Terre-Neuve, qui a longtemps été considérée comme une province pauvre au pays, ne touche plus de paiement de péréquation depuis l'an dernier, en raison de la hausse de ses revenus découlant de l'exploitation des réserves de pétrole du projet Hibernia. En 2007-2009, la province de Danny Williams avait touché 477 millions de dollars. En somme, l'Ontario a dorénavant remplacé Terre-Neuve dans la liste des six provinces les plus pauvres de la fédération canadienne. Les autres provinces qui reçoivent un coup de pouce financier d'Ottawa pour pouvoir s'offrir des services publics comparables à un taux d'imposition comparable aux autres régions sont le Manitoba (1,8 milliard), le Nouveau-Brunswick (1,581 milliard), la Nouvelle-Écosse (1,110 milliard) et l'Île-du-Prince-Édouard (330 millions). La Saskatchewan, l'Alberta et la Colombie-Britannique font partie du club des provinces plus riches avec Terre-Neuve. La faute au dollar «L'Ontario souffre énormément en ce moment. Et il souffre depuis très longtemps», a affirmé lundi Serge Coulombe, professeur de science économique à l'Université d'Ottawa qui s'est longuement penché sur la situation économique de cette province. Il explique que le boom des ressources naturelles dans l'Ouest a contribué à la hausse de la valeur du dollar canadien, ce qui a nui considérablement au secteur manufacturier qui exporte vers les États-Unis. «L'Ontario a été énormément touché par l'appréciation du dollar canadien. La forte croissance économique que nous avons eue au Canada entre 2002 et 2008 s'est faite au détriment de l'Ontario. Alors, quand la récession est arrivée en 2008, l'Ontario était déjà lourdement touché à cause de la force du dollar», a expliqué M. Coulombe. Il affirme que l'Ontario a perdu quelque 250 000 emplois dans le secteur manufacturier entre 2002 et 2008, soit avant même le début de la récession. Et l'un des secteurs qui ont été durement touchés est celui de l'automobile, concentré en Ontario. Déficit record En octobre, le ministre des Finances de l'Ontario, Dwight Duncan, a revu à la hausse le déficit de l'Ontario - un manque à gagner record de 24,7 milliards en 2009-2010. La cause : une chute brutale des revenus provenant des impôts des sociétés, privant le Trésor ontarien de 5,8 milliards de dollars. Huit mois auparavant, M. Duncan avait estimé le déficit à 14 milliards de dollars. «L'Ontario était la province canadienne qui comptait le plus sur le secteur manufacturier. En plus, elle est la province canadienne la plus tournée vers les États-Unis pour ses exportations. L'Ontario n'est donc plus la locomotive du développement économique du pays depuis 2002», a dit M. Coulombe. La crise qui frappe l'Ontario est telle que le gouvernement Harper a décidé de mettre en place l'an dernier une agence de diversification de l'économie du sud de la province. Cette agence, créée à la suite du dernier budget, dispose d'un milliard de dollars sur cinq ans pour soutenir cette région durement frappée par la crise économique. L'économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond, avait aussi prédit, dans un rapport publié en 2008, que l'Ontario perdrait sous peu son statut de province toute-puissante du pays. «L'Ontario n'est plus le roi tout puissant de l'économie», avait affirmé M. Drummond dans ce rapport qui avait fait beaucoup de bruit. L'an dernier, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, cachait mal sa gêne en confirmant que sa province recevrait des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire.
  2. L'entreprise met temporairement fin à ses opérations. Elle dit manquer de liquidité car des clients ne parviennent pas à effectuer leurs paiements. Pour en lire plus...
  3. La société de gestion du programme de fidélisation accélère le versement des paiements liés aux billets-primes d'Air Canada émis jusqu'au 29 mai prochain. Pour en lire plus...
  4. Pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation 28 novembre 2008 - 12h44 La Presse Canadienne SEPT-ILES _ Ottawa sabrera 1 milliard $ des paiements de péréquation versés à Québec, avec la complicité du gouvernement de Jean Charest qui savait mais n'a rien fait, selon la chef péquiste, Pauline Marois. Mme Marois s'est montrée outrée, vendredi, des pertes financières «catastrophiques» anticipées pour le Québec à la suite de la présentation, jeudi, de l'énoncé économique du gouvernement de Stephen Harper. En point de presse dans une usine de Sept-Iles, Mme Marois a tracé un lien direct entre le document fédéral et l'énoncé économique déposé par la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, la veille du déclenchement des élections québécoises. Selon elle, Québec savait ce qui se tramait à Ottawa mais a manipulé l'opinion publique, en présentant des données erronées à des fins partisanes. La ministre Jérôme-Forget et le premier ministre Charest ne pouvaient pas ignorer l'ampleur des coupes imposées au Québec au moment de rédiger leur propre énoncé budgétaire, a insisté la chef du Parti québécois. Jean Charest aurait hâté la tenue du scrutin, a-t-elle soutenu, pour cacher des mauvaises nouvelles à la population, dont celle-là. Le chef libéral n'a plus aucun rapport de forces vis-à-vis Ottawa, conclut-elle. http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2008/11/20081128-124423.html
  5. L'Ontario touchera des paiements de péréquation pour la première fois de son histoire l'an prochain, une situation que l'on jugeait impensable tant à Ottawa qu'à Toronto il y a à peine trois ans. Pour en lire plus...
