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Pétrole: Chute du prix du baril

http://nouvelles.sympatico.msn.ca/abc/Grands_titres/ContentPosting_SRC_grands_titres.aspx?isfa=1&feedname=CBC_TOPSTORIES_V2_FR&showbyline=True&newsitemid=403566

 

(Source: Radio-Canada) Le prix du baril de pétrole a perdu plus de 6 $US en cours de séance, mardi, à la bourse de New York. À midi, il se négociait à près de 136 $US.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le prix du baril de pétrole brut a poursuivi mardi son recul amorcé la veille sur les marchés internationaux.

 

En milieu de journée, le baril de brut se négociait autour de 136 $US à New York, soit une baisse de près de 6 $US par rapport à la veille.

 

 

Selon des analystes, cette pause dans la flambée du prix du pétrole est surtout attribuable à la baisse des tensions entourant le programme nucléaire iranien.

 

Les investisseurs seraient apaisés par la décision de l'Iran, il y a quelques jours, de faire parvenir une réponse officielle à Javier Solana, le chef de la diplomatie de l'Union européenne, afin de résoudre la crise nucléaire.

 

En fin de semaine, le porte-parole du gouvernement iranien, Gholamhossein Elham, a également indiqué que l'Iran était prêt à négocier avec les grandes puissances, mais sans renoncer à ses « droits » à poursuivre son programme nucléaire.

 

Pendant ce temps, les marchés boursiers nord-américains ont repris un peu de vigueur au lendemain d'importants reculs. Lundi, le principal indice de la Bourse de Toronto, le TSX, a cédé près de 300 points, soit 2,12 % tandis qu'à New York, le Dow Jones chutait de 0,5 % et le Nasdaq de 0,9 %.

 

Mardi, en milieu de journée, les marchés demeuraient hésitants en dépit d'une remontée du Dow Jones de 0,34 % et du Nasdaq de 0,69 %. À Toronto, par contre, l'indice TSX a accusait un léger recul de 0,07 %.

 

Onde de choc sur les marchés européens et asiatiques

 

Après les bourses nord-américaines lundi, les Bourses asiatiques et européennes ont pour leur part dégringolé à leur tour, mardi.

 

Les investisseurs appréhendent de nouvelles difficultés pour les entreprises du secteur bancaire et craignent les conséquences du prix du baril de pétrole, notamment sur l'inflation.

 

La Bourse de Taïwan a clôturé la journée en baisse de près de 4 % pour toucher son plus bas niveau depuis novembre 2006. Les Bourses de Hong Kong et de Corée du Sud ont chuté d'environ 3 %, tandis que le Nikkei japonais a cédé 2,45 %.

 

La Bourse australienne a quant à elle perdu 1,4 % pour atteindre son plus bas niveau en près de deux ans. Les marchés indonésiens et indiens perdent aussi plus de 1 %.

 

La situation n'est guère plus rose en Europe. À Paris, le CAC40 a terminé la journée en baisse de 1,54 % tandis qu'à Londres, le Footsie clôturait avec un recul de 1,31 %. À Francfort, le DAX allemand n'a fait guère mieux en se repliant de 1,43 %.

 

Les titres des banques européennes, qui doivent bientôt publier leurs résultats financiers du dernier trimestre, ont été particulièrement touchés. Les investisseurs craignent de nouvelles pertes.

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Nissan knee deep in the electrictrification race

 

Posted Jul 9th 2008 5:03PM by Chris Shunk

Filed under: Hybrids/Alternative, Green, Nissan

Nissan CEO Carlos Ghosn has held to his belief that hybrids are not the answer to the fuel efficiency question. The Japanese automaker came out with a very capable Altima hybrid last year, but it was Toyota technology purchased to help Nissan look good in the short term. Nissan has been betting most of its R&D dollars on electric vehicles, and the fruit of its engineering labors will be first seen stateside in 2010. It's important to note that Nissan intends to launch the technology here in the States, which is significant because Japanese automakers typically launch new technology in their home market first before U.S. customers ever see it.

 

Nissan hasn't revealed much about the vehicle besides a 2010 release date, but we do know that the automaker is working to install charging stations in many urban parking garages and railway stations in the U.S. A robust EV charging infrastructure will quell critics' worries that electric vehicles' limited range will prevent the technology from becoming a mainstream answer for gasoline power. It'll be interesting to see if Nissan can surprise the car-buying public with a game-breaking EV before GM and Toyota can deliver the Volt and plug-in Prius.

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Hyundai readies Elantra LPI Hybrid for 2009 Korean launch

 

by Darren Murph, posted Jul 9th 2008 at 5:35PM

 

'Tis a shame we North Americans, Europeans, Australians, et al. won't be seeing the Elantra LPI Hybrid in 2009, but those in South Korea have a reason to celebrate. Hyundai is gearing up to launch the company's first LPG-electric hybrid vehicle next July, which also happens to be the planet's first hybrid vehicle to be "powered by liquid petroleum gas (LPG) and adopt advanced Lithium Polymer (Li–Poly) batteries." Said automobile will pack a 1.6-liter Liquefied Petroleum Injected (LPI) Gamma engine, a 15kW electric motor and a continuously variable transmission, and while the outfit isn't releasing hard mileage numbers just yet, the car should prove to be around 50% cheaper to operate than a gas-only Elantra (pictured). C'mon Hyundai, we know you've got plans to take this thing worldwide -- just let it out of the bag already.

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Et en Europe, la technologie Diesel dernier cri va permettre de couper les émissions et la consomation de 80 pc. Après les voitures, va falloir se tourner vers les vaches, grosses sources de gaz à effet de serre. No joke!

 

80%? J'en ai jamais entendu parler. T'as une source?

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http://argent.canoe.com/lca/infos/international/archives/2008/07/20080710-104026.html

 

Selon l'OPEP

Les réserves pétrolières seront suffisantes pour les décennies à venir

 

 

Associated Press

 

VIENNE _ Les besoins de la planète en énergie vont grimper de plus de 50 pour cent d'ici 2030 mais les réserves pétrolières et les nouvelles méthodes de récupération permettront de faire face à la demande, a déclaré jeudi l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP).

 

Dans son rapport sur les perspectives pétrolières mondiales 2008, l'OPEP suggère également que des décennies de bas prix ont mené au sous-investissement, préparant mal l'industrie à satisfaire la demande accrue de brut générée par la forte croissance économique.

 

«Les prix bas» ont été «mauvais pour l'industrie pétrolière» et «sur le plus long terme, ils ont aussi été mauvais pour le consommateur», peut-on lire dans le résumé du document de 214 pages. Dans le même temps, «il y a assez de pétrole pour répondre aux besoins du monde dans un avenir prévisible».

 

Selon les projections de l'OPEP, la demande de pétrole devrait passer à 113 millions de barils par jour en 2030.

 

Une grande partie de la demande sera satisfaite grâce à de nouvelles procédures de production et de récupération, ce qui signifie que la demande totale de «brut conventionnel» _ du pétrole pompé à partir de puits et d'autres méthodes basées sur la technologie actuelle _ ne dépassera pas 82 millions de barils par jour en 2030, précise l'OPEP dans un rapport au ton généralement optimiste.

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Le pétrole dégringole à nouveau

 

17 juillet 2008 - 15h11

 

Agence France-Presse

 

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Le marché s'inquiète de l'impact du ralentissement économique sur la consommation d'or noir.

 

Les prix du pétrole ont poursuivi leur plongeon jeudi à New York, totalisant une chute de plus de 15 $ le baril en trois jours, le marché s'inquiétant de l'impact du ralentissement économique, notamment aux États-Unis, sur la consommation d'or noir.

 

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en août a lâché 5,31 $ par rapport à la clôture de mercredi, pour finir la séance à 129,29 $.

 

Le baril de brut avait franchi les 130 $ le 21 mai dernier pour la première fois de son histoire.

 

«Les cours ont continué à baisser dans la foulée des sessions précédentes», a expliqué l'analyste indépendant Jim Ritterbusch.

 

Alors que les investisseurs guettent tout signe d'une baisse de la demande d'or noir aux États-Unis, les stocks de brut, publiés mercredi, y ont augmenté de 3 millions de barils la semaine dernière. Les analystes tablaient a contrario sur une diminution.

 

Les statistiques du Département américain à l'Energie ont également fait état d'une hausse plus importante que prévu des stocks d'essence et de produits distillés et d'une baisse de la consommation sur les quatre dernières semaines, par rapport à l'an dernier.

 

La demande d'essence, particulièrement surveillée lors de la période estivale, a faibli de 2,1%.

 

«L'affaiblissement de la demande et la reconstitution de l'offre de l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) pourraient enfin être mis en évidence par les statistiques, ce qui serait favorable à un repli de plus grande ampleur», a relevé Antoine Halff, de Newedge Group.

 

«Il y a des craintes grandissantes que la baisse de la demande observée aux États-Unis ne se propage en Europe, voire les pays émergents», moteur de la demande mondiale, a renchéri M. Ritterbusch.

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