  6. Le ministre des Finances Jim Flaherty ajuste la croissance des paiements de péréquation à la croissance économique, tandis que l'Ontario entre dans le club des provinces pauvres. Pour en lire plus...
  7. D'autres faillites d'entreprises et de défauts de paiements sont à prévoir cette année, voire au-delà, a indiqué Moody's mardi, selon qui cela va faire grimper le nombre d'accords avec les créanciers pour renégocier ces dettes. Pour en lire plus...
  8. Dans la foulée des faillites et des rachats provoqués à l'origine par la crise des paiements hypothécaires, la banque britannique Lloyds TSB avale sa rivale en difficulté HBOS. Pour en lire plus...
  9. De plus en plus de défauts de paiement Mise à jour le lundi 4 août 2008 à 14 h 49 RDI.ca Si la crise immobilière qui s'abat sur les États-Unis a heurté de plein fouet, dans un premier temps, les Américains au crédit le moins bon, il semblerait désormais que même ceux qui possèdent des hypothèques régulières sont menacés de défauts de paiements. En effet, le New York Times explique, dans son édition de lundi, que le pourcentage d'arrérages dans les paiements d'hypothèque dite de catégorie Alternative-A, un cran au-dessus des fameux prêts hypothécaires à haut risque (subprimes), a quadruplé en avril dernier par rapport à l'an dernier. Et on observe une tendance similaire au sein de la catégorie supérieure des hypothèques, qui représente une valeur globale supérieure à 12 000 milliards de dollars américains, les défauts de paiement doublant à 2,7 % en un an. Le mois dernier, le dirigeant de la banque JPMorgan Chase, James Dimon, laissait entendre que les pertes liées aux hypothèques régulières pour sa banque allaient probablement tripler au cours des prochains mois. Selon M. Dimon, une telle perspective ne peut être décrite qu'en employant le terme « terrible ».
  10. Avec les récents soubresauts de l'économie, l'acheteur d'une nouvelle propriété pourrait être tenté de verrouiller ses paiements en optant pour une hypothèque à taux fixe: est-ce une bonne idée? Pour en lire plus...
  11. Les quelque 40 000 clients résidentiels qui effectuent des paiements égaux subiront dès le mois prochain des augmentations de tarifs de 15 à 20%. Pour en lire plus...
  12. La patience est à bout Jeffrey Simpson http://www.cyberpresse.ca L’économie ontarienne a été frappée par une combinaison de facteurs que la Banque Toronto-Dominin a qualifiée de « tempête parfaite » : un huard fort qui fait mal aux manufacturiers, une industrie automobile en perte de vitesse, une concurrence accrue venue de l’étranger (de la Chine, particulièrement), et une flambée des prix énergétiques. Sans compter une immigration massive, concentrée à Toronto, qui tombe dans la pauvreté. (Photo The Globe and Mail) *** Personne au Québec (ou n’importe où ailleurs au Canada) n’a jamais versé une larme pour l’Ontario. Chaque Canadien s’entend sur une chose : l’Ontario est riche, opulent et la province contrôle directement ou indirectement l’économie et la politique canadiennes. Bay Street est synonyme de richesse, d’argent et de pouvoir. Il y a longtemps, Toronto a éclipsé Montréal et la ville est devenue le plus important centre économique du pays. La plupart des éléments de la capitale fédérale se trouvent à Ottawa, en Ontario. L’industrie automobile tourne en Ontario. C’est là que l’on retrouve également trois des cinq universités canadiennes les mieux cotées : Toronto, Western et Queen’s. (Les deux autres sont McGill et l’Université de la Colombie-Britannique.) L’Ontario est encore riche comparativement à la plupart des autres provinces, le Québec inclus. Et pourtant, l’Ontario pâtit. Lentement, sur de nombreuses années, les infrastructures de base de la province se sont détériorées. Au cours de la majeure partie des 20 dernières années, le gouvernement provincial a présenté un déficit. Récemment, l’économie ontarienne a été frappée par une combinaison de facteurs que, dans un récent rapport, la Banque Toronto-Dominion a qualifiée de « tempête parfaite ». Ces facteurs sont les suivants : un huard fort qui fait mal aux manufacturiers, une industrie automobile en perte de vitesse, une concurrence accrue venue de l’étranger (de la Chine, particulièrement), et une flambée des prix énergétiques. La Banque Toronto-Dominion aurait pu ajouter un autre facteur : une immigration massive qui ne marche plus bien parce que de trop nombreux immigrants tombent maintenant dans la pauvreté et y restent. Étant donné que Toronto accueille à elle seule 43% des immigrants au Canada chaque année, lorsque l’immigration ne marche pas, la ville, et par extension, la province, connaît des ennuis. Le Québec doit aussi composer avec une devise canadienne forte. La province doit également faire face à la concurrence internationale. Mais grâce à son abondante hydroélectricité, le Québec n’a pas à payer la facture de plus en plus salée que doit régler l’Ontario pour son électricité. Sa grande industrie manufacturière n’est pas aussi sensible à des prix de l’essence élevés comme c’est le cas pour l’industrie automobile en Ontario. Le Québec et l’Ontario sont en recul par rapport aux trois provinces de l’Ouest : la Colombie-Britannique, l’Alberta et la Saskatchewan. L’essor dans le domaine des produits de base (le pétrole, le gaz naturel, la potasse, l’uranium) alimente une excellence croissance économique dans ces provinces qui éclipse de loin ce que peuvent connaître le Québec ou l’Ontario. La croissance est particulièrement vive en Saskatchewan au moment où les prix des produits agricoles grimpent et où la demande de potasse croît. Différence fondamentale Il y a toutefois une différence fondamentale entre le Québec et l’Ontario. Le Québec continue de recevoir de forts paiements de péréquation de la part d’Ottawa, paiements financés en transférant de l’argent des contribuables de l’Ontario et des autres provinces riches. De plus, il existe des dizaines d’autres programmes fédéraux conçus pour transférer de l’argent des régions plus riches du Canada aux plus pauvres, l’exemple classique étant l’assurance emploi. Tant que l’économie ontarienne était vigoureuse, ni le gouvernement de l’Ontario ni les contribuables ne s’en faisaient trop à propos de tout l’argent transféré hors de la province. Les Ontariens étaient « canadiens » d’abord, « ontariens », ensuite. Ils souhaitaient un pays uni et ils savaient que leur province tirait parti d’être en mesure de vendre ses produits dans toutes les régions du Canada. Aujourd’hui, cependant, la patience est à bout. Le premier ministre Dalton McGuinty a repris à son compte, en les amplifiant, les plaintes des premiers ministres précédents à propos du traitement injuste. Et presque tout le monde dans la province a été sous le choc en apprenant que le rapport de la Banque Toronto-Dominion prévoit que si la tendance actuelle se poursuit, l’Ontario recevra des paiements de péréquation dans deux ans. L’Ontario recevant des paiements de péréquation ! Imaginez. La raison tient principalement à quelque chose que le Québec (et quelques autres provinces aussi) a demandé. Le Québec a demandé que les revenus de toutes les provinces soient pris en compte pour déterminer les paiements de péréquation et non pas ceux de cinq provinces seulement, comme c’était le cas auparavant. Un compromis est intervenu : on utiliserait les revenus de 10 provinces, mais en incluant seulement la moitié des revenus tirés de ressources non renouvelables (le pétrole). À la suite de la flambée des prix pétroliers, l’Alberta a tellement d’avance sur les autres provinces que même en incluant seulement la moitié de ses revenus pétroliers dans la formule de péréquation, il en résulterait que l’Ontario pourrait avoir droit à des paiements. L’absurdité ultime dans le fait que l’Ontario puisse recevoir des paiements de péréquation tient à ceci : les paiements viennent du gouvernement fédéral et ils sont versés aux gouvernements provinciaux, mais l’argent vient en partie de ce que versent les contribuables à Ottawa. Étant donné qu’Ottawa tire tellement d’argent des contribuables ontariens, une partie de l’argent que le gouvernement de l’Ontario pourrait recevoir dans le cadre du programme de péréquation viendrait des contribuables de la province même. La Banque Toronto-Dominion estime qu’environ 20 milliards par année vont des poches des contribuables ontariens vers d’autres régions du Canada. Ce qui enrage l’Ontario, c’est de voir cet argent prendre la direction de la Nouvelle-Écosse pour réduire les taux d’imposition des entreprises sous celui de l’Ontario, ou de voir cet argent aller au Québec pour financer des garderies à 7$ par jour ou des droits de scolarité les plus bas en Amérique du Nord, des politiques que l’Ontario n’a pas les moyens de se permettre. L’Ontario a été la poule aux oeufs d’or pendant longtemps au Canada et ne s’est jamais plaint. La poule maigrit en ce moment et elle commence à se plaindre. *** Jeffrey Simpson L’auteur est chroniqueur politique au Globe and Mail, à Toronto.
  13. Montréal: une plus grande part du budget pour se loger 4 juin 2008 - 11h09 Presse Canadienne Le ménage moyen de la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Les Canadiens payent davantage pour l'épicerie et l'essence ces jours-ci, et dans la région de Montréal il y a d'autres mauvaises nouvelles pour le compte en banque. En fait, les paiements de loyer ou d'hypothèque des Montréalais accaparent une plus large part du budget familial qu'au début de la décennie, révèle une nouvelle analyse des données du recensement sur les coûts d'habitation. Le coût médian d'habitation la région de Montréal était de 8 208 $ par année - ou 683 $ par mois - en 2006, a rapporté mercredi Statistique Canada dans un nouveau rapport sur les coûts de logement à travers le pays. Ces données indiquent aussi que le ménage moyen la région de Montréal a dépensé 18,6% de ses revenus pour les coûts d'habitation et de logement en 2006. Pour les propriétaires, ceci inclut les paiements hypothécaires, les taxes foncières, les frais de condo et les services publics; pour les locataires, les coûts tiennent compte des paiements de loyer et les services publics. Les données du précédent sondage de 2001 indiquaient que les ménages dans la région métropolitaine de Montréal avaient dépensé 18,1% de leur revenu pour les coûts d'habitation. Les locataires dans la région de Montréal en général dépensent proportionnellement plus de leurs revenus pour les coûts d'habitation que les propriétaires qui paient encore une hypothèque. Le locataire moyen doit engager 7 360 $ par année - ou 23,8% du revenu du ménage - pour les coûts d'habitation. Les propriétaires avec une hypothèque dans la région de Montréal ont dépensé un médian de 13 969 $ par année ou 18,9 pour cent de leur revenu pour l'habitation. Pour les propriétaires sans hypothèque, la proportion était beaucoup moindre - 8,5% pour un coût annuel de 5 198 $. Un total de 53,3% des ménages dans la région de Montréal sont propriétaires. Ceci est une augmentation par rapport à il y a cinq ans, alors qu'il était de 50,3%. Les propriétaires sans hypothèque représentent 20,3% des ménages dans la communauté. À travers le Canada, le coût médian de logement pour les propriétaires en 2006 était de 10 056 $ par année et pour les locataires, il était de 8 057 $. Au Québec, les propriétaires ont dépensé 8 619 $ et les locataires ont payé 6 788 $. Le ménage canadien moyen a dépensé 18,1% de son revenu annuel en habitation - ce qui signifie que les gens dans la région de Montréal ont environ les mêmes coûts de logement que le reste du pays. L'analyse publiée mercredi par Statistique Canada est basée sur les données du recensement recueillies il y a plus de deux ans. Le prochain resencement aura lieu en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080604/LAINFORMER/80604120/5891/LAINFORMER01
  14. Presse Canadienne 18/06/2007 La formule des PPP est décidément la voie à emprunter pour les Centres hospitaliers universitaires de Montréal, et ce pour des raisons de respect du budget, de l'échéancier et de bon entretien des édifices au fil des ans, conclut le ministre de la Santé Philippe Couillard. Le ministre de la Santé et des Services sociaux a ainsi confirmé, lundi, que la formule de partenariat public-privé pour les hôpitaux universitaires de Montréal, avec une large participation du secteur privé, était la voie choisie par le gouvernement, justement parce qu'il veut partager les risques avec le privé, vu l'ampleur des projets. La partie du Centre hospitalier de l'Université de Montréal qui sera réalisée en mode PPP comprend les unités de soins ambulatoires, les plateaux techniques, l'urgence, les nouvelles unités d'hospitalisation, l'enseignement, le Centre de recherche, le stationnement et la centrale thermique. La construction du CHUM devrait débuter en 2009 pour se terminer en 2013. La phase la plus intensive de la construction sera en 2011. Le budget global de construction des projets demeure à 3,6 milliards $. Le gouvernement pense toujours pouvoir s'en tirer avec des paiements plafonds de 850 millions $ pour le CHUM, 215 millions $ pour le Centre de recherche du CHUM et 1,12 milliard $ pour le Campus Glen (McGill). Ces paiements constitueront une sorte de loyer que versera le gouvernement, qui inclut non seulement les coûts de construction, mais aussi les coûts de conception, de financement et d'entretien des actifs pour une période de 35 ans. Ces chiffres ne sont toutefois pas définitifs; ils ne le seront que lors de la signataure de l'entente de partenariat.
